• l’année dernière
Manque de personnel, perte d’attractivité financière, vulnérabilité dans le suivi des agents… une note de renseignement, qu’Europe 1 s’est procurée, pointe le désintérêt des acteurs de la filière de la sécurité privée, pour les deux grands événements sportifs à venir : la Coupe du monde de rugby et les Jeux olympiques de Paris en 2024.

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Transcription
00:00 Les Jeux Olympiques et la Coupe du monde de rugby seront-ils suffisamment sécurisés ?
00:05 Une note du renseignement territorial que repeint ces procurés pointamment cruels d'agents de sécurité.
00:11 On peut penser légitimement que nous avons des risques d'infiltration,
00:18 de mouvements écologiques contestataires radicaux qui pourraient vouloir intervenir lors de ces deux événements.
00:29 Le gouvernement a pourtant tenté de rendre la filière plus attractive en baissant le nombre d'heures de formation de 175 à 106 heures
00:36 ou encore en revalorisant les salaires de 3,25%.
00:39 Des efforts insuffisants, il manquerait pas moins de 20 000 professionnels de la sécurité à moins d'un an des Jeux Olympiques.
00:46 S'il le faut, mais je vous le répète, les jauges se consolident chaque jour, savoir faire intervenir en renfort l'armée.
00:55 Dans le bouclier protecteur de la France et dans l'organisationnel, pour que les choses soient sécurisées,
01:02 je pense qu'il faudra faire appel aux acteurs institutionnels et régaliens.
01:09 Les autorités prévoient de mener plus de 400 contrôles en Ile-de-France cette année.
01:13 Et ce, malgré un manque de personnel.
01:16 Seulement 13 contrôleurs pour 80 000 professionnels en Ile-de-France l'année dernière.
01:22 (Générique)
01:26 [SILENCE]

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