Morano à Cambadélis : "Vous m’avez reproché d’avoir dansé. Moi je n’ai pas été condamnée par la justice"

  • l’année dernière
Morano à Cambadélis : "Vous m’avez reproché d’avoir dansé. Moi je n’ai pas été condamnée par la justice"
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00:00 - On baisse quand j'ai soin. Combien ? Est-ce que 50 milliards c'est suffisant ou faut-il 100 milliards comme a dit M. Fillon ?
00:07 - M. Kambalélis, qu'on puisse baisser les impôts, je pense que c'est une nécessité. Mais pour baisser les impôts, j'aurais aimé vous entendre dire
00:15 "On va mettre en place la révision des politiques publiques", comme nous l'avions fait d'ailleurs, pour ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux qui part à la retraite.
00:23 - Baisser les dépenses publiques ! Comment ? Non mais vous savez, les Français... - J'écoute votre programme et l'époural pour les années à venir. Je pense que ça aura quelques conséquences pour les élections régionales.
00:34 - M. Kambalélis, les Français ne sont pas dupes. Ils ont leur propre budget dans leur ménage, vous savez. Ils savent très bien qu'ils ne peuvent pas dépenser plus en argent que ce qu'ils gagnent.
00:44 - Et sinon se mettre dans la difficulté. Vous voulez... - Venant d'un parti qui a creusé les déficits de la manière dont il les a creusés, je pense que cette manière de faire, très française, de l'équipe budgétaire...
00:54 - Vous ne me laissez pas finir mes phrases. Vous m'avez reproché d'avoir de danser, ce qui ne coûte pas un euro. Moi, je n'ai pas été condamné par la justice, ce qui est quand même beaucoup plus grave.
01:03 - Ah oui, oui, oui. - Parce que vous, c'est ce que vous incarnez quand même en étant premier secrétaire du Parti Socialiste. C'est-à-dire les mensonges dits par François Hollande,
01:11 c'est "je ne m'entourerai pas de gens condamnés". Et puis, ce n'était pas deux petites condamnations. Donc, il vaut mieux peut-être danser le rock et ne pas avoir été mis en cause par la justice qu'autre chose.
01:20 Mais quelque chose qui me semble plus important quand même, parce que les Français qui nous regardent pensent à leurs enfants.

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