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00:00 [Musique]
00:08 Pascal Najadji, tout le monde ne vous connaît pas.
00:11 C'est un plaisir de vous rencontrer aujourd'hui à Bruxelles.
00:14 Expliquez un peu d'où vous venez, parce que vous étiez du Serra,
00:17 vous étiez du business avant, et là vous "dénoncez" vos anciens amis.
00:24 Merci pour l'accueil, merci pour votre temps de me recevoir ici à Bruxelles et de me parler.
00:35 Ce n'étaient pas mes amis, ce n'étaient jamais des amis.
00:38 Nous sommes comme des États, on a des intérêts.
00:41 Mais j'ai dégagé de ce monde de la haute finance pour d'autres raisons.
00:46 Bien avant la COVID, j'ai vu qu'à Londres, je dirigeais une banque,
00:51 et j'ai dit au conseil général que la corruption avançait beaucoup trop lourd sur le système bancaire.
01:01 Et moi, je n'étais jamais un trader ou un gestionnaire de l'argent.
01:05 J'ai conseillé les chefs d'État dans les crises,
01:09 souvent aussi, des fois, dans les questions de paix et de guerre.
01:16 Par exemple, la Croatie ou bien des pays africains, ou dans le Moyen-Orient.
01:22 Dans les crises, quoi.
01:24 J'ai quitté l'industrie en 2008, en fait.
01:28 Après, j'ai conseillé un pays dans l'Asie centrale, la Russie.
01:34 Et puis, maintenant, les choses ont bien changé.
01:39 Après 2008, 2013, mon père a été assassiné en Malaisie.
01:45 Il était le gros fondateur du WEF, dans les années 70.
01:50 Lui a quitté Klaus Schwab en 1983, en disant que ce monsieur est trop bizarre.
01:59 Et il l'a dégagé.
02:01 Il n'a pas travaillé pour, il a travaillé avec. C'est une grande différence.
02:05 Et après, vous savez bien, le WEF est devenu un WEF en 1987 ou 1990.
02:13 Il est devenu par l'EMF, le Forum de Management Européen.
02:17 Il est devenu le WEF.
02:18 Donc, mon père est parti bien avant.
02:21 Et ensuite, l'opération PsyOps Covid, on a tous subi un grand choc.
02:29 Et maintenant, les injections tuent les gens.
02:33 Et je m'engage pour la défense et la protection de l'humanité.
02:39 Donc, vous avez quitté la finance bien avant le Covid.
02:42 Mais quand le Covid arrive, vous pensez quand même que ce qu'ils disent dans les médias,
02:49 qu'il faut se vacciner, entre guillemets, pour protéger les autres, se protéger.
02:57 Vous vous faites vacciner quand même ?
02:59 Oui, parce qu'on était dans la coercion.
03:03 Et la coercion, ils disent toujours que ce n'était pas obligatoire.
03:08 Mais c'était obligatoire par les pilotes, par exemple, par les militaires, les policiers, les gendarmes
03:13 et beaucoup d'autres professions.
03:15 C'était obligatoire, sinon on perdait le job d'abord.
03:18 Et la coercion, c'est l'utilisation de la force, parce que c'est une force psychologique.
03:24 Donc, c'est illégal.
03:26 Et les mandats sur le Covid Law, le Covid, ce n'est pas constitutionnel.
03:38 La loi ici à Bruxelles dit, même à l'EU, tous les hommes et femmes sont égaux devant la loi.
03:48 Normalement.
03:49 Non, c'est écrit dans la loi.
03:52 Et maintenant, ils disent, "Vax, unvax".
03:55 Qu'est-ce qu'on a créé ? Un régime d'apartheid.
03:57 On connaît ça de l'Afrique du Sud.
04:00 Je m'excuse, les noirs, les blacks et les blancs.
04:03 On ne voulait pas, on arrêtait l'apartheid en Afrique du Sud.
04:07 Mais chez nous, mondialement, sous la direction de l'OMS,
04:11 qui est une institution criminelle, privée, un NGO privé.
04:16 L'OMS n'a rien à voir avec un État.
04:19 À Genève, financé par le Big Pharma, Bill Gates et les autres,
04:25 qui déclare une pandémie qui n'est pas une pandémie.
04:30 Une pandémie, c'est absolument impossible de se produire.
04:35 Et qui recommande une loi qui fait apartheid, "Vax, unvax",
04:42 qui est une violation flagrante de tous les lois.
04:49 Les droits humains sont inclus.
04:52 Tous les lois disent que tout le monde est égal devant la loi.
04:56 Humain, je veux dire.
04:58 Les animaux, même eux, ils ont leurs lois.
05:01 Ils protègent leur raison d'être.
05:05 Alors, les droits qui nous ont été donnés à la naissance d'exister
05:12 comme être humain, étaient violés.
05:15 Certains vous diront, moi je me suis fait vacciner.
05:18 Où est le problème ? Vous, vous vous êtes fait vacciner.
05:21 Mais vous avez eu des effets secondaires.
05:23 Je ne suis pas vacciné, je suis injecté.
05:25 Injecté, oui, oui.
05:26 Non, non.
05:27 Vous vous êtes fait injecter avec un produit expérimental.
05:29 Et qu'est-ce que vous avez eu ?
05:31 Des coups de barre, des coups de barre, fatigue.
05:34 J'ai des bouteilles d'oxygène partout.
05:36 C'est l'oxygène médical pour l'intervention sélective,
05:42 c'est situatif, je veux dire.
05:45 Et encore pire, j'ai fait les tests sanguines.
05:48 Le test normal, chez votre docteur, en ville ou en village,
05:51 vous allez pour une prise de sang,
05:53 il envoie ça dans le labo régional.
05:56 Il ne voit pas les dégâts.
06:00 Il faut faire un test cellulaire sur le sang.
06:03 Et là, malheureusement, 90% de tous les tests
06:07 qui rentrent dans le labo en Allemagne,
06:10 près de Berlin, de Professeur Koenig,
06:12 90% de 100%, 90% ont des spikes toxiques dans leur sang.
06:20 Alors vous avez des spikes toxiques,
06:22 des nanolipides qui sont toxiques.
06:24 Le gouvernement suisse médic, par exemple,
06:27 chez nous c'est suisse médic,
06:28 ils savaient très bien que l'emballage de l'arène,
06:31 ils ont utilisé un stabilisateur qui s'appelle nanolipide.
06:36 C'est des trucs artificiels.
06:38 Et ils sont sur la...
06:40 Vous pouvez les acheter chez Sanofi,
06:42 chez Solvay en Belgique.
06:45 You can ask, you can buy them in BASF.
06:48 C'est un truc, un marchandise, même online.
06:53 Et la boîte, c'est écrit "Not for animal and human use".
06:58 And it's written "Classified nanolipides are scientifically classified toxins".
07:05 Alors, comment peut-on injecter l'humanité
07:10 avec un produit qui contient des toxines ?
07:13 Je demande à tous les juges, les procureurs, la police,
07:17 votre fille, Filoïlle, petite fille, viens,
07:20 j'ai mal à la tête, donne-moi un aspirine.
07:23 Je dis "Oh, je m'excuse, je ne sais pas, Nathalie,
07:25 je vais chercher quelque chose".
07:26 Et la boîte, j'ai trouvé un "Against Headache",
07:30 tiens, et c'est écrit "Poison".
07:34 Vous le donnez à votre enfant ?
07:38 Question ? Certainement pas.
07:40 Alors ils ont fait ça.
07:42 - Vous vous battez maintenant pour dénoncer...
07:44 - Je ne me batte pas, je protège et défend l'humanité, moi-même.
07:47 - Oui, vous vous battez...
07:48 - Non, je saigne.
07:49 - Oui, vous vous battez aussi, mais...
07:51 - Nous ne sommes pas des complotistes, juste to say.
07:53 - Non, non, il ne faut pas...
07:54 - Nous ne sommes pas des complotistes,
07:56 ni des militants, ni des combattants,
08:00 ni des casseurs.
08:01 - Vous êtes antivac, vous êtes pas...
08:02 - Non, en général, on ne casse pas.
08:04 On protège ce qui est là.
08:06 C'est la justice, on protège la justice
08:10 qui est écrite dans notre loi et constitution.
08:14 Et on protège nos frontières,
08:17 notre ordre de communauté concernant la santé
08:22 et les standards qu'il faut maintenir.
08:24 C'est tout.
08:26 - Ils ont été assez forts pour faire ça,
08:29 pour piquer des milliards de personnes.
08:32 Comment vous pensez qu'il va pouvoir y avoir un basculement
08:36 pour justement tous ceux qui ont fait ça ?
08:38 Parce que vous vous dénoncez la justice aussi,
08:39 vous y croyez plutôt.
08:40 - Non, elle n'est pas fiable, c'est un joke,
08:42 c'est une travestie.
08:43 La justice doit être corrigée par des événements
08:45 qui vont se passer très bientôt et sont hors de mon contrôle.
08:49 Le monde a été attaqué par des éléments corrompus,
08:56 des éléments méchants,
09:00 avec une agenda de dépopulation.
09:02 C'est évident, c'est clair.
09:04 Regardez le professeur Bhakti.
09:06 Vous connaissez le professeur Bhakti ?
09:08 Ou le professeur Hockerts ?
09:10 Par exemple, c'est des amis à moi,
09:12 ou le professeur Hadditch ?
09:14 En Autriche.
09:16 Ils m'ont tous dit en privé,
09:18 ils m'ont dit "écoute, 25-30% de 5,7 milliards vont partir
09:25 dans les prochains 2 ou 5 ans,
09:28 parce que la substance, l'arme biologique
09:33 est une arme intelligente.
09:35 Ce n'est pas des effets secondaires,
09:38 c'est des effets primaires.
09:40 Si je fabrique un fusil verretta
09:44 et je tue monsieur un tel,
09:47 c'est un effet primaire, pas un effet secondaire.
09:50 Donc, ce n'est pas de la médecine.
09:54 Maintenant en 2023, on le sait.
09:57 Tous les laboratoires normales peuvent voir que c'est un poison.
10:01 Et puis la question va vers les législateurs,
10:05 vers le gouvernement, le gouvernement tordu.
10:09 Qu'est-ce que vous aurez fait ?
10:11 Pour ça, il n'y a qu'une solution,
10:16 c'est la justice militaire,
10:18 parce que c'est une arme biologique militaire.
10:21 Je ne vois pas d'autre solution.
10:25 Est-ce que vous avez été menacé ?
10:27 Non, jamais.
10:29 Il y avait un colis d'Ukraine qui est venu de Kiev,
10:32 mais c'est une autre chose.
10:34 Non, menacé non jamais, non, non, ils n'osent pas.
10:37 Parce qu'ils savent, moi je sais qu'ils savent.
10:40 Le problème, c'est des nuits blanches maintenant,
10:44 parce que malheureusement, tristement,
10:47 Ils ont peur au procès ?
10:49 Ils ont peur, absolument.
10:51 Ils voulaient remonter l'iris,
10:53 ils voulaient remonter les masques,
10:55 mais Donald Trump a dit "Allez vous voir,
10:58 we will not comply,
11:00 you are covid psychopaths".
11:02 Trump a dit ça, manifester le président Trump.
11:05 Oui, c'est pas une blague.
11:08 "We will not comply" est "Ni oubli, ni pardon".
11:13 Je suppose que les médias de masse ne vous écoutent pas ?
11:16 Non, ils suppriment, mais ils ont peur.
11:18 Parce que eux, les mass-médias, Le Monde,
11:21 tous ces cons,
11:23 ils étaient avec les génocidaires,
11:26 ils ont filtré l'information,
11:29 ils ont discriminé les docteurs,
11:32 ils ont discriminé les professeurs,
11:35 qui ont alerté le peuple,
11:37 arrêté d'injecter, c'est un poison.
11:41 They destroyed their lives.
11:43 Donc, un fasciste,
11:46 un ensemble fasciste,
11:49 a toujours utilisé la propagande,
11:51 la démographie,
11:53 démo... jésus... démagogue.
11:55 Démagogie, non ?
11:57 Regardez, M. Hitler,
11:59 qu'est-ce qu'il a fait avec Goebbels
12:01 qui a fait la destruction totale en Europe ?
12:03 Ils ont utilisé les médias.
12:05 Ici, les médias étaient utilisés,
12:08 ils étaient payés, subventionnés,
12:11 par des milliards.
12:13 Les médias n'ont pas besoin d'argent.
12:17 C'était des milliardaires au début,
12:19 avant Covid.
12:21 Pourquoi est-ce qu'on a filé
12:23 des centaines de millions d'euros ?
12:25 Pourquoi ? Pour écrire ?
12:27 - Pour faire du travail.
12:29 - Pour faire du travail.
12:31 En Suisse, on a un scandale qui est encore en cours.
12:33 M. Berset, qui est démissionnaire maintenant...
12:35 - Contre qui vous portez plainte ?
12:37 - Le président suisse.
12:39 Qui est démissionnaire maintenant,
12:41 depuis juin, soudain, il a démissionné.
12:43 - C'est curieux.
12:45 - C'est curieux.
12:47 Il y a encore une enquête,
12:49 qui n'est pas la mienne,
12:51 contre lui, parce qu'on a découvert
12:53 des leaks de Berset Leaks,
12:55 à Ringuier, Rangier,
12:57 ou son assistant,
12:59 un jour avant les fêtes,
13:01 fournit des informations confidentielles
13:03 sur le secret d'Etat.
13:05 - Un peu comme le ministère
13:07 de la Santé en Belgique,
13:09 qui a échangé des mails
13:11 avec quelqu'un qui était lié à Pfizer.
13:13 - Vous avez le rédacteur en chef,
13:15 le groupe chef
13:17 de l'éditorial
13:19 de Rangier,
13:21 M. Valdez,
13:23 et c'est connu, c'était
13:25 écrit par Veldvog,
13:27 c'est un newspaper indépendant,
13:29 il a dit aux journalistes,
13:31 imaginez-vous,
13:33 vous êtes journaliste,
13:35 je suis éditeur, je vous dis,
13:37 dès maintenant, vous n'écrivez
13:39 que la ligne gouvernementale.
13:41 Mais qu'est-ce que vous dites,
13:43 journaliste ? Moi, non, je ne le fais pas.
13:45 Mais les gens, ils ont leur job,
13:47 je comprends, ils ont eu peur,
13:49 parce que le chef dit,
13:51 écoute, tu es le chef,
13:53 tu écris seulement les choses de l'État,
13:55 sinon, vous voyez,
13:57 la carrière, je ne sais pas,
13:59 les enfants, voilà.
14:01 Alors, c'est clair, on a tous un vie,
14:03 on a tous des dettes, voilà,
14:05 il faut vivre.
14:07 Ce n'est pas une excuse, un journaliste,
14:09 maintenant, maintenant, les journalistes,
14:11 ils auraient l'excuse
14:13 de complètement cartonner
14:15 les gouvernementaux,
14:17 qui sont fausses,
14:19 qui sont criminels,
14:21 étaient criminels et sont criminels,
14:23 où sont les journalistes ?
14:25 Où est le journalisme ? La presse n'est pas existante.
14:27 Sauf vous et les autres.
14:29 - Merci, Pascal Nagey,
14:31 on restera en contact.
14:33 - Oui, merci, merci beaucoup, monsieur.
14:35 C'était un grand plaisir d'être ici.
14:37 Merci.
14:39 - Merci.
14:41 [Musique]
14:43 [Musique]
14:45 Une bonne robe, je suppose.
14:54 *Bruit de clavier*
15:22 *Bruit de casque qui se casse*