Haute de 60 mètres, lourde de 23 000 tonnes et valant 480 millions de dollars… Ce n’est pas une cargaison habituelle que le navire gros-porteur Xin Guang Hua décharge à la fin d’octobre, sur un chantier de la baie de Mourmansk, en Russie. Les deux mégastructures qu’il transporte ne sont pourtant que des parties d’Arctic LNG 2, projet russe titanesque de liquéfaction de gaz naturel.
Six mois plus tôt, l’Union européenne a placé sous sanctions tous les produits et systèmes destinés à la production de GNL. Et l’entreprise qui a organisé cette livraison est concernée, puisqu’il s’agit d’un groupe français, Technip Energies.
Comment est-ce possible ?
A partir de données douanières russes, d’images satellites et d’entretiens avec des ingénieurs, principaux acteurs de la construction de cette usine, Le Monde a enquêté sur les rôles de plusieurs groupes occidentaux dans ce projet. Ce travail révèle que les sanctions n’ont pas empêché certaines livraisons occidentales, notamment de la part du français Technip Energies.
Six mois plus tôt, l’Union européenne a placé sous sanctions tous les produits et systèmes destinés à la production de GNL. Et l’entreprise qui a organisé cette livraison est concernée, puisqu’il s’agit d’un groupe français, Technip Energies.
Comment est-ce possible ?
A partir de données douanières russes, d’images satellites et d’entretiens avec des ingénieurs, principaux acteurs de la construction de cette usine, Le Monde a enquêté sur les rôles de plusieurs groupes occidentaux dans ce projet. Ce travail révèle que les sanctions n’ont pas empêché certaines livraisons occidentales, notamment de la part du français Technip Energies.
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