Le Journal - 20/10/2023 - PISSEURS DE GLYPHOSATE / La contre-offensive des agriculteurs tourangeaux
PISSEURS DE GLYPHOSATE / La contre-offensive des agriculteurs tourangeaux
FAUSSES ALERTES A LA BOMBE / Que risquent les auteurs ?
GUERRES, ATTENTATS... / Comment préserver sa santé mentale ?
PREVENTION DE L'AVC / Le CHU de Tours sensibilise
SEMAINE DU GOÛT / Le charme de la cuisine au feu de bois
FAUSSES ALERTES A LA BOMBE / Que risquent les auteurs ?
GUERRES, ATTENTATS... / Comment préserver sa santé mentale ?
PREVENTION DE L'AVC / Le CHU de Tours sensibilise
SEMAINE DU GOÛT / Le charme de la cuisine au feu de bois
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00:00 [Générique]
00:10 Val de Loire en direct se poursuit, c'est l'heure de votre journal en ce vendredi soir, présenté par Florent Clavel.
00:16 Bonsoir Florent.
00:17 Bonsoir Aurélien, bonsoir à tous.
00:18 Avant de dévoiler les titres du journal, un point sur votre météo.
00:21 Tension demande, fortes rafales sont attendues et un temps mitigé entre nuages et éclaircies, les températures seront comprises entre 11 et 16 degrés au cours de la journée.
00:31 À la une ce soir, Florent, la riposte des agriculteurs après le classement, sans suite des plaintes du collectif des pisseurs de glyphosate.
00:37 Pour le syndicat NFSE à Deux Centres, Val de Loire réunit à Chambray.
00:41 Aujourd'hui, cette décision judiciaire est la preuve que les tests pratiqués entre 2018 et 2021 n'étaient pas fiables, voire mensongers.
00:48 Vous entendrez leurs arguments.
00:50 Notre invité, le professeur Hepticatre au CHU de Tours, Ouissa Mélage.
00:54 Attentats, guerre Israël-Palestine et en Ukraine, les mauvaises nouvelles s'accumulent.
00:58 Il nous dira comment mieux traverser cette période de gros temps.
01:02 Il touche une personne toutes les quatre minutes en France.
01:05 L'accident vasculaire cérébral, connu sous le nom d'AVC, peut entraîner la mort ou laisser de graves séquelles.
01:10 Comment limiter les risques ? À quels symptômes faut-il prêter attention ?
01:14 Explication avec le CHU de Tours à l'approche de la journée mondiale de l'AVC.
01:18 Et puis, suite et fin de notre feuilleton consacré à la semaine du goût,
01:22 avec cette cuisine qui compte ses adeptes à l'approche de l'hiver.
01:25 La cuisine au feu de bois, et ça n'est pas réservé qu'aux seules grillades.
01:29 Vous le verrez, on ira à Chinon.
01:31 Et puis, dans notre rubrique On vous répond, notre invité ce soir, François Koul, au coach sportif,
01:35 pour répondre à cette question mal de dos.
01:37 Quels exercices faire pour me soulager ? On verra ça à la fin du journal.
01:41 Mais d'abord, pour démarrer, les agriculteurs repassent à l'offensive sur le dossier du glyphosate.
01:46 Un moment bien choisi, Florent.
01:48 La justice a tranché, elle vient de débouter les 5600 pisseurs de glyphosate
01:52 qui avaient déposé plainte pour mise en danger de la vie d'autrui.
01:56 Une aubaine pour la FNSEA Centre-Val-de-Loire,
01:58 alors que l'Europe doit de nouveau se prononcer sur la prolongation du pesticide controversé.
02:04 Lucas Chopin avec Léa Turquiez.
02:06 La FNSEA contre-attaque.
02:09 Le syndicat agricole fait front contre le test urinaire effectué par plusieurs milliers de Français
02:14 en cause des potentiels faux positifs qui révèlent la présence de glyphosate dans le corps des personnes testées.
02:19 L'occasion donc d'essayer de redorer le blason de cette substance herbicide controversée.
02:24 Notre combat c'est de connaître la réalité,
02:27 c'est dire que s'il y avait eu un vrai problème, on en aurait tenu compte
02:30 et on aurait dit qu'il faut prendre les mesures qui s'adaptent.
02:33 Là, aujourd'hui, le pôle santé du parquet de Paris a pris une position
02:39 et les conclusions ont été très claires, c'est-à-dire de dire
02:43 qu'il n'y a aucun problème, les plaintes ne sont pas recevables.
02:46 Pour la FNSEA, les tests employés ne seraient pas adaptés aux analyses d'urine
02:50 et profiteraient notamment au laboratoire allemand qui les produit,
02:53 une opération qui desservirait selon eux les agriculteurs français qui utilisent le glyphosate.
02:58 Si le glyphosate disparaît, Monsanto-Bayerse tapote le coquillard.
03:04 Si ça arrête, ce ne sont pas les firmes, c'est les agriculteurs
03:08 parce qu'il va y avoir un coût supérieur de production
03:11 et il faut pouvoir résister à la concurrence internationale.
03:15 Sans prolongation, l'autorisation du glyphosate expirera le 15 décembre prochain.
03:20 Pour rappel, en 2015, l'OMS a classé cette substance comme cancérogène probable.
03:25 Cet appel a témoin à présent des gendarmes du Loir-et-Cher
03:28 après la découverte d'un corps sur l'air de la Beuchère à Sarges-sur-Bret.
03:32 C'est en bordure de la départementale 357.
03:35 Vers 10h30 dimanche dernier, un homme d'une soixantaine d'années
03:38 est retrouvé sans vie à côté de sa voiture, une Renault Laguna grise.
03:42 Il est porteur d'une veste grise et d'un jean bleu.
03:45 Les gendarmes veulent déterminer l'heure du décès,
03:47 éventuellement la présence d'une autre personne sur les lieux.
03:50 Si vous avez des informations, un numéro de téléphone,
03:53 celui de la gendarmerie de Pezou, 0254 23 16 30.
03:58 Et puis une deuxième victime est décédée dans l'accident d'ambulance
04:01 samedi dernier à Saint-Antoine-du-Rocher.
04:03 Il s'agit de l'ambulancier qui se trouve avec la patiente qui allait décéder sur place.
04:07 Il avait été hospitalisé dans un état grave.
04:10 On ignore encore les circonstances précises du drame.
04:13 La voiture a fait une sortie de route avant de se coucher.
04:17 La France est le Val-de-Loire victime d'une série de fausses alertes à la bombe
04:21 ces derniers jours. On en parlait hier, Florent.
04:23 L'aéroport de Tours, mais aussi deux collèges en Loiret-Cher,
04:26 victimes récentes de ces actes de malveillance.
04:29 Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a promis de retrouver tout le monde
04:33 à propos de ces petits plaisantins qui risquent gros.
04:36 Éclairage dans ce format.
04:38 Trois questions avec Marc Morin, notre consultant justice,
04:41 et réalisé par Aurélie Renaud.
04:43 Nos services d'enquête ont la possibilité souvent de retrouver les adresses IP.
04:55 Donc c'est important et ce sont des enquêtes qui sont relativement faciles.
04:59 La difficulté, c'est que maintenant, les hackers se trouvent souvent à l'étranger
05:04 et il leur suffit d'adresser un mail pour désorganiser totalement un aéroport.
05:11 Donc ces gens-là sont bien entendu impossibles à interpeller
05:16 et ils peuvent multiplier à l'infini ces fausses alertes à la bombe.
05:21 On constate que de plus en plus, les gens qui sont déférés devant la justice
05:32 sont condamnés à des peines de prison ferme.
05:35 Récemment, il y a eu une affaire dans le Nord
05:37 où l'auteur d'une fausse alerte à la bombe dans un hôpital a été condamné à six mois ferme.
05:42 Il y a eu une autre affaire à Annecy, en Haute-Savoie,
05:46 où une femme qui avait elle aussi déclenché une fausse alerte
05:50 a été condamnée à trois mois de prison ferme.
05:58 Il peut être alloué, par exemple, à un aéroport, des sommes très importantes
06:02 puisqu'on fait payer à l'auteur de la fausse alerte à la bombe
06:06 le préjudice subi, c'est-à-dire des retards d'avion,
06:09 des préjudices en chaîne qui sont généralement très importants.
06:14 Voilà qui nous emmène à cette question, Florent.
06:17 Comment préserver sa santé mentale dans cette période particulièrement anxiogène ?
06:21 Fausse alerte à la bombe, vous l'avez vu, guerre Israël-Palestine,
06:25 assassinat d'un professeur à Haras.
06:27 Je m'arrête là pour la litanie de faits choquants.
06:29 Comment y faire face ? Faut-il se mettre la tête dans le sable ?
06:32 On en parle avec notre invité ce soir.
06:34 Bonsoir, professeur Ouissa Mélage.
06:36 Vous êtes psychiatre au CHU2,
06:38 tout responsable du Centre régional de psychotraumatologie.
06:41 Quel premier réflexe a adopté pendant cette période angoissante ?
06:44 Faut-il regarder l'actualité en face ou la fuir ?
06:48 Il s'agit de regarder toujours les choses en face,
06:51 mais il ne faut pas en abuser.
06:53 En fait, notamment les informations en boucle,
06:57 que ce soit télévisuelle ou les autres,
07:00 sur les chaînes ou sur les réseaux sociaux,
07:02 on est un peu assaillis que des informations inquiétantes,
07:06 ce qui peut s'apparenter à une menace permanente.
07:10 Surtout si on n'a pas le réflexe de dire
07:13 "je mets ça de côté, je reprends ma vie
07:15 et je regarde la chose dans son entièreté".
07:19 Le corps le vit comme une menace.
07:22 On n'a pas de filtre,
07:24 notamment chez les plus jeunes, les plus fragiles ou les mineurs.
07:28 On n'a pas toujours le filtre de dire,
07:31 de faire la part des choses,
07:33 de dire "c'est loin, c'est relatif,
07:36 il y a quand même des tentatives d'apaisement".
07:40 On a quand même à faire attention
07:42 pour les plus jeunes particulièrement.
07:44 Justement, puisque vous y êtes,
07:46 faut-il parler de ces actualités aux enfants ?
07:49 Et si oui, comment leur en parler ?
07:51 - Les enfants, c'est selon l'âge.
07:54 Il faut partir de ce que l'enfant sait de la situation.
07:58 Mais plus important que les faits en eux-mêmes,
08:01 c'est plutôt le ressenti.
08:03 Dans ce type d'événements,
08:05 il est plus important de faire dire aux uns et aux autres
08:08 comment on le vit.
08:10 Sur les chaînes, les infos,
08:12 personne ne dit comment il ressent les choses vraiment.
08:15 On va tout de suite passer sur les faits.
08:18 - De la trichesse, de la colère.
08:20 - De dire un peu nos émotions, notre révolte,
08:23 et ce que cela représente dans la vie quotidienne.
08:26 Et à partir de là, voir avec l'enfant
08:30 les choses positives, les pensées.
08:33 Il y a quand même des histoires positives.
08:36 Il y a aussi le rôle des parents de protéger,
08:39 d'apporter la protection.
08:41 Le rôle de la société aussi.
08:43 Il y a des actions pour essayer d'apporter de l'aide
08:46 ou de la protection.
08:48 - Comment s'inscrit-il dans le cerveau
08:51 cette question d'apporter la protection avec un enfant
08:54 sur un point positif, sur une émotion positive,
08:57 sur un câlin, sur quelque chose d'agréable et de rassurant ?
09:00 - 75% des parents affirment savoir comment aborder
09:03 cette question avec leurs enfants.
09:06 Comment deviennent-ils des traumas
09:09 au sens psychologique du terme ?
09:12 Est-ce qu'il y a des personnes un peu plus sensibles
09:15 à apporter la protection ?
09:18 - Pour que ça devienne un traumatisme,
09:21 une expérience traumatique, il faut être extrêmement
09:24 concerné directement.
09:27 Pour la majorité de nous, il s'agit d'événements
09:30 stressants, d'inquiétude ou d'anxiété.
09:33 Pour que ça devienne un trauma, il faut avoir perdu un proche.
09:36 Il faut être confronté directement à ces événements de guerre
09:39 ou malheureusement, quand c'est transposé dans nos sociétés,
09:42 comme une agression, un attentat ou des choses comme ça.
09:45 Pour que ça devienne traumatique, il faut qu'il y ait
09:48 une confrontation directe et personnelle.
09:51 - Si on dort mal à cause de ça, qu'est-ce qu'on peut faire ?
09:54 A partir de quand il faut consulter ?
09:57 - Le sommeil, c'est classique, c'est un peu le premier signe
10:00 qui change, c'est un peu le thermomètre du psychologue
10:03 ou du psychiatre. Quand on dort mal, ça reflète
10:06 qu'on est inquiet. Peu importe la raison, le corps réagit.
10:09 Nos pensées continuent à fuser la nuit.
10:14 Il y a cette inquiétude. Il faut savoir identifier
10:17 ce qui nous inquiète, parler de nos émotions,
10:20 de ne pas rester isolé avec ça, et puis partager,
10:24 d'être soutenu, soutenir nos proches
10:27 et d'être soutenu avec nos proches.
10:30 - Merci beaucoup, professeur Wissam Elhaj, psychiatre au CFU de Tours,
10:33 pour ces éclairages dans cette période un peu compliquée
10:36 pour tout le monde. Merci beaucoup.
10:38 - Une déformation de la bouche, un engourdissement soudain
10:41 d'un seul côté du visage. Voilà quelques-uns des symptômes
10:44 d'un AVC. - 155 000 nouveaux cas surviennent
10:47 chaque année en France. À l'approche de la journée mondiale
10:50 de l'accident vasculaire cérébral, le CFU de Tours a organisé
10:53 aujourd'hui un stand de prévention. Comment réagir en cas d'AVC ?
10:57 Quels sont les signes qui doivent nous alerter ?
11:00 Faustine Nuneau s'y est rendue pour nous.
11:03 - Cette pathologie touche en moyenne un Français
11:06 toutes les 4 minutes. L'accident vasculaire cérébral.
11:09 Un trouble du cerveau aux symptômes impressionnants
11:12 et dont l'apparition est toujours brutale.
11:15 - On va bien et la minute d'après, on ne va plus bien.
11:18 Il y a un bras ou une jambe qui ne fonctionnent plus,
11:21 le visage qui ne fonctionne plus. Et aussi, trouble du langage.
11:24 La personne n'arrive pas soit à articuler correctement,
11:27 soit à dénommer des objets, ce genre de choses.
11:30 Elle ne va pas réussir à faire une phrase correcte.
11:33 Elle va prendre en alerte.
11:36 - Des signaux alarmants auxquels il faut sensibiliser le grand public.
11:39 C'est l'objectif de ce stand, tenu toute la journée à l'hôpital
11:42 Bretonneau. Car pris en charge à temps, l'AVC se soigne bien
11:45 via un traitement médicamenteux ou mécanique adapté au type d'AVC.
11:48 Il en existe deux principaux.
11:51 - Ça touche les vaisseaux du cerveau.
11:54 Soit ils se bougent, c'est un AVC ischémique.
11:57 C'est la grande majorité des AVC, à peu près 80%.
12:00 Et là, c'est 15% des AVC.
12:03 Après, il y a des AVC de cause plus rare.
12:06 - Les AVC surviennent désormais chez des personnes de plus en plus jeunes.
12:09 Probablement du fait de l'évolution de nos modes de vie.
12:12 Mais il existe des moyens de limiter les facteurs de risque cardiovasculaire.
12:15 - Ça va être surtout de bien faire contrôler sa tension artérielle.
12:18 Puisque dans l'AVC, le principal facteur, c'est l'hypertension artérielle.
12:21 Limiter sa consommation d'alcool, de tabac.
12:24 On a aussi des facteurs de risque de maladie.
12:27 Le cannabis est aussi un gros pourvoyeur d'accidents vasculaires cérébraux.
12:30 Et puis après, tout ce qui est manger, bouger.
12:33 - Le premier réflexe à avoir en cas d'AVC, appeler le 15.
12:36 Chaque année, à Tours, près de 1000 patients victimes d'AVC
12:39 sont pris en charge à l'hôpital bretonneau.
12:42 - Avec la baisse des températures, le feu crépite dans les cheminées.
12:45 Mais aussi, on va le voir dans les cuisines bretonnes.
12:48 - On a des gens qui sont en train de se faire faire.
12:51 On a des gens qui sont en train de se faire faire.
12:54 - Suite et fin de notre série consacrée à la semaine du goût.
12:57 Avec ces restaurateurs adeptes de la cuisson au feu de bois.
13:00 À la clé, la promesse d'une saveur à part.
13:03 Qui n'est pas réservée qu'aux seules grillades.
13:06 Comme vous allez le voir dans ce reportage à Chinon de Clémence Dosk.
13:09 C'est notre rubrique "Goutons le Val de Loire".
13:12 ...
13:15 - On y rentre attiré par l'odeur, puis par la présence de la nourriture.
13:18 - On y rentre attiré par l'odeur, puis par la présence de la nourriture.
13:21 - On y rentre attiré par l'odeur, puis par sa chaleur, celle du four à bois.
13:24 - On y rentre attiré par l'odeur, puis par sa chaleur, celle du four à bois.
13:27 Il est le coeur névralgique du charbon restaurant.
13:30 Toute la cuisine y passe lorsqu'il est question de cuisson.
13:33 Et pour cela, il ne doit jamais s'éteindre.
13:36 ...
13:39 Dans les cocottes en fonte, légumes et viandes nigeotent durant des heures.
13:42 Afin de retrouver les saveurs d'antan.
13:45 - On a repris aussi des plats épousés de nos grands-parents.
13:48 - On a repris aussi des plats épousés de nos grands-parents.
13:51 - On a repris aussi des plats épousés de nos grands-parents.
13:54 - On se retrouve aussi à la maison.
13:57 - On se retrouve aussi à la maison.
14:00 - On se retrouve aussi à la maison.
14:03 - On se retrouve aussi à la maison.
14:06 De l'entrée au dessert des produits locaux et de saison,
14:09 les restaurateurs ne font pas plus de 30 km pour se fournir.
14:12 Au côté de l'irremplaçable côte de bœuf,
14:15 on trouve de la poitrine du roi rose,
14:18 une chair si fondante qu'on en piquerait la cocotte de sa grand-mère.
14:21 - On fait cuire au miel et vin blanc dans la sauce.
14:24 - On fait cuire au miel et vin blanc dans la sauce.
14:27 - On fait cuire au miel et vin blanc dans la sauce.
14:30 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:33 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:36 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:39 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:42 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:45 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:48 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:51 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:54 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
14:57 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
15:00 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
15:03 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
15:06 - On laisse cuire pendant 6 à 8 heures.
15:09 - Bonsoir François.
15:12 - Bonsoir.
15:15 - 43 % des Français souffrent de mal de dos.
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19:48 - 43 % des Français souffrent de mal de dos.
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20:00 - 43 % des Français souffrent de mal de dos.
20:03 - 43 % des Français souffrent de mal de dos.
20:06 ...
20:11 - La ruralité. Il aime bien avoir les pieds dans la boue,
20:14 aller parler aux gens. On est sur "Les chasseurs, les pêcheurs".
20:17 Les trains. Grosse passion, les trains, aussi, chez Florent.
20:20 - Spécial "Pénurie d'eau".
20:23 Il en a proposé des millions et il voulait vraiment qu'on les fasse.
20:26 - Les trucs un peu graveleux avec des jeux de mots fins à faire.
20:29 Quand on part d'un truc vraiment graveleux,
20:32 mais on se marre tout en douceur avec lui.
20:35 - Machin sur Loire, truc sur Vienne.
20:38 Et déjà, là, il est content. C'est ça, t'as touch.
20:41 - Je crois qu'il aime beaucoup le terroir et qu'il aime beaucoup
20:44 tous les produits du terroir, que ce soit en centre-valle de Loire ou ailleurs.
20:47 Il adore ça. C'est un très bon épicurier.
20:50 - Il est fait pour le terrain, il est fait pour la pêche.
20:53 La vraie pêche ou la pêche au candidat. J'ai souvenir d'une recherche
20:56 de candidat aux élections présidentielles en pleine Sologne.
20:59 C'était un reportage épique pour lui.
21:02 Il n'est pas censé savoir tout faire.
21:05 - Voilà pour ces belles images. - Tout est vrai.
21:15 - Tout est vrai, c'est vrai ? - Je vais dire heureusement ou malheureusement,
21:18 mais tout est vrai. - Il y a toujours un premier jeté.
21:21 - C'est pas fini. - Vous vous souvenez de la date ?
21:24 - Octobre 2016, 13 octobre 2016.
21:27 - Pas vraiment une casserole, mais on voulait se remémorer ce bon souvenir.
21:30 - On va se remémorer.
21:34 - Mesdames et messieurs, bonsoir. Bienvenue dans votre journal.
21:37 Les vendanges se poursuivent dans le Val-de-Loire.
21:40 Une année marquée, comme vous le savez, par des rendements
21:43 en chute libre. La faute au gelé d'avril.
21:46 100 000 euros de perte en Indre-et-Loire, selon la Fédération Viticole.
21:49 Malgré cette catastrophe, la passion est intacte,
21:52 les gestes précis. Un objectif, la qualité.
21:55 C'est ce qu'a pu constater Romain Delville
21:58 à Roche-Corbonne, sur les terres du Vouvray.
22:01 - Mais quel sérieux et quelle belle crarette.
22:04 Voilà ce que ça donne 7 ans après, Florent.
22:07 - C'était solennel. En tout cas, merci beaucoup à toute l'équipe
22:10 de TV Tour Val-de-Loire qui a fait de moi un journaliste
22:13 heureux dans son métier. Je voulais aussi remercier
22:16 les téléspectateurs qui m'ont accompagné pendant ces 7 années
22:19 riches en actualité. Je ne vais pas très loin.
22:22 Je garde un pied en Indre-et-Loire. L'autre sera dans le Loiret.
22:25 En tout cas, je voulais remercier tout le monde.
22:28 Je vous souhaite une très bonne soirée.
22:31 - Merci, Florent. Vous nous manquez déjà à toute l'équipe
22:34 et à la rédaction de TV Tour Val-de-Loire.
22:37 Vous n'avez pas fini de travailler, puisque dans un instant,
22:40 c'est l'invité de la rédac'. - Oui, l'invité de la rédaction,
22:43 Louis de Rodon, juriste, ingénieur en agronomie et élu de Romand-Rentin
22:46 pour son essai "Cessez le feu, traité de paix avec la nature".
22:49 - C'est la fin de ce JT. Bonne soirée, Florent.
22:52 Bonne route. Val-de-Loire en direct se poursuit.
22:55 - Merci, Val-Andy, pour une nouvelle édition à partir de 17h50.
22:58 Très bon week-end à tous.
23:01 Sous-titrage Société Radio-Canada
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23:10 Sous-titrage Société Radio-Canada