Qui ne le sait pas encore ? Steevy Boulay a dans sa cuisine le tableau de la Joconde. Alors, avec Hector Obalk dans le studio, il fallait bien à nouveau raconter cette histoire...
Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
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00:00 Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
00:07 Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour nous aujourd'hui le retour, c'est déjà
00:17 sa deuxième émission, il a démarré la semaine dernière avec nous, le retour d'une
00:22 Grosse Tête expert en art, alors on lui souhaite bonne chance pour sa deuxième après le vernissage
00:27 de la semaine dernière, Hector Obalka.
00:32 Hector, vous connaissez déjà puisqu'elle était là pour vous accueillir la semaine
00:40 passée, une Grosse Tête qui parle comme si elle avait l'origine du monde sur la langue,
00:45 Isabelle Merveaux.
00:55 Une Grosse Tête que Jeanne Delacroix aurait pas en liberté guidant les agriculteurs,
01:01 Karine Lemarchand.
01:03 Une Grosse Tête que vous connaissez aussi, elle était là aussi quand vous êtes arrivés
01:12 la semaine dernière, une Grosse Tête qui préfère une toile dans un musée qu'en défense
01:17 sur un terrain de football, Johan Riu.
01:21 Une Grosse Tête compatriote de Magritte qui a tenté de vous faire de la concurrence sur
01:34 scène à une époque, Alex Vizorek.
01:38 Et là je vous ai gardé pour la fin quelque chose qui va vous faire plaisir, monsieur
01:47 Obalka, vous qui aimez la peinture, on a un vrai amateur d'art aujourd'hui dans l'émission.
01:53 Une Grosse Tête qui a installé la Joconde dans sa cuisine au-dessus de la hotte à vapeur,
01:59 Stéphie Boulay.
02:01 Vous pouvez raconter, les auditeurs connaissent l'histoire de votre Joconde, mais vous pouvez
02:09 raconter à monsieur Obalka que c'est vrai ce que je dis.
02:12 - C'est vrai, un jour je suis parti visiter le musée du Louvre et je suis vraiment tombé
02:15 amoureux de la Joconde et je suis parti dans une boutique où j'ai acheté le poster 6 euros.
02:20 Et je suis rentré chez moi et j'ai dit « mais j'ai en faire quelque chose de cette affiche,
02:25 je peux pas mettre ça dans un cadre en verre, ça va être absolument dégueulasse ».
02:27 Donc j'emmène mon affiche chez un encadreur et là j'en ai eu pour 1100 euros de cadre.
02:33 On a l'impression que c'est la vraie aujourd'hui.
02:36 - Bien sûr.
02:37 - Et là je me dis « ah non monsieur Obalka, elle est plus belle que la vraie ».
02:42 - Qu'est-ce que vous en pensez alors, Victor ?
02:44 - Je pense que la vraie on la voit très très très très mal parce qu'il y a un verre fumé
02:49 qui est affreux et puis il y a trop de monde autour et que la vôtre vous la voyez mieux,
02:53 c'est la vôtre.
02:54 - Oui, puis…
02:55 - Bah voilà, vous l'avez !
02:57 - Et puis quoi ?
02:59 - Sauf quand elle cuisine gras, je veux dire quand elle cuisine gras…
03:02 - Elle est au-dessus de la cuisinière ?
03:03 - On la voit à peine.
03:04 - Non, elle est sur le côté du mur.
03:06 - Mais dans la cuisine, elle est…
03:07 - Dans la cuisine, ah oui oui ! Quand on fait le tour de l'île au central, elle nous quitte pas des yeux.
03:11 Ah non, non, mais on est sous haute surveillance.
03:13 - Monsieur Mike…
03:14 - Mais c'est un vrai problème les vitres sur les tableaux, on voit plus rien, on voit
03:19 beaucoup moins bien la peinture au musée que si vous la regardez dans un livre maintenant.
03:23 J'exagère à peine.
03:25 - Mais il faut protéger le tableau, il faut le… non ?
03:29 - On a un spécialiste, un miliocan !
03:33 - Vous, vous c'est pas la peine d'essayer, il peut pas vous encadrer.
03:39 - J'ai appris une chose extraordinaire, vous avez fait l'acteur et vous avez été apparemment
03:43 l'escorte de Sandrine Kiberlin dans un film.
03:45 Il paraît que vous avez fait l'escorte.
03:47 - Il lit tout sur tout.
03:49 - J'ai joué dans un film avec Sandrine Kiberlin, c'est vrai, mais j'étais pas escorte du tout,
03:53 j'étais un type très bien, qu'elle regardait en levant les yeux.
03:57 Et je devais faire le type prétentieux, je suis arrivé.
04:02 - Un rôle de composition.
04:04 - Pas évident.
04:05 - Est-ce que je peux savoir si vous avez eu des retours sur la première émission que vous avez faite avec nous ?
04:09 Des commentaires des amis qui vous ont dit "Ni retourne pas" ?
04:13 - J'ai regardé les ventes de mon spectacle, au 13e art, tous les lundis soir,
04:18 y'a pas eu un gramme de différence.
04:22 - Vraiment ?
04:26 - Donc j'étais à 80, toujours à 80 par jour, c'est tout.
04:29 - Ah oui, et j'aime pas…
04:30 - Mais rien, mais c'est incroyable, je comprends pas.
04:33 - J'ai dit "mais c'est populaire comme émission", bah oui mais ton truc est pas populaire.
04:37 - Non mais je pense que vous allez voir, ça va décoller, vous n'avez fait qu'une émission, c'est la deuxième.
04:42 La semaine prochaine, les ventes vont découler.
04:45 - Non, moi ça veut pas, ça veut pas.
04:47 - Non, ça dépend, moi je propose, on fait passer l'émission, et en fin d'émission, juste avant de rendre l'antenne,
04:54 on fait l'analyse pour voir si ça va vendre ou pas.
04:57 - Oui, puis on rappellera évidemment les lieux où vous passez, monsieur Oba.
05:01 - Il faut articuler un peu quand même.
05:03 - Oui, puis il faut sourire, pour avoir l'air accueillant.
05:08 - Si vous faites la tronche, on met une prise en coule pic.
05:12 - Même je trouve que 81 personnes, c'est beaucoup.
05:16 - Je comprends pas, Isabelle, je pensais qu'on était réconciliés.
05:22 - Pas du tout.
05:23 - Je me souviens plus comment vous vous appelez Isabelle.
05:26 Et à ce moment-là, elle me dit "mais pourquoi vous vous souvenez plus que je m'appelle Isabelle ?"
05:29 Elle m'a refait le coup, et là c'est pareil, aujourd'hui vous êtes…
05:31 Je mérite pas ça.
05:33 Alors que moi je me suis dit "ma mère m'a dit 'sois gentille avec Isabelle', je suis gentil avec Isabelle,
05:37 et c'est le prénom de ma sœur, et ça c'est un problème aussi."
05:41 - Même votre maman…
05:44 - La dernière fois, la dernière fois, vous êtes élibataire, et je te pour Caroline,
05:51 et moi c'est toujours "batché, batché, batché".
05:54 Et là maintenant, il y a évidemment Carine Lemarchand, qui je vous préviens, n'allait pas dans sa voiture,
05:59 elle a un volant en moumoutreau.
06:02 - C'est vrai.
06:03 - Qu'est-ce que vous dites ?
06:04 - Je comprends pas ce qu'elle dit.
06:06 - Non, ça va être la guerre, ça va être la guerre.
06:09 Moi j'ai voulu l'appeler, elle a cherché la gueule, je sais pas pourquoi.
06:12 Il y a ma voisine à ma gauche qui me dit "est-ce que vous êtes célibataire ?"
06:15 Je réponds "oui, depuis… non, oui, non, non, c'est pas ça, j'étais célibataire jusqu'à hier soir."
06:20 - Ah oui ? Vous avez rencontré quelqu'un ?
06:22 - Oui, c'est à la suite de mon spectacle, j'allais voir une dame…
06:25 - Qui peut-être vous a entendu aux grosses têtes ?
06:28 - Non, on a parlé ensemble, ça m'a suffi pour penser que…
06:30 - Peut-être il se passera quelque chose ?
06:32 - C'est déjà passé quelque chose dans ma tête.
06:35 - Ah, c'est vrai ?
06:36 - C'est le principal ! Vous avez même pas le biais de la vie, soit.
06:39 - J'ai emmené chez maman, qui est là où j'habite.
06:42 - Vous habitez chez votre maman ?
06:44 - Dans un très vieil appartement.
06:46 (Rires)
06:52 - Depuis que mon père est mort, j'ai pas voulu la laisser seule.
06:54 - C'est gentille ?
06:55 - Je vous assure qu'elle est beaucoup plus gentille que beaucoup de femmes que j'ai connues.
06:58 (Rires)
07:00 (Applaudissements)