Tchad : Dr. Ali Abdel-Rahmane Haggar au micro de Alwihda Info

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Tchad : Dr. Ali Abdel-Rahmane Haggar au micro de Alwihda Info

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00:00 Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans notre émission "Si je suis enceinte"
00:09 C'est une émission qui met en valeur le parcours de tous ceux qui ont réussi.
00:12 Pour cela, aujourd'hui je suis accompagnée du Dr Ali Abdurrahman Hacker,
00:16 le père du Roma Tchadian, un écrivain, un ancien et le fondateur de l'université Hek Tchad.
00:21 Bref, un homme qui a réussi dans sa vie.
00:23 Bonjour docteur, merci d'avoir accepté notre invitation.
00:27 Bienvenue chez nous.
00:27 C'est un honneur et un plaisir pour moi d'être ici.
00:31 Alors pour commencer, pouvez-vous nous dire qui est Ali Abdurrahman Hacker ?
00:36 Ali Abdurrahman Hacker est un Tchadien qui n'a pas d'autre pays que le Tchad.
00:44 Je suis né avec la défense du Tchad, donc je suis un sexagénaire assumé.
00:55 Je suis né à Abéché, je suis étudié à l'école coranique, l'école primaire jusqu'en 70.
01:11 Sur le baccalauréat c'est la guerre, sur le réfugié à Banlieue c'est les études supérieures,
01:19 c'est l'élan en France, c'est la responsabilité, c'est l'enseignement à l'université,
01:26 c'est le mariage, c'est les enfants, c'est les petits-enfants.
01:31 Voilà, et je fais partie de ceux qui pensent qu'il faut être fier d'être Tchadien.
01:41 Je vois un peu ce que vous faites ici, c'est vraiment de vous féliciter, de féliciter la Vigita,
01:49 de féliciter le promoteur, mon cher frère Aminio et tous ceux qui l'aident,
01:56 et de vous souhaiter au mieux, parce que vous êtes jeunes,
02:00 de nous faire comprendre beaucoup des choses devant vous.
02:03 Voilà, c'est ça, et à devoir l'admettre.
02:07 D'accord, docteur, quelle a été votre motivation pour la création de l'université Tchad ?
02:14 Dès la fin de nos études, la porte mondiale a fermé les portes de la fonctionnalité,
02:24 comment sommes-nous en parlant ?
02:26 Mais je dois dire évidemment que depuis le siècle de Pascal à l'époque,
02:33 pour l'accéder en sixième, il y a une rédaction qu'on doit faire au mois de mai,
02:39 et on vous demande ce que vous voulez devenir une fois grand.
02:44 Certains Aminio ont des rêves d'être militaires,
02:51 certains voulaient devenir des pilotes, etc., des médecins.
02:58 Moi j'ai fait partie de ceux qui ont toujours rêvé d'être des hommes, des enseignants.
03:03 Donc de l'épais âge, influencé par des enseignants comme M. Prem,
03:08 C. Bigard, Jean Arras, M. Amatego,
03:14 le métier des enseignants m'a toujours fait partie de mes rêves.
03:20 Et par la suite, nous étudions l'économie, nous avons rentré au Tchad avec des amis,
03:26 nous avons constitué ce qu'on appelait à l'époque le jeu de G4,
03:31 avec un ami comme M. El-Habib, M. El-Habib est un des professeurs de l'Université de Montréal,
03:42 donc on racontait un petit projet G4, G5,
03:45 dans lequel on réfléchissait sur des choses,
03:49 comment monter nos propres entreprises, monter nos propres projets, etc.,
03:53 et puis vite à midi, en 2018, les choses ont commencé à m'attirer,
04:03 et après, nous nous trouvons avec des amis comme M. Nisab Nicar, M. François, M. Feu, M. Yibai,
04:12 d'autres amis, M. Nisab Nalbouli,
04:20 un homme qui m'est inséparable, c'est l'oncle Bichir,
04:24 on a mis en place un jeu G4, on a commencé avec 5 classes.
04:28 Le projet était pour 171 étudiants,
04:33 on a monté le projet, on a commencé avec 171 étudiants,
04:37 et puis après, 300, 400, 1000 étudiants ont été tués aujourd'hui.
04:42 Nous sommes parmi les meilleurs universités du Tchad, privées,
04:49 et nous avons formé presque 20 000 jeunes,
04:54 ma joie c'est que non seulement on a formé des licenciés,
05:02 mais nous avons réussi à faire des scrues en thèse,
05:07 plusieurs de nos produits ont sous-débuté en thèse au Tora,
05:10 dans le domaine de l'optimisme, le management, la sociologie, le développement, etc.
05:15 Ma joie c'est aussi d'avoir été quand même la première université
05:23 ici au Tchad à avoir réussi à faire la thèse,
05:28 c'est vraiment un parc de grâces,
05:31 c'est des petites choses comme ça,
05:33 ça semble une avalité, mais ça fait plaisir.
05:37 Moi j'aime vivre avec les gens, j'aime beaucoup vivre avec les gens.
05:42 Depuis tout petit, on serait la première famille où
05:48 on n'est pas sa maman, on n'est pas son papa,
05:51 tout le monde est maman, tout le monde est papa, tout le monde est oncle, tout le monde est grand frère,
05:56 c'est sa main génération.
05:59 Et il y avait une éducation presque socialiste à l'époque,
06:04 on était petit, c'est le cas de tous ceux qui sont des maîtres de la nation.
06:07 Et c'est ce souvenir de M. Komsensou qui a été l'encadré de notre génération.
06:17 D'autres jeunes venus après moi, 20 ans plus tard qu'on est là,
06:23 ils avaient des conditions réputatives, la polyglosie,
06:27 il y a encore des gens qui ont été très bons, qui ont été impactés positivement.
06:33 Donc il fallait être entrepreneur pour créer de la voie, pour aider,
06:38 pour sembler aider, pour s'aider soi-même.
06:41 Et puis c'est beaucoup de chavage parce que vous savez,
06:44 c'est vous qui faites la chose de la vie.
06:46 Quand on travaille dans ces conditions, on est inventif.
06:52 C'est le lieu de l'enseignement qu'on appelle "au gouvernement décideur",
06:57 de faciliter la vie aux initiatives privées.
07:02 Et la facilitation au niveau des initiatives privées,
07:04 il faut positifier ces genres de choses.
07:10 Et normalement, dans nos pays sous-développés,
07:12 on diabolise les initiatives privées.
07:16 Voilà pourquoi il y a beaucoup de chômage.
07:18 Tant que les initiatives privées ne sont pas libérées,
07:21 ne sont pas aidées, ne sont pas généreusement accompagnées,
07:25 naturellement, l'État ne peut pas continuer à créer l'emploi.
07:31 L'emploi est créé au niveau du secteur privé.
07:34 Le secteur privé, c'est pas très bien.
07:36 Vous regardez maintenant, l'État est en train de faciliter
07:40 un certain nombre de choses, en créant des offices, des agences, etc.
07:44 Vous avez vu, il y a des conneries, je sais.
07:47 Les agences, les offices, ce sont des formes de société,
07:51 mais c'est encore mieux d'éliminer les cargos de marché
07:55 pour que les gens puissent, là où ils peuvent,
07:58 se donner à fond la caisse qu'il a,
08:00 et les accompagner par les dénouements ou par les fiscs,
08:04 et là, un certain nombre de mesures.
08:07 Bon, une chose qu'on a été avancée au début,
08:09 on peut créer une entreprise en deux jours.
08:12 Moi, quand j'étais jeune, dans les années 90,
08:15 une entreprise qu'on a créée, on avait besoin de moins de deux mois.
08:21 Il était plus facile de créer un parti politique
08:24 que de créer une entreprise.
08:25 Or, il faut plutôt faciliter la création de l'entreprise.
08:30 Et là, les partis politiques, c'est autre chose qui est dans l'institution,
08:36 on peut le faire en deux jours, on le fait en trois jours.
08:38 Ce doit, en ce temps, nous créer des partis politiques.
08:41 Il faut célébrer aussi pour ma création,
08:44 les entreprises, parce que, donc, à votre réponse,
08:46 à votre vision, j'ai choisi d'être entrepreneur
08:49 parce que j'aime la liberté d'action.
08:53 Voilà.
08:54 Et quelle était la cause principale de ce que vous êtes aujourd'hui ?
09:00 Il y a beaucoup des fauteuils, il y a beaucoup de causes.
09:03 Vous savez, chacun a un niveau donné,
09:06 il y a des amis, des frères qui vous accompagnent.
09:09 Moi, j'ai la chance d'avoir eu de l'hiver accompagné dans ma vie.
09:17 Mais tout ce qui a fait que je suis très positif dans ma tête,
09:22 j'ai une grand-mère qui m'a toujours amené à voir positivement les choses.
09:29 Très petit, elle m'a toujours raconté les histoires
09:32 des légendes, des conques, de la brousse.
09:35 Et je crois que ça a façonné un peu mon mental.
09:37 Je crois, je crois profondément
09:40 que l'État guépan n'est pas méchant.
09:42 Et d'ailleurs, certains méchants, c'est des certaines attitudes
09:47 plutôt...
09:48 On va dire des méchants, c'est des attitudes mettant
09:51 quand j'ai l'air d'un peu...
09:53 en train de s'accrocher, de me faire rire comme ça,
09:56 sans que vous ne le connaissiez, ça, ça me fait rire.
09:58 Ça me fait poser des questions sur la nature humaine.
10:01 Et je dis, la base de ces gens de comportement,
10:05 c'est souvent l'ignorance qui fait ça.
10:07 Moi, je me dis, ils sont ignorants, ils sont à l'intention
10:09 qu'on est entre quelques-uns des éléments.
10:12 N'est-ce pas ? C'est pourquoi je vous dis que
10:14 il faut travailler dans l'éducation.
10:16 Et dans ma plateforme d'éducation, où ma mère,
10:18 ma mère est une grande mère,
10:21 c'est mon...
10:23 c'est mon grand gardien.
10:27 Des amis, des amis qui me conseillent,
10:33 des anciens et des jeunes, pour la réduction,
10:36 pour la création de l'État, je ne peux pas me permettre
10:38 d'y venir que que non.
10:40 Je vais commencer par les collaborateurs
10:43 du centre d'études ici.
10:45 C'est mon petit frère, mon petit frère.
10:48 Mon petit frère, c'est quelqu'un qui est très efficace
10:52 dans le coaching.
10:54 Lui aussi est très positif dans sa vie.
10:56 Il ne me courage jamais à la méchanceté,
10:59 à l'échec, etc., il fonce.
11:01 Et il m'a aidé deux fois, trois fois,
11:05 de me décourager.
11:07 Il me dit, ce projet, ce n'est pas utile,
11:10 je vais arrêter la construction de ça.
11:13 Et c'est lui qui me dit, non, non, non,
11:16 il me perçoit en tant que tatan.
11:17 Tant que tatan, on continue parce que, tu sais,
11:20 le quartier, à l'époque, il n'y avait pas de tronc.
11:23 Il n'y avait pas de tronc, il y avait un délai à Rue des Calandres.
11:26 Et donc, je lui dis, non, les étudiants sont plutôt
11:29 du côté de Boursa.
11:31 Boursa, Maricongo, Mariana Fark, etc.
11:34 Qu'est-ce que les gens ont fait ici ?
11:35 Ici, à Rue des Calandres, il me dit, non, il faut continuer.
11:39 Et je suis déçu, les chacrons, ils me rappellent, etc.
11:42 Et un bon matin, on voit une lissade d'infrastructures
11:46 passer devant nous, pour notre chantier.
11:50 Je vois des ingénieurs, un ami, un petit frère qui s'appelle Armand,
11:53 qui s'est arrêté là, il a dit, non, non, non,
11:56 le boulot va passer par là.
11:59 Donc, je lui dis, si on ne veut pas,
12:01 si il n'y a pas beaucoup de fluidité, le géoprocessus,
12:04 vous savez, il y a des choses comme ça qui se passent.
12:05 Le deuxième, c'est Adou, non, Adou Koch.
12:09 Nous, on l'appelle Adou Koch.
12:11 Le professeur de l'histoire, c'est aussi un petit frère.
12:14 Absolument, il y a donc Laurent Dacar, Laurent Combe-Echille,
12:17 des amis comme Isidine Bregta,
12:20 des frères, des amis comme
12:24 Mbaye Ndanaki, Philippe, et un seul homme,
12:26 Didier Ndiroakoui.
12:28 Et bien sûr, François Ndibaye, avec qui on continue à réagir.
12:32 On continue à réagir parce qu'il est le manager en chef de l'école.
12:36 Il y a d'autres, comme
12:40 Issam Adarbouli,
12:43 ça peut être son nom, mais c'est lui vraiment de
12:47 dire un très grand bon cœur à toutes ces personnes-là.
12:50 Karam Balkéry,
12:53 Didier Josieu,
12:55 de Mme Kimadou.
12:57 Et naturellement, on compte à l'unité de Thakina,
13:00 d'Anthony Dubochat,
13:03 en communication, c'est lui qui a monté tout le projet,
13:06 c'est le docteur Abdel Hamoud Saad.
13:09 De Nasser Gabour, c'est lui,
13:14 directeur de caméras sur la Préserve de la République.
13:17 C'était le premier enseignant en communication.
13:20 Et il y a eu aussi des consultants
13:23 en dehors de ce cercle d'amis et de petits frères.
13:27 Voilà, donc
13:30 j'ai un frère qui m'a beaucoup accompagné, c'est un cousin,
13:34 qui est un des leaders de l'ACAM,
13:36 Ahmad El-Yarqar.
13:38 Le grand frère
13:41 Ahmad El-Yarqar enseignait, c'est un vrai frère,
13:43 ce sont des gens qui viennent de loin et qui disent
13:46 "continuez, faites ça, pourquoi il n'y a pas un élu qui vous aide, continuez-vous"
13:50 etc.
13:51 Il y a des jeunes qui sont arrivés à la Loi et qui sont devenus les meilleurs docteurs.
13:55 Parce que le premier docteur
13:57 formé par l'ACAM s'appelle Hassan Mounesh Amin.
14:00 Je ne peux pas l'oublier ce monsieur.
14:02 D'ailleurs c'est lui
14:04 qui était à l'origine du monde d'Ali Bouzid qui est parti au Camesse.
14:07 Il a bien sûr été appelé à Kilibou.
14:10 Le professeur Mohamed Bouzid, il est mouillé.
14:15 Et je suis un peu parham d'avoir
14:17 qui a accepté
14:19 le papier au niveau de l'administration pour que la CHC,
14:22 qui a comme d'autres,
14:24 parce qu'Ahmad El-Yarqar est un professeur de communication et d'enseignement de religion,
14:28 il dit "Ali, il m'a aidé".
14:30 C'est le vrai parrainagiste.
14:32 Il faut plutôt dire "Ah, je l'ai reçu".
14:34 Normalement, c'est un perfectionniste qui n'aime pas l'écrire.
14:39 Voilà, donc c'est ça mon avis.
14:42 Et pourquoi vous avez choisi ce nom, Haïti ?
14:45 Je choisis ça parce qu'il y avait une ambition derrière.
14:50 Moi, je voulais l'écrire.
14:54 Moi, je ne néglige pas le tchad.
14:59 Pour moi, le tchad c'est profond, c'est fort.
15:01 Mais je ne sais pas, nous sommes au centre de l'Afrique.
15:05 C'est un pays qui a plusieurs frontières avec d'autres pays.
15:08 On a une vocation internationaliste réelle.
15:14 De deux, je suis économiste à la base et donc,
15:18 j'ai eu l'occasion d'étudier et de connaître comment est-ce qu'on appelle la communication.
15:23 On ne peut pas faire une rue avec un HEC France,
15:28 ou un HEC Paris, ou un HEC Grenada,
15:31 ou un HEC Bruxelles, etc.
15:32 Je dois vous dire que quand on a commencé à faire le statut de conseil sur les études HEC d'Israël,
15:41 c'est pour donner une image spécifique des types de formations,
15:45 et pour appeler les gens à entendre qu'à un niveau donné,
15:49 tout ce qui s'allait de l'enfance, les formations mondiales, etc.
15:54 Et donc, j'ai écrit une compagnie qui s'appelle HEC Paris,
15:59 et j'ai écrit un HEC Bruxelles, et j'ai écrit un HEC Canada.
16:05 Pour ce qui est du HEC Canada, c'est à dire que les anciens étudiants qui sont exploités au Canada,
16:10 avec la licence que nous leur avons donnée, ils sont allés à la Paris pour suivre leur statut.
16:16 Nous avons eu l'obligé, il y a même une jeune dame qui est contable à la commune canadienne,
16:24 qui s'appelle Marie-Rosane Ney, qui était parmi les majeures dans la commotion,
16:30 vous savez quand quelqu'un est étudiant, en Chine, en Chine, ou ailleurs, ils vont aller ici.
16:36 Voilà pourquoi, puis certains ont demandé de donner un nom,
16:43 mais moi je ne voulais que l'HEC entre les études, les comptables, les commerciaux,
16:49 les communications, combien de jeunes comptables. Plus tard, quand HEC était devenu un institut d'université,
16:55 maintenant dans ma tête, ça va évoluer parce que nous sommes une université,
17:00 et comme on est une université, HEC va devenir un centre de formation à l'intérieur,
17:07 d'autres facultés sont ouvertes, et j'espère que les lieux vont donner suffisamment d'efforts pour finaliser ce deuxième niveau.
17:16 - Chahar, quel conseil donneriez-vous à ceux qui veulent créer leur propre université ?
17:24 - Il faut être bien courant. - Merci.
17:27 - Avant de vous demander, courage, aimer ton pays,
17:37 aimer le chahar, aimer le chahar, aimer la Chine, j'espère que le matos soleil qui nous aide à entendre les silences parce que c'est chaud,
17:51 ça énerve les gens qui viennent ici, et les gens qui cherchent le soleil, ils n'ont pas.
17:55 Nous, on a tous pensé comme deux yeux de souris.
18:01 Nous voulions créer, croire, parce que quand on entend des gens dire "qu'est-ce que Maya fait ?" franchement ça me plaît.
18:12 C'est pas déjà qu'il y a 8 personnes, etc. mais le pays, le pays de Saint-Gilles a tendu tout quelque chose.
18:25 Et ainsi on va, de sortir le rhum pour comme tous ces pays qu'on vit ici.
18:33 Ma fille, est-ce que vous serez bâtie en France ou en Allemagne ou en Europe, au Canada ou aux Etats-Unis ?
18:42 Si les Canadiens, si les Américains, si les Français, n'ont pas le mouvement du pays ?
18:47 Pourquoi les gens ne vont pas dans le pays pauvre ?
18:50 Pourquoi on ne veut pas aller dans le pays pauvre qu'il y a des endroits qu'on vit ?
18:55 On veut aller doucher chez ceux qui ont l'air ici, et plutôt que d'aller chez ceux qui ont l'air ici.
19:01 C'est passé dans son temps, il y a des gens qui ont dit "il faut se battre pour que notre pays ne se devienne comme ces pays-là,
19:09 dans lesquels on sentira les oiseaux."
19:13 Il y a quelques années, moi j'étais au Bréil, j'ai pas été au Rwanda, c'était la guerre.
19:19 Il y a deux ans j'ai été au Rwanda, c'est extraordinaire, mais c'est pas comme le ciel.
19:25 C'est une gouvernance, c'est un engagement, c'est un patriotisme, c'est une citoyenneté, c'est du civisme, c'est du sacré-sœur.
19:32 Regardez, vous avez une institution comme celle-là, si chaque jour vous l'étiez, vous pourriez m'accompagner en tant que promoteur,
19:41 et d'AGM, et administrateur, et à l'arrivée du journalisme.
19:47 Il y a quelques années, c'était l'ancêtre des journaux à lire.
19:54 Aujourd'hui, la lire, je ne sais pas s'il y a pas un pays où on lit et on écrit pas de lire.
20:00 C'est le grand cache-à-lire. Donc, un conseil pour vous, croyez en vous,
20:09 cherchez des bonnes idées, cherchez des bons amis, et flangez-y des obstacles pour que la vie de l'homme soit plus avancée.
20:19 Il y aura des obstacles, ça c'est sûr, il y a des gens qui vont vous emmerder, qui vont vous parler, mais ils vont...
20:25 "Tiens, t'as un pays, non, c'est pas là, t'as son pays, c'est pas là."
20:30 Il y a trois types de personnes qui ne vont pas y aller, et ceux qui disent "C'est pas ça, c'est pas ci, c'est pas ça."
20:38 Il faut trouver des gens qui vont remarquer l'être ajouté. Si vous avez un ami comme ça, vous êtes aussi.
20:44 M. le condamné, beaucoup disent que vous offrez gracieusement des bourses à l'étude, est-ce que vous confirmez cela?
20:50 Vous avez la personnalité, soit une bourse ou une salariété.
20:55 Et la sérioté. L'absence d'un moyen n'est pas un problème,
21:02 mais on ne peut pas exposer les gens, etc. C'est sûr.
21:09 Nous sommes, par exemple, en 2020, il y a 240 000 qui ont été vus.
21:20 Gracieusement, 4, au titre de cette solidarité nationale, qui caractérise les Canadiens heureux,
21:30 on dit que les Canadiens aiment la guerre. Pour faire la guerre, il faut être brave, il faut être courageux.
21:39 Et en étant courageux, si on n'est pas généreux, ça va être trop dénigré.
21:45 Tous les Canadiens qui mentent, ils savent que les Canadiens sont généreux, voilà pourquoi ils sont là.
21:50 Ils sont là, donc ils sont nécessairement généreux.
21:54 Ça, c'est une caractéristique. Et je crois que peut-être, si vous me dérogez à tout moment,
22:00 c'est la même chose si vous allez chez mon frère.
22:03 Je crois qu'il y a beaucoup de choses à dire.
22:07 Il y a aussi beaucoup de gens qui vivent à l'État.
22:10 Si vous allez à Liany, il y a beaucoup de gens qui vivent là.
22:14 Si vous allez à Lisbonne, pas de risque.
22:16 Sauf dans des écoles qui sont dans une faible état, c'est difficile.
22:22 Quand j'y vais à Liany, après ce que je fais,
22:26 tous les collègues qui ont des études, des études à l'université de l'Été, franchement, ils font ça.
22:32 Par exemple, il y a deux ans, une collègue d'Israël, d'Asie,
22:37 a fait l'étudier en plus de 6 jours, nous avons accordé des bourses d'études à la Somme générale en septembre.
22:46 Je crois que les 38, 39 ans, ça a été très bien apprécié par les collègues qui ont progressé et qui ont été évalués par le monde.
22:58 Donc j'ai des exemples de ce qui se passe.
23:03 C'est la fin de notre émission, Mesdames et Messieurs, merci pour votre participation et votre fidélité.
23:08 À la prochaine fois, Inch'Allah, avec le bien plaisir, même heure.
23:10 Bon suivi du programme sur Alouide Info. Au revoir.
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