Joé Bédier apporte son soutien aux grévistes de la SPL Estival

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Transcript
00:00 [Musique]
00:07 [Applaudissements]
00:31 Bonjour et bienvenue monsieur le député.
00:38 En tout cas, nous pensons que vous trouverez une solution pour que nous,
00:44 nous tout le monde travaillons, nous travaillons les centaines de morts sur ces médecins,
00:50 et nous travaillons, nous n'avons pas le responsable de ce qui se passe, de cette situation.
00:56 Vous voulez la police ? Non !
01:02 Donc, à par où vous voulez ? Dans le nord.
01:06 [Rires]
01:18 [Brouhaha]
01:28 Hey, c'est là où vous vous trouverez.
01:30 Non !
01:31 Non, il n'y a pas rien. Est-ce que vous êtes là ?
01:33 Oui !
01:34 L'espèce, est-ce que vous êtes là ?
01:36 Oui !
01:37 Eh, venez ici. Eh, bonjour, je vous pose une question.
01:40 Quel jour de l'année ?
01:41 Lundi.
01:42 Lundi.
01:43 Bon, aujourd'hui est lundi.
01:45 Eh, nous ne savons pas où sont les gens qui sont là. Nous voulons la guerre du Brunei.
01:52 Mais, je ne veux pas de dissentiers.
01:54 Pas de personne.
01:55 Vous ne voulez pas ? Nous avons eu des censures.
01:57 Oui.
01:58 Vous avez constaté ?
01:59 Oui.
02:00 Nous avons eu des censures. Nous sommes déunis.
02:02 [Brouhaha]
02:05 Nous sommes tués. Bonjour.
02:07 [Brouhaha]
02:08 Nous vivons. Nous vivons.
02:10 Nous sommes tués.
02:12 [Brouhaha]
02:18 [Brouhaha]
02:29 Eh bien, bonjour à tous et à toutes.
02:32 Alors ce matin, si vous allez voir, on avait déjà vu que, il était presque couvert d'avance.
02:40 Il était couvert d'avance, je peux pas, mais les syndicalistes l'ont raté aussi.
02:45 Mais, quand nous sommes allés, on nous dit, moi, on m'a demandé, moi, après, vous savez, nous nous disons,
02:50 on nous dit, on est fermé à bord de la Ligue de Guerre.
02:53 Le jour, vous êtes allés à Sème. Le bureau, la Sème est ici, là, on passe.
03:00 Présentement, la coordinatrice de M. Ramelu,
03:04 ce jour-là, M. Ramelu a fait un long discours, on l'a dit,
03:08 vraiment, il n'est pas venu en politique pour assister à ça.
03:11 Il transforme un conseiller municipal en PDG,
03:14 c'est-à-dire un nouveau parlement,
03:16 en fait, il est passé dans la politique.
03:18 Et qu'il faisait, le coup.
03:20 Quand on gérait, à l'époque, c'était une Sème.
03:24 Quand on gérait une Sème, il faut la compétence pour le transport.
03:29 Et on a bien vu le résultat.
03:32 On a 3 millions de déficits.
03:37 On a aussi 400.000 euros de chèques qui auraient été mis sans justification.
03:43 Et tout ça, à un détriment, mais au détriment aussi de ceux qui prennent le bus,
03:50 les administrés.
03:52 Et donc, on a dit, on a fait des interventions,
03:57 pas à chaque fois de dire, tout le monde, il n'est pas écouté,
04:02 parce que vous êtes là à la tête du "Excusez-moi",
04:07 et vous n'êtes même pas propre, parce que vous avez réussi de tirer dessus,
04:11 qui transforme la Sème en espèces.
04:14 On a étudié tous les bons affaires, droite à gauche,
04:17 pour trouver que ce n'était pas envisageable.
04:21 Ce n'était pas envisageable et on va le transformer.
04:25 Donc, nous étivons en tant qu'économistes, on va faire de plus le résultat.
04:29 Et aujourd'hui, vous, regardez ça.
04:32 Ça, c'est un pas chizant, que devant tout ce monde, 2 ans, on ne travaille pas.
04:37 Vous allez demander comme ça ?
04:39 Non !
04:40 Non ?
04:41 Vous n'allez pas demander à quoi c'est une situation,
04:44 parce qu'il n'est jamais facile de faire la grève.
04:47 C'est jamais facile, mais vous allez poser le travail
04:50 dans la transparence et puis avec un règlement qui tient au groupe.
04:57 On ne comprend pas comment des hommes et des femmes,
05:02 qui aujourd'hui ont des responsabilités politiques,
05:05 survie de responsabilités politiques,
05:08 qui mettent aux autres dans de telles situations.
05:10 Vous n'êtes pas prêts à être à la main des hommes et des femmes
05:14 qui veulent travailler simplement et avancer ?
05:18 Elles vivent.
05:20 Mais aujourd'hui, on est à tomber sur une équipe qui a approprié cela.
05:25 Et des fois, on y va, on disait qu'on y va.
05:28 Il y en a certains qui parlent encore sur des vidéos,
05:31 certains qui s'en vont, qui leur font...
05:33 Et ils sont les meilleurs de ce matin.
05:37 Nous devons batailler avec ça.
05:40 Moi, personnellement, en contact avec d'autres personnes,
05:47 d'autres collectivités, d'une grande collectivité,
05:50 parce qu'il ne faut pas laisser un STL tomber.
05:54 Bien sûr qu'il ne faut pas.
05:56 [Applaudissements]
05:58 Bien sûr qu'il ne faut pas le licencier.
06:00 Pourquoi le licencier ?
06:02 Ben, excusez-moi, mais il ne faut pas me regarder.
06:06 Si on ne peut pas, moi, quand je suis arrivé à la mairie de Saint-Conroy,
06:10 de moi notamment, il faut que je tâche un tel, il faut que je basse d'autres,
06:14 et il dit non, arrête avec ça, arrête avec ça.
06:18 Mon logo, si vous ne le voulez plus virer à poulet,
06:20 ou ne le voulez plus...
06:21 Ben, c'est sur le droit, ça.
06:23 Explique à lui que quand il est avec moi,
06:26 la politique, sa mission, c'est vraiment une mission de service public.
06:31 Et quand il s'invite, si vous ne le voulez plus virer à poulet, c'est sur le droit.
06:35 C'est comme ça qu'il faut voir la politique.
06:37 Il faut expliquer le mot.
06:38 Il ne faut pas batailler, il ne faut pas foutre de haut,
06:40 il ne faut pas déplacer.
06:41 On ne peut pas faire tout ça en un.
06:44 Mais, aujourd'hui, il faut que nous trouvions des solutions.
06:49 Et des vraies solutions.

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