Georges Fenech, sur Rédoine Faïd et l'ouverture de son procès ce mardi : «Il n'y a pas tellement de soutien vis-à-vis de Rédoine Faïd. On ne fait plus de ces individus qui ont montré leur dangerosité».
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00:00 Oui, moi, ça me rappelle ces grands gangsters qui défrayaient aussi les médias à l'époque.
00:06 Je pense à Roger et Nobel Peel, par exemple, et la différence qui était aussi l'évasion,
00:11 les hold-up, qui s'était aussi médiatisé, qui avait écrit un livre à l'époque.
00:15 À cette époque-là, il avait reçu le soutien d'une certaine gauche, de toute la gauche,
00:20 de la réinsertion, le combat contre les QHS, les quartiers d'eau de sécurité.
00:24 Là, j'observe qu'il n'y a pas tellement de soutien vis-à-vis de Redmond Fahyd.
00:29 Il y a peut-être une évolution de ce côté-là aussi.
00:32 On ne fait plus de ces individus qui ont quand même montré leur dangerosité.
00:36 On a parlé d'un pauvre Aurélie Fouquet.
00:39 Je crois qu'il y a moins de mobilisation en faveur de ces grands bandits qui, à l'époque,
00:43 représentaient pour une certaine gauche un peu angélique, la capacité de réinsertion.
00:48 Je vais renouer avec l'ancien.
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