• l’année dernière
Transcription
00:00 C'est un objet usuel, d'usage courant, qui peut nous rendre brutal, tendre, excédé,
00:20 passionné, généreux, ironique, triomphant, fou de rage,
00:45 non, ça n'est pas l'automobile, c'est le téléphone, vous connaissez?
01:03 Oui, oui, je sais, mais si vous connaissiez le téléphone rose, pourquoi rose?
01:20 Vous croyez que ça n'existe pas?
01:23 Si, mais il n'y en a qu'un.
01:27 À 15 ans, j'ai volé une brioche dans une pâtisserie.
01:34 Maisons de correction et puis l'engrenage.
01:37 Mon pauvre amour.
01:39 Mais tu crois vraiment à toutes ces conneries?
01:42 Tout me claque dans les doigts, à l'usine, partout.
01:47 Je t'en prie.
01:49 Je suis désolé qu'elle vous ait couillonnée à ce point-là.
01:54 Je vous demanderai maintenant de ne pas prendre mal ce que je vais vous dire.
01:59 Je déteste les Français.
02:02 Tu sais, le jeune homme qui n'est pas si mal finalement parce qu'il aime bien le cassoulet, de l'orme.
02:07 Eh bien, je vais coucher avec lui.
02:22 Tu es franchement jusqu'au bout du béret, mon beau vieux.
02:25 Les Américains, les Japonais, les Allemands, les Arabes, tout le monde est en train de nous bouffer tout cru.
02:38 Abonnez-vous tous au téléphone rose.
02:43 Pour tout renseignement, adressez-vous ici même.
02:50 Prochainement, le téléphone rose.
02:53 [Musique]
02:55 *Bruit de la porte qui s'ouvre*