• l’année dernière
Retrouvez le replay de l'avant course du 24/08/2023.

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00 Et Anne Vernon, leader de ce Tour d'Allemagne après le prologue vécu hier, à côté de
00:14 Matt Spederson, peut-être l'un des grands favoris, si ce n'est le grand favori.
00:19 Il y aura débat sur le plateau, passe passe pas, vous savez que c'est souvent l'interrogation
00:22 face à ce type de coureur, ce type de profil.
00:25 Matt Spederson donc et Anne Vernon qui seront deux des coureurs à suivre aujourd'hui.
00:28 On a même mis Matt Spederson en tête d'affiche sur notre plateau, évidemment.
00:32 On est ravis de vous retrouver, guten Morgen à tous, puisqu'on est sur le Tour d'Allemagne
00:36 désormais qu'on va suivre jusqu'à dimanche sur la chaîne L'Equipe.
00:38 Toujours un magnifique Tour, un petit peu moins peut-être difficile que l'année dernière,
00:42 mais justement la course sera peut-être encore plus ouverte.
00:44 Bonjour Patrick Chassé.
00:45 Bonjour Claire Bricoille.
00:46 Ça va ? Oui.
00:47 Vous n'avez pas dit bonjour en limousin la semaine dernière.
00:49 C'est vrai, c'est vrai.
00:50 Je serai à des remédies, je ferai ça jusqu'à la fin de la saison, en toutes les langues
00:54 qu'on va pouvoir diffuser.
00:55 Curieux d'entendre ça.
00:56 On va voir, il y en a un paquet.
00:57 Bonjour Pierre Holland.
00:58 Bonjour, bonjour à tous.
00:59 Et bonjour Christophe Criblon également.
01:00 Bonjour Claire.
01:01 Bonjour à tous.
01:02 On l'a dit, il y a un magnifique programme vélo, un magnifique programme cette semaine
01:05 avec le Tour d'Allemagne.
01:06 Donc ce sera jusqu'à dimanche.
01:07 On va vous donner toutes les clés pour le suivre, vous en avez l'habitude désormais.
01:10 On va détailler le profil également, mais on ne va pas s'arrêter là.
01:13 On va continuer même jusqu'au Championnat d'Europe et un petit peu plus loin parce
01:17 qu'on aura le Tour de Münster également début octobre.
01:19 Tour de Grande-Bretagne à partir du 3 septembre donc et jusqu'au 10, toujours un magnifique
01:23 Tour.
01:24 Le Tour de Marne notamment sera partant sur la liste des engagés.
01:28 Il y aura aussi le Grand Prix de cyclistes de Québec et le Grand Prix de cyclistes de
01:31 Montréal, de course World Tour, immanquable, magnifique.
01:33 Également, ce sera la même semaine, le Tour du Luxembourg un petit peu plus tard du 20
01:37 au 24 septembre avec Thibaut Pinot qui sera présent et le Championnat d'Europe donc
01:42 à suivre les Championnats d'Europe même puisqu'on ne manquera aucune des disciplines.
01:46 Ça se passe du côté des Pays-Bas et ce sera la semaine du 20 au 24 également.
01:50 On va finir un petit peu…
01:52 On va faire la hola comme ça avec le Championnat d'Europe.
01:57 On espère.
01:58 Évidemment, magnifique maillot.
01:59 On rappelle que le Championnat du Monde a été décalé et que donc le dernier maillot
02:01 distinctif à aller chercher cette année c'est le Championnat d'Europe.
02:04 Voilà, le beau maillot avec les étoiles sur fond bleu.
02:07 Il va se passer beaucoup de choses encore.
02:09 Il s'est déjà passé beaucoup de choses hier.
02:11 On a suivi le prologue avec vous Pierre et Patrick hier.
02:14 On va revenir dessus bien sûr.
02:15 Mais on a aussi notre envoyé spécial qui est sur place avec Charles-Antoine Nora.
02:20 Ça y est Charles-Antoine, enfin le Tour d'Allemagne se lance vraiment puisque c'est
02:23 la première étape désormais.
02:24 Vous, vous êtes du côté de l'arrivée.
02:25 Eh oui Claire, ça y est, c'est parti.
02:31 Ce Grand Tour d'Allemagne a enfin démarré ce matin avec beaucoup de monde au départ
02:34 de cette première étape.
02:35 Alors certes, il y a eu un prologue hier de 2,3 km mais c'est aujourd'hui que les
02:39 choses sérieuses commencent.
02:41 Le Tour d'Allemagne, c'est la plus grande course cycliste ici au Trorain.
02:44 Il y a un personnage qu'on ne peut pas occulter du monde du cyclisme, hors du mythe du cyclisme,
02:49 c'est le Diablo.
02:50 Vous le connaissez avec sa fourche sur les routes du Tour de France, présent dans les
02:53 grands cols pyrénéens ou dans les Alpes.
02:55 Il était au départ ce matin évidemment pour encourager les coureurs.
02:59 Il joue ici à domicile alors il n'aura pas de Grand Col cette année, pas de montagne
03:04 pour ce Tour d'Allemagne mais il y aura des étapes très mouvementées, des étapes
03:07 dynamiques de mouvement.
03:08 Ça va forcément se jouer à quelques secondes près.
03:11 C'est en tout cas ce que nous ont confié les coureurs ce matin au départ et ça commence
03:14 dès aujourd'hui avec une arrivée ici à Mertzich.
03:17 Et oui, Mertzich, on se demandera un petit peu si ça va être pour les punchers, pour
03:23 les sprinters, on se demandera si ça peut passer aujourd'hui et si Mats Pedersen est
03:26 donc ce grand favori.
03:28 Favori ou pas, Mats Pedersen, petit teasing Pierre ?
03:30 Aujourd'hui ?
03:31 Non, globalement.
03:32 Oui, au vu de ce qu'il a fait ces dernières semaines, le Tour du Danemark et la Classique
03:39 d'Ambourg, il y a des chances de le revoir dans le haut du classement.
03:44 J'ai changé un petit peu mon avis d'épaule.
03:47 Oui, parce qu'évidemment on fait des comptes de rédaction, on prépare les émissions.
03:50 Moi je pensais que Pierre avait son avis, etc.
03:51 Il est en train de me mettre complètement dans la sauce, c'est ça qu'on dit Pierre.
03:54 Merci beaucoup Pierre Holland.
03:55 Il y a un autre profil qu'on peut surveiller aujourd'hui, c'est le profil des punchers.
03:58 Pourquoi pas, on regardera ça avec vous Patrick pour le profil de l'étape en tout cas.
04:02 A commencer peut-être par celui de Julien Simon, le coureur français qui avait remporté
04:06 la Coupe de France l'année dernière.
04:08 Julien Simon qui ne s'est pas encore imposé cette année mais sur le papier en tout cas
04:11 ça fait partie des coureurs qu'on attend à l'arrivée.
04:14 C'est vrai que ce n'est pas souvent qu'on fait un effort comme ça mais ce n'était
04:17 pas trop dangereux.
04:18 C'était plutôt plaisant, j'ai bien apprécié.
04:22 On avait le temps de faire la recours avant donc il y avait juste un petit virage un peu
04:26 dangereux mais c'est bien passé, il y a très peu d'écarts.
04:29 Maintenant aujourd'hui il y a une étape déjà accidentée quand même avec deux tours dans
04:35 le final avec une bosse à chaque tour et elle arrive assez vite derrière.
04:39 Donc ça va être sport déjà dès la première étape.
04:42 On va se remémorer ce qui s'est passé déjà l'année dernière parce qu'on avait eu un
04:47 magnifique tour d'Allemagne aussi et puis il y a des coureurs que vous allez retrouver
04:50 dans ce récap que vous allez retrouver également sur l'édition 2023.
04:53 Bref, regardez bien ce résumé, on se retrouve juste après.
04:55 Boccombelema peut être battu par Gana, par Lampard, il restera derrière à tendre de
05:03 la croix épolite.
05:05 Meilleur tour pour Philippe Gana, ça va peut-être le rassurer.
05:13 Bon allez, Boccombelema, bon perdant mais néanmoins déçu évidemment.
05:16 Ils sont à 25 secondes de l'homme de tête et Fabio Jakobsen est distancé.
05:29 Fabio Jakobsen qui n'a pas réussi à tenir le rythme dans cette ascension, il a complètement
05:34 explosé et puis on ne l'a pas attendu.
05:38 Clairement c'est fini aussi, comme Gaviria c'est fini pour Jakobsen.
05:41 Le seul coureur dans l'histoire.
05:42 Philippe Gana, le leader en personne qui passe à l'attaque.
05:48 Encore un autre qui aime bien maltraiter ses pédales d'ailleurs.
05:50 Gana, Gana épolite.
05:51 Alors là je peux vous dire qu'il y a quand même du gabarit.
05:54 Il y a Van Avermaet qui tente de réagir.
05:56 Mais on n'a pas du tout l'air décidé à le laisser partir.
06:01 On est en train de rentrer.
06:04 Derrière la force du peloton a fait que dans cette descente on a réussi à combler l'écart.
06:10 Allez le sprint qui va être lancé maintenant.
06:14 Idéalement placé Alexandre Christophe avec juste derrière lui Kalebe Wan.
06:18 On va voir ce que ça donne maintenant entre ces hommes.
06:21 Pour l'instant Alexandre Christophe, voilà c'est parti.
06:24 Lors de son sprint, Kalebe Wan qui est en train d'essayer de le remonter.
06:27 Kalebe Wan avec Jonathan Milane qui est là pour Bahrein.
06:31 Et finalement Kalebe Wan toujours en tête.
06:33 Kalebe Wan qui va s'imposer finalement.
06:34 Kalebe Wan qui remporte ce sprint je pense devant Jonathan Milane l'italien de la formation
06:39 Bahrein.
06:40 Et on avait également dans ce sprint qui est venu chercher une place d'honneur Alessandro
06:45 Covi de la formation UAE.
06:47 Alors que Alexandre Christophe a été battu.
06:51 Il est derrière tout comme Jérémy Lecroque qui va se contenter d'une place d'honneur.
06:55 En tout cas on continue d'agresser le peloton.
06:57 Guerreiro avec Bétiol qui est du assist à course.
07:00 Guerreiro, Bétiol, Formolo, Van Zevenaent.
07:02 Allez les hommes de tête qui passent au sommet.
07:05 Allez derrière ça continue.
07:07 Guerreiro devant Bétiol.
07:09 Formolo, Van Zevenaent.
07:11 Une petite cassure quand même derrière.
07:12 18 coureurs là.
07:14 Une portion longue en montée donc on va voir ce qu'il se passe quand même.
07:18 Pas sûr qu'il y ait beaucoup de temps.
07:20 Avec le leader de la course qui a pu basculer dans ce groupe là.
07:23 Allez Bétiol qui continue d'insister.
07:25 Formolo.
07:26 Egan Bernal qui est dans ce groupe intercalé là.
07:30 Enfin qui est dans ce groupe de courants d'instant.
07:34 Groupe duquel d'ailleurs oui il se fait exclure.
07:37 Pei Yobilbao qui va faire le jump.
07:40 Pei Yobilbao qui sort du groupe, qui sort du peloton.
07:42 Avec Groschartner qui va également peut-être essayer lui aussi de rentrer.
07:48 C'est lui qui emmène le peloton juste derrière.
07:50 Voilà on va rentrer quand même.
07:52 Avec un regroupement probablement imminent.
07:54 Des coureurs de rapide.
07:55 C'est Tony Gallopin.
07:56 C'est Tony Gallopin là qui vient de sortir pour l'équipe Trek.
08:00 Allez Tony Gallopin qui a pris quelques mètres d'avance.
08:02 Mais derrière attention hein.
08:03 Évidemment on va réagir parce qu'on a des équipiers pour le faire.
08:06 Notamment du côté de la G2R Citroën, son ancienne équipe d'ailleurs.
08:09 Il est très bien sorti.
08:10 Il est bien sorti.
08:11 Ça va rentrer finalement sans Tony Gallopin.
08:13 Ce sera trop court.
08:14 Et regardez sur la gauche là.
08:15 Jumbo Visma qui tente d'anticiper un petit peu le sprint.
08:17 Attention ce dernier virage gauche là.
08:19 Oui ça frotte un petit peu.
08:20 Au moment où Tony Gallopin se faisait reprendre.
08:23 C'est d'ailleurs toujours lui qui était en tête à la sortie de ce virage.
08:26 Mais cette fois il est repris.
08:27 Florian Senechal très bien placé.
08:28 Allez Alexandre Christophe.
08:29 Alexandre Christophe au centre de l'écran.
08:32 Il y a Florian Senechal dans la roue.
08:33 Florian Senechal qui va-t-il pouvoir remonter ?
08:36 Alexandre Christophe.
08:37 Alexandre Christophe toujours devant.
08:38 Alexandre Christophe avec Métienne qui va prendre la troisième place derrière Florian Senechal.
08:42 Voilà donc la victoire d'Alexandre Christophe aujourd'hui.
08:45 On l'attendait peut-être davantage hier.
08:47 Mais c'est aujourd'hui qu'il a réussi à concrétiser ses souhaits de victoire.
08:52 Lui qui avait déjà gagné sur les routes du Tour d'Allemagne dans le passé.
08:56 C'est donc un récidiviste.
08:57 Alexandre Christophe sous le maillot de l'équipe intermarché.
09:01 C'est Félix Rochartner qui roule actuellement en tête du peloton.
09:06 L'équipe Bora-Ansgrohe à laquelle il appartient est venue placer deux hommes vous le voyez
09:12 en tête de ce peloton.
09:13 On sent que le peloton a vraiment diminué sur l'allure des deux Bora.
09:21 L'allure est totalement différente par rapport aux hommes d'échappée.
09:24 Il reste peut-être une cinquantaine d'hommes dans le peloton.
09:29 Et bien voilà le 17ème coureur différent à s'imposer cette année sous le maillot
09:51 de l'équipe Ineos.
09:52 C'est sa première victoire de la saison.
09:54 Adam Jetz qui s'impose dans l'étape reine ici au sommet du Schauwitzland.
09:58 Il passe la ligne immédiatement derrière.
10:01 Nous allons voir Peio Bilbao essayer de limiter les dégâts.
10:04 Il était à 20 secondes au kilomètre.
10:06 Et bien il passe la ligne avec 18 secondes de retard.
10:08 Adam Jetz vainqueur de cette étape reine du Tour d'Allemagne.
10:12 Peio Bilbao deuxième à 19 secondes.
10:14 Maury van Sevenhant troisième.
10:16 Son coéquipier James Knox prend la sixième place.
10:18 Il faudra quand même être costaud dans le peloton si on veut pouvoir jouer la victoire
10:24 d'étape aujourd'hui.
10:25 Après tout dépend du scénario qui va se passer maintenant.
10:28 Mais voilà Romain ça y est Romain qui se lance.
10:30 Romain qui attaque.
10:31 Van Dijk qui suit.
10:32 Et on part à deux.
10:33 Derrière on ne réagit pas.
10:34 Il y a Holmes qui tente un tout petit peu de réagir.
10:38 Mais Romain paraît clairement au-dessus du lot.
10:41 Mais on se regarde trop là entre ces quatre hommes à l'avant.
10:44 C'est terminé.
10:45 Maintenant on voit le peloton les a en point de mire.
10:47 Il n'y a même pas 100 mètres d'avance.
10:49 Échappée terminée.
10:50 Elle ne pourra pas aller au bout.
10:52 On se croira dans ce groupe.
10:55 Fosaka n'arrive pas à rentrer.
10:56 C'est compliqué.
10:57 Il est juste derrière.
10:59 Il a été distancé dans cette dernière ascension.
11:02 Zimmermann qui va peut-être lancer de loin.
11:08 Béckel qui se retourne.
11:09 Zimmermann qui le voit remonter.
11:10 Et Peio Bilbao qui va déclencher son sprint.
11:13 Béckel est débordé.
11:15 Zimmermann toujours en tête.
11:16 Bilbao qui passe devant.
11:18 Guerreiro qui fait le sprint également.
11:20 Mais Bilbao ne pourra pas être battu.
11:22 Et il va s'imposer dans ce sprint.
11:23 Victoire de Peio Bilbao.
11:25 Vous l'aviez bien dit Kevin Reza.
11:27 C'était le coureur le plus rapide dans ce groupe de 10 ou 11 coureurs.
11:32 Et voici le lauréat de la 37e édition du Tour d'Allemagne.
11:36 Adam Jetz consacré par sa victoire au sommet du Schauwitzland hier à l'issue de la troisième
11:44 étape.
11:45 Adam Jetz vainqueur de l'édition précédente.
11:58 Il n'est pas là le britannique.
11:59 Mais Peio Bilbao espère pouvoir franchir cette marche.
12:04 Cette fois-ci l'espagnol.
12:05 Alors on va se pencher sur ce qui s'est passé hier.
12:07 Il s'est déjà passé beaucoup de choses.
12:09 Mais juste avant messieurs, on adore s'amuser sur ce plateau de fer d'affûté.
12:12 On va faire un petit jeu.
12:15 On va continuer le petit jeu qu'on avait commencé sur le tour du limousin et qui nous
12:18 avait beaucoup plu pour essayer de reconnaître les coureurs en civil.
12:22 C'est d'utilité publique également puisqu'ils ont toujours les casques et les lunettes.
12:27 On se plaint toujours de ne pas pouvoir les voir.
12:29 On a choisi des relativement faciles.
12:32 Je ne sais pas si je fais bien de vous le dire juste avant.
12:33 On commence.
12:34 On en fait trois maintenant et puis on va faire un petit fil rouge tout au long de l'émission
12:37 bien sûr.
12:38 Le premier Peio Bilbao.
12:39 Pierre Roland.
12:40 Non, non, c'est à droite.
12:41 Le deuxième.
12:42 Peio Bilbao.
12:45 On a compris, on a compris Amaury.
12:49 Merci.
12:50 Le deuxième.
12:51 Je marque un point.
12:52 Ah, McAulty.
12:53 Pierre Roland.
12:54 Il est fort.
12:55 Il est fort ou il est rapide Christophe ?
12:59 Rapide.
13:00 Mais il a fait la commentaire.
13:01 Il est plus chaud que moi.
13:02 Allez, c'est l'échauffement.
13:03 La troisième.
13:04 Ah, Burgodeau.
13:05 Mathieu Burgodeau.
13:06 Oui, mais la photo est à l'envers.
13:07 C'est pour ça que j'ai parti.
13:08 Oui, on a fait exprès pour que vous ne puissiez pas lire par exemple un potentiel sponsor
13:15 qui aurait pu vous mettre sur la touche.
13:18 Ça fait 3-0 quand même.
13:19 Il y a quand même 119 noms différents sur ce tour d'Allemagne.
13:22 C'est pour ça qu'on ne réagit pas vite.
13:25 Et on l'a vu avec Quentin Fillon-Bayet.
13:27 J'ai eu -193, c'est ça, en régie pour la reprise du biathlon bien sûr sur la chaîne
13:33 l'équipe de sport qu'on adore suivre et que les athlètes en plus suivent bien.
13:38 L'un et l'autre, les cyclistes suivent le biathlon et les biathlètes suivent les cyclistes
13:42 très bien.
13:43 Allez, on se repose un petit peu puis on reprendra la route dans quelques instants.
13:46 Patrick, on s'échauffe à nouveau pour voir ce qui s'est passé hier pendant le prologue.
13:50 On a beaucoup de choses à dire.
13:51 Pourtant, c'était très court, une distance de 2,3 km.
13:54 Oui, et quand Daniele Lyssen hier a roulé à plus de 57 km/h pour obtenir le meilleur
14:00 temps sur ce petit circuit de Sankt-Wendel, nous avons eu pendant quelques minutes trois
14:06 coureurs de Borendsgrohe aux trois premières places du classement provisoire avec Sam Bennett
14:09 et Marco Haller.
14:10 Mais parmi les derniers à s'élancer, le britannique Ethan Vernon.
14:13 Allez, d'un seul coup, d'un seul, mettre trois secondes d'écart sur tous les meilleurs
14:17 et s'adjuger sa deuxième victoire sur un prologue.
14:20 Même le vent forme du moment ici.
14:23 Mats Pedersen ne pourra faire mieux et se contentera du premier accès site.
14:27 Au classement, après ces 2,3 km de prologue, on a donc vu s'établir une première hiérarchie
14:36 avec les routiers sprinter qui sont évidemment au sommet de ce classement pour la plupart.
14:42 Les grimpeurs sont un petit peu plus loin.
14:44 Vous ne les voyez pas sur ce classement, mais je vous les donne.
14:46 L'espagnol Aramburu est à 6 secondes, l'américain McNulty à 8 secondes, le français Sivakov
14:51 à 10 secondes, le basque Bilbao à 11 secondes, le vendéen Burgodo, qu'on a vu tout à l'heure, à 13 secondes.
14:58 Pierre, il n'y avait pas photo hier sur cette victoire d'Ethan Vernon.
15:01 Alors ça se joue à une seconde, mais en tout cas, clairement,
15:04 Sudal Quickstep sur les chronos cette année, c'est du solide.
15:07 À Sudal Quickstep, ils ont des stats sur les chronos individuels
15:10 qui, cette année, c'est tout simplement impressionnant
15:12 avec beaucoup de coureurs différents qui ont gagné.
15:15 Là, le prologue, il était vraiment parfait pour Ethan Vernon.
15:18 Les qualités, un sprinter, on a bien vu qu'ils étaient avantagés par le nombre de virages,
15:22 le côté aussi très punchy de l'effort, moins de 2 minutes 30.
15:25 Donc voilà, c'était coups humains pour lui.
15:28 Et aussi, les parties rectilignes, il a été très propre dans sa position.
15:32 Donc, il a été à la fois très puissant dans ses relances et très propre sur sa position.
15:36 Sur son vélo de route, c'est quand même assez particulier quand ça monte sur un vélo de route,
15:41 même si c'est que 2 minutes 30, on n'a pas l'habitude de voir les coureurs
15:45 faire ce type d'effort sur leur vélo de route.
15:46 D'ailleurs, sur route et en ligne, c'est comme ça qu'on dit,
15:49 Ethan Vernon s'était déjà imposé plusieurs fois.
15:51 Cette saison, ça avait commencé en Espagne, dès son 2e jour de course sur le trophéeau de Palma,
15:56 ensuite sur le tour de Rwanda, sur une étape du tour de Romandie,
15:59 également qu'on avait suivi ensemble.
16:01 Et donc, il n'a pas disputé de grands tours, notamment cette année,
16:04 ce qu'on peut dire sur ce jeune coureur de 22 ans, de cette formation, le britannique, bien sûr.
16:10 Alors ça, ça fait partie, bien sûr, des choses qu'on va suivre pendant quelques jours,
16:13 dès aujourd'hui également, mais il y avait une image également sur laquelle
16:16 on voulait revenir, un coureur qui n'est pas partant ce matin,
16:19 qui a terminé le prologue hier.
16:21 Alors, on a un peu compris ce qui s'était passé en direct.
16:24 Pierre, c'est Alexandre Christophe.
16:26 Il a plongé dans ce dernier virage à 250 mètres de la ligne,
16:30 il a pris la corde et à la corde, il y avait les barrières qui n'étaient pas sorties,
16:35 mais on pouvait prendre plus court, les barrières auraient pu être reculées de 20 cm.
16:39 Il a fait un peu ce que Wout van Aert a fait sur le Tour de France,
16:42 il y a quelques années, je crois, pour son premier Tour de France,
16:44 où il s'était ouvert la jambe.
16:45 Là, il a cogné l'épaule, peut-être la main, on ne sait pas trop.
16:48 En tout cas, il a perdu, il me semble qu'il avait ses lunettes au départ,
16:51 donc voilà, il y a eu un choc important, c'est la raison pour laquelle il n'a pas pris le départ.
16:56 On espère pour lui qu'il se rétablira rapidement.
16:59 Oui, on avait vu Rémi Cavagna également foncer dans des barrières à une période,
17:03 mais ça ne se passait pas forcément dans un virage comme ça.
17:06 Oui, il a pris la corde, il a vraiment serré la corde
17:09 et il a tapé certainement la barrière au niveau de l'épaule ou la main.
17:12 À cette vitesse-là, on voit un autre coureur, c'est ce virage-là,
17:16 certainement qu'Alexander Christophe a voulu prendre plus à la corde
17:20 pour essayer de sortir le plus rapidement possible.
17:22 On sait que l'importance de l'entrée dans les virages,
17:25 mais surtout essayer de sortir de ces virages le plus rapidement possible.
17:28 Quand ça se joue à la seconde, quatre secondes entre les 20 premiers coureurs,
17:32 on sait que les virages sont primordiales.
17:34 En tout cas, ce n'est vraiment pas de chance pour Alexander Christophe,
17:37 qui est non partant, donc je le répète, c'est ça l'information de la journée.
17:40 Il avait terminé deuxième de l'Egmont Cycling Race.
17:42 Il y avait des choses à faire, il s'est imposé l'année dernière sur une étape.
17:44 Il y avait des choses à faire pour lui, en tout cas sur cette compétition.
17:47 Il est de retour à la maison.
17:49 On parle de quelqu'un d'autre ?
17:51 On va parler de quelqu'un d'autre parce qu'il y a une interview assez importante à écouter.
17:56 Pavel Sivakov est présent sur la start list de ce Tour d'Allemagne.
18:00 Ce qu'on va faire, c'est qu'on va d'abord écouter l'interview,
18:02 parce que Pavel Sivakov, on le sait, il fait partie de l'équipe Ineos Grenadiers.
18:06 On sait qu'il est plutôt, normalement, leader, co-leader sur les courses.
18:12 Et en parallèle de cette compétition, il y a la Vuelta qui va commencer samedi.
18:16 Pavel Sivakov n'est pas sur la Vuelta.
18:18 Surprise ou pas surprise, on va écouter ce qu'il a répondu à Charles-Antoine Nora,
18:22 c'était hier après le prologue, et puis on en parle.
18:25 La grosse information, et on le rappelle, c'est qu'il est en partance pour l'équipe UAE Team Emirates.
18:31 Mentalement, j'ai eu un gros coup dur, on va dire, la semaine dernière.
18:37 On m'a annoncé que je n'allais pas faire la Vuelta, donc pour moi c'était vraiment difficile.
18:42 J'ai passé un mois et demi cet été en altitude, trois semaines d'abord avec l'effectif de la Vuelta.
18:49 Ensuite, on est allé au Tour de Pologne tous ensemble, ça s'est bien passé.
18:52 Très bien passé même, je dirais.
18:54 Ensuite, je suis retourné direct en altitude pour bien préparer cette Vuelta.
18:59 Je pense que c'était dans la meilleure condition de la saison.
19:02 À mon avis, j'étais plus près qu'avant le Giro.
19:06 J'ai reçu un coup de fil, comme quoi ça n'allait pas se faire.
19:11 Ça a été compliqué, ça fait six ans que je suis dans l'équipe.
19:14 Tout le monde sait que je pars, mais c'est ça, c'est le cyclisme au final.
19:19 On est juste des numéros, des pions, c'est un peu comme ça que je le vois.
19:25 Ça nous fait réaliser que pour le management, des fois,
19:30 il doit prendre des décisions un peu difficiles, c'est sûr que tout le monde ne va pas être content.
19:36 Pavel Sivakov qui a terminé à 10 secondes hier, et Tan Vernon sur ce prologue.
19:44 Christophe, ce n'est pas un sujet simple, ça en général.
19:48 En plus, il a l'air de bien connaître sa condition.
19:51 On sait plutôt tant mieux pour nous, nous on va le voir certainement à l'aise sur ce tour d'Allemagne.
19:55 Mais on imagine que s'il pousse comme ça ce coup de gueule,
19:59 c'est qu'il s'attendait vraiment à être à la Vuelta.
20:02 Oui, c'est clair. L'équipe, il est au second à dire, il la connaît très bien.
20:06 Nous aussi, quand on regarde extérieurement, ce n'est pas une équipe qui change sa composition au dernier moment.
20:10 S'il dit qu'il était en préparation pour la Vuelta, avec l'équipe de la Vuelta au mois de juillet,
20:14 enchaîné avec le Tour de Pologne, qu'il est retourné en altitude après,
20:17 c'est clairement qu'on lui avait donné cet objectif-là.
20:20 Ce n'est pas une équipe qui change ses plans au dernier moment.
20:23 On a certainement voulu lui faire payer le fait qu'il parte chez UE.
20:26 Je ne sais pas s'il part en très bon terme, mais en tout cas, vu le coup qu'on vient de lui faire là,
20:30 c'est clair qu'on peut se poser la question.
20:32 Après, l'équipe Ineos, on le voit, on ne sait pas trop où on en est au niveau des recrutements.
20:35 En ce moment, c'est quand même un peu flou tout ce qui se passe autour de l'équipe Ineos.
20:38 Ça rajoute encore une petite note à tout ce flou artistique autour de l'équipe Ineos.
20:44 Ce qu'on peut dire aussi, ce n'est pas un cas isolé chez Ineos.
20:48 D'abord, on sait qu'il y a beaucoup de départs de cette équipe britannique.
20:51 Mais finalement, si vous regardez ceux qui ont déjà officiellement acté leur transfert dans une autre équipe,
20:58 Dan-Philippe Martinez qui rejoindra Bora, à priori, il n'est pas non plus sur la Volta
21:03 et on ne sait pas ce qu'il va faire en fin de saison.
21:05 Pour l'instant, il n'est pas prévu sur aucune course.
21:07 Ben Tullet, qui a officialisé son transfert chez Jumbo-Visma, pareil.
21:12 Et enfin, tu as Oguegenhart également, qui quittera cette équipe à la fin de la saison chez Lidl Trek.
21:17 Il sera l'an prochain.
21:18 Pareil, on a l'impression, et ça c'est quand même un vieux truc,
21:21 que quand on quitte une équipe et qu'on annonce qu'on quitte une équipe…
21:24 On a du mal à faire courir à la fin de l'année, oui.
21:25 Ben voilà, on se fiche un peu de ces coureurs.
21:27 Ça a toujours été un peu comme ça.
21:29 Enfin, pas toujours, pas partout.
21:30 Mais il y a quand même des équipes qui ont toujours été coutumières de ce fait.
21:33 Déjà, la différence avec les coureurs que vous venez de dire, c'est que Sivakov, à priori, a fait toute la préparation.
21:37 Au dernier moment, on lui dit.
21:38 Après, juste pour remondir, je ne sais pas si on se fiche des coureurs.
21:41 Ce qui est sûr, c'est qu'on a envie de privilégier les coureurs qui vont rester au sein de notre équipe.
21:45 Il ne faut pas oublier qu'aujourd'hui, il y a des points.
21:47 Il faut aller chercher des points.
21:49 Il y a quand même pas mal de choses qui entrent en compte.
21:52 Moi, ça ne me choque pas plus que ça.
21:55 Ce qui me choque plus, c'est qu'on ait fait faire toute la préparation à Sivakov.
21:57 Et qu'à une semaine du départ, on lui dise.
21:59 Ben non, en fait, tu ne viendras pas.
22:01 C'est ça que je trouve assez malhonnête.
22:03 Tu as raison.
22:04 Sur les points, juste une précision.
22:05 Mais je sais que tu l'avais à l'idée.
22:07 En tête, c'est que les points, on ne les emmène pas.
22:10 Le coureur qui part, comme c'était le cas il y a quelques années,
22:12 un coureur qui était allé dans une autre équipe, il embarquait ses propres points dans l'autre équipe.
22:16 On pouvait comprendre l'intérêt d'une équipe de ne pas laisser un coureur, même compétitif,
22:21 prendre des points supplémentaires pour les emmener chez l'adversaire.
22:24 Finalement, ça ne suffit pas parce qu'effectivement, on a besoin de points.
22:27 Donc, ceux qui restent, on veut les favoriser pour qu'eux puissent marquer des points
22:31 qui resteront évidemment dans l'équipe la saison suivante.
22:33 Oui, Pierre.
22:34 Moi, il y a deux choses sur ce sujet-là.
22:37 Je trouve la réaction d'Ineos par rapport à Pavel Sivakov,
22:40 qui est un coureur exemplaire dans le comportement collectif.
22:43 On l'a vu sur la Pologne, il s'est mis au sacrifice du collectif
22:47 alors qu'il était presque plus fort que son leader, Katochski.
22:51 Mais c'est comme ça, c'est le format Ineos, qu'on lui a laissé faire toute la préparation
22:56 et qu'on le jette un petit peu comme un malpropre.
22:59 J'ai un petit peu de mal avec ça, surtout de cette équipe qui est un peu dans une situation particulière.
23:04 Comment vous savez qu'il est exemplaire ? Vous n'avez pas couru avec Pavel Sivakov ?
23:08 Non, mais on le voit, c'est un coureur, il est réglo.
23:11 Ça se voit sur lui, ça se voit dans son comportement.
23:14 À la Pologne, très honnêtement, il pouvait faire dans les cinq premiers largement.
23:19 Katochski termine troisième, il peut faire aussi bien.
23:22 Moi, ce qui me gêne avec ce coureur, c'est que là, il se plaint de sa situation,
23:26 mais il va dans une équipe où ce sera exactement la même chose.
23:29 La route, elle sera barrée pour lui.
23:31 Le traitement sera exactement le même.
23:33 Ce n'est pas ça qu'il dit. Il ne dit pas que la route était barrée.
23:36 Ce sera la même chose. Il ne sera pas considéré à sa juste valeur.
23:39 Il ne reproche pas qu'on ne lui donne pas un statut de leader.
23:42 On lui reproche de ne même pas le sélectionner comme équipier sur la Vuelta.
23:47 Oui, mais chez UAE, ce sera compliqué les sélections aussi.
23:51 Ce ne sera pas pour les mêmes raisons.
23:53 Là, on a bien compris qu'on privilégie les coureurs qui vont rester,
23:56 même si les coureurs qui sont sur la Vuelta, il y en a certains qui sont en fin de contrat également.
24:00 On ne sait pas s'ils vont rester.
24:03 Mais en tout cas, chez UAE, ce sera compliqué.
24:07 Encore une fois, on en avait déjà parlé.
24:10 Je sens toute la frustration de ne pas le voir leader dans une équipe.
24:13 Oui, parce qu'il mérite mieux.
24:14 Il mérite mieux que ce qu'il a fait chez Ineos.
24:16 Pour moi, il mérite mieux que ce qu'il va faire chez UAE.
24:18 En tout cas, on espère bien le voir sur ce tour d'Allemagne.
24:21 Pavel Sivakov, il a forcément des choses à aller chercher.
24:23 Le coureur français, on va juste regarder avant de se quitter quelques instants.
24:28 Justement, vous parliez des fins de contrat sur la Vuelta, etc.
24:31 Sur le tour d'Allemagne, il y en a aussi pas mal de coureurs qui sont en fin de contrat
24:34 et qui n'ont pour l'instant rien pour l'an prochain.
24:36 Regardez ces noms, quand même.
24:37 Sam Bennett, George Bennett, Ivan Sosa, Luc Rowe, Salvatore Puccio,
24:41 Mathieu Burgodo, Julien Simon, Matteo Moschetti.
24:43 Rien d'officialisé pour 2024 pour l'instant pour ces coureurs.
24:48 Ça veut dire aussi qu'on va les surveiller peut-être d'autant plus sur le tour d'Allemagne.
24:51 Il y a peut-être aussi des choses, évidemment, qu'on ne sait pas,
24:53 qui ne sont pas encore officialisées.
24:54 Mais ça fait du monde, non ?
24:55 Moi, je vais prendre Burgodo, Rowe et Sam Bennett.
24:58 Allez, vous formez une équipe l'an prochain ?
25:00 Je vous laisse les autres.
25:01 Merci pour l'info.
25:04 Allez, à tout de suite sur le plateau de Savas Frotté.
25:06 On continuera à jouer, bien sûr, et puis on parlera de cette première étape
25:09 et de Matt Spederson, l'ancien champion du monde qui est présent.
25:24 Allez, Savas Frotté se poursuit parce que vous allez suivre le tour d'Allemagne en direct.
25:28 Dans quelques instants, la première étape.
25:30 Pourtant, ça a démarré hier.
25:31 Vous le savez, c'est le traditionnel prologue contre la montre.
25:34 C'est Anne Vernon, le coureur de la Sudal Quick-Step, qui est leader pour l'instant.
25:38 Le Britannique a une seconde.
25:39 Point, Matt Spederson.
25:40 Matt Spederson, dont on va reparler parce qu'on ne peut pas,
25:43 quand il est sur la start-piste, ne pas se demander s'il n'est pas le favori de ce tour d'Allemagne.
25:47 J'ai mis des négations partout, ça ne va pas du tout, mais vous avez compris l'idée.
25:50 On continue à jouer ?
25:51 Oui, on va bien sûr continuer à jouer avec nos super consultants.
25:54 Je ne sais pas pourquoi je suis dans ce cadre.
25:56 Avec les casques, on continue.
25:59 Trois nouveaux coureurs de cette start-list du tour d'Allemagne que vous allez voir grâce à leur photo Instagram.
26:04 Alexander Christophe.
26:06 Allez, Christophe, il est pour vous.
26:08 3-1.
26:11 Le 3-0, là, il est annulé.
26:14 Fuglsang.
26:17 Jacob Fuglsang.
26:20 4-1 pour Pierre Roland.
26:22 Il en reste un dernier pour le moment.
26:24 Ah, Sivakov.
26:25 Oui, Pavel Sivakov, bravo.
26:27 Vous avez le nom du chien ou pas ?
26:29 Là, je vous aurais offert 10 points.
26:32 C'est un teckel, non, le chien ?
26:33 Allez, un point pour Patrick Chaitrier.
26:35 4-1.
26:40 Pour l'instant, voilà, pour les décomptes, c'est ça, 4-1, on est là ?
26:44 4-1, alors qu'on n'a fait que 6 photos ?
26:46 Oui, vous avez donné un point pour le teckel.
26:49 Ah, j'ai un point, moi, pour le teckel ?
26:51 Ah, ben là, c'est quand même de l'espoir.
26:53 On peut donner un point à Burgodot, il avait un bonnet aussi.
26:56 Allez, on terminera ce jeu tout à l'heure, si vous aussi vous familiarisez avec la start list de ce Tour d'Allemagne.
27:06 Patrick, on va regarder justement ce Tour d'Allemagne, déjà comprendre où se situe,
27:10 parce qu'on ne fait pas le tour complet de l'Allemagne, on est là sur 5 jours, très exactement, on est même plutôt à l'ouest.
27:17 On est à l'ouest de l'Allemagne, on est à l'est de la frontière française, nord-est,
27:24 vous voyez qu'on est vraiment aux confins de la France, de la Moselle et du Luxembourg aussi,
27:30 puisqu'on va en prendre quasiment la direction en allant vers Merdiz.
27:34 Après, un petit peu plus tard, on ira effectivement plus au nord, et encore plus au nord par la suite, pour les étapes.
27:41 Demain, je vous rappelle que c'est l'étape de montagne, qui est très attendue,
27:44 et puis il y aura encore une étape qui ressemble un peu à celle d'aujourd'hui, en direction de Hessen,
27:49 et enfin, la dernière étape, ce sera plutôt une étape réservée aux sprinter, ce sera entre Hannover et Brême,
27:56 ce sera une étape où il y aura très peu de dénivelé, donc là, par conséquent, on n'a pas trop d'illusions sur l'issue de cette étape,
28:05 qui devrait effectivement se terminer par un sprint massif, normalement.
28:08 On va laisser la carte deux secondes, regardez, entre Hessen et Hannover, le transfert, il y aura cinq heures de transfert exactement.
28:17 Ce soir, ils auront aussi.
28:21 Oui, c'est ça, cinq heures ce soir, et je pense qu'il doit y avoir trois ou quatre heures entre Hessen et Hannover.
28:26 Ça joue sur la course, parce que les coureurs, quand ils sont fatigués, des fois, ils ne font pas la course le lendemain.
28:33 Il y a un peu un phénomène de fatigue général et de lassitude.
28:38 Les coureurs vont arriver à 22, 23 heures à l'hôtel, vont seulement falloir se faire masser, manger, etc.
28:44 On en entend plus dans ces cas-là, comment ça se passe ?
28:46 Oui, on essaye de s'organiser pour optimiser, donc ça va être bottes de pressothérapie, cryothérapie par des pistolets de massage, etc.
28:55 Il y a 80% des coureurs qui ne vont pas se faire masser, parce que la flemme, à 23 heures, on va se coucher.
29:00 Donc ça a une influence très concrète sur la course.
29:05 On écoute un ancien vainqueur de ce Tour d'Allemagne, pas sur les transferts, mais sur le parcours en général, Nils Politz, l'Allemand.
29:12 Ça fait vraiment plaisir d'être ici à la maison, c'est vraiment chouette. J'ai déjà hâte des prochains jours.
29:20 Il n'y a pas d'étape de montagne cette année, que retenez-vous de ce parcours ?
29:28 Aujourd'hui, c'est quand même pas tout plat. Le circuit comporte une belle montée.
29:32 Demain, il y aura près de 3000 mètres de dénivelé positif.
29:35 Donc, oui, ce n'est pas un tour très facile. Les deux dernières étapes sont pour les sprinteurs, mais le parcours en général me plaît.
29:42 Vous vous attendez déjà à une bataille aujourd'hui ?
29:50 Ça va être difficile, mais la guerre, ça sera pour demain.
29:56 L'Allemand de Charles-Antoine Norat, notre envoyé spécial qui fait ses interviews dans cette langue.
30:03 Mats Pedersen est-il le grand favori au départ et même après le prologue de ce Tour d'Allemagne ?
30:10 Puisqu'hier, on n'a vécu le prologue, il est à une seconde maintenant d'Ethan Vernon.
30:14 Il a déjà brillé cette saison, on le sait, vainqueur d'étapes sur le Giro, vainqueur d'étapes sur le Tour de France, c'était à Limoges.
30:19 Vainqueur du Tour d'Allemagne, de la BMRC classique, c'était il y a très peu de temps.
30:23 D'une étape de Paris-Nice aussi et du contre-la-montre de l'étoile de Bessèges-Tour-de-Gare qu'on avait suivi ensemble, c'était en tout début de saison.
30:31 On sait qu'il a déjà remporté plusieurs étapes sur la Vuelta, notamment l'an dernier, qu'il a été champion du monde.
30:36 Impossible de passer à côté de Mats Pedersen quand il s'aligne sur n'importe quelle course.
30:41 Il est toujours à surveiller, mais est-il favori pour autant avec l'étape de demain, notamment Messieurs ?
30:48 Est-ce qu'on peut le considérer comme l'homme à battre ?
30:51 J'ai du mal à le considérer comme favori. Demain sera trop dur pour lui.
30:57 Peut-être même aujourd'hui, l'enchaînement des deux ascensions à voir.
31:00 Demain, on sera sur des bosses beaucoup plus longues.
31:03 On va peut-être regarder le profil de l'étape du jour.
31:06 Sur le circuit final, ça lui correspond quand même bien. La bosse fait 1,6 km, les pourcentages autour de 6%.
31:12 Ça peut passer. Après, à voir comment va se dérouler la course.
31:16 C'est surtout l'étape de demain qui pose question. Demain sera beaucoup plus long.
31:19 On aura des ascensions autour de 4, 5 km. Pour moi, ce sera plus compliqué.
31:23 Je me réfère, certes, à la BMRC classique qu'il a gagnée avant le Tour du Danemark.
31:31 Honnêtement, j'ai regardé un peu les résumés et même les étapes de ces deux courses qu'il a gagnées dans les ascensions.
31:40 Il n'était clairement pas dans les premiers. Il a souvent fait le travail, pour Skelmosen notamment.
31:45 Mais malgré tout, je le voyais plus passer le sommet des bosses en 20-30ème position que dans les 5 premiers.
31:51 Donc, si sur ces deux courses-là, il avait du mal à passer les bosses, aujourd'hui, les bosses sont quand même beaucoup plus proches de l'arrivée.
31:56 Demain, l'arrivée est quasiment au sommet. On peut dire qu'elle est au sommet demain. Pour moi, ce sera compliqué.
32:03 Pierre ?
32:04 Demain, ça va être difficile. Aujourd'hui, je pense que c'est parfait pour lui.
32:08 Il va avoir les deux ascensions sur le circuit final. Après, demain, ce n'est pas non plus l'Alpe d'Huez, comme sur votre t-shirt.
32:17 Il l'avait ! Je me disais, je fais exprès pour mes deux consultants qui sont imposés au sommet de l'Alpe d'Huez.
32:25 Il faut que je remonte comme ça.
32:27 Merci pour le clin d'œil. On apprécie énormément.
32:29 Là, je fais tout, etc. et pas un mot. Mais alors, c'est passé complètement à côté.
32:33 C'est parce que vous êtes jaloux, Patrick, que vous n'avez pas gagné au sommet.
32:35 Ça va me tomber dessus. Je n'ai rien demandé, je n'ai rien dit.
32:38 Sérieusement, c'est difficile demain. Mais il a déjà 10 secondes d'avance au général sur les meilleurs grimpeurs.
32:47 Peut-être qu'aujourd'hui, il va encore en mettre des secondes de bonif.
32:50 Il faudrait combien, par exemple ?
32:52 Le truc, c'est que Matt Pedersen, il ne lâche jamais rien. Il ne se relève pas, Matt Pedersen. Il explose.
32:58 Il est tout rouge parce qu'il va vraiment au bout. Mais c'est vrai, des fois, on le voit, il va loin dans la douleur.
33:03 C'est un vaillant. Il ne lâchera pas.
33:07 Donc, s'il perd 20, 30 secondes sur l'étape de demain, on ne faut pas l'enterrer.
33:13 Moi, je pense que vous êtes en train de le mettre comme favori, Matt Pedersen.
33:17 Plus ça va, plus...
33:18 On rappelle qu'il y a des bonifs aux arrivées d'étape.
33:20 Oui, bien sûr.
33:21 Il y a des split bonus aussi sur chaque étape avec 3, 2, 1 seconde, il y en a un.
33:24 Il faut rappeler aussi que le Tour du Danemark est beaucoup plus plat que le Tour d'Allemagne dans son profil.
33:29 Il a gagné aussi, il y a quelques années, le Tour du Poitou-Charentes, qu'il y a eu en ce moment d'ailleurs.
33:34 C'est un tour qui se convient souvent à des sprinteurs parce qu'il n'y a pas vraiment de dénivelé, il y a un chrono.
33:38 Franchement, moi, j'ai du mal à y croire. Il est vraiment dans une grande forme, mais j'ai du mal à y croire.
33:43 La course qu'il a gagnée dimanche, l'ancienne classique de Hambourg, la Bemer 6 classique, on le sait, il y a un mur de 700 m à 10% qui passe deux fois.
33:50 Moi, j'ai bien regardé la rediff, les deux fois, il explose. Même, j'ai entendu dans les commentaires, il a explosé complètement.
33:56 Je pense qu'il n'est même pas à 25ème. Après, c'est encore long, ça rentre par groupe et tout ça.
34:01 Et sur le final, il fait un final exceptionnel, mais un final tout plat.
34:04 On l'écoute, Mats Pedersen ? On va voir s'il a de même à l'église.
34:07 Peut-être la réponse.
34:08 Sa réponse.
34:10 J'ai de très bonnes sensations en ce moment. J'avance au jour le jour et on verra le temps que ça va durer.
34:18 Aujourd'hui, c'est un profil d'étape que vous affectionnez tout particulièrement ?
34:21 Je ne sais pas, l'ascension sera peut-être un petit peu trop difficile pour moi.
34:25 Aujourd'hui, nous n'aurons pas à contrôler la course, d'autres équipes le feront.
34:29 Vous savez, il me reste des objectifs cette saison. Si je donne mon maximum chaque jour, je risque de ne plus avoir d'énergie pour mes principaux objectifs.
34:39 Il est temps pour moi de prendre un petit peu de recul et de récupérer de la fraîcheur.
34:45 C'est pas de l'intox ?
34:48 C'est une décharge de la responsabilité de la course.
34:50 Pour vous, c'est de l'intox ?
34:51 Pour l'étape du jour, c'est de l'intox.
34:53 Il n'a pas le droit de ne pas savoir ?
34:54 Non, il n'a pas le droit de ne pas savoir, mais de nous répondre qu'il n'a pas envie d'assumer le poids de la course alors qu'il a fait deuxième hier.
35:00 Il sort de deux courses gagnées, tout le monde ne parle que de lui.
35:04 Et de dire même qu'il est là pour reprendre de la fraîcheur.
35:07 Si tu veux reprendre de la fraîcheur, tu restes à la maison.
35:09 Sans objectif, il ne fait pas le tour de l'Allemagne.
35:11 C'est ce que je peux entendre. Et s'il veut se reporter à plus tard et qu'il a peur que son pic de forme baisse,
35:15 il reste à la maison, il s'entraîne tranquillement à la maison et il ne luse pas de l'énergie sur le tour d'Allemagne.
35:20 Patrick, on va voir à quel point peut-être Mats Pedersen passe les paliers les uns après les autres.
35:24 Oui, c'est vrai.
35:26 Mats Pedersen, j'ai l'impression quand même que s'il ne gagne pas le Général, on est à peu près sûr qu'il va gagner au moins une étape.
35:35 Pourquoi ? Parce qu'il est d'une extrême régularité et ce n'est pas d'hier que ça date, ça fait deux ans de suite.
35:43 Regardez un petit peu, toutes les courses auxquelles il participe, je parle des courses par étapes, il gagne au moins une étape.
35:50 Depuis deux ans, il y en a une seule à vrai dire.
35:53 Depuis un an, la règle est indéfectible.
35:57 Et avant le tour de Belgique 2022, il y avait eu le tour de Norvège où il n'avait pas gagné d'étapes.
36:01 Mais sinon, les trois précédentes, il avait déjà gagné des étapes.
36:04 Donc, il est d'une extrême régularité et ça, c'est quand même assez remarquable.
36:09 Sur les courses d'un jour, c'est à plus mauvaise place cette année, c'est 14e.
36:12 Et sinon, sur les autres classiques, y compris d'ailleurs les plus grandes, il est toujours dans les six premiers.
36:17 Mais Mats Pedersen a, pour moi, intégré le cercle des coureurs capables de performer sur toutes les courses auxquelles il participe.
36:24 Performer, pour moi, ça ne veut pas dire nécessairement gagner, mais jouer la victoire, en tout cas de façon systématique.
36:30 Ne plus prendre le départ d'une seule course sans viser la victoire ou en la prenant en guise de préparation.
36:37 Ceux dont je vous parle sont évidemment tous dans le top 10 du classement UCI.
36:41 Ce cercle de ces coureurs si réguliers, qui ne courent jamais à l'économie.
36:45 Mais la performance de Pedersen, elle est d'autant plus remarquable que, de tous ces coureurs qui performent sur chaque étape,
36:52 il est de loin celui qui a le plus grand nombre de jours de course sur une année glissante.
36:56 À droite, c'est effectivement le nombre de jours de course.
36:59 Dans ce lot très relevé, je mettrais Pogacar, Van Aert, Evenpool, Vingegaard ou Roglic,
37:05 qui sont dans cette catégorie de coureurs très réguliers dans leur performance.
37:09 Et vous remarquerez que, parmi ces coureurs-là, c'est lui qui compte le plus grand nombre de jours, 79 jours.
37:15 Les autres, c'est plutôt, vous le voyez, 43, 52 ou même Roglic, 56.
37:21 J'ai juste une question. Étant donné qu'il est toujours placé cette saison et l'année dernière c'était la même chose,
37:26 est-ce que finalement, pour remporter une grande classique, messieurs, vous ne pensez pas que tout simplement,
37:30 il devrait peut-être un petit peu moins courir et faire un peu comme ses adversaires ?
37:36 Je veux bien me lancer, mais je pense que c'est sa façon de voir le cyclisme.
37:41 Heureusement qu'à Pedersen, il court. En tout cas, nous, on est content de le voir sur toutes ses courses.
37:46 Et il a une influence sur toutes les courses, que ce soit pour lui ou pour ses équipiers.
37:49 Il sait se mettre au service des autres et on lui rend à chaque fois.
37:52 Et je pense que c'est aussi grâce à ça qu'il a autant de résultats.
37:54 Christophe, rapidement.
37:56 Honnêtement, là, je n'ai pas la réponse.
37:58 Heureusement que tu as laissé Pierre.
38:01 Oui, il fallait que j'aie le temps de la réflexion.
38:04 Mais non, je ne sais pas. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que ce qu'il fait en ce moment, il le fait extrêmement bien.
38:09 Et comme le dit Pierre, il est très souvent aussi en capacité de pouvoir rendre l'appareil à ses équipiers.
38:15 Et ça, je trouve ça, c'est un vrai profil de leader et de meneur d'hommes dans une équipe.
38:22 Il y a Mats Pedersen, bien sûr, au départ, mais il y en a d'autres.
38:25 Regardez, on a choisi quatre autres noms à vous présenter avec une petite info sur chacun de ces coureurs
38:30 que vous allez suivre aussi pour suivre le classement général.
38:33 Ils vont arriver sur notre plateau.
38:34 Peio Bilbao, qui n'a pas fait la Vuelta depuis 2018.
38:36 Donc lui, il adore la fin de saison, plutôt sur les courses d'une semaine, comme ça, ou les courses d'un jour.
38:41 Niels Polit, qui n'a pas gagné cette saison.
38:43 Et on vous l'a dit, c'est déjà imposé sur le Tour d'Allemagne.
38:46 Brandon McNulty, qui vient courir sa troisième course en tant que leader, mais qui n'a jamais gagné cette saison quand il était leader, même une étape.
38:53 Et le dernier, est-ce qu'on peut me le réafficher, s'il vous plaît ?
38:55 Ce serait super gentil en même temps, parce que ce n'est pas très facile dans ces cas-là.
38:59 C'est Ethan Haïter.
39:00 Avec 29 jours de course seulement, Ethan Haïter, puisqu'il a loupé une bonne partie de la saison également, ce qui est très, très peu, finalement.
39:08 Voilà les coureurs qu'on va suivre en même temps.
39:10 Christophe, Pierre, Patrick, si vous en gardez un seul de chacun, rapidement, c'est qui ?
39:15 Peio Bilbao.
39:16 McNulty.
39:17 Non, moi Bilbao aussi.
39:19 Ah, Bilbao. Deuxième l'an dernier, on le rappelle, donc on va faire attention à lui.
39:22 Allez, dernier volet de Balai Casque, donc, sur cette start list toujours du Tour d'Allemagne.
39:27 On rappelle, 4 points pour Pierre Roland, 2 points pour Christophe Rillon et le meilleur des points pour Patrick Chassé.
39:32 On y va.
39:33 Ahmed Jann.
39:38 5.
39:39 Mais oh, je ne l'ai même pas reconnu, c'est incroyable.
39:42 Ben oui, une casquette.
39:43 Une casquette de dos.
39:45 5 points pour Pierre Roland, il en reste deux. Attention, il faut sauver l'honneur, messieurs.
39:48 Charman.
39:50 Christophe Rillon, il est à vous.
39:53 Mon cerveau est trop lent.
39:55 Et de very last one.
39:56 Ben, Pédarcel.
40:01 Bravo, Christophe Rillon.
40:03 Mais c'est Pierre Roland qui s'est imposé parce qu'il avait trop d'avance.
40:06 Ah ben oui.
40:07 Ben non, 4-4 là.
40:08 5-4.
40:09 S'il vous plaît.
40:10 Bravo, Pierre Roland.
40:12 Merci.
40:13 Vous êtes le roi de bas les casques.
40:15 Prono, désormais maintenant, puisqu'on ne va pas vous laisser souffler, évidemment, on passe d'un exercice difficile à un autre exercice difficile.
40:21 Ils sont tous en train de chercher leurs feuilles.
40:23 Heureusement que vous me regardez, moi, actuellement, parce qu'on se ronge les ongles.
40:26 Même Pierre Roland, vous avez gagné, vous commencez.
40:28 Ah oui, bon, ben, si.
40:30 Il était là trop tôt.
40:33 Non, moi, j'ai mis Dani Van Poppel.
40:35 Dani Van Poppel.
40:36 OK, donc plutôt un profil, en effet, sprinter qui passe les bosses.
40:39 C'est cela.
40:40 Patrick.
40:42 Moi, je suis un peu embêté.
40:44 Je vais mettre Arvid de Klein.
40:46 C'est facile.
40:47 Arvid, je ne comprends pas pourquoi tout le monde est embêté.
40:50 Allez, cite-le.
40:51 C'est le Rads Pedersen qui va gagner.
40:52 Ah, évidemment.
40:53 Mais c'est fou, tout le monde vous l'a laissé, tout ça, pour vous gagner.
40:55 Vous avez peur, non ?
40:56 Non, Patrick, il a gagné une fois les pronos du Tour de Nîmes.
40:58 Ça lui suffit maintenant, il ne veut plus jamais donner confiance à Arvid.
41:00 N'importe qui est gagné maintenant.
41:02 Allez, la première étape du Tour d'Allemagne et le deuxième jour de cette compétition, c'est à suivre en direct et tout de suite sur la chaîne L'Équipe.
41:08 On vous rappelle qu'on va aller ensemble jusqu'à l'équipe de choc.
41:11 C'est votre nouveau rendez-vous sur la chaîne L'Équipe.
41:13 Ce sera présenté tout à l'heure par France Piron, avec Pierre Bouby, avec Bertrand Latour également.
41:18 Mais d'abord, place au Tour d'Allemagne.
41:19 À tout à l'heure.
41:20 [Musique]

Recommandations