• l’année dernière
Romain Maréchal, jeune entrepreneur de 3O ans, a réorienté sa carrière dans l’audiovisuel pour faire naître un grand projet tourné vers la valorisation de la culture française : Epopée. Epopée est une nouvelle et ambitieuse plateforme de vidéo à la demande conçue avec soin et professionnalisme pour les amoureux de la France. Epopée propose un regard profond et diversifié sur la richesse fou du patrimoine culturel français. L’ambition des équipes de Romain Maréchal est de créer un lien fédérateur autour de notre héritage commun, mettant en lumière la splendeur et la diversité du savoir-faire français. Dès maintenant, sur epopeefilms.com, les premiers programmes sont mis en ligne : "Ceux qui font la France", "Parole d’experts", "Odyssée du vin", "Le Panthéon des héros" etc.
Romain Maréchal nous les fait découvrir sur cette plateforme qui a la volonté de devenir incontournable. Une sorte de "Netflix identitaire" en devenir. Et en tout cas, une nouvelle initiative pour le défendre le beau, le bon, le vrai !


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Transcription
00:00 C'est un entrepreneur de 30 ans qui a réorienté sa carrière vers l'audiovisuel avec un projet
00:10 tourné vers la valorisation de la culture française. Un projet ambitieux que l'on va
00:16 découvrir si vous voulez bien ensemble et surtout en compagnie de son créateur,
00:20 le créateur de la plateforme qui s'appelle Épopée, Romain Maréchal.
00:24 Romain Maréchal, bonjour. Bonjour Mathial.
00:26 Merci beaucoup de venir sur TVL présenter ce projet que j'ai dit ambitieux. C'est le
00:31 lancement d'une plateforme de streaming, en fait on dit une plateforme de vidéos à la demande.
00:35 Certains ont parlé d'une sorte de Netflix identitaire, rien que ça.
00:40 Alors déjà merci pour votre invitation. Effectivement, il s'agit d'une plateforme
00:44 de vidéos à la demande. Pourquoi ? Parce qu'on paye un abonnement pour accéder à un catalogue
00:48 en illimité. Et effectivement, le parallèle peut être fait avec Netflix parce que sur Netflix,
00:52 c'est exactement le même système. On paye un abonnement, on a accès à un catalogue.
00:56 Qui est renouvelé régulièrement. Vous avez noté que c'est Netflix identitaire.
00:59 À Netflix, on n'accole pas totalement le terme identitaire.
01:03 À partir du moment où on souhaite réaffirmer les valeurs, les traditions qui ont fait de la France
01:08 une grande nation et des Français un grand peuple, évidemment, je pense qu'on a le droit à ce genre
01:12 d'adjectif. Qui vous gêne ?
01:14 Mettez gamme. Votre objectif, alors, il est de faire d'Épopée un lieu de découverte de la culture,
01:20 de notre histoire, aussi un lieu de rencontre et d'échange. Alors pourquoi déjà le terme Épopée ?
01:25 Et effectivement, quelle est l'ampleur que vous voulez donner à ce projet ?
01:28 Déjà, il y a effectivement ce coup dans le rétroviseur de l'histoire de France.
01:32 C'est-à-dire, qu'est-ce qui a fait de la France une grande nation dans le concert des nations ?
01:36 Et donc, évidemment, il y a toujours ce côté panache, audacieux, épique même,
01:40 qui est lié au roman national. Et donc, Épopée semblait être une évidence pour nommer une plateforme
01:48 qui voulait justement mettre en avant cette culture, cette histoire française bien particulière.
01:54 Lieu d'échange, de rencontre. Comment vous concevez cette notion-là ? Ce n'est pas un réseau social ?
02:00 Non, non, non, non. C'est une plateforme de vie de la demande. C'est simplement qu'en fait,
02:04 on travaille avec des professionnels de l'audiovisuel qui souhaitent mettre leur talent,
02:07 leur compétence au service du beau, du bon, de la culture française.
02:11 Et ensuite, avec nos abonnés, on souhaite développer ensemble des programmes, justement,
02:16 qui correspondent à leurs attentes.
02:17 C'est-à-dire que vous voulez créer une véritable communauté ?
02:19 Exactement.
02:20 C'est un peu pour vous bien ? Ou vous, c'est égal ?
02:21 Oui, oui, c'est très bien. Oui, c'est ça.
02:22 Passons alors en revue les premiers programmes mis en ligne.
02:26 Il y a, j'ai regardé cela avec attention, l'intitulé "Ceux qui font la France".
02:32 De quoi s'agit-il exactement ?
02:33 Alors, c'est une série de reportages, effectivement, où on va suivre les aventures de Carla,
02:39 au Quai de Cointes-de-la-France, qui va justement donner la parole à des personnalités inspirantes
02:44 qui font vivre nos traditions. Et donc, à titre d'exemple, nous avons fait,
02:48 nous sommes allés voir le cadre noir de Saumur, qui sont les représentants,
02:52 les ambassadeurs de la tradition équestre française.
02:55 Ensuite, on a eu un deuxième épisode, là, qui est en cours de finalisation,
02:58 concernant un rallye automobile de voitures anciennes en Sologne.
03:02 Donc, bien évidemment, on est passé par le château de Chambord, etc.
03:05 Et en fait, "Ceux qui font la France", c'est vraiment ceux qui font vivre nos traditions
03:08 et les passions qui font justement rayonner la culture française.
03:11 L'art de vivre et l'artisanat.
03:13 Vous avez parlé de Carla, c'est pas un mannequin qui se promène, c'est qui ?
03:16 Alors, c'est une jeune reporter qui avait entendu parler d'épopée à l'époque
03:22 où je levais des fonds, du coup, pour développer le projet.
03:24 Elle s'était présentée à moi spontanément et on s'est tout de suite très bien entendus.
03:28 On avait la même vision de ce qui devait être fait en termes de divertissement,
03:31 pour rendre hommage justement à cette grande nation qu'est la France.
03:34 Et donc, c'est comme ça qu'on s'est mis à travailler ensemble et à élaborer ce programme.
03:39 Le Panthéon des héros, c'est assez clair, le titre est assez clair.
03:44 Néanmoins, c'est une mission culturelle.
03:45 C'est exactement.
03:46 L'histoire ?
03:47 Tout à fait.
03:48 En fait, c'est le récit d'un épisode historique au travers duquel on va découvrir
03:53 des personnalités inspirantes qui, justement, ont brillé par leur courage, leur bravoure,
03:59 leur intelligence.
04:00 Donc là, sur le premier épisode, concerne la bataille de la Marne,
04:04 donc ça s'appelle les vainqueurs de la Marne.
04:05 Et on va découvrir justement des personnalités comme le maréchal Gallini ou le général
04:09 Lorzac qui, justement, ont permis, au travers de cette bataille, d'inverser le cours de
04:15 l'histoire au moment de la Première Guerre mondiale.
04:17 Votre titre a des épisodes, ça veut dire qu'on sera là encore, dans l'esprit de Netflix,
04:20 c'est-à-dire qu'il y aura des saisons ou des épisodes ?
04:24 Exactement.
04:25 C'est-à-dire qu'il va y avoir des épisodes et des saisons.
04:27 Pourquoi ? Parce qu'à partir du moment où on demande un abonnement, si je puis dire,
04:31 il faut qu'il y ait un renouvellement de catalogue.
04:33 Et ça s'inscrit parfaitement, justement, dans cette dynamique de feuilleton, même
04:36 si on voudrait dire, pour être plus francophile.
04:39 C'est plus ça.
04:40 Voilà.
04:40 Je retiens.
04:41 Merci.
04:42 Et en fait, l'idée, c'est ça, c'est de pouvoir renouveler régulièrement le catalogue
04:46 et donc, du coup, de pouvoir vraiment traiter un sujet du début jusqu'à la fin.
04:52 Autre sujet, parole d'expert.
04:53 Là, c'est du reportage.
04:55 Vous avez décidé, c'est surprenant, je me suis dit, le premier reportage, c'est
04:59 sur les armes, forcément.
05:00 Sur les armes, forcément.
05:02 Non, simplement qu'une fois de plus, la Providence fait bien les choses.
05:05 J'ai été amené à rencontrer Alban de Graaf, qui est un expert en armes anciennes.
05:08 C'est le métier qui agit depuis plusieurs années maintenant à Grouault.
05:12 Et donc, j'avais envie de donner l'opportunité de découvrir cet univers, de la vente aux
05:17 enchères.
05:17 Pourquoi ? Parce qu'en fait, rien de tel que des objets pour se réapproprier l'histoire
05:20 de France.
05:21 Et chaque objet est porteur en lui-même de ce petit bout d'histoire.
05:25 Donc, cet univers-là était, pour moi, c'était important de le mettre en avant.
05:30 Et c'est un environnement qui est extraordinaire, parce qu'évidemment, c'est plein de rebondissements.
05:34 Parole d'expert, c'est la possibilité de toucher à tous les domaines.
05:37 Est-ce que vous pensez que ce sera un seul domaine qui sera évoqué ?
05:41 Alors non, non, on va balayer tous les domaines.
05:43 Là, on a commencé effectivement avec la vente d'une épée de la Renaissance.
05:47 On a un deuxième tournage qui a lieu en ce moment à Monaco, mais je n'en dis pas plus.
05:51 Vous le verrez par vous-même très bientôt.
05:52 Et à chaque fois, on va traiter une thématique.
05:55 Sur quoi, Monaco ?
05:56 Je viens de vous dire.
05:57 Vous verrez, ce sera la surprise.
05:58 Je vous ferai savoir très vite.
06:00 Mais le tournage a lieu en ce moment.
06:01 Donc justement, on veut garder un peu la surprise pour nos abonnés.
06:04 Et donc à chaque fois, on aura effectivement un expert, un passionné qui nous fait découvrir
06:09 son domaine d'expertise, sa passion.
06:11 Ça peut aussi bien concerner des armes que des bijoux, que des tableaux anciens, etc.
06:15 Voilà, tout le spectre de la vente aux enchères des objets anciens sera balayé ainsi.
06:20 En tout cas, on l'espère.
06:21 On passe des armes au vin.
06:23 Forcément, artisanat et tradition, et là, l'odyssée du vin.
06:27 Exactement, tout à fait.
06:29 Également, une rencontre fortuite, si je puis dire.
06:32 Joseph Pétier, cofondateur du Canot français, qui connaît parfaitement son sujet, que
06:37 j'ai eu l'occasion de rencontrer.
06:38 On avait pour ambition de développer un programme autour du vin parce que c'est ce
06:42 lien civilisationnel-là dont on avait envie de parler.
06:45 Pareil, toujours dans une logique de réappropriation, si je puis dire.
06:48 Et Joseph a tout de suite compris l'idée de l'odyssée du vin.
06:51 Et là, magnifié, en rajoutant, si je puis dire, des producteurs locaux, des artisans
06:57 vignerons de ces connaissances, et puis même, en fait, au travers de ce parcours, on a pu
07:01 visiter la cathédrale de Clermont-Ferrand.
07:03 Et à chaque fois, comme ça, d'épisode en épisode, on va découvrir ce savoir-faire
07:07 ancestral, les producteurs qui font battre le cœur de nos régions et des monuments,
07:11 si je puis dire, historiques ou religieux.
07:13 C'est un choix assez audacieux.
07:15 Est-ce qu'on est sur la richesse d'un vignoble qui est en gros le vignoble Auvergnat, au départ ?
07:19 Oui.
07:20 On démarre même dans le Victor Hugo, c'est la loi.
07:22 C'est la loi.
07:23 Avec sa source, au moment où on gère bien les gens.
07:25 Pourquoi ce choix-là ?
07:28 Alors là, c'est liberté.
07:30 Merci de me poser la question.
07:31 Liberté totale artistique qui a été donnée à Joseph.
07:35 À partir du moment où nous nous sommes mis d'accord sur le format, ce que nous souhaitions
07:38 nous proposer à nos abonnés, il a eu la totale liberté de choisir le sujet et la
07:42 manière dont il voulait le traiter.
07:43 Et c'est ça d'ailleurs qui est agréable dans ce projet-là, c'est de donner l'opportunité
07:46 à différents chefs réalisateurs de développer en toute souveraineté artistique leurs idées.
07:52 L'Odyssée du vin, le deuxième épisode, ça sera pas à Monaco, ça, je me doute.
07:56 Oui, justement, pareil, il aura lieu la semaine prochaine, le tournage du deuxième épisode.
08:00 Et on va remonter la loi, donc là je peux vous en dire un petit peu plus.
08:03 On va être du côté de censerre et pouillet fussé.
08:05 Parfait, parfait.
08:06 Alors quand on parle de culture française, certains journalistes sortent leur revolver.
08:11 Et là, j'ai noté quand même qu'il y a tout de suite une volonté de ternir l'image
08:17 de votre initiative.
08:18 De la lettre A, lettre confidentielle des professionnels, de la profession, au quotidien
08:24 d'extrême gauche libération, les attaques ont été violentes.
08:26 Est-ce que vous attendiez à cela ?
08:28 Je ne les ai pas trouvées particulièrement violentes, je m'attendais à pire pour vous
08:32 cacher parce qu'évidemment, au vu de ma généalogie, c'était un peu facile de me
08:37 tomber dessus à bras raccourcis.
08:39 En réalité, non, je ne suis pas surpris du tout.
08:41 Et c'est d'ailleurs tant mieux parce que ça veut dire que ce que nous faisons est bénéfique,
08:45 en réalité.
08:45 Si les ennemis de la France nous attaquent, c'est que finalement, ce que nous faisons
08:49 est juste.
08:50 Vous parliez de la généalogie, alors je ne vais pas aller chez Généanet néanmoins.
08:53 C'est vrai que je me suis posé la question, est-ce que c'est l'initiative d'une plateforme
08:59 de vidéos à la demande défensant la culture française qui est visée, ou est-ce que c'est
09:05 le frère de Marion Maréchal, tête de liste de reconquête aux européennes, ou encore
09:10 le neveu de Marine Le Pen, ou encore le petit-fils de Jean-Marie Le Pen.
09:15 Alors sur Généanet, c'est quand même une très belle généalogie.
09:17 Je suis un cumulard, effectivement.
09:20 Tout à fait.
09:21 Les deux, en général, je suppose.
09:23 Pourquoi ne pas mêler l'utile à l'agréable ?
09:27 Je ne sais pas, et quelque part, ça m'est un peu égal au sens où, en réalité, nous
09:33 souhaitons nous proposer un outil de mise en valeur du patrimoine culturel français
09:39 qui réunisse, qui fédère derrière ce patrimoine extraordinaire.
09:42 Toujours dans la logique de faire rayonner la France.
09:45 Indépendamment de toute idéologie.
09:46 Maintenant, chacun a ses maraudes, ça a l'air d'être leur cas.
09:49 Moi, ce n'est pas mon métier de commenter les commentateurs.
09:52 Vous ne reniez pas cette filiation ?
09:54 Non, clairement pas.
09:56 Au contraire, c'est ce qui fait de moi ce que je suis aujourd'hui.
09:58 On a quand même l'impression, on en déplaise d'ailleurs à Libération, que malgré des
10:02 parents, votre père, votre mère, et ceux que j'ai cités ensuite, ont baigné à un
10:09 moment donné dans la politique.
10:11 Vous êtes toujours, j'ai le sentiment, gardé, vous n'avez que 30 ans, mais vous
10:14 êtes depuis votre jeunesse gardé, de vous engager dans le combat, j'allais dire, strictement
10:19 militant.
10:20 Est-ce que je me trompe ?
10:21 Alors, j'ai longtemps cherché à m'engager, et effectivement, la voie de la politique
10:26 politicienne, si je puis dire, qui était déjà très occupée par une bonne partie
10:28 de ma famille, n'apparaissait pas comme une évidence.
10:31 Et en fait, il a fallu que je découvre, j'ai fait énormément de stages en entreprise,
10:36 j'ai beaucoup voyagé, je me suis aussi instruit, j'ai lu, etc.
10:39 Et donc, à force de discussions et de rencontres, je me suis dit que la meilleure façon pour
10:43 moi de rendre hommage à la France, d'apporter ma pierre à l'édifice, c'était de me
10:48 lancer dans l'entreprenariat, tout simplement.
10:50 Vous êtes cherché dans l'entreprenariat, vous passez de l'immobilier à l'audiovisuel
10:52 par exemple, donc c'est une recherche aussi, ou c'est une évidence pour vous, une évolution ?
10:56 Non, non, ça s'est fait, je vous le disais, au fur et à mesure, au gré des conversations,
11:01 des échanges, ça a été quelque chose qui s'est mis en place de manière assez naturelle,
11:05 même si évidemment, quand on le prend comme ça, immobilier et audiovisuel, ça ne semble
11:10 pas évident, et pourtant mon parcours de vie a fait que ça s'est finalisé comme ça.
11:15 Pourquoi ? Parce que moi j'ai mis deux ans à élaborer ce projet en réalité, on ne
11:18 se rend pas compte parce qu'on voit tout de suite sur Instagram ou les réseaux sociaux
11:21 immédiatement ressurgir des initiatives et des projets ambitieux, mais en réalité ça
11:25 met énormément de temps à être élaboré, il faut être résilient, et c'est justement
11:28 un peu aussi le témoignage que j'aimerais faire à tous ceux qui nous écoutent, parfois
11:32 d'autres, qui sont aussi dans mon cas, qui ont été dans mon cas, qui ne savent pas
11:36 comment s'engager, qui peut-être souhaiteraient s'engager dans des associations ou dans des
11:39 parties ou que sais-je, et bien ils peuvent aussi s'engager dans la voie de l'entreprenariat
11:43 et c'est très noble, c'est tout aussi noble.
11:45 – Vous avez fait des études qui vous menaient vers cela d'ailleurs.
11:49 – Si on veut, j'ai eu un parcours scolaire asymétrique, pour être élégant si je puis
11:52 dire, je n'ai pas été l'élève parfait, j'étais un esprit libre assez tôt, et
11:57 donc mes études, je les ai faites un peu au gré, voilà, les écoles de commerce, c'est
12:01 ce qui semblait, enfin la voie, je dirais, de l'école de commerce, c'est ce qui
12:04 semblait le plus évident, mais ça n'a pas été sans embûche.
12:07 – D'accord, les écoles de commerce pour les parcours asymétriques, les écoles de
12:11 commerce apprécieront.
12:12 – Non, non, non, c'est un, une des cases par lesquelles je suis passé, mais si vous
12:17 voulez, on aura l'occasion de reparler de mon parcours dans le détail, mais non, non,
12:20 c'est assez populaire.
12:21 – Non, on va parler d'autre chose, on va parler du parcours de votre sœur, je vous
12:24 ramène à Marion Maréchal forcément, quel regard que vous portez sur son action politique
12:28 et sur sa tête ? – Et la vôtre ? Comment va-t-elle ?
12:30 – Ma sœur ? Je n'en ai pas, tant pis pour vous, mais vous en avez eu, elle est
12:33 collégienne, elle est tête de liste aux européennes, ce n'est pas le cas de ma famille.
12:38 – Du coup, votre question ? – Ma question, quel regard vous portez sur
12:42 sa candidature ? – Ah, je trouve que c'est très bien ce
12:45 qu'elle fait, je souhaite que la famille réussisse, évidemment, et pareil, si elle
12:50 peut montrer la voie de l'engagement, c'est formidable, donc non, non, Marion a mon soutien
12:56 complet.
12:57 – Alors, retour sur l'épopée, si vous me permettez, ça va vous arranger, c'est
13:01 une heureuse initiative, bien évidemment entrepreneuriale, on le voit bien, ce qu'on
13:05 voit moins bien, c'est comment on fait concrètement, donc là, ce que je vais vous demander, c'est
13:09 facile, c'est-à-dire, maintenant, une fois qu'on a compris que nous avions une plateforme
13:13 vidéo à la demande, où on y accède, où est-ce qu'on s'abonne, où est-ce qu'on
13:16 aide, voilà, vous avez deux minutes pour nous le dire.
13:19 – Ah, super, c'est gentil, merci, effectivement, non, pour faire très simple, un projet ambitieux
13:25 qui veut justement être à la hauteur, si je puis dire, de la qualité, parce qu'aujourd'hui
13:29 on est face à un marché avec énormément de production, de très haute qualité, il
13:33 faut se donner les moyens, justement, de ses ambitions, et la qualité à un prix, donc
13:37 c'est pour ça qu'il fallait absolument réussir déjà à lever des fonds via d'investisseurs
13:41 privés, qui nous ont permis aujourd'hui d'arriver avec des programmes qui existent
13:45 déjà, ils sont déjà disponibles sur epopefilm@l.com, c'est notre site internet.
13:49 – Qui va s'inscrire à l'instant en bas de cette image.
13:51 – C'est tout à fait possible, merci, et donc du coup, une fois qu'on a développé
13:55 cette étape du projet, maintenant on met à la disposition du grand public la possibilité
14:00 d'apprécier de la qualité de nos contenus, premièrement, et ensuite de venir nous soutenir,
14:04 parce que là nous avons développé, comme vous l'aviez dit, des séries de reportages,
14:07 de documentaires et d'émissions culturelles, mais nous souhaitons demain travailler sur
14:12 des œuvres, des fictions, des séries, des films, des courts-métrages, longs-métrages,
14:15 des dessins animés, c'est en cours en ce moment, et donc pour cela, évidemment, on
14:18 a besoin de fonds pour se développer, et donc on a mis en place une campagne de préfinancement,
14:24 à travers laquelle, en fait, on part du principe qu'un abonnement VOD, c'est 10€ par
14:27 mois, on met en place une offre annuelle de lancement, donc 100€ payables en 4 fois
14:33 100 frais, avec 2 mois offerts, du coup, sur l'année, qui ne débutera qu'à partir
14:37 du moment où on aura atteint notre objectif de 7000 abonnés.
14:40 Une fois ces 7000 abonnés atteints, nous serons en mesure justement de proposer une
14:44 application et un catalogue riche et varié avec tous les programmes que je viens de vous
14:48 citer.
14:49 D'accord.
14:50 Non, ces programmes, ils sont visibles déjà, moi je les ai vus, mais c'est réservé
14:53 aux journalistes, c'est parce qu'il y a la possibilité de…
14:55 Non, non, non, tout le monde aujourd'hui a accès à ces programmes, il y a plus de
14:58 2h30 de programme aujourd'hui, vous avez également sur nos réseaux sociaux les bandes
15:04 annonces et les coulisses de tournage de tous ces programmes, vous payez votre abonnement,
15:09 vous avez accès du coup à ce catalogue, et demain vous serez tenu en avant-première
15:13 informé de tous les projets qui vont avoir lieu, et on est déjà en train de travailler
15:17 sur beaucoup d'initiatives.
15:18 Quelles sont les limites que vous donnez ? Il n'y en a pas ?
15:20 Aucune.
15:21 Quand vous dites un Netflix, c'est…
15:22 Ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est vous.
15:23 Oui, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai, mais je ne vais pas vous dire qu'est-ce
15:29 qu'il y a des plateformes qui ne fonctionnent pas.
15:31 Est-ce que vous êtes avec l'idée que cette plateforme, ça va fonctionner ?
15:34 Ah oui, inconditionnellement.
15:35 Vous n'avez pas d'inquiétude ? Ça marche, ça fonctionne déjà ?
15:38 Ah oui, on est très enthousiastes, on voit que les réactions sont très positives.
15:43 On a énormément d'initiatives, de candidatures spontanées, de projets, de scripts, même
15:50 d'auteurs qui nous ont rejoints, et tout ça nous permet justement de mettre en place
15:54 une synergie qui, demain, nous permettra de proposer un vrai contenu audiovisuel alternatif.
15:59 Donc, il n'y a pas de limite ? Zéro limite.
16:02 Voilà, merci Romain Maréchal.
16:04 Merci à vous.
16:05 [Générique]

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