Talk Show Partie 3 : La semaine de tous les dangers ?

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Transcript
00:00 Tu fais une tête incroyable pour que je te donne la parole en premier Romain.
00:09 Pas du tout.
00:10 On se connaît très bien.
00:11 Pourquoi une mou extraordinaire pendant le jingle ? Qu'est-ce qui se passe ?
00:16 Non mais parce que c'est la semaine de tous les...
00:19 On est à l'Olympique de Marseille, c'est toutes les semaines de tous les dangers.
00:22 Par définition, tu perds deux matchs.
00:24 On passe à l'avant-match.
00:25 Je ne suis pas d'accord avec lui.
00:28 Encore une fois, je ne suis pas d'accord.
00:30 Parce que autant contre le Pauk...
00:33 Pas le Pauk, l'AEK.
00:35 Tu peux te dire que si tu fais nul, c'est pas...
00:39 Autant pour moi, par rapport au débat qu'on a eu en première partie, si tu ne bats pas Lyon,
00:45 pour moi c'est terminé.
00:46 Parce que...
00:47 Terminé, c'est la fin de saison.
00:48 Ah ouais, non mais en championnat, pour le coup, tu ne reviendras plus.
00:51 Il nous a fait ses stats, il nous a expliqué tout ça.
00:53 Si en plus tu ne bats pas Lyon, qui est le dernier championnat, ça veut dire qu'en plus
00:57 psychologiquement, tu prends un coup derrière la tête et tu te dis...
01:01 Déjà, on nous a dit à Monaco, à Nice, etc.
01:04 Mais là, tu ne bats pas Lyon.
01:05 Déjà le coup à Nice, il fait mal aussi.
01:07 Déjà, il fait mal.
01:08 Si derrière, tu arrives...
01:09 Là, tu vas enchaîner trois matchs au domicile.
01:11 Si tu fais trois victoires, évidemment, je suis hyper optimiste.
01:14 Tu peux tout remettre à l'endroit et ça peut repartir.
01:17 Mais si tu fais que trois nuls, c'est terminé.
01:20 Ok.
01:21 Tu es d'accord avec qui ? Avec Romain ou avec Max ?
01:23 Non mais juste...
01:24 Non, non, non, trop tard, tu as passé ton tour.
01:26 Je reviens en dernier, après Kemmler.
01:28 Après Kemmler.
01:29 Expliquez-moi juste.
01:30 Avec Seb, tu ne fais pas ça.
01:31 Avec Seb, tu ne fais pas ça.
01:32 Expliquez-moi juste.
01:33 Après Kemmler.
01:34 Après Kemmler.
01:35 Quand il y avait la Jacques, c'est Paris.
01:36 Est-ce que c'était la semaine de tous les dangers ?
01:38 Je vais le dire à Seb tout à l'heure.
01:39 Je vais le dire à Seb.
01:41 Je le dis là avec Sébastien.
01:42 Je le dirai tout à l'heure.
01:43 Tu n'as pas besoin, il est en train de regarder l'émission.
01:45 Mais tu as déjà eu combien de semaines de tous les dangers ?
01:48 La semaine où il y a le match retour du Pana, c'est une semaine de tous les dangers.
01:53 Quand il y a eu la Jacques, c'est Paris, c'était une semaine de tous les dangers.
01:56 Non, la Jacques, c'est Paris.
01:57 Non, la Jacques, c'est Paris.
01:58 C'était perdu d'avance.
01:59 Ce n'était pas la semaine de tous les dangers, alors qu'il y avait la réunion avec les
02:02 supporters et qu'on a dit si on perd machin et tout.
02:05 Donc on a la troisième semaine de tous les dangers.
02:07 On aurait perdu à la Jacques c'est contre Paris, ça n'aurait rien fait de danger.
02:09 Tout va bien.
02:10 Je suis d'accord.
02:11 Après, on l'a vu à l'époque où il n'y avait que deux matchs à domicile et deux
02:15 matchs à l'extérieur qui s'enchaînaient en championnat.
02:18 On se rappelle que déjà les deux matchs à domicile, c'était très difficile de les
02:21 gagner les deux.
02:22 Là, on va faire trois d'affilée.
02:24 Bien sûr que ça va être difficile.
02:26 En revanche, je suis d'accord avec Max sur le fait que Lyon, c'est vraiment interdit
02:34 de le perdre, même si on est les plus grands relanceurs d'Europe.
02:37 C'est interdit de ne pas le gagner.
02:39 Même nul, ce n'est pas suffisant.
02:41 On est les plus grands relanceurs d'Europe.
02:44 On adore relancer les équipes qui sont…
02:47 On a un théorème et une phrase même.
02:48 L'OM réveille les morts.
02:49 Toujours, ça a toujours été ça.
02:51 Que ce soit les joueurs ou les équipes.
02:53 Là, pour le coup, c'est une équipe.
02:54 Ce que je disais, je répondais à un tweetos…
03:01 Un Ixos.
03:02 Oui, un Ixos.
03:03 Hier soir, c'est très grec.
03:05 Je répondais hier soir sur ces trois matchs.
03:09 Ma mentalité de supporter dirait neuf points.
03:14 Ma mentalité de supporter de l'OM, toujours un peu pessimiste,
03:19 dirait au moins quatre.
03:21 Quatre en championnat et le match de coupe d'Europe pour rêver un peu.
03:24 Peut-être pas.
03:25 Ah ouais, même pas.
03:26 Peut-être pas.
03:27 Mais peut-être quatre.
03:28 Au moins quatre, ça veut dire que tu ne prends que quatre.
03:30 Une défaite, une victoire, un nul.
03:31 Tu les vois comment les quatre ?
03:32 Dis-nous, va jusqu'au bout.
03:33 Franchement, honnêtement…
03:36 On a une intervention.
03:37 Oui ?
03:38 Intervention de la direction.
03:40 Sébastien Wolff veut signaler à Romain Canutti.
03:43 J'ai là un… un… un… un avertissement.
03:46 Un blâme.
03:47 Tu vois, effectivement, il regardait bien l'émission.
03:51 Je le dis, je le connais.
03:52 Conclue-le, s'il te plaît.
03:53 Oui, à choisir, en tout cas, c'est trois contre Lyon et un contre Lille.
04:00 Mais franchement, j'ai envie de croire à ces neuf points.
04:03 J'ai envie de croire.
04:04 Si tu voulais une série positive…
04:06 Elle peut être là, la belle série.
04:07 Il faut d'ailleurs.
04:08 On va voir.
04:09 On verra.
04:10 J'espère que vendredi, le talk sera joyeux et qu'on ne se dira pas
04:14 "en plus, on a paumé en Europa League, il y a Lyon qui arrive, on a peur".
04:18 Ah pardon, tu voulais…
04:19 C'était fini.
04:20 Mais vas-y.
04:21 Non, non, mais j'allais dire, je parle d'une série, mais un championnat, vraiment, après…
04:25 Là, tu bats à la EK, tu bats Lyon, tu fais nul contre Lille et tu fais nul à la EK,
04:30 moi je cite de suite, pour le moment.
04:31 Deux victoires, deux nuls, ce n'est pas une série, mais je cite de suite.
04:34 C'est une série positive.
04:35 Voilà.
04:36 Il ne faut pas oublier que les matchs de Coupe d'Europe peuvent servir aussi à te remettre d'aplomb en championnat.
04:39 Oui, je suis d'accord.
04:40 Sanpaoli, il a eu en Conférence Ligue, il y a deux ans, tu gagnes des carabagues, des balles et compagnie,
04:46 mais ça te faisait, avec ces victoires-là, ça te faisait une série de huit victoires consécutives
04:50 et tu as abordé le sprint final dans une toute autre position.
04:53 J'ai eu une vision à ce sujet, j'en parle rarement, mais en venant ce matin sur la route,
04:58 je nous ai vu lever le trophée de la Conférence Ligue.
05:01 Alors, ne me demandez pas comment, quand, comment.
05:03 Tu sais à quoi il ressemble ?
05:04 Oui.
05:05 Il est beau, il est très beau.
05:06 Tu connais la musique et tout ?
05:08 C'est la même que l'Europa League.
05:09 C'est la même, tu es encore pessimiste, parce que ça veut dire qu'on va finir troisième.
05:12 Non, mais je me suis dit, je nous vois une vision, on ne sait pas.
05:16 Perdre un quart ou gagner la Conférence Ligue, bon.
05:20 J'ai eu cette vision, alors, bon, voilà.
05:23 Je vous fais partager parce qu'on parlait d'Europa League.
05:25 On bascule sur le match OMEK, j'espère que ma vision sera fausse, ou pas d'ailleurs,
05:29 parce que c'est quand même un trophée.
05:30 Non, ce sera un trophée quand même.
05:31 Oui, mais peut-être qu'on peut basculer en Conférence Ligue et se faire éliminer aussi,
05:34 parce que je ne sais qu'une vision.
05:35 Tu vois, donc espérons qu'on passe quand même le premier tour.
05:38 On y va sur l'OMEK.
05:39 pour le M.E.C.

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