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Transcription
00:00 et Marlène Schiappa, hop, exit du gouvernement.
00:02 Gabriel Attal prend le ministère de l'Éducation nationale.
00:06 Aurélien Rousseau prend la santé.
00:08 Aucun élu du parti Les Républicains ne future dans la nouvelle équipe gouvernementale,
00:12 vous le rappeliez, c'est compliqué de construire une majorité au Parlement.
00:16 C'est un signal, ça aussi ?
00:17 - C'est un double signal, ça veut dire qu'effectivement,
00:20 malgré l'intensité de la conversation au service politique,
00:24 le c'est mieux que moins,
00:25 autour, sur le bord droit de la Macronie, avec Les Républicains,
00:28 autour d'horizon, on a beaucoup travaillé, on a beaucoup cherché,
00:31 puis finalement ça s'est pas passé.
00:33 On sent une forme de résistance aussi de l'appareil républicain,
00:37 et ça c'est un signal important.
00:39 Personne n'a été débauché, comme vous l'avez dit,
00:41 alors qu'on a été chercher des politiques,
00:42 on a été au Parlement chercher, là pour le coup, des renforts,
00:45 on exige la société civile, on peut le dire comme ça.
00:48 Oui, oui, c'est un signal important pour la suite,
00:50 ça veut dire que la marge de manœuvre d'Emmanuel Macron sur son bord droit,
00:53 elle est quand même extrêmement réduite,
00:54 et que d'ici les européennes de 2024, l'année prochaine,
00:58 il va falloir faire rayer au Parlement, à l'Assemblée nationale en particulier,
01:01 mais peut-être aussi au Sénat.
01:02 - Et alors, on le rappelle, pas de majorité absolue à l'Assemblée,
01:04 ça a compliqué, bien entendu, la tâche du gouvernement sur les retraites.
01:08 Il y a encore des textes importants à venir, Jean-Christophe Gallien,
01:11 loi émigration, loi travail, sans l'appui LR,
01:14 ça va être rebelote, 49-3, avec tout ce que ça renvoie comme image
01:17 auprès du peuple français.
01:19 - Moi je crois qu'on est, rappelons-nous qu'on est à peine au bout d'un an
01:23 du deuxième mandat d'Emmanuel Macron,
01:25 c'est-à-dire qu'on a le sentiment que,
01:27 alors que si on interroge certains de nos compatriotes,
01:29 et même soi-même, on peut se dire,
01:31 on a l'impression qu'il y a tellement longtemps que c'est bientôt la fin.
01:33 Eh bien pas du tout, il reste quatre ans.
01:35 Quatre ans, c'est très long,
01:36 et ça va être très long sur des grands projets importants.
01:39 On a du mal à saisir où il va trouver les réserves,
01:42 c'est-à-dire qu'on sent bien qu'à gauche, là aussi, il y a une résistance,
01:44 et qu'à droite, maintenant, les positions sont clarifiées,
01:47 notamment parce qu'il y a des sénatoriales qui vont peut-être,
01:50 non pas renforcer la majorité républicaine,
01:52 en tout cas cette force républicaine au Sénat,
01:54 mais en tout cas l'installer pour la suite du mandat présidentiel.
01:58 Et donc, oui, oui, ça va être très compliqué.
02:00 La gestion politique de ces prochaines semaines et de ces prochains mois,
02:04 jusqu'au vote du budget à la fin de l'année,
02:06 vont être très délicates.
02:07 Je ne vous parle pas de 2024,
02:08 où là, pour coup, tout le monde va sortir les couteaux,
02:10 parce que les couteaux politiques, bien évidemment,
02:13 parce que ce sont les européennes,
02:14 et c'est là où les partis politiques,
02:16 élections scrutin à la proportionnelle intégrale sur l'ensemble du territoire,
02:19 vont essayer de scorer.
02:20 Je pense à gauche, au vert, évidemment,
02:22 mais évidemment les républicains à droite,
02:24 qui doivent vouloir marquer leur territoire,

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