• l’année dernière
Affaire des factures : Rachida Dati qualifie les journalistes de "petits merdeux"
Transcription
00:00 J'ai une dernière question concernant ce qui s'est passé autour de vous.
00:05 Vous vous souvenez de ces fameuses factures, à la fois lorsque vous étiez ministre garde des Sceaux...
00:11 Non, non, non, M. Bourdin, parce que vous au moins, vous n'êtes pas comme des petits merdeux de journalistes.
00:17 Pourquoi il y a des merdeux de journalistes ?
00:19 Ah oui, qui ne sont pas journalistes, qui vous appellent un quart d'heure avant qu'ils se prennent pour des procureurs,
00:23 en disant "il paraît que", sans regarder le fond, il s'agit d'un rapport de la Cour des Comptes qui ne me mène pas du tout en cause.
00:29 Ni à titre personnel, ni comme ministre.
00:33 C'est votre administration, alors.
00:35 Voilà. Et donc l'administration, ce n'est pas le ministre.
00:38 Concernant des frais de représentation, auxquels je suis totalement étrangère.
00:42 Voilà. Et c'était des achats qui ont été faits au titre du ministère, pas au titre de Rachida Dati.
00:47 Notamment, dedans, il peut y avoir des frais de représentation, des frais de réception, ou des cadeaux pour des personnalités.
00:53 C'est pas moi qui allais à la boutique et achetais quoi que ce soit. Donc je ne suis pas concernée.
00:57 Et il y a eu un problème, pas sur la nature des dépenses, mais sur l'imputation des dépenses.
01:01 C'est un problème comptable, ce n'est pas un problème de nature des dépenses.
01:05 Et ça, c'était minime et marginal. Minime et marginal.
01:08 Le grand problème, c'était sur les dépenses de sondage. Là, c'est un gros sujet.

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