Gilles Verdez entarté par Thierry Ardisson !
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Court métrageTranscription
00:00 [Générique]
00:03 Je démarre avec une première news qui va vous intéresser.
00:06 Les filles a priori, et Nora Malagré qui n'est plus chroniqueuse dans TPMP,
00:10 eh bien va faire de la télé-réalité.
00:12 Est-ce que vous pensez que c'est du bluff ou pas ?
00:13 Vous me le dites avec vos pancartes. Aïe !
00:15 Pas bluff, elle est tellement hypocrite.
00:17 Ah ouais ?
00:17 [Cris de dégoût]
00:18 Il a dit quoi Macron ?
00:19 Au lieu de foutre le bordel, certains feraient mieux de travailler.
00:24 Et ça marche aussi pour certains animateurs télé.
00:26 C'est Cyril Hanouna !
00:28 C'est Cyril Hanouna !
00:30 [Cris de dégoût]
00:32 Oh my god ! Oh non !
00:34 Oh non ! Oh non !
00:36 Oh non ! Oh non !
00:38 Je dirais qu'il les cache.
00:40 Voyons ça.
00:41 Non.
00:42 [Bruits de dégoût]
00:44 Ah ! Moi qui vais réclamer ?
00:46 Oui.
00:47 Tu passes bien toi.
00:48 Oui c'est vrai, je passe mieux que toi.
00:50 C'est vrai ? T'as plus de chance d'écoleter l'argent que moi ?
00:52 J'ai un peu plus d'atouts pour récolter, qu'on va dire.
00:55 Ah bon ?
00:56 Ah ! Ce n'est pas faux.
00:58 [Rires]
00:59 J'ai plus d'atouts pour récolter.
01:01 C'est quoi une femme comme ça ? J'ai pas compris.
01:03 Une femme ? Mais non, mais une femme, faut toujours qu'elle soit heureuse dès le début.
01:07 Bah heureusement.
01:08 Dès le début, faut toujours lui donner des attentions, patatier patata.
01:11 Mais si tu lui donnes trop, à la fin tu te fais avoir.
01:14 À la fin tu te fais avoir.
01:16 Donc un homme, pour avoir une vie normale, il doit se comporter comment avec une femme ?
01:20 Du machisme.
01:23 [Cris de dégoût]
01:24 À la limite, je préfère l'avoir dans un arbre après les branches, que de l'avoir comme ça au gouvernement, franchement.
01:29 Ces injures racistes ont été depuis condamnées par la justice.
01:32 Ça va, là.
01:33 Quand on subit une telle violence, c'est à moi de venir ? Face à cette dame, là ? Ce qu'elle dit ?
01:40 Je suis des péchables, je suis des sucrés, salés, poivrés.
01:43 Je l'ai éteint, comme on éteint une bougie quand on brûle un cierge.
01:46 Terminé.
01:47 [Cris de dégoût]
01:48 Vous vous rendez compte de ce que c'est ? Bon, maintenant c'est bon, hein ?
01:53 Il faut être honnête. En montrant ces images à Christiane Taubira, nous n'avions peut-être pas mesuré combien ces paroles de haine pouvaient blesser.
02:00 Moi, j'ai eu le téléphone la nuit du Bataclan. Il a vu, ça. C'est terrible à garder en mémoire, tout ça.
02:09 Alors on pourra lui reprocher tout ce qu'on veut.
02:11 La nuit du Bataclan ? Il vous a appelé ?
02:13 Non, non, c'est moi qui... On a échangé quelques... Parce qu'on a échangé de temps en temps au téléphone des messages.
02:19 Et c'est vrai que dans ces moments-là...
02:21 Il avait besoin de...
02:22 Non, non, pas lui. Moi, on a échangé des petites phrases et je sentais sa colère.
02:29 Alors, après cinq ans passés dans cette broyeuse, essoreuse Élyséenne, se sent-il libéré ? Heureux de partir ?
02:37 Non, pas vrai que quitter le pouvoir soit une joie.
02:43 *Musique*