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Transcription
00:00 fort d'humanité. Bien nous avons Nathalie Saint-Cricq en compagnie de madame Chirac.
00:05 Oui oui oui, attendez j'arrive tout de suite. Oui Nathalie. Madame Chirac en France de Jouet,
00:12 je voulais juste savoir un petit peu, comment disiez-vous votre état d'esprit,
00:13 vous vous saluez d'une soirée un peu éprouvante, mais vous êtes heureuse,
00:16 vous êtes allée à la Concorde, vous avez vu la fête dans la rue, qu'est-ce que vous en pensez ?
00:20 Je salue mes collaboratrices. Madame Chirac vous m'entendez ? Madame Chirac ? C'est Daniel
00:26 Bilalian qui essaie de s'adresser à vous. Madame Chirac ? Où est-il Daniel Bilalian ? Il est là,
00:33 enfin il est là. Il voulait s'adresser à vous pour savoir un petit peu ce que vous en pensiez,
00:39 c'est peut-être... Je crois que je suis extrêmement heureuse, je suis très heureuse
00:44 qu'un gaulliste rentre à l'Elysée ce soir. Bernadette Chirac, ça s'est arrangé entre vous
00:50 après ? Vous l'avez reposé ? Je pense que ça s'arrange particulièrement. Je faisais mon travail,
00:53 le problème c'est qu'on ne savait jamais, on n'avait pas de caméra donc on était avec une
00:57 oreillette et tout d'un coup il nous a demandé un tel. L'idée de demander à Bernadette Chirac
01:00 si elle était contente, je trouvais ça un peu idiot, mais à partir du moment où on me le
01:03 demandait que finalement dans une soirée électorale il faut bien meubler, je n'allais pas lui dire
01:07 "alors, heureuse ?" donc je lui ai posé des questions et puis après je lui ai dit "c'est
01:11 Bilalian qui vous les pose" en lui tendant l'oreillette. Elle n'est pas de caractère facile,
01:16 comme on peut dire. Comme on dit pudiquement.

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