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Transcription
00:00 Quand le bulletin de vigilance ou d'alerte est produit,
00:08 elle est transférée au centre d'information et de communication du gouvernement,
00:12 qui va faire ce qu'on appelle la mise en forme de ce bulletin,
00:17 qui sera digest à la population et ça sera envoyé vers les SMS géolocalisés
00:22 ou bien ça sera mis sur la plateforme du gouvernement.
00:25 Et ça, ça va militer à la protection des biens et des pressions.
00:29 Et ça va permettre aux groupes de s'appel comme Pérou ou à l'ONPC,
00:33 qui est l'Office National de la Protection Civile,
00:34 de mettre en place un plan d'urgence pour pouvoir protéger la population.
00:38 Le service de précision travaille 7 jours sur 7, 24 heures sur 24,
00:43 pour porter l'information.
00:44 En plus de 15 stations automatiques,
00:46 on a environ une soixantaine ou une trentaine disséminées sur tout le district d'Abidjan.
00:52 Et ça nous permet de savoir les quantités de pluies qui sont tombées
00:57 et plus dans deux heures, quelle est la quantité de pluie que chaque comité d'Abidjan aura.
01:03 Donc ce système nous permet d'être à l'aise pour donner l'information sur le comité d'Abidjan.
01:11 Mais nous sommes limités parce qu'on ne peut pas aller à plus de trois heures,
01:17 parce qu'à moins de deux heures, les gens ne sont pas prêts à être évacués.
01:22 Si on a un système qui va jusqu'à plus de trois heures,
01:26 ça nous permettra d'être encore plus efficaces et de donner l'information à la population.
01:31 Donc nous sommes toujours à la quête du matériel de pointe
01:36 pour fournir encore un bilétier météo ou une alerte météo préconduite à la population.
01:41 ♪ ♪ ♪

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