Nos frangins - 5 octobre

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Transcription
00:00 (cris de joie)
00:02 (cris de joie)
00:04 (cris de joie)
00:06 (cris de joie)
00:08 (cris de joie)
00:10 Bonjour, je vous appelle au sujet de mon frère, Malik Ousekine.
00:14 (musique triste)
00:16 Derrière des lycéens et des étudiants inquiets,
00:19 ce sont les professionnels de la déstabilisation.
00:23 (cris de joie)
00:25 (cris de joie)
00:27 (cris de joie)
00:29 (cris de joie)
00:31 (musique triste)
00:33 J'ai l'inspecteur Matéi.
00:35 Il est là-bas.
00:37 (musique triste)
00:39 Il sait pas que son fils est mort.
00:41 Le gamin s'appelait Abdel.
00:43 On ne dit rien sur cette affaire pour le moment.
00:45 On va pas encore plus charger la police.
00:47 Votre fils a été blessé dans une bagarre.
00:50 Monsieur Mme Ousekine ?
00:52 Oui.
00:54 Votre frère est mort cette nuit.
00:56 Pourquoi vous nous montrez derrière une ville ?
00:58 (cris de joie)
01:00 Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
01:02 (musique triste)
01:04 La police va rien nous dire.
01:06 On va rien savoir.
01:08 Plusieurs témoins mettent en cause le comportement de la police.
01:12 Je vais parler au commissaire.
01:14 Mon unité n'a rien à voir avec cette affaire.
01:16 J'ai voulu apporter à cette famille en deuil
01:20 le témoignage de la nation.
01:22 J'ai trouvé quelque chose d'intéressant.
01:24 Le gamin était sous dialyse.
01:26 Ah ben voilà.
01:28 Je vais informer le juge qu'il avait des problèmes de santé.
01:30 L'autopsie confirmera tout ça.
01:32 La vraie question, c'est de savoir si sans les coups,
01:35 Ousekine serait mort.
01:37 Les flics mentent, papa.
01:39 Parce que moi je sais qu'il sait pas vrai.
01:41 (cris de joie)
01:43 (cris de la foule)
01:45 (musique triste)
01:47 (musique triste)
01:49 (musique triste)
01:51 J'ai suivi les ordres.
01:53 Je prends mon avocat, on va vous attaquer !
01:55 Attaquez !
01:56 [Musique]

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