Les punchlines les plus violentes de l'histoire

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Transcription
00:00 Ça m'en touche une, sans faire bouger l'autre.
00:01 C'est ce qu'a dit le premier ministre Chirac à propos des critiques que lui faisait le
00:04 président Mitterrand.
00:05 Autrement dit, il s'en balec.
00:07 Voici les punchlines les plus violentes de l'histoire.
00:09 Quand le président Félix Ford décède en 1899 en plein acte avec sa maîtresse, la
00:13 rumeur court qu'il aurait perdu la vie lors d'une fée la**** trop intense.
00:16 Son adversaire politique, Georges Clémenceau aurait alors prononcé la phrase suivante
00:20 "Il se croyait César, il n'est mort que Pompée" avant d'achever le pauvre homme
00:24 déjà mort en 10 ans.
00:25 En entrant dans le néant, il a dû se sentir chez lui.
00:27 Aucune pitié à cette époque.
00:28 On continue avec Einstein qui était connu pour avoir un bureau assez bordélique.
00:31 Cette photo a d'ailleurs été prise juste après sa mort.
00:33 Mais pour ça, il avait une punchline imparable.
00:36 Si la vue d'un bureau encombré évoque un esprit encombré, alors que penser de celle
00:39 d'un bureau vide ? Et enfin cette fois-ci, c'est le président Mitterrand qui détruit
00:42 le premier ministre Chirac lors du débat du second tour de l'élection présidentielle.
00:46 Permettez-moi juste de vous dire que ce soir, je ne suis pas le premier ministre et vous
00:53 n'êtes pas le président de la république.
00:55 Nous sommes deux candidats à égalité et qui se soumettent au jugement des Français.
01:03 Le seul qui compte.
01:04 Vous me permettrez donc de vous appeler monsieur Mitterrand.
01:07 Mais vous avez tout à fait raison, monsieur le premier ministre.

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