• l’année dernière
Qu’on soit victime ou témoin, il n’est pas toujours simple d’en parler et de savoir comment agir. Trouver des solutions en travaillant sur le trio harceleur-harcelé-témoin, c’est le cœur du projet « Don’t be a bully, be a buddy » financé par le programme ErasmusPlus. On vous explique comment plusieurs écoles européennes ont choisi de s’unir et d’échanger leurs pratiques autour de la lutte contre le harcèlement scolaire grâce à ce projet.

Vidéo en collaboration commerciale avec ErasmusPlus
Transcription
00:00 Le harcèlement scolaire, ça commence dès le plus jeune âge.
00:02 Et qu'on soit victime ou témoin, c'est pas toujours évident d'en parler.
00:05 Une enseignante témoigne.
00:06 Dans une école primaire des Côtes-d'Armor, une élève de CM1 a assisté au rejet et aux insultes répétées de deux de ses camarades.
00:12 Elle a eu le courage de s'adresser à son enseignante pour lui faire part de son inquiétude.
00:16 Les harceleurs, une fois convoqués, ont d'abord nié les faits,
00:19 mais son obstination a péché puisqu'après un second signalement,
00:21 les harceleurs ont fini par reconnaître les faits et prendre conscience de leurs actes.
00:25 Tout ça a été possible grâce au travail effectué en classe sur le trio "harceleurs, harcelers, témoins"
00:30 réalisé dans le cadre du projet "Don't be a bully, be a buddy".
00:33 En fait, plusieurs écoles européennes ont choisi de s'unir et d'échanger leur pratique
00:36 autour de la lutte contre le harcèlement scolaire grâce à ce projet Erasmus+.
00:40 En créant des temps d'échange, de sensibilisation par des lectures, des témoignages ou des jeux,
00:44 les enfants sont plus à même d'identifier un cas de harcèlement
00:47 et d'agir au plus tôt aux côtés des adultes afin d'éviter que la situation ne s'aggrave et vire au cauchemar.
00:52 [SILENCE]