PRETEXTE EP.1 - KATANA ET POULE EN BASKET (Jeremy Nadeau, Merwane Benlazar, Jerome Niel) - Vidéo Dailymotion

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00:00 Bienvenue dans ce premier épisode d'un podcast qui s'appellera "Prétextes".

00:04 Pourquoi "Prétextes" ? Parce qu'on voulait trouver un prétexte pour réunir des copains

00:08 et avoir des discussions un peu fun autour de sujets qui ne le sont pas forcément.

00:12 C'est faux, ils sont tous très fun.

00:13 [Rires]

00:15 Aujourd'hui, on reçoit...

00:16 Premier sujet du crène.

00:18 [Rires]

00:19 Et on a invité Jérôme Niel pour nous parler de l'ancestre.

00:22 [Rires]

00:23 Vous allez voir, ça va arrière.

00:25 Restez connectés.

00:26 [Rires]

00:27 Par pitié.

00:28 [Rires]

00:29 Alors, quel classement des pédophiles préférés ?

00:31 Mais non !

00:32 Alors ?

00:33 C'est pas cool de dire ça alors que moi, il y en a vraiment un dans mon spectacle.

00:35 Mon spectacle ! Le 5 décembre, au Splendide.

00:37 [Rires]

00:38 [Musique]

00:39 On est avec Merwan Benlazar, Merwan B, a.k.a. le petit prince, a.k.a. le tourmentaire,

00:43 a.k.a. le grand boucantier, a.k.a. l'homme le plus sexy de Paris.

00:47 Et Jérôme Niel, Jérôme Niel qui ne fait le plaisir que de dire l'honneur que dis-je.

00:51 On a payé très cher pour l'avoir.

00:52 On a payé très très cher.

00:53 Merci pour ces 2000 balles.

00:55 En cash !

00:56 [Rires]

00:58 Merci, je suis très content d'être là.

00:59 Et fuck l'Ursaf !

01:00 [Rires]

01:01 Un détail sur Jérôme Niel ?

01:03 Frère, comment on peut…

01:04 Après, je voudrais un détail de toi et un détail de lui.

01:06 Comment on peut m'écrire mieux Jérôme Niel que moi ?

01:08 Avant, je faisais les premières parties de Pana à l'Européen.

01:10 On a eu Tis-Pasco, tu me disais ?

01:11 On a eu Tis-Pasco.

01:12 Non, mais moi, je l'appelle Pana, c'est le show-biz.

01:13 Et en gros, Jérôme aussi le faisait.

01:16 Et il y avait, tu sais, les loges, elles sont collées à l'Européen.

01:18 Donc, tu vois les loges de tout le monde.

01:19 La loge de Jérôme Niel, il y avait plein d'affaires comme tout le monde et au milieu,

01:23 un katana.

01:24 [Rires]

01:25 Alors, attends !

01:26 [Rires]

01:27 Attends, il y a un jour, j'ai dit…

01:28 Est-ce que t'as…

01:29 Tu sais, moi, je suis un garçon, donc je voulais toucher le katana.

01:30 Il y a quelqu'un qui m'a dit « Non, non, non, ça c'est un accessoire ».

01:33 Je dis « Frère, ben oui, évidemment ! »

01:34 [Rires]

01:35 Attends, est-ce que t'as demandé un katana ou est-ce que t'as apporté un katana ?

01:39 Parce que toi, ton rituel, c'est le genre d'apporter un katana sur toutes tes scènes.

01:42 J'ai apporté un katana.

01:43 [Rires]

01:44 T'as d'autres trucs que tu collectionnes comme ça, dont t'es un peu honteux ou t'es

01:47 un peu fier ?

01:48 Peut-être les deux en même temps ?

01:49 J'ai une bande d'arcade, donc je suis très fier.

01:53 C'est quoi le jeu ? T'as qu'un jeu ?

01:56 Non, c'est un ordinateur.

01:57 Il y a 6000 jeux dedans.

01:58 Je suis déjà très déçu.

01:59 Je joue à un jeu.

02:00 Il m'a dit « J'ai une bande d'arcade ».

02:01 T'as une bande d'arcade chez toi ?

02:02 Oui.

02:03 Mais c'est un ordinateur.

02:04 Aux couleurs de Jean-Claude Van Damme.

02:05 Que j'ai fait de faire moi-même.

02:06 Je vous enverrai la photo.

02:09 Oui, parce qu'on a deux doigts du mensonge.

02:12 [Rires]

02:13 Moi, chez moi, j'ai une table de billard électronique.

02:16 [Rires]

02:17 Mais non, mais en fait, il y a un truc dans ça.

02:21 C'est que c'est cool et tout, les gens qui ont des bandes d'arcade.

02:24 Mais ça veut dire que si tu dois jouer aux jeux vidéo, t'es debout.

02:26 Non, non, non.

02:27 J'ai pris des petits tabourets.

02:28 Aux couleurs de Jean-Claude Van Damme.

02:29 Les amis très écartés, comme ça, ils jouent en faisant le grand écart.

02:33 Mais je n'y joue, bien entendu, plus jamais maintenant.

02:35 J'y joue une fois par an, grand max.

02:37 C'est juste un objet de décoration que j'aime bien.

02:39 Est-ce que quand les gens viennent chez toi, ils disent « Oh, t'as une bande d'arcade ».

02:41 Tu fais « Ouais ». Et fin de la discussion, ils font leur place.

02:43 [Rires]

02:44 Non, non, non.

02:45 Si, ils disent « Mais moi, j'ai tellement la flemme ».

02:46 Et souvent, ils disent en fait « On peut y jouer et tout ».

02:49 Je fais « Ouais, non, ça ne marche plus ».

02:51 [Rires]

02:52 Comme un flémard.

02:53 Il a coupé la prise avec du plâtre de pédant.

02:55 Oui, parce que je sais qu'après, on peut partir dans des…

02:58 Tu sais, si on vient pour regarder le foot, on vient pour regarder le foot.

03:01 Je dis « Ouais, non, non, ça ne marche pas ».

03:02 Il est dégoûté, il fait une soirée de foot, tous ses potes.

03:04 [Rires]

03:05 Ils sont là sur Pac-Man, sur Battlestar Galactica.

03:08 Et lui, il est là, il regarde le foot tout seul avec ses pauvres corneilles.

03:11 Je lui dis « Tu te laves ».

03:12 J'ai juré que mes potes, ils viennent chez moi pour regarder le foot.

03:14 Au final, ils jouent à la bande d'arcade.

03:15 Mais ce n'est pas grave, on joue à la bande d'arcade.

03:16 J'ai juré, c'est un dictateur.

03:17 [Rires]

03:18 Il dit « Non, on avait un programme ».

03:20 Ça veut dire qu'il invite des gens, il y a un planning.

03:22 [Rires]

03:23 Excusez-moi, le doodle, il est à propos du match de foot.

03:26 [Rires]

03:27 C'est pour la bande d'arcade, c'est jeudi 19h.

03:30 Pas plus.

03:31 Un dictateur smooth, quoi.

03:32 [Rires]

03:33 Sympa, quoi.

03:34 Tu collectionnes des trucs, toi ?

03:36 Frère, je n'ai pas un rond, qu'est-ce que tu racontes ?

03:38 [Rires]

03:39 Là, je collectionne les amandes en ce moment.

03:42 Tu penses que collectionner, c'est un truc de riche ?

03:44 Frère, c'est un truc de gens qui…

03:46 Frère, déjà, il faut de la place.

03:47 Oui, pour avoir une bande d'arcade.

03:48 Ça dépend ce que tu collectionnes.

03:49 En fait, non, mais moi, j'ai élargi le truc.

03:52 C'est un bel objet que j'ai chez moi, que j'aime bien.

03:55 Est-ce que tu avais un grand appartement et tu t'es dit, il y a de la place pour une bande d'arcade ?

03:58 Ou est-ce que tu avais la bande d'arcade et tu te dis, il faut que j'aille vraiment acheter un peu mon appartement ?

04:01 Non, je n'ai pas un grand appartement.

04:02 Non, non, non, ça va, ça rentre, elle est dans un coin, mais…

04:05 Je n'ai jamais allé chez lui, mais j'adorais qu'il ait genre un studio de 27 mètres carrés

04:08 [Rires]

04:09 et que la bande soit gigantesque et qu'il fasse des pattes sur les joysticks.

04:12 Ben voilà, c'était une bande d'arcade en frigo et puis on a dû faire un choix, tout simplement.

04:17 [Rires]

04:18 On a choisi le divertissement au lieu des éveillements.

04:21 C'est le bel objet de mon appartement. Vous n'avez pas un bel objet chez vous ?

04:24 Un truc que vous aimez ou… mais pas forcément gros.

04:27 Tu n'es pas obligé, ça peut être un… tu vois, je ne sais pas moi.

04:30 C'est une pièce spéciale.

04:31 Par exemple, un bel objet aussi que j'ai, j'ai la bande originale en CD de Super Mario World, tu vois,

04:39 donc c'est comme ça finalement.

04:40 Un double CD est fortuné, hein.

04:42 [Rires]

04:43 Ben ça coûte… elle a coûté 1200 euros.

04:45 Ok. Ben oui, ben voilà. Ben moi, de mon côté, c'est ça.

04:49 [Rires]

04:50 Oui, bien sûr, monsieur, c'est ça.

04:51 Et ben de mon côté, je collectionne les souvenirs.

04:52 Et ben, dans la tête. Dans la tête. Ça, ça ne coûte rien et puis on s'aime et puis voilà.

04:56 Et puis ça, et ben on s'en souviendra.

04:58 Tu n'as pas de bel objet chez toi ?

04:59 Frère, je réfléchis, mais…

05:01 Tu sais, un truc, je ne sais pas, un vinyle de tel groupe, tu vois, un truc que tu kiffes quoi,

05:06 sentimental même.

05:07 Mais moi, je suis très… j'aime les jeux vidéo et tout comme toi et je te jure,

05:11 moi, mon objet préféré à la maison, c'est la PlayStation.

05:13 Ah ben voilà.

05:14 Avec la télé, j'ai une belle télé.

05:15 Je te l'ai dit en gros, mais en fait, la PlayStation, c'est…

05:16 Moi, c'est mon objet préféré.

05:17 Laquelle ? La 2 ou la 3 ?

05:18 Non, j'ai la 5 quoi.

05:19 Je sais, ben la pute, la 2…

05:20 Tu sais que j'avais racheté une PlayStation 1 pour le souvenir ?

05:22 Oui.

05:23 Qu'est-ce que c'est nul, frère ?

05:24 [Rires]

05:25 Non, mais tu sais, je me disais, putain, la 2, ça vit.

05:26 Les graphismes commencent à être datés, en fait.

05:28 Il n'y avait pas de joystick sur les premières manettes.

05:30 Non, tu pouvais acheter des manettes plus chères avec le joystick.

05:33 Non, sur la PlayStation 1, tu pouvais pas.

05:34 Ah, ça veut dire que je jouais avec une… moi, j'avais une grise, manette grise de la PlayStation 1.

05:38 Non, mais toi, t'étais pas en train de mettre des vidéos de jeux et tu faisais genre t'étais en train de jouer.

05:41 [Rires]

05:42 T'as dit n'importe quoi.

05:43 Non, mais moi, je te jure, c'est la grise, c'est sur la PlayStation 1, il y avait des joysticks.

05:45 Non, non, non.

05:46 J'avais pas une grise avec des joysticks dessus ?

05:48 Non, tu n'y avais pas des…

05:49 C'est dans la 2, dans la 2.

05:51 Attends, tu m'as fait douter.

05:53 Le joystick, il est venu sur la Nintendo 64 ?

05:58 Si, si, voilà, voilà, ben oui, voilà, lui aussi.

06:01 Et ben, désolé, peut-être que… lui aussi, il avait la PlayStation 1 avec le joystick.

06:04 On n'a pas eu la bonne enfance.

06:05 Moi, je me rappelle.

06:06 Ah oui, ils l'ont sorti après la manette de Nintendo 64.

06:09 La manette normale, elle était avec la croix directionnelle normale.

06:12 Et moi, je me rappelle qu'on avait une manette grise la même, mais avec du joystick.

06:17 Ben, désolé.

06:18 Non, non, on t'excuse pas.

06:19 Non, mais tu m'as traité de menteur.

06:20 Tu m'as traité de menteur.

06:21 Pas de bagarre, pas de bagarre.

06:22 Ça s'appelle le prétexte.

06:23 On va se la foutre.

06:25 C'est ça, c'est un prétexte.

06:27 Tu m'as manqué.

06:28 Prétexte pour se la foutre.

06:29 Tu sais que tu parlais des katanas, mais toi, c'est ton katana que tu avais chez toi ?

06:33 Non, non, non, je l'ai fait.

06:34 Mon père, premier degré, collectionne les katanas.

06:36 Vraiment ?

06:37 Il collectionne les couteaux et il a deux katanas chez lui.

06:39 Et alors, c'est marrant parce qu'on…

06:40 Attends, je peux te montrer une photo.

06:42 C'est marrant parce que je parlais de…

06:44 L'anniversaire de la meuf d'un pote, il n'y a pas longtemps, il lui a offert un petit couteau.

06:48 Et on parlait du débat, cet amour de certaines personnes pour les couteaux.

06:52 Moi, j'ai un pote qui adore aussi les couteaux.

06:54 Et je me demandais dans quel sens tu te mets à adorer les couteaux.

06:58 Avec les katanas.

07:00 On dirait pas Yoshimitsu.

07:02 Ou le Samouraï Champloo.

07:04 Vous connaissez ?

07:05 Et là, les katanas…

07:06 Non, mais ça, il faut la mettre.

07:07 On va la mettre.

07:08 Tu me la mets plein fort.

07:09 On la mettra.

07:10 Non, non, on fout rien du tout.

07:11 Je veux voir la tête parce que…

07:12 Non, mais mec, il est tellement stylé.

07:14 Il est tellement… C'est ton ref, ça ?

07:15 C'est mon petit frère.

07:16 J'ai envie de le revoir immédiatement.

07:17 Je vais te le revoir.

07:18 Le mec, il est trop stylé.

07:19 Tu veux voir mon petit frère ou…

07:20 Graphiquement, le caractère design de ton petit ref, mec.

07:22 Le caractère design du petit ref.

07:23 C'est un skin de 20 balles, normalement.

07:25 Il est trop stylé, putain.

07:26 Et en gros, mon père collectionne les couteaux.

07:29 Et mon père est fou de ça, frère.

07:31 Et alors, ça vient d'où ?

07:33 Je sais pas.

07:34 En fait, mon grand-père était militaire, tu vois.

07:36 Enfin, soldat, genre.

07:37 Et mon père collectionne les couteaux.

07:38 Pour quelle armée ?

07:39 Bref.

07:40 On condamne dans tous les cas.

07:43 Et en gros, mon père collectionne les couteaux.

07:47 C'est-à-dire qu'en plus, moi, je lui fais des kiffs.

07:48 Parfois, je lui dis, vas-y, papa, tu peux me montrer ta collection de couteaux.

07:50 Et il collectionne les couteaux.

07:51 Mais c'est pas, il collectionne, genre, il les a, voilà.

07:53 Ça, c'est des couteaux.

07:54 Il connaît chaque détail de chaque…

07:55 Mais donc, est-ce que ça, c'est pas un peu extrêmement pratique ?

07:58 Parce que du coup, quand vient l'anniversaire ou le Noël,

08:00 tu sais que là-dessus, tu vas lui faire kiffer forcément.

08:03 Si tu lui offres un couteau, il ne sera jamais, il ne dira jamais,

08:06 bon, encore un couteau.

08:07 En fait, il est fan de couteaux.

08:08 Je te dis à quel point il est fan, frère.

08:10 Il a un couteau, par exemple, noir mat,

08:12 noir mat avec un point américain intégré.

08:15 Bien sûr.

08:16 Et en fait, parfois, il regarde le couteau.

08:19 Tu ne crois pas ce qu'il vient de dire.

08:21 La lame, elle est noir mat.

08:22 Et il dit comme ça, quand tu es en combat,

08:24 le soleil, il ne faut pas se refléter dessus.

08:26 Merci, con !

08:27 Il ne les sort jamais de chez lui, frère.

08:29 Ils sont toujours dans le salon.

08:31 Papa, con !

08:33 On est en combat.

08:34 Quand est-ce qu'on est en combat ?

08:35 Il a un couteau avec une lame crantée.

08:37 Et il dit comme ça, quand tu plantes un mec et que tu le sors,

08:40 la chair ne veut pas cicatriser.

08:41 C'est sûr.

08:42 Il est complètement ravagé.

08:43 Tu sais, il y a un truc chaud, c'est que lui,

08:45 quand tu lui dis con, toi, tu entends genre c'est débile et tout.

08:47 Mais le truc qui est un peu flippant, c'est qu'au fond de lui,

08:49 il répond un jour.

08:50 Voilà, au fond de lui, il espère un peu,

08:52 toute la lame va partir en couille à un moment.

08:54 Et il en a combien à peu près ?

08:55 Je pense qu'il en a une bonne vingtaine.

08:57 Ah ouais, d'accord.

08:58 Plus des katanas.

08:59 Plus des katanas.

09:00 Et parfois, il sort le katana comme ça.

09:01 Il est comme ça.

09:02 Et il dit, je ne vais pas te montrer, mais parfois,

09:04 et tu sais, il fait des…

09:05 Ouais, voilà, voilà.

09:06 Tu sais, il fait genre…

09:08 C'est un peu dangereux parce qu'il est très prêt à chaque fois.

09:10 Et ton père, il a fait l'armée ?

09:12 Il a fait un peu l'armée, il a fait le service, etc.

09:15 Et puis, il a fait des sports de combat et tout.

09:17 C'est ça.

09:18 Il est leader de bois.

09:19 Donc, il a quand même un passé de bagarreur.

09:20 Quand il fait ça avec le sable, il ne fait pas n'importe quoi.

09:22 Mais il est un peu fort.

09:23 Oui, voilà, c'est ça.

09:24 Il a des compétences.

09:25 Il est un peu fort.

09:26 Je pense qu'il est prêt.

09:27 Ça y est, il ne peut pas faire autre chose.

09:28 Il est prêt.

09:29 Moi, je vais le faire avec le nunchaku.

09:32 Non.

09:33 Moi, je vais le faire genre vite fait, tu vois.

09:35 Vraiment ?

09:36 Genre vite, vite, quoi.

09:37 J'ai une vidéo, je crois.

09:38 Non, moi, je veux du vrai.

09:39 Non, je ne veux pas de vidéo.

09:40 Parce que la vidéo, c'est celle que tu as gardée, c'est forcément celle où tu réussis.

09:42 Mais oui.

09:43 Ce qui est déjà pas mal.

09:44 La prochaine fois, on…

09:45 Je demande à voir quand même.

09:46 Mais attends.

09:47 La prochaine fois, on apportera le nunchaku.

09:48 On apportera le nunchaku.

09:49 On apportera le nunchaku.

09:50 On apportera le nunchaku.

09:51 On apportera le nunchaku.

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16:59 On apportera le nunchaku.

17:00 On apportera le nunchaku.

17:01 On apportera le nunchaku.

17:02 On apportera le nunchaku.

17:03 On apportera le nunchaku.

17:04 On apportera le nunchaku.

17:05 On apportera le nunchaku.

17:06 On apportera le nunchaku.

17:07 On apportera le nunchaku.

17:09 Du coup, à chaque fois que je tournais à droite,

17:11 du coup, elle faisait calculer la vitesse de la roue droite,

17:14 et elle ne savait pas, et du coup, elle me limitait à 50.

17:16 Ça veut dire que des fois, j'étais sur l'autoroute,

17:18 et du coup, je tournais à droite, et d'un coup, elle faisait "tchiii".

17:21 Et elle se remettait à 50.

17:22 Et pour faire ça, il fallait que je remette les roues droites,

17:25 et pendant qu'elle roule, sans freiner,

17:27 on met le point mort pour la laisser rouler.

17:29 Et je te jure, et on coupe le...

17:30 Il fallait que je fasse 10 pour...

17:31 Enfin, qu'est-ce que c'est que ça ?

17:33 Ah, merde !

17:34 Attends deux secondes.

17:36 Tiens, tu sors ton foulard et tu fais ça, s'il te plaît.

17:38 Tu sais qu'à la base, ce qu'il devait faire, il avait fait des trous...

17:40 Pendant qu'elle roule, je me disais...

17:42 "Coupez le contact, remettez le contact, archi vite."

17:44 Je l'ai vu, je l'ai vu, je l'ai vu.

17:46 Je l'ai vu, reste, je l'ai vu.

17:47 20 minutes, c'est bien pour les missions.

17:49 On est en petite vie.

17:50 On est en famille du gars, quoi.

17:51 T'as fait combien de temps comme ça ?

17:52 Il a fait des années comme ça.

17:54 Et il prenait des gens dans sa voiture.

17:56 Des gens de confiance, des gens qui lui faisaient confiance.

17:58 Ça, c'est le genre de mec qui peut dire "en fait, j'ai un problème de frein."

18:01 C'est-à-dire, en fait, j'ai fait un trou dans le sol et parfois, je porte la voiture et je freine avec les pieds.

18:05 Freine avec les pieds, colle le bitume, colle le bitume.

18:08 Tu as le front de ta ceinture, tu l'attires, tu l'attends.

18:11 "Attention, ça va y aller, ça partit."

18:13 Il a mis des plaques en métal sur ses chaussures, comme ça quand il freine, il détend.

18:17 Non, mais du coup, je te jure, ça a l'air fou et tout.

18:20 "Allez, c'est parti, tu fais la macarena, attention, on n'a plus que 100 mètres à faire, c'est parti."

18:25 Le culot qui vient vous dire, il a dit "ça a l'air fou comme ça."

18:28 Non, ça a l'air fou comme ça, en fait, tu coupes le contact et je le remets tellement vite

18:31 que le moteur, il n'a pas le temps de se couper.

18:33 Donc, c'est comme si il ne s'est rien passé.

18:35 C'est ça.

18:36 Mais, vous, vous voyez quel négatif.

18:38 Ça veut dire que tu peux aller tout droit.

18:40 Et lui, il a le droit de vote.

18:42 C'est un scandaleux.

18:45 Il peut prendre des décisions qui ont un impact sur l'avenir de la France.

18:49 Mais frère, ça y est, maintenant, tu as une autre voiture.

18:52 J'ai une autre voiture.

18:53 Je vais acheter une moto, ça m'inquiète.

18:55 Moi, j'ai un problème avec ma moto, c'est que parfois, je suis obligé de retourner le bivouac.

19:00 Elle n'a qu'une roue.

19:01 Elle n'a qu'une roue pour resserrer ma roue.

19:03 Il faut être en wheeling, en H24, c'est tout, frérot.

19:05 Non, mais après, au quai, il manque, elle est derrière.

19:08 Je suis obligé de tourner très vite et d'abord...

19:10 Mais moi, en fait, je m'en fous, sa voiture, elle a des problèmes.

19:18 Ce que je n'aime pas, c'est qu'il essaie de me faire croire que c'est normal.

19:22 C'est ça.

19:23 En fait, mon problème, je m'habitue trop aux trucs comme ça.

19:27 Je ne sais pas vous, mais moi, le premier jour, le truc, le bouton, je me dis, il faut régler ça.

19:34 Deuxième jour, je me dis encore.

19:35 Troisième jour, je me dis, en vrai, ça ferme.

19:36 Quatrième jour, je n'entends plus, frère.

19:38 Tu sais, moi, je me suis rendu compte d'un truc, c'est que je n'ai jamais rien réparé de toute ma vie.

19:42 Je me suis habitué aux trucs cassés.

19:44 Tu as fait avec les trucs cassés ?

19:46 Oui.

19:47 Je n'ai jamais rien réparé.

19:48 Un jour, j'ai pété une chaise et je m'habituais juste à ce que le dossier soit cassé.

19:51 C'est-à-dire que moi, en cas de fin du monde, je suis inutile.

19:56 Je suis inutile.

19:58 Fataliste, quoi.

19:59 Moi, vraiment, je pense que je suis celui qu'on mange en premier.

20:01 On peut lui donner tous nos objets cassés si c'est la fin du monde.

20:04 Je saurais en faire quelque chose.

20:06 Dans cette émission, on va faire un truc un peu particulier.

20:11 Ce n'est vraiment pas particulier.

20:12 On ne peut pas commencer depuis tout à l'heure.

20:14 Non, là, c'était l'intro.

20:15 On va regarder parfois des vidéos qui nous font rire ou des news ou des trucs.

20:19 Est-ce qu'on ne regarderait pas une maintenant ?

20:21 Juste pour.

20:22 Casa.

20:23 Je tiens juste à préciser que Casa, sur son téléphone, il a ce petit truc-là.

20:26 C'est notre sponsor.

20:28 C'est notre sponsor du jour.

20:29 Galaxy Clip.

20:31 Galaxy Clip.

20:32 Attends, mais c'est fait pour quoi, au fait ?

20:33 Ça, tu peux le tenir comme ça.

20:34 Oui.

20:35 Tu peux le tenir comme ça si tu veux filmer.

20:37 Tu veux faire ça.

20:41 Ah oui, ça, voilà.

20:42 Tu es venu en métro ?

20:43 Tu es venu en punaise de lit ?

20:45 Tu es peut-être une punaise dans l'invencible.

20:47 Ah, tu as mangé des fritilles.

20:49 Vas-y, au hasard, celle-là.

20:52 Bear réagit à un miroir dans la forêt.

20:55 Ah, je crois que j'ai vu celle-ci.

20:59 Ne te surpris pas.

21:03 À mon avis, il nous tue.

21:09 À mon avis, il nous tue si on fait en bagarre.

21:11 En 3 contre 1 ?

21:12 3 contre 1, je ne sais pas.

21:13 3 contre 1, je ne sais pas.

21:14 Moi, je ne suis pas sûr parce que déjà, moi, j'estime que je suis plus fort qu'un miroir.

21:17 Donc, en bref, le miroir, il était vraiment...

21:20 "Regarde, miroir."

21:22 En vrai, moi, j'ai plusieurs questions.

21:24 Au-delà de...

21:25 J'ai plusieurs questions.

21:26 Parce qu'au début, lui, il n'a pas conscience qu'il existe.

21:28 Il se dit...

21:29 Tu penses qu'il ne s'est jamais vu quand il a bu dans une...

21:31 Tu sais, comme dans les...

21:32 Il a bu, il n'a pas vu sa gueule, il s'est dit, il y a un ours qui fait de la pnée comme ça.

21:35 Non, mais il n'a pas conscience qu'il existe.

21:40 Donc, il croit qu'il s'embrouille avec un ours.

21:42 Après, il tabasse l'ours, le miroir, il tombe.

21:44 Est-ce qu'il se dit...

21:45 "Oh, le chien, je l'ai tellement fumé, il a disparu."

21:47 C'est bizarre.

21:52 Qu'est-ce qui se passe ?

21:53 Mais peut-être qu'en fait, il a conscience.

21:54 Il dit, "Mais je ne veux pas me voir.

21:56 Je n'aime pas ma gueule.

21:57 Je veux que j'y aille."

21:58 Il a fait des trucs un peu graves à l'époque.

22:00 Il s'est trouvé un peu enrobé, il n'a pas eu les gueules.

22:02 "Putain, ce n'est pas possible."

22:04 Ça fout la force du truc.

22:06 Moi, c'est la force qui me terrifie.

22:09 Genre, tu vois bien, quand il agrippe le truc...

22:10 Parce qu'il est vif, en plus.

22:12 Tu vois bien que si c'est ton corps, il n'en pue la moitié déjà.

22:14 Frère, il est archi vif.

22:16 Il est en train de sentir une odeur.

22:20 Il sent le miroir, il sent ses poras.

22:22 Là, tu es mort.

22:26 Non, je jure que c'est un humain.

22:31 En vrai, je pense que c'est un humain caché dans un ours.

22:33 C'est impossible, il s'est enlevé sur ses deux pieds.

22:35 C'est-à-dire que c'est des frôles depuis le début.

22:37 Tu sais, par réflexe, quand tu as un truc de réflexe,

22:39 c'est toi vraiment.

22:40 Là, le réflexe, il s'est mis genre...

22:42 "Y'a haja, mon pote. Y'a haja."

22:44 Moi, en fait, vraiment, merci Internet.

22:46 Parce que je pense que de toute ma vie,

22:48 je n'aurais jamais vu un ours se battre avec un miroir.

22:50 C'est des choses qu'on n'est pas censés voir, en vrai.

22:53 Genre, c'est quoi l'expérience ?

22:54 Ils ont mis un miroir déjà au milieu de la forêt.

22:56 Ils se sont dit peut-être un jour, Inch'Allah,

22:58 il y a...

22:59 Il va se passer quelque chose.

23:02 Il va se passer quelque chose.

23:03 Il pose une cam.

23:04 Si ça se trouve, ils ont 1000 heures de rush.

23:06 Le monteur, il a vu...

23:08 La plupart des ours, ils étaient là.

23:10 Ils ont vu un oiseau qui...

23:12 "Non, ça, ça ne s'en prend pas. On s'en fout.

23:14 Il est déjà parti."

23:15 Tu vois, le gars, il s'est dit

23:17 "Putain, vas-y.

23:18 Le mec, il doit payer pour dérusher tout ça.

23:21 Ah, OK.

23:22 Je l'ai, ton ours, un an après."

23:24 Joël, tu en es où du dérush ?

23:27 Ça se met à la base,

23:29 c'était même pas ça l'expérience.

23:30 Y'a quelqu'un qui a dit

23:31 "Vas-y, balance la vidéo avec l'ours."

23:33 Je ne sais pas, j'ai un ours qui est complètement fou.

23:36 Je pense qu'il...

23:38 À la base, c'était une expérience sur la photosynthèse.

23:40 On dit peut-être que si on met un reflet ici,

23:42 on va pouvoir faire pousser cette pétunia.

23:44 Qui n'a jamais poussé.

23:46 En revanche, les gars, si vous voulez...

23:48 Y'a un ours, il est arrivé...

23:50 J'ai un ours qu'on a détruit psychologiquement.

23:53 Ça vous dit ?

23:54 Parce que maintenant, le gars, il détruit.

23:56 T'imagines, il est rentré chez lui.

23:58 Avec sa femme qui lui disait

24:02 "Papa, ça va ?

24:03 Je savais, hein."

24:05 "On va déménager."

24:06 "Il est de gros, le gars !"

24:08 Tu sais que j'ai appris que les chats...

24:10 Je sais pas si c'est une vraie news.

24:12 Mais les chats, apparemment,

24:13 ils nous voient comme des gros chats.

24:15 Quoi ? Mais n'importe quoi.

24:17 Non, mais pas genre.

24:18 Ils se disent pas "Ah, c'est une autre espèce."

24:20 Ils se disent juste "C'est des plus gros chats."

24:22 Ah ouais, c'est un autre truc.

24:23 Ils se disent "C'est un autre truc, comme moi, mais plus gros."

24:25 C'est pas mal.

24:26 J'aime bien cette théorie.

24:28 Attends, j'avais vu...

24:29 Attends, attends.

24:30 J'ai vu un peu de saufs.

24:31 C'est vraiment faux.

24:32 C'est vraiment faux.

24:33 C'est pour faire ton intéressant, j'ai rien à faire de ça.

24:35 T'as pas besoin de ça pour que je t'aime.

24:37 Attends, mais non.

24:38 Moi, les théories,

24:39 je veux pas qu'elles soient vraies ou fausses,

24:40 je veux qu'elles soient intéressantes.

24:41 Moi, c'est tout.

24:42 Attends, j'avais vu une vidéo...

24:44 C'est une théorie qui est certes fausse,

24:47 mais réconfortante.

24:48 Et donc, les chiens,

24:50 ils se disent que c'est des gros chats qu'ils détestent, quoi.

24:53 Ils se disent "Eux, en revanche, ces gros chats-là,

24:58 je les conchis."

25:00 Donc ça me hérisse les poils.

25:02 Je vois que c'est un gros chat,

25:04 mais je sais pas pourquoi je le sens pas, ce chat.

25:06 Si anormal, c'est un chien.

25:07 Attends, je vais quand même...

25:08 Je fais pas les coups de toi, tu le sais très bien.

25:10 Je vais quand même lui sentir le trou du cul au caoutchouc.

25:12 Il se regarde et...

25:13 "Oh, le chuchard, pourquoi il aboie, lui ?"

25:15 "Eh, t'es un chat, t'es un chat, frère !

25:17 Pourquoi t'abois ?"

25:18 Ce chat qui aboie comme un chien, tu vois.

25:20 Vous avez vu cette vidéo de ce chat ?

25:21 Je sais pas pourquoi.

25:22 Ah oui, oui, oui !

25:23 Attends, il parle, wesh.

25:24 Non, faux.

25:26 Allez, hop.

25:27 Il arrête pas de nous montrer des trucs.

25:29 C'est quoi ?

25:30 "Vous, ce qu'on dit..."

25:31 C'est chiant, je suis désolé, c'est chiant de parler d'islam à chaque fois,

25:38 mais 100% c'est un genou.

25:39 Je suis désolé.

25:40 Non, mais on est d'accord.

25:41 Non, mais 100%...

25:42 T'as un cul à l'air, on est d'accord.

25:44 On est d'accord que...

25:46 C'est un genou, là, 2000%, frère.

25:48 C'est un esprit, gros.

25:49 Mais on dit, je sais pas si tu te rappelles, de Constantine.

25:51 Tu as vu le film Constantine avec Keanu Reeves ?

25:53 Ouais.

25:54 Il prend un chat à un moment parce qu'il dit

25:55 "c'est le passage vers les enfers", etc.

25:56 Ah ouais ?

25:58 Ils essayent même plus de se cacher.

26:00 Il est là...

26:01 Y a pas une version sous-titrée de ça, où il parle vraiment ?

26:06 Non, mais il parle pas vraiment.

26:07 Moi, j'ai vu une version sous-titrée.

26:09 Mais moi, ce qui m'énerve, c'est qu'ils font plus d'efforts.

26:11 Non, mais attends, t'en m'énerve pas.

26:13 J'ai vu une version sous-titrée.

26:14 T'en m'énerve pas, il m'a dit.

26:15 Est-ce que j'ai pas vu une version sous-titrée ?

26:18 Non, bah là, ça n'a rien à voir.

26:19 Là, tu vas se crever du genou.

26:21 On va tomber dessus à un moment.

26:23 Non, attends, mais si.

26:25 J'ai vu une version sous-titrée, je me suis dit "c'est sérieux, c'est dingue".

26:27 De celle-ci ?

26:28 Oui, oui, oui.

26:29 Ok, non, c'est pas ça.

26:30 C'est pas grave, je vais mentir.

26:31 On la trouvera, on la mettra.

26:32 Oui, oui.

26:33 Mais attends, par contre, si on reste sur les animaux...

26:35 Les vidéos de Coq avec des baskets.

26:40 Ça, j'avais jamais vu ça.

26:43 Voilà, les Coq avec des baskets, ça marche trop bien.

26:45 Tu vois quand il court ? Regarde quand il court.

26:47 Il court comme un mec qui retient son jogging pour pas que ça tombe.

26:54 On dirait un jeu sur Super Nintendo.

26:57 C'est super frère.

26:59 C'est des illustrations parfaites de Chicken Run.

27:02 Non, il court vraiment comme dans Banjo et Kazooie.

27:04 Ouais, voilà, c'est ça, tu vois, la mime, elle est trop bien faite.

27:07 J'ai tangé de dire "c'est bien fait".

27:10 Moi, il y a toujours deux étapes dans ces vidéos.

27:13 Au début, je rigole.

27:14 Et après, je dis...

27:16 Il est très clairement en train de vivre un enfer.

27:18 Il y a juste un humain qui a dit "tiens, tu vas mettre ces petites, tu vas mettre ces balles".

27:23 En fait, c'est Vance.

27:24 Et on shoot.

27:26 Et lui, il est comme ça.

27:27 En fait, j'ai envie de m'enfuir.

27:28 Je suis d'accord pour l'ours, le poulet, frère.

27:30 Est-ce qu'il a l'air malheureux ?

27:31 Mais l'ours, lui, il est tranquille.

27:32 Le premier truc qu'il fait, c'est qu'il court.

27:33 Mais est-ce que tu crois qu'il est rentré dans les ponts de lui-même ?

27:36 Est-ce que tu crois qu'il est franchement nice ?

27:38 Contexte.

27:39 Là, frère, le premier truc qu'il fait, c'est qu'il teste les baskets.

27:42 Cette vidéo n'est pas sortie sans contexte.

27:44 Il y a un humain qui l'a pris.

27:46 Il lui a dit "Tu mets cette paire de baskets et maintenant, tu cours".

27:50 Et qui dit qu'il n'y a pas un humain qui l'a pris à la fin.

27:52 Tu vois, enlever ses chaussures.

27:53 Il y a un mec qui cherche ses menaces.

27:57 Il est parti chez Foot Locker.

27:59 Vous avez du 1.

28:01 Et vous l'achetez la plus petite.

28:03 Dites-nous ce que vous en pensez.

28:04 Moi, je pense que c'est de la torture animale.

28:05 Mais oui.

28:06 J'ai toujours deux couches.

28:07 En revanche, moi, en parlant d'animaux, j'en ai une aussi à vous montrer.

28:11 Il y a quelqu'un qui a fait les lacets d'un coq.

28:15 Il est en mode "Ne bouge pas".

28:16 Il essaie de s'enfuir ce pauvre coq.

28:18 Une boucle de boucle.

28:19 Il a qu'à voler ce con, frère.

28:20 Souvent, on s'envoie des vidéos avec Adrien de cet animal.

28:23 Tu sais pourquoi les coqs et les poulets ne s'envolent pas ?

28:26 Non.

28:27 Parce qu'ils sont persuadés d'être des plus petits chats.

28:29 Et viands, ce n'est pas une sponso.

28:32 Mais si vous voulez sponso, du coup, et viands, on est chaud.

28:34 Ça et iPod.

28:36 Je pense que la réponse sera non.

28:37 Mon rêve, c'est Rhinoshield.

28:39 C'est quoi ta casquette ?

28:40 Cara, si vous voulez.

28:41 Sponso Cara.

28:42 Avec Adrien, on s'envoie pas mal de photos ou de vidéos de cet animal.

28:47 Et il m'en a envoyé une hier qui est absolument géniale.

28:50 Un animal en particulier ?

28:51 Un animal en particulier.

28:52 Attends, viens on le filme.

28:53 Un indice ?

28:54 Oui.

28:55 Chat, imaginez.

28:56 Je prends des jeux, on peut regarder.

28:59 Ah oui !

29:02 Tu sais qu'il essaie de le noyer, là ?

29:04 Il lui a envoyé un crochet de l'espace, frère.

29:11 Je rêverais que le mec soit tombé dans l'eau.

29:13 Et que ce ne soit pas que le téléphone.

29:15 Il est monstrueux.

29:17 Le move d'arriver en chevauchant un chien.

29:23 Il est galerie !

29:27 Regarde là, il est toujours au loin comme ça.

29:30 Avec ses pecs.

29:31 Le move d'arriver en chevauchant ton animal domestique.

29:36 Désormais, il fait partie de mon appartement.

29:39 Ce que je vois, c'est que le chien en dessous, il est comme ça parce qu'il a pas de pied.

29:42 Non mais c'est un enfer, je la montre à Casa pour le style.

29:45 Tu penses qu'ils ont compris le message ?

30:08 Pardon pour les poustillons.

30:09 On a une fascination pour ce genre de...

30:14 Déjà la musculature humaine, mais inhumaine.

30:17 Tu vois, il y a des biceps, il y a des avant-bras.

30:21 Au bout, il y a trois griffes.

30:22 Il est comme ça.

30:24 Alors, excusez-moi.

30:26 Au début de la vidéo...

30:29 Il le chevauche.

30:30 Non, il est en train de l'enculer.

30:31 Le chien, il est comme ça.

30:36 Excusez-moi, t'as un kangourou qui est derrière, qui tient avec ses griffes.

30:40 Il le noie et il l'encule en même temps.

30:42 Ça n'a rien à voir.

30:43 Regarde ce que ça a.

30:44 Non mais c'est terrible.

30:46 Non, je te jure, il le chevauche.

30:47 Et moi, ce que je trouve hilarant, c'est que ça fait pas de bruit non plus.

30:50 Au moins, parle, dis quelque chose.

30:57 Genre, c'est tellement fluide.

31:00 Tu sais que c'est vrai que les kangourous, ils font genre, ils sont perdus dans l'eau.

31:03 Oui, ça.

31:05 Et il y a des animaux qui arrivent et...

31:06 Ça, oui.

31:07 Et ils le foutent sous l'eau et terminé.

31:08 Mais pourquoi ils font ça ? Ils mangent pas des animaux.

31:10 Non, je pense que c'est juste de la haggrave.

31:13 C'est juste des mecs qui se disent "J'ai de la force, je vais l'utiliser à mauvaise issue".

31:18 Ah, ça, je peux comprendre.

31:19 C'est qui ? J'avais vu un mème comme ça passer qui disait qu'un kangourou, c'est vraiment une biche qui a poussé à la salle.

31:26 Exact.

31:28 Et je trouvais ça hilarant.

31:29 C'est vraiment Bambi, il a vu sa mère mourir.

31:31 Il s'est dit "je peux en faire un".

31:33 150 aux développés jugés.

31:35 Ah, les kangourous, moi, ça me terrifie.

31:38 C'est quoi l'animal le plus fou que tu as vu en vrai ?

31:40 Qu'est-ce que j'ai vu comme animal ?

31:44 Je vais passer pour l'instant, je vais réfléchir.

31:46 Moi, je me suis embrayé avec des ratons laveurs.

31:48 Ah, ça, c'est énorme.

31:49 Moi, j'adore les ratons.

31:50 Je suis fan de ratons laveurs.

31:51 C'est des chiens, gros.

31:52 Pas tous les ratons laveurs, évidemment, il y en a, ils sont de gauche et de droite et tout.

31:55 Mais qui ?

31:58 Moi, les ratons laveurs, je condamne.

31:59 Non, mais après, c'est des ratons laveurs en Allemagne.

32:01 En gros, je suis en Allemagne.

32:03 Quoi ?

32:04 Je te jure, je suis en Allemagne.

32:07 Mais il faut savoir que je suis un enfant.

32:08 Déjà, énorme.

32:10 Tu avais la métaille, comme maintenant ?

32:11 Oui, j'étais un enfant.

32:12 Énorme coupe que je fais, gros.

32:13 Donc, on fait les échanges avec le collège, tu vois.

32:17 Il y a des Allemands, ils viennent, ils dorment chez toi et toi, tu dors chez les Allemands.

32:19 Sauf que moi, ma mère, elle a dit "alors, il n'y a aucun Allemand qui dort chez moi".

32:23 Je lui ai dit, frère, c'est que la guerre avait fini.

32:29 Donc, du coup, les deux Allemands, ils vont dormir chez Guillaume Métro.

32:32 Guillaume Métro, tu connais, c'est genre le gars qui fait l'Allemand,

32:34 genre le prof qui lui fait tout.

32:35 Donc, les deux, ils vont dormir chez Guillaume Métro.

32:37 Et après, du coup, moi, je vais dormir chez un des deux.

32:39 Et Guillaume Métro, ils lui disent "tu veux dormir chez lequel ?"

32:41 Il dit "moi, je m'entends grave avec un tel et tout, je vais dormir chez un tel".

32:44 Donc, moi, je vais dormir chez l'autre, il s'appelle Maximilien.

32:46 Frère, Guillaume Métro, il se retrouve dans un bidonville.

32:50 Mais quand je te dis un bidonville, le gars est pauvre de fou, il n'a pas un rond.

32:54 Guillaume Métro, il vient à midi avec des carottes crues.

32:56 C'est ça, c'est le déjeuner qu'il leur donne.

32:58 Moi, gros, j'arrive dans un palace.

33:00 Maximilien, il a une vie de fou, gros.

33:04 Les deux parents, ils sont psychologues.

33:06 Il y en a un, il y en avait un psychologue à domicile,

33:08 ça veut dire "je vois des fous passer et tout, c'est trop mal, mon frère".

33:10 La douche, ils avaient...

33:12 Tu vois la salle de bain ?

33:13 Imagine, ça, c'est la salle de bain.

33:14 La douche, elle est au milieu de la pièce, dans un cercle en verre.

33:17 - Bien sûr. - Gros, avec l'eau qui sortait des trucs.

33:20 Et avec les fauteuils qui regardent.

33:22 Et les mecs qui sont là, ils...

33:24 C'était incroyable.

33:26 - C'était incroyable. - Maximilien ou c'était Maximilien ?

33:28 Non, il s'appelle Maximilien.

33:29 Et c'était incroyable.

33:30 J'arrive, ils me disent "je suis là pour..."

33:32 Tu sais, ils savent que je parle pas le mandarin.

33:33 Ils me disent "tu es con, parle en anglais".

33:34 Je dis "grave, vraiment".

33:36 - Le voyage qui t'a battu en ce moment. - C'est juste, il y a un moment,

33:38 on avait une sortie avec le collège et tout.

33:40 Ils disent "là, ils vont vous emmener au musée de trucs et tout".

33:42 Mais nous, on va au zoo.

33:43 Qu'est-ce que t'en penses ?

33:44 On est allé au zoo.

33:45 Bref.

33:46 Et à un moment, du coup, on va au zoo.

33:48 On va au zoo, et moi, je suis un enfant et j'ai un bâton.

33:51 Et je te jure, j'ai un bâton, je marche avec le bâton et tout.

33:53 Et il y a des ratons laveurs qui se baladent dans le zoo, un peu libre, tu vois.

33:56 Et à un moment, il y a un raton laveur, il se met à terre.

33:59 Et genre, tu vois, il commence à toucher un peu le bâton, tu vois.

34:01 Et moi, t'as vu, je suis un enfant.

34:02 Et t'as vu, je suis en mode "je tire un peu le bâton vers moi".

34:04 Et genre, lui, il voit que je tire le bâton, il attrape le bâton comme asse.

34:07 Et du coup, moi, je tire le bâton, lui, il tire le bâton.

34:09 Et je commence, je suis en train de m'embrouiller avec le bâton.

34:11 En plus, ils sont grave habiles avec leurs mots.

34:12 Non, mais gros, il attrape le bâton comme asse et il tire.

34:15 Mais moi, t'as vu, en fait, je tire, mais je veux pas tirer trop fort.

34:17 Là, c'est le dégoût, c'est ce qu'ils ont.

34:18 Non, parce que ouais, ouais, c'est mon bâton.

34:20 Et vas-y, si je tire trop fort, je vais le prendre avec.

34:21 C'est un raton laveur.

34:22 Gros, je tire d'un coup, il lâche, ça, pff, comme ça.

34:25 Et genre, vraiment, il me téma, il taille.

34:27 Je continue ma balade dans le zoo, 5 ratons laveurs qui arrivent vers moi.

34:30 Je te jure, gros.

34:31 Mec de circuit.

34:32 Comme les mecs de circuit.

34:33 5 ratons laveurs, gros, 5 ratons laveurs qui arrivent vers moi.

34:36 Genre, t'sais, il y avait des branches qui passaient au-dessus, c'était ça le délire.

34:39 Genre, ils passent au-dessus de toi, c'est stylé, gros.

34:40 Ils arrivent de tous les côtés, je te jure.

34:42 Il y en a un, il a attrapé le bâton.

34:43 J'ai lâché le bâton, ils ont pris le bâton, ils sont partis.

34:45 Gros, j'ai dû prendre un morceau de leur nid ou je sais pas quoi, gros.

34:49 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

34:52 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

34:54 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

34:56 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

34:58 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:00 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:02 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:04 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:20 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:22 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:24 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:26 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:28 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:30 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:32 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

35:34 J'ai pris un morceau de leur nid, j'ai pris un morceau de leur nid.

36:02 On n'allait pas aller jusqu'à là, mais oui c'était étendu.

36:05 Mais après, ce n'est pas de ma faute s'ils n'ont aucune humanité.

36:07 J'ai vu des kangourous en vrai en Australie.

36:11 Ils étaient très gentils.

36:12 Mais ce n'était pas des kangourous baraque comme ça.

36:14 C'était dans un parc où pareil, ils te laissaient t'approcher et après, ils t'enculaient.

36:18 [Rires]

36:20 Non, non. Ce sont des bons kangourous.

36:22 C'est des bons kangourous.

36:23 Même eux, ils sont venus te voir, ils t'ont dit « ne crois pas ce que tu vois sur Internet ».

36:26 Mais clairement, ils viennent bouffer. Mais franchement, c'était pas mal.

36:29 Tu as vu la vidéo du gars qui est chez lui, sur sa boîte, il a une super baraque.

36:33 Il y a une énorme vitre.

36:34 Il est vitré là ?

36:35 Oui, oui. Comme on se voit dehors et qu'il fait juste comme dans les jeux vidéo.

36:38 Oui, il est bloqué là. Il rentre avec ses pecs.

36:41 Tu as vu les griffes d'un kangourou ?

36:43 Oui, oui. C'est énorme.

36:44 C'est des trucs comme ça.

36:45 Oui.

36:45 Ah, est-ce que vous avez déjà vu, il faudrait que je la retrouve cette vidéo.

36:49 Est-ce que vous avez déjà vu des girafes se battre ?

36:52 Oh ! Elle est incroyable.

36:55 Bon, ben voilà. Tu tires à la retrouver, on vous la mettra.

36:59 Non, mais franchement.

37:00 Mais tu as vu le docu Netflix ? Dans le docu Netflix, Afrique, il y a une bagarre de girafes.

37:05 Et à un moment, elles répondent ça et tout.

37:06 Et il y en a une, genre en fait, c'est un combat de genre, il y en a une qui a fait ça,

37:10 l'autre, elle lui répond ça.

37:11 Mais c'est abusé de violence.

37:12 Mais frère, à un moment, il y en a une, elle esquive.

37:14 Il y en a une qui a fait ça et l'autre, elle fait comme ça, dans le même sens.

37:17 Du coup, hop, elle esquive. Et après, elle lui envoie un, c'est à l'autre sens.

37:20 Ça devient un ballet en fait.

37:21 Ça devient une natation synchronisée et le truc.

37:23 Mais c'est fou en fait que ton seul moyen de bagarre, c'est tomber à ta nuque.

37:27 Ouais, mais ouais.

37:28 Comment tu perds la bagarre ?

37:30 Non, non, j'ai déjà vu des girafes mettre des gros coups de sabot à des petits trucs.

37:34 Ah, quand même ? Oui, comme les chevaux.

37:35 Non, mais on veut girafe, girafe.

37:36 Girafe, girafe, ouais. Girafe versus girafe.

37:38 Après, elles n'ont pas des guns et tout.

37:40 Moi, je pense qu'il y a des petites lames ici, genre.

37:44 Elles sont tunées.

37:46 Les bagarres d'animaux.

37:47 Il y a même une vidéo de deux ours qui se battaient.

37:49 Ah, la longue là ?

37:51 La longue là ?

37:52 Celle qui dure un an, ouais.

37:53 On dirait un combat de canin.

37:54 Ils se prennent, ils se mettent par terre et tout.

37:56 C'est horrible.

37:57 Parce que tu sais, on voyait des vidéos de Habib qui se battait avec un ours et tout.

38:00 L'ours, il ne voulait pas se battre vraiment.

38:02 Il était dans le jeu.

38:04 Parce qu'il voulait… hop, terminé.

38:06 Fin de la bagarre.

38:08 Mais déjà, le daron de Habib, il l'a envoyé s'entraîner avec des ours.

38:12 C'est un mou quand même.

38:14 Non, parce que genre, il y a des gens…

38:16 Tu imagines la condition de ton fils.

38:17 Il y a ça et il y a des gens qui disent "moi, mes enfants, je les élevais un peu durement,

38:20 pas de tablette".

38:21 Il était en mode "mec, si tu racontes rien, pas de tablette, gros".

38:27 Il y avait une bible comme ça au Dagestan.

38:29 Il y avait un reportage.

38:30 C'est Sparte en fait.

38:33 Il disait "ça, c'est une rivière où il y a beaucoup de courant et les enfants,

38:38 ils apprennent à nager ici".

38:39 C'est-à-dire qu'on les prend, on les jette dans la rivière.

38:41 S'ils meurent, ils meurent quoi.

38:43 C'est Habib qui dit ça.

38:44 Frère, c'est fou.

38:45 C'est Habib.

38:46 En fait, au Dagestan, il y a un endroit où ils nagent, une sorte d'écluse, tu vois.

38:49 Et il dit "les gens, ils viennent ici et puis quand on était petits, on s'amusait.

38:52 Puis de temps en temps, il y en avait qui meurent".

38:53 C'est pour ça qu'ils sont durs d'avoir autant de valeur.

38:58 Lui, il le dit comme ça parce que son fils, c'est un champion, mais il y a eu deux,

39:02 trois familles.

39:03 Il est où du coup ? Il est mort.

39:05 Mais oui, c'était le truc.

39:08 C'était la possibilité du courant.

39:09 Même en Zodiaque, on a du mal à avancer.

39:13 Je vais aller voir sa mère maintenant et je vais lui dire que…

39:16 C'est moi qui suis con d'avoir demandé.

39:17 Mais non, mais après, c'est un vrai truc.

39:22 Ma femme, elle m'a dit qu'on lui a appris à nager comme un sœur.

39:24 On l'achetait dans l'eau.

39:25 Il y a des vidéos de bébés comme ça où ils nagent dans l'eau.

39:28 Je t'en ai envoyé une.

39:29 Il y a une vidéo de bébé, je crois.

39:30 Oui, c'est ça.

39:31 C'est un truc qui se fait beaucoup.

39:32 Elle est violente, la vidéo.

39:33 Oui, genre les années 70.

39:34 Non, là.

39:35 Hier.

39:36 Moi, ma femme, elle n'est pas allée dans les années 70.

39:37 Oui, mais ce que je veux dire, c'est qu'il y a encore… Mais elle était toute petite,

39:44 bébé, bébé.

39:45 Elle nageait dans l'eau.

39:46 Tu la retrouves.

39:47 Je te l'envoie.

39:48 C'est ça.

39:49 Maman, elle ne m'a jamais fait ça.

39:50 Et au bled, il n'y a pas de piscine.

39:51 Il n'y a pas d'eau.

39:52 C'est la merde.

39:53 Dans l'eau de mer.

39:54 Les bébés, tu les gènes.

39:55 Oui, mais c'est un réflexe.

39:56 Ils nagent.

39:57 Oui, mais après, tu perds ce réflexe.

39:58 Non.

39:59 En fait, justement, c'est l'idée.

40:00 Ils gardent ce réflexe toute leur vie.

40:01 Après, de temps en temps, ils ramènent à chaque fois de temps en temps à l'eau.

40:02 Après, ça fait des bons nageurs.

40:03 Donc, elle nage très bien.

40:04 Même pas.

40:05 Non.

40:06 Vraiment, tout l'argumentaire.

40:07 C'est comme tout le monde.

40:08 Ma femme, elle nage comme une luse.

40:09 Elle va à la plage, elle se met accroupie pour que l'eau, elle arrive là.

40:10 Habillée en plus.

40:11 C'est ça, tu as déjà le visque.

40:12 Elle nage dans l'eau en même temps.

40:13 Vas-y, vise.

40:14 Attends, parce que là, là, elle a jeté comme un sac de cloche.

40:15 Elle nage dans l'eau.

40:16 Elle nage dans l'eau.

40:17 Elle nage dans l'eau.

40:18 Elle nage dans l'eau.

40:19 Elle nage dans l'eau.

40:20 Elle nage dans l'eau.

40:21 Elle nage dans l'eau.

40:22 Elle nage dans l'eau.

40:33 Elle nage dans l'eau.

40:52 Elle nage dans l'eau.

41:15 Elle nage dans l'eau.

41:39 Elle nage dans l'eau.

42:07 Elle nage dans l'eau.

42:14 Elle nage dans l'eau.

42:15 Elle nage dans l'eau.

42:16 Elle nage dans l'eau.

42:17 Elle nage dans l'eau.

42:18 Elle nage dans l'eau.

42:19 Elle nage dans l'eau.

42:20 Elle nage dans l'eau.

42:21 Elle nage dans l'eau.

42:22 Elle nage dans l'eau.

42:23 Elle nage dans l'eau.

42:24 Elle nage dans l'eau.

42:25 Elle nage dans l'eau.

42:26 Elle nage dans l'eau.

42:27 Elle nage dans l'eau.

42:28 Elle nage dans l'eau.

42:29 Elle nage dans l'eau.

42:30 Elle nage dans l'eau.

42:31 Elle nage dans l'eau.

42:32 Elle nage dans l'eau.

42:33 Elle nage dans l'eau.

42:34 Elle nage dans l'eau.

42:35 Elle nage dans l'eau.

42:36 Elle nage dans l'eau.

42:37 Elle nage dans l'eau.

42:38 Elle nage dans l'eau.

42:39 Elle nage dans l'eau.

42:40 Elle nage dans l'eau.

42:41 Elle nage dans l'eau.

42:42 Elle nage dans l'eau.

42:43 Elle nage dans l'eau.

42:44 Elle nage dans l'eau.

42:45 Elle nage dans l'eau.

42:46 Elle nage dans l'eau.

42:47 Elle nage dans l'eau.

42:48 Elle nage dans l'eau.

42:49 Elle nage dans l'eau.

42:50 Elle nage dans l'eau.

42:51 Elle nage dans l'eau.

42:52 Elle nage dans l'eau.

42:53 Elle nage dans l'eau.

42:54 Elle nage dans l'eau.

42:55 Elle nage dans l'eau.

42:56 Elle nage dans l'eau.

42:58 Oh putain !

42:59 Elle s'est cassée l'avant forcément.

43:03 Non, ça va.

43:04 Ça met la circulation pas à ton tour.

43:06 Mais tu sais qu'il y a des trucs comme ça,

43:07 je suis tombé sur des bagarres comme ça de hockey,

43:09 et le joueur, il s'en sépare et tout,

43:11 et après il recoupe l'un vers l'autre.

43:12 C'est vraiment l'horreur, bien sûr.

43:14 Complètement barbe.

43:15 C'est vraiment un super geste technique.

43:16 Ouais, mais c'est ça.

43:17 Non mais en fait, le hockey c'est ça,

43:18 mais c'est aussi...

43:19 On est allé voir un match de hockey,

43:21 où ?

43:22 Ah ouais, à Montréal.

43:23 À Montréal, oui.

43:24 C'était stylé.

43:25 Et alors ?

43:26 Et alors, comment c'est bien ?

43:27 Eux, il y en a tous les deux jours,

43:28 c'est vraiment la...

43:29 Eux, c'est vraiment le foot salve.

43:30 Ouais, voilà, c'est ça.

43:31 Ils vont...

43:32 Nous, on va faire un five,

43:33 eux, ils vont faire un match de hockey.

43:34 Il y a un truc que tu vois pas à la télé,

43:35 mais que tu vois en vrai,

43:36 c'est qu'en fait, ton cerveau,

43:37 il crée genre une fascination de...

43:39 Ils vont très vite,

43:40 ils manient un petit palais,

43:41 avec un ballet,

43:42 et ils sont sur des patins.

43:43 Et en fait, tout ça,

43:44 ton cerveau, il le capte pas,

43:45 et du coup, à le regarder,

43:46 c'est très plaisant.

43:47 Parce que là-bas, tu sens les bruits.

43:49 Tu sens le "rch".

43:50 Ah oui, oui, il y a ça.

43:51 "Ssss, ssss, ssss".

43:52 Tu vois ce que je veux dire ?

43:53 C'est le direct générique d'une émission

43:54 sur Arte à l'époque.

43:55 Tu vois, tu vois ?

43:56 "Boum, ssss, ssss, ssss".

43:57 C'était quoi ?

43:58 "Ssss, ssss, ssss, ssss".

43:59 C'était les jingles, les jingles d'Arte.

44:01 Non, les jingles des canals.

44:03 Les canals à l'ancienne, c'était...

44:04 "Cinéma, chicha".

44:06 Et forcément, toi,

44:07 t'allais te coucher à ce moment-là.

44:08 Moi, mes parents me disaient...

44:09 Ils me prenaient comme ça.

44:10 Ils me mettaient dans la piscine

44:11 et on allait prendre un léger.

44:12 Moi, t'sais, gros,

44:13 c'était strict.

44:14 Moi, j'allais me coucher à 20h tous les jours.

44:15 T'étais pas où ?

44:16 C'était strict, genre ?

44:17 20h tous les jours, au lit.

44:18 20h ?

44:19 20h, gros.

44:20 20h, c'est peu...

44:21 20h, après, on a eu Game One

44:22 dans la chambre, là-haut.

44:23 Complètement crazy.

44:24 Ah, donc après,

44:25 ils ont mis la télé dans la chambre.

44:26 Non, c'est nous qui avons mis

44:27 la télé dans la chambre.

44:28 Comment ?

44:29 Avec la cachette ?

44:30 Oui.

44:31 Non.

44:32 Non.

44:34 C'est génial.

44:35 Game Cube et tout là-bas.

44:36 Et en gros, il y avait une télé.

44:37 Donc, c'est pas nous qui avons acheté une télé.

44:38 Qui était genre dans le sous-sol.

44:39 Et du coup, mon frère,

44:40 il la prend et il la monte.

44:41 Et dans ma chambre,

44:42 derrière, il y a des combles.

44:43 Du coup, il a tout mis dans les combles.

44:44 Et du coup, il avait mis

44:45 genre la Game Cube

44:46 dans les combles et tout.

44:47 Et il y a des moments,

44:48 genre, il sortait la Game Cube

44:49 en scred, tu sais,

44:50 il remet, après,

44:51 il remet dans les combles.

44:52 Avec la télé ?

44:53 Oui, oui.

44:54 C'était une petite télé, tu vois.

44:55 Ah ouais, mais quand même.

44:56 On s'est fait cramer une fois, je crois.

44:57 T'sais, c'est pas une Game Boy.

44:58 Tu sors une télé d'un mur.

44:59 Aussi petite soit-elle,

45:00 le stress, mec,

45:01 l'adrénaline.

45:02 En plus, tu sais,

45:03 le toit,

45:04 c'est un toit qui est vraiment

45:05 yeuve.

45:06 Ça veut dire,

45:07 de notre côté,

45:08 à nous,

45:09 on voit genre

45:10 les...

45:11 les cèdes d'isolation et tout.

45:12 Il y avait des araignées et tout.

45:13 Donc, c'était vraiment une épreuve

45:14 d'y aller.

45:15 Il fallait aller la chercher.

45:16 Moi, je me souviens...

45:17 On jouait à quoi ?

45:18 On jouait à Tony Hawk

45:19 sur Game Cube.

45:20 Je me souviens, moi,

45:21 c'était encore un peu plus.

45:22 C'était avec la Super Nintendo et tout.

45:23 Qu'on nous avait offert à Noël

45:24 avec mes ruffs et tout.

45:25 Mais ils voulaient pas

45:26 de bordel dans le salon.

45:27 Donc, il fallait à chaque fois

45:28 qu'on la range dans la boîte et tout.

45:29 C'était sacralisation de l'objet.

45:30 Et on la remettait et tout.

45:31 Et machin.

45:32 Et de temps en temps,

45:33 on rentrait de l'école plus tôt.

45:34 Il fallait qu'on fasse nos devoirs.

45:35 Mais bien sûr,

45:36 on les faisait pas.

45:37 Et on jouait à la console

45:38 sur la télé, machin.

45:39 Et à l'époque,

45:40 comme c'était des grosses

45:41 télés cathodiques,

45:42 tu sais, ça chauffait.

45:43 Donc, les darons, tu vois,

45:44 ils rentraient du...

45:45 Ils touchaient la télé.

45:46 On avait la température.

45:47 Ils touchaient la télé.

45:48 Personne ne connaissait

45:49 ça aujourd'hui.

45:50 Mais c'était vraiment...

45:51 On était là.

45:52 Et vraiment, on allait partout.

45:53 Putain, vite on range.

45:54 On voit la voiture qui arrive.

45:55 Et pas, on éteint la télé

45:56 ou je sais pas quoi.

45:57 Les...

45:58 Si on regardait la télé

45:59 ou la console, vite on range ça.

46:00 Et tout.

46:01 Et ensuite, on était comme ça.

46:02 On ouvrait les devoirs et tout.

46:03 Et lui, en fait,

46:04 il arrivait jusque masse.

46:05 Il touchait.

46:06 Il fait "Venez-vous".

46:07 Et on se dit "Venez-vous".

46:08 Et il dit "Vous me prenez pour un con".

46:09 "Bande de cons".

46:10 Je lui dis "Elle est chaude.

46:11 Elle est brûlante".

46:12 "Putain, vous avez fait

46:13 3 heures de télé.

46:14 Bande de chiasse".

46:15 C'est ça que tu nous racontais

46:16 quand après,

46:17 vous vous enfermez dans le noir

46:18 avec la santé.

46:19 C'est ça.

46:20 Peut-être que tu veux en parler maintenant.

46:21 C'est le moment

46:22 que peut-être tu veux nous décrire.

46:23 Mais là, c'est fou.

46:24 Quand t'es petit,

46:25 tu fais des trucs.

46:26 Aujourd'hui, tu te dis "Waouh".

46:27 Moi, une fois,

46:28 j'ai failli foutre le fer à mon appart.

46:29 Ça, c'est normal.

46:30 A l'appart familial.

46:31 On est presque volontaire.

46:32 A l'appart familial.

46:33 En gros, on devait…

46:34 On va dire,

46:35 on est en fin de semaine.

46:36 On est genre jeudi ou vendredi.

46:37 Et dimanche,

46:38 on doit aller au parc Astérix.

46:39 J'ai l'impression

46:40 que tu as choisi ton moment.

46:41 Et en gros,

46:42 à un moment,

46:43 je vois…

46:44 Frère, moi,

46:45 ça allait très vite dans ma tête.

46:46 Moi, à l'époque,

46:47 j'étais tellement con

46:48 que je pensais que j'habitais

46:49 genre au 6ème étage.

46:50 Je suis sauté du 6ème étage

46:51 avec une chaise

46:52 et que je sautais de la chaise

46:53 au dernier moment.

46:54 J'allais pouvoir aller

46:56 Je sautais au dernier moment.

46:57 Bref, j'étais con à ce point-là.

46:58 Et en gros,

46:59 à un moment,

47:00 je vois une feuille de sopalin,

47:01 seule,

47:02 que je ne sais pas

47:03 à quelle fauteuil là.

47:04 Et des allumettes.

47:05 Je me dis…

47:06 Et je commence à mettre le feu.

47:07 Je me dis,

47:08 je vais pouvoir l'éteindre rapidement.

47:09 Je fais ça.

47:10 Ça met le feu

47:11 à un autre truc.

47:12 Et là,

47:13 je prends de l'eau.

47:14 Je suis comme ça et tout.

47:15 Et ma mère,

47:16 elle rentre.

47:17 Et là, évidemment,

47:18 elle dit qu'est-ce qui s'est passé et tout.

47:19 Et moi,

47:20 je suis là.

47:21 Je suis là.

47:22 Je suis là.

47:23 Je suis là.

47:24 Elle m'a dit qu'est-ce qui s'est passé et tout.

47:25 Et moi,

47:26 je suis là.

47:27 À un moment,

47:28 ça a pris feu.

47:29 Comme ça.

47:30 Et je me dis,

47:31 non mais ça…

47:32 Tu as réussi à l'éteindre ?

47:33 C'est ta mère qui a fait ça ?

47:34 J'ai réussi à l'éteindre.

47:35 J'ai réussi à l'éteindre.

47:36 Elle est rentrée plus tard,

47:37 mais ça sentait le temps.

47:38 Mais il y avait du poulassis partout,

47:39 des trucs et tout.

47:40 Et elle m'a dit,

47:41 pour la peine,

47:42 on ne va pas aller au Parc-Astérix.

47:43 Et moi,

47:44 elle veut juste dire non.

47:45 Moi, ça,

47:46 j'ai fait,

47:47 c'est pas moi,

47:48 rien à voir.

47:49 Je ne l'ai pas allée au Parc-Astérix.

47:50 Vous ne l'avez pas allée ?

47:51 Non, non.

47:52 Elle a dit,

47:53 elle, la daronne…

47:54 Qui ma mère,

47:55 c'est une pute ou quoi ?

47:56 Par contre,

47:57 ça sent vraiment que la daronne,

47:58 elle a tenté une excuse

47:59 pour annuler le Parc-Astérix.

48:00 C'est elle qui a…

48:01 Avant de partir au taf,

48:02 elle a mis la feuille désallumée.

48:03 Toute la journée,

48:04 elle m'a dit,

48:05 "Disneyception",

48:06 elle m'a dit,

48:07 c'est le feu, ça.

48:08 On sent l'ambiance,

48:09 et on lui a proposé

48:10 une sortie dimanche.

48:11 Je suis allé au Parc-Astérix.

48:12 On va pas prendre une navette.

48:13 Mais Roderick,

48:14 on est content d'aller à Montréal.

48:15 Il y a un gars à moi

48:16 qui est venu le chercher.

48:17 C'est un gars du 93.

48:18 Il a des diplômes et tout,

48:19 mais ici,

48:20 il ne trouvait pas de taf.

48:21 Du coup,

48:22 il est allé à Montréal.

48:23 Là-bas,

48:24 il est tranquille et tout.

48:25 C'est n'importe quoi.

48:26 Bref,

48:27 il est là-bas.

48:28 Il est fou.

48:29 Il traîne en grand Dodge Ram.

48:30 Il est complètement barjo.

48:31 C'est un renois de 2,5 m.

48:32 Grosse locs et tout.

48:33 Et en gros,

48:34 lui,

48:35 quand il était petit,

48:36 lui, il est vraiment...

48:37 Franchement,

48:38 je l'aime trop,

48:39 mais il est con.

48:40 Quand il était petit,

48:41 il était tellement accro à l'ordinateur.

48:42 Tu te rappelles,

48:43 j'avais l'ambiance de...

48:44 On jouait par exemple

48:45 à World of Warcraft ou Tofus

48:46 le midi par exemple.

48:47 Le midi,

48:48 on ne pouvait pas.

48:49 C'était l'école.

48:50 Du coup,

48:51 sa mère,

48:52 ce qu'elle faisait,

48:53 c'est qu'elle prenait à midi

48:54 le clavier et la souris

48:55 de l'ordinateur

48:56 et elle les mettait

48:57 dans sa chambre

48:58 qui est fermée à clé.

48:59 Du coup,

49:00 lui, ce qu'il a fait...

49:01 Dans sa chambre, elle ?

49:02 Oui.

49:03 Là, il y a la fenêtre de sa chambre.

49:04 Là, il y a la fenêtre du salon.

49:05 Non.

49:06 Du coup,

49:07 à midi, c'est accro.

49:08 Mais non.

49:09 Il ouvre la fenêtre.

49:10 Pour aller dans l'autre pièce,

49:13 il y arrive et tout,

49:14 il ouvre.

49:15 Il prend le truc.

49:16 Mais maintenant,

49:17 comment tu fais passer le truc ?

49:18 Et il n'est même pas tombé.

49:19 Il est tombé en passant le clavier

49:21 dans le salon.

49:22 Il est tombé de là

49:23 et genre,

49:24 il est tombé sur les jambes.

49:25 Quel étage ?

49:26 Beaucoup,

49:27 8, 4 ou un truc comme ça.

49:28 Non, tu mens.

49:29 Si, si, si.

49:30 Et genre, il est tombé sur les jambes.

49:31 Franchement, il avait une chaise.

49:32 Oui, mais tu te rappelles,

49:33 il t'a raconté.

49:34 Il a eu de la rééducation et tout

49:35 parce que genre, son corps,

49:36 il a vraiment fait…

49:37 Et maintenant, il fait 2 mètres,

49:38 je ne sais pas combien.

49:39 Heureusement, il est tombé.

49:40 Là, il fait 3 mètres.

49:41 En vrai, c'est la stop à sa croissance

49:42 parce que là,

49:43 il était parti pour faire 4 mètres 16.

49:44 Il est tombé de…

49:45 Mais frère, ça rend…

49:46 Mais c'est…

49:47 Et…

49:48 Excusez-moi de vous surprendre.

49:49 Dans la vie,

49:50 il y a les tournantes

49:51 et il y a les tournées.

49:52 Donc moi, c'est la tournée

49:53 puisque les tournantes,

49:54 c'est condamnable.

49:55 La tournée,

49:56 c'est un peu partout dans toute la France.

49:57 Tu peux voir sur la billetterie,

49:58 tu tapes Jérôme Niel

49:59 et c'est pareil.

50:00 Oui, on me fait signe là-bas.

50:01 Je fais mais il est foalier,

50:02 lui, il est drogué.

50:03 Et en fait, non,

50:04 il est complètement sensé

50:05 et il me dit de regarder la caméra.

50:06 Donc, je fais un tournée,

50:07 tu vas voir Jérôme Niel, billetterie.

50:08 Ça se finit en janvier 2024.

50:10 Trianon !

50:11 Pour ceux qui regardent ça en 2025,

50:13 essayez d'inventer une machine

50:14 à remonter le temps

50:15 et viens voir la montre au 6 janvier.

50:17 Et pour moi,

50:18 ça a fait crac

50:20 et il dit,

50:21 je retourne à l'école.

50:22 J'ai mal d'entrepreneurs.

50:23 Parce qu'il voulait

50:24 le clavier et la souris

50:25 pour jouer à Dofus.

50:26 Il ne s'est pas dit,

50:27 je vais aller dans la chambre de ma mère

50:28 et je vais juste ouvrir la porte de l'intérieur ?

50:29 Non, non,

50:30 c'est fermer la clé.

50:31 Je ne sais pas,

50:32 fermer la clé.

50:33 Peut-être, c'est fermer la clé

50:34 et après, on fait le taille.

50:35 C'est fou,

50:36 plutôt de tenter d'ouvrir la porte

50:37 et de crocheter la serrure.

50:38 Non, non, lui, il s'est dit,

50:39 il y a un macache.

50:40 Il s'est dit, non,

50:41 il y a moyen,

50:43 mon petit cousin,

50:44 il est sauté du cinquième étage.

50:45 Il a sauté ou tombé ?

50:46 Non, il a sauté.

50:47 Pourquoi ?

50:48 Pour de vrai,

50:49 il a fait le truc,

50:50 tu sais qu'on a entendu

50:51 mille fois,

50:52 mon oncle,

50:53 dans un arbre,

50:54 lui a acheté un costume

50:55 de super-héros,

50:56 pour de vrai.

50:57 Il avait 5 ou 6 ans

50:58 et il a sauté du cinquième étage.

51:00 Mais c'était Aquaman en plus,

51:01 ça n'a rien à voir.

51:02 Il a dit, je voulais Superman

51:05 et il s'est suicidé.

51:06 Au moins, sois fidèle

51:08 au costume que tu portes.

51:09 Plus loin que toi dans la baignoire,

51:11 putain.

51:12 Loin de toi dans la baignoire.

51:14 Ou alors,

51:16 demande juste à tes parents

51:17 qu'ils te jettent dans une piscine.

51:18 T'imagines,

51:20 s'il avait acheté tant de trucs

51:21 il serait dans les égouts,

51:22 le petit ref a mangé des pizzas.

51:23 Il s'est jeté du cinquième étage,

51:26 il est tombé en bas,

51:27 il y avait des buissons

51:28 et en fait,

51:29 il n'a rien eu.

51:30 Il s'est, je crois,

51:32 foulé.

51:33 Du coup, il a recommencé.

51:34 Parce qu'il pense que c'est possible.

51:35 Il est tombé,

51:37 il a dit, je le savais.

51:38 Il a eu la musique dans la tête.

51:40 Il a fait papapapapa.

51:41 Papapapapa.

51:43 Il a commencé à avoir des bouts de crochet.

51:46 C'est du quoi le costume, on sait ?

51:47 Je crois que c'est Superman.

51:48 Ah oui, il est justifié.

51:50 Je comprends, il faut pas le justifier.

51:51 Dans la connerie quoi.

51:53 Putain.

51:55 En fait, ce qui est dangereux

51:56 pour un enfant,

51:57 c'est pas qu'il saute du cinquième étage

51:58 et qu'il survive.

51:59 Bah oui.

52:00 Parce que t'imagines,

52:01 ce qu'il va dire à ses potes.

52:02 Il va arriver comme un sans-place.

52:04 Il va dire, moi apprendre l'espagnol

52:05 ça m'intéresse pas.

52:06 Moi j'ai une mission bien plus grande.

52:08 Il fait ça,

52:09 il se passe.

52:10 Il marche pas tous les jours.

52:12 C'est fou hein.

52:14 C'est fou comme personne

52:18 n'est plus fort que la gravité frère.

52:19 Ouais.

52:21 Sauf Elon Musk.

52:22 Putain mais j'ai vu une vidéo là

52:29 d'un genre condor américain

52:31 qui ouvre ses ailes.

52:32 Frère c'est terrifiant.

52:33 C'est des prédateurs.

52:35 Tu l'as vu ?

52:36 Beaucoup plus que le condor allemand.

52:38 Le condor américain.

52:39 Attends, attends.

52:40 Tu sais que Maximilien avait un condor

52:41 dans un certain domaine.

52:42 Qui tournait autour de la douche en verre.

52:44 Mais genre on va vraiment

52:45 ne parler que d'animaux là ?

52:46 Mais attends, condor américain.

52:47 Amérique.

52:48 American condor.

52:49 Ah ouais ça peut faire

52:50 deux, trois mètres ce truc là.

52:51 Attends ça m'a mis des mangas frère.

52:52 Qu'est-ce qui a de problème avec Twitter ?

52:54 C'est pas que le problème avec Twitter.

52:56 Moi je t'ai proposé une vidéo

52:57 entre-là.

52:58 Ouais.

52:59 Je voulais dire un truc à la base.

53:00 T'as-tu eu un gros accident ?

53:02 Un gros accident ?

53:03 Là on parle de chute de trucs.

53:05 J'ai eu un accident de voiture

53:06 mais je m'en souviens plus.

53:07 J'étais tout petit avec mes parents.

53:09 Tu t'en souviens plus ?

53:10 Non parce que j'étais trop petit.

53:11 Mais c'est mon père qui m'a raconté

53:12 qu'on a fini sur le toit.

53:13 Il y a un dème.

53:15 C'était des vieilles voitures.

53:16 Il peut te raconter un peu ce qu'il veut.

53:17 Je pensais du coup...

53:18 Mais pourquoi il me racontait ça ?

53:19 Ça n'a aucun intérêt.

53:20 Mais sinon non,

53:22 j'ai pas eu de gros accident.

53:23 Même je me suis rien cassé.

53:24 Je me suis jamais rien cassé par exemple.

53:25 T'es déjà cassé des trucs ?

53:27 Moi j'ai eu des petits soucis.

53:29 Toi tu t'es cassé le nez ?

53:30 Ouais enfin moi j'ai cassé le nez.

53:31 C'est fou que Meroine ait autant la puissance d'un boxeur

53:32 sans les capacités physique.

53:33 Ah oui tu fais de la bagarre un peu ?

53:35 Je faisais mais c'est pas pour moi.

53:37 Bah oui.

53:38 Non mais ouais moi c'est horrible.

53:40 En plein combat en gros,

53:41 on t'a cassé le nez.

53:42 Moi c'est horrible.

53:43 Moi c'est le gars,

53:44 il envoie un kick je crois.

53:46 Ou il envoie un kick genre

53:48 et vraiment paf, il craque.

53:49 Oh putain.

53:50 Ça c'est la version officielle.

53:51 Tu le sens direct quand...

53:52 Ça c'est la version officielle.

53:53 Il m'a tapé dans le ventre,

53:54 je suis tombé en avant et paf.

53:55 Non.

53:57 Non vraiment ?

53:58 Non mais c'est vrai.

54:00 Oh putain, merde.

54:02 Il s'est cassé le nez tout seul.

54:05 Bah ouais.

54:06 Non mais c'était pas mal frère.

54:07 Oui bah à un moment c'est moi

54:08 contre la planète Terre en fait.

54:09 Oh non.

54:10 C'est fou parce que tu montes sur le ring,

54:12 tu te dis putain ça va c'est souple

54:13 en fait.

54:14 Pas du tout.

54:15 Et ça fait quoi quand tu l'as senti direct ?

54:17 Non ça fait rien.

54:18 Le réparage est vraiment douloureux

54:20 par rapport au cassage.

54:21 Putain.

54:22 Cassage t'as l'impression que t'as rien.

54:23 Ouais.

54:24 Cassage t'as rien,

54:25 c'est vraiment le réparage

54:26 qui te fait un peu mal.

54:27 C'est vraiment le réparage.

54:28 C'est vraiment le réparage.

54:29 C'est vraiment le réparage.

54:30 C'est vraiment le réparage.

54:31 C'est vraiment le réparage.

54:32 C'est vraiment le réparage.

54:33 C'est vraiment le réparage.

54:34 C'est vraiment le réparage.

54:35 C'est vraiment le réparage.

54:36 C'est vraiment le réparage.

54:37 C'est vraiment le réparage.

54:38 C'est vraiment le réparage.

54:39 C'est vraiment le réparage.

54:40 C'est vraiment le réparage.

54:41 C'est vraiment le réparage.

54:42 C'est vraiment le réparage.

54:43 C'est vraiment le réparage.

54:44 C'est vraiment le réparage.

54:45 C'est vraiment le réparage.

54:46 C'est vraiment le réparage.

54:57 C'est vraiment le réparage.

55:04 C'est vraiment le réparage.

55:05 C'est vraiment le réparage.

55:06 C'est vraiment le réparage.

55:07 C'est vraiment le réparage.

55:08 C'est vraiment le réparage.

55:09 C'est vraiment le réparage.

55:10 C'est vraiment le réparage.

55:11 C'est vraiment le réparage.

55:12 C'est vraiment le réparage.

55:13 C'est vraiment le réparage.

55:14 C'est vraiment le réparage.

55:15 C'est vraiment le réparage.

55:16 C'est vraiment le réparage.

55:17 C'est vraiment le réparage.

55:18 C'est vraiment le réparage.

55:19 C'est vraiment le réparage.

55:20 C'est vraiment le réparage.

55:21 C'est vraiment le réparage.

55:22 C'est vraiment le réparage.

55:24 Ouais, je vous ai appris des choses.

55:25 Après, il nous faisait travailler gratuitement.

55:26 Un gars, Kéron à l'époque et tout.

55:27 Putain !

55:28 C'était chez Kéron.

55:29 C'est génial.

55:30 C'était chez Kéron qui avait des travaux à faire.

55:31 On a pas ce qu'on lui faisait faire les travaux.

55:32 Non, on faisait une véranda.

55:33 C'est quand même énorme.

55:34 Messieurs, ce fut un plaisir de partager toutes ces discussions autour du monde animal.

55:35 Plaisir partagé.

55:36 Et des bébés noyés.

55:37 Et des bébés.

55:38 Jérôme, à bientôt.

55:39 Merci.

55:40 Merwan, à très vite.

55:41 Franchement, trop bien.

55:42 C'était 30 millions d'amis en beaucoup plus court.

55:43 On fait semblant de se masturber juste pour la fin.

55:54 Allez, ça va.

55:59 A bientôt.

56:04 Prétexte !

PRETEXTE EP.1 - KATANA ET POULE EN BASKET (Jeremy Nadeau, Merwane Benlazar, Jerome Niel)

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