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00:00 de la négociation, manma, kenen,
00:05 donc on s'est d'accord sur tout ça, donc il n'y a pas de dissension, ni de quelque chose qui se passe.
00:09 Basseur Oujama Efei est en détention provisoire.
00:13 On l'a arrêté, il n'y a pas de juge.
00:16 Basseur Oujama Efei n'a pas été condamné.
00:19 Basseur Oujama Efei est électeur.
00:21 Si Basseur Oujama Efei n'était pas électeur, on ne lui aurait pas donné son fiche de parrainage.
00:25 Car on l'a arrêté, il n'est pas électeur, donc on ne lui a pas donné sa fiche de parrainage.
00:29 Donc si on le remettait, Basseur Oujama Efei, fiche de parrainage,
00:33 ça veut dire qu'il est électeur et éligible.
00:35 Bien qu'il soit en prison, on ne l'a pas vidé.
00:40 Donc il peut être électeur et on peut le faire.
00:44 On peut vider un dossier,
00:47 le hacharnement qu'on a fait contre Ousmane Sonko,
00:49 on l'a fait pendant deux ans,
00:51 on peut ne pas avoir de problème, mais on peut le faire.
00:54 On peut le faire jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de problème dans les élections.
00:57 Mais on ne peut pas le faire, c'est un jugement.
00:59 Monsieur Lowe, est-ce que ce qu'on peut lui donner,
01:04 c'est que Basseur Oujama Efei a demandé sa liberté provisoire,
01:10 et qu'on l'a bannie catégoriquement.
01:11 Alors, qu'est-ce qu'on peut lui expliquer?
01:13 Ce que je peux vous dire,
01:15 c'est que nous allons regarder la loi de la dissolution d'un parti,
01:23 et la candidature.
01:25 Il va de soi qu'un parti politique,
01:27 n'a pas la capacité à investir un candidat.
01:31 Toutefois, la dissolution d'un parti politique,
01:33 n'entraîne pas la déchéance électorale de ses responsables et membres.
01:37 Vu la loi n° 91.17 du 6 mai 1981,
01:43 relative au parti politique modifié,
01:46 ni le code des obligations civiles et commerciales,
01:51 ni le code ne stipule l'interdiction de se présenter à une élection.
01:57 C'est clair, net et précis.
01:59 En matière de dissolution, la loi régissant les partis politiques,
02:04 fait un seul renvoi relative à la liquidation des biens,
02:07 conformément à la loi.
02:09 La liquidation des biens, c'est ce qu'on dit.
02:11 Mais les gens de ce parti,
02:12 ne peuvent pas être en même temps.
02:15 C'est ça.
02:17 Si on regarde juste l'article L57 aliénatoire du code électoral,
02:25 il y a un statut de candidat indépendant.
02:29 Donc, il faut un candidat indépendant.
02:34 Est-ce possible d'avoir un candidat indépendant
02:37 si on a une militante dans le parti ?
02:41 Le candidat indépendant n'est pas indépendant.
02:44 Il est investi par une coalition.
02:48 C'est ce qu'on va définir dans le code électoral.
02:54 C'est ce que vous devraient comprendre.
02:57 Les candidats de l'ex-PASTEF et des candidats issus de Bernaud Bocoyacar,
03:01 comme les candidats investis,
03:03 sont tenus de se présenter à l'élection présidentielle
03:05 sous la bannière d'un autre parti politique,
03:08 une coalition de partis.
03:09 Donc, une coalition de partis peut investir,
03:12 même si Bernaud Bocoyacar est sorti de la présidence,
03:15 comme Ali Nguyen Djaï, comme Kenen.
03:18 Une coalition de partis peut l'investir.
03:21 Si vous avez un récipient,
03:24 vous pouvez l'investir.
03:27 Cela montre qu'il n'y a pas de problème
03:31 pour l'investir.
03:33 On a bien étudié les choses,
03:35 on a bien vu la loi.
03:37 Donc, personne ne peut le dire à un autre parti
03:40 de présenter son récipient sous la bannière d'une coalition de partis.
03:44 Même PASTEF.
03:46 Monsieur Loh, si on peut revenir sur la coalition,
03:51 si c'est la coalition de Yéhué et Scannué,
03:54 il y a des candidats qui sont dans cette coalition.
03:57 Si c'est PASTEF, on va le dissoudre.
04:00 Quelle entité vous apportez?
04:01 Si on fait la coalition en 2024,
04:03 la coalition ne se déroule pas.
04:05 Si on fait la coalition en 2024,
04:09 la coalition ne se déroule pas.
04:10 Si on fait la coalition en 2024,
04:12 la coalition ne se déroule pas.
04:14 La coalition ne se déroule pas.
04:16 La coalition ne se déroule pas.
04:18 Donc, il y a des possibilités pour toutes les coalitions.
04:21 Aujourd'hui, même au Parcel Assenique,
04:23 il y a des mouvements et des partis
04:26 qui soutiennent notre candidature.
04:28 C'est la candidature de Diomaye Bobo.
04:30 Cela signifie qu'il n'y a pas de problème.
04:32 On a bien étudié les choses.
04:34 Il n'y a pas de problème pour interdire Diomaye Faye.
04:37 Parce que les Sénégalais et moi,
04:39 on s'est interrogés sur cela.
04:41 Je pense que peut-être qu'on va se rendre compte
04:43 que nous allons se rendre compte
04:45 qu'en 10 jours, en 20 jours, en 9 mois,
04:47 même en 2 mois,
04:48 personne ne pourra interdire Diomaye Faye.
04:51 Donc, c'est pour cela que nous l'avons choisi.
04:53 Il y a une moralité.
04:55 Il y a de l'amour.
04:57 Il y a de la confiance.
04:58 Il y a de la connaissance.
04:59 Il y a quelqu'un qui a l'ouverture d'esprit
05:03 pour l'écouter.
05:05 Comme Ousmane Sonko.
05:06 Je vous le dis,
05:07 si on regarde le passé,
05:08 il y a beaucoup de choses qui se sont passées.
05:11 Parce que nous avons la même idéologie.
05:13 Le projet,
05:14 le projet que personne ne peut porter.
05:16 Si on regarde Ousmane Sonko,
05:17 quand il a parlé de budget,
05:18 il a parlé de ceci.
05:20 Il a dit que,
05:21 véritablement,
05:22 le projet que je vais porter,
05:24 personne ne peut le porter.
05:26 Quand il a parlé avec moi et Djamil Sane,
05:28 avec Moussa Mané Kabadia Hite,
05:30 on a parlé des affaires au parcel,
05:32 je me souviens que Ousmane Sonko a dit
05:34 que Birame Koudia peut porter ce que je vais porter.
05:37 Moura Manikaba peut porter ce que je vais porter.
05:40 Ce sont des leaders de parti qui ont accepté
05:42 de venir et de passer
05:44 parce que nous avons la même idéologie.
05:46 Je l'ai déjà dit,
05:47 si on croit que le projet,
05:48 si on fait confiance à quelqu'un,
05:51 le projet va se réaliser.
05:53 Il faut que l'on sache cela.
05:54 Maintenant,
05:55 nous sommes toujours sur une stratégie.
05:57 Si on croit que,
05:58 véritablement,
05:59 tout ce que nous avons fait,
06:01 nous allons le réaliser.
06:03 Nous avons fait l'élection
06:05 pour Ousmane Sonko.
06:07 Nous avons fait l'élection pour Ousmane Sonko.
06:09 Nous avons fait l'élection pour Birame Koudia.
06:11 Nous avons fait l'élection pour Djamal Faye.
06:13 Nous avons fait l'élection pour Birame Suleydiop.
06:15 Nous avons fait l'élection pour Birame Abbas.
06:17 Nous avons donc assez de ressources
06:19 et assez de matières grises
06:22 pour mener au projet.
06:24 Ce projet,
06:26 il est en train de se réaliser.
06:28 Il nous reste encore beaucoup à faire.
06:30 Si on veut que Djamal Faye gagne,
06:32 il faut que l'on gouverne.
06:34 Et nous allons le faire.
06:36 Le gouverneur est le gouverneur qui gère.
06:38 C'est fini.
06:40 Est-ce que vous êtes d'accord
06:42 que Ousmane Sonko n'a pas d'avenir
06:44 dans l'élection présidentielle de 2024?
06:48 Je veux bien que vous le sachiez.
06:50 Parce que le discours que vous avez
06:52 pour Birame Suleydiop
06:54 ou Djamal Faye
06:56 est différent du discours
06:58 que nous avons entendu vous expliquer.
07:00 Vous avez dit que Ousmane Sonko
07:02 est votre plan A et votre plan Z.
07:04 Est-ce que vous commencez à croire
07:06 que vous ne pouvez plus aller au présidentiel?
07:08 Il faut savoir lire entre les lignes.
07:10 Je ne dis pas ce que je veux dire.
07:12 Les enfants ne vont pas m'entendre.
07:14 C'est moi qui leur dis ce que je veux dire.
07:16 Ousmane Sonko est notre plan A et notre plan Z.
07:20 Tout le monde en a parlé.
07:22 Donc, je veux dire que
07:24 personne ne peut le faire.
07:26 Mais on ne l'a pas entendu carrément.
07:28 Ousmane Sonko n'a pas dit ceci.
07:30 On a abandonné la lutte.
07:32 Ousmane Sonko reste notre candidat également.
07:34 Nous avons la possibilité d'avoir plusieurs candidats.
07:36 Nous allons nous battre pour que
07:38 Ousmane Sonko aussi
07:40 soit un candidat.
07:42 Attention que personne ne se décourage
07:44 en disant que Ousmane Sonko
07:46 ne peut pas être candidat.
07:48 Parce que nous avons des députés.
07:50 Nous pouvons nous préparer par les députés.
07:52 Nous pouvons nous préparer par les élus.
07:54 Donc, nous nous battons.
07:56 Actuellement, la lutte est multiforme et multidimensionnelle.
08:00 Et nous avons le droit de lutter.
08:02 C'est stratégique.
08:04 Nous avons des critiques
08:06 sur les basures du Jomai.
08:08 Nous avons des critiques sur les basures du Jomai.
08:10 Nous avons des critiques sur les basures du Jomai.
08:12 On peut dire que
08:14 quelqu'un ne peut pas gagner sa base
08:16 ou son pays au Sénégal.
08:18 Qu'est-ce que vous voulez dire?
08:20 Attention,
08:22 quelqu'un ne peut pas gagner sa base
08:24 ou son pays au Sénégal.
08:26 Ce n'est pas lui
08:28 qui va gagner
08:30 ou qui va perdre.
08:32 C'est le projet, l'esprit et l'idée
08:34 qui vont gagner.
08:36 Aujourd'hui, il y a beaucoup de gens
08:38 qui sont venus nous voir
08:40 pour nous aider.
08:42 Ils ont dit qu'ils allaient gagner
08:44 parce qu'ils étaient en colère contre Ousmane Sonko.
08:46 Ceux qui étaient en colère contre Macky Sall
08:48 n'ont rien gagné.
08:50 Ceux qui étaient en colère contre Ousmane Sonko
08:52 n'ont rien gagné.
08:54 Ils ont dit qu'ils allaient gagner
08:56 parce qu'ils étaient en colère contre Ousmane Sonko.
08:58 Nous allons communiquer suffisamment
09:00 pour montrer
09:02 qui est Basir Jomai.
09:04 Je l'ai dit, je suis le secrétaire général
09:06 de l'adjoint.
09:08 Nous allons recevoir tous les partis politiques
09:10 et les mouvements
09:12 et les associations
09:14 qui veulent venir à l'association.
09:16 Jassir Jomai,
09:18 nous avons envoyé des photos
09:20 pour les recevoir au siège.
09:22 Basir Jomai et moi avons fait ça.
09:24 C'est tout.
09:26 Tout est fait.
09:28 Et Ousmane Sonko a dit
09:30 qu'il n'y a pas de seconde
09:32 pour les deux.
09:34 C'est-à-dire, qui n'est pas d'accord
09:36 c'est sa affaire.
09:38 Je vais vous donner le raisonnement.
09:40 Si vous n'entendez pas, je vous laisse.
09:42 Parce que ce choix,
09:44 on ne peut pas le faire.
09:46 Il y a des gens dans l'opposition
09:48 qui ont dit que
09:50 tout le Sénégal est d'accord
09:52 sur le choix que nous avons eu à faire.
09:54 Et vous savez ce que je vous dis?
09:56 C'est le début.
09:58 Il y aura au moins
10:00 2 millions de parrains.
10:02 Si on ne reste pas au siège,
10:04 ce sera un problème.
10:06 Je ne vais pas vous demander
10:08 de parler de parrains.
10:10 Je vous dis que nous restons
10:12 trois semaines.
10:14 Tout ira bien.
10:16 Si vous voulez aller au Parrainage,
10:18 allez-y.
10:20 Allez-y à la maison,
10:22 à la rue,
10:24 et vous allez vous préparer.
10:26 Si vous faites le 111,
10:28 vous allez avoir un parrain.
10:30 C'est le 111 qui sera le premier.
10:32 On va parler de premier.
10:34 C'est ce que vous savez.
10:36 Le 111, c'est trois fois le premier.
10:38 Trois signifie beaucoup de choses.
10:40 Et le un, c'est le premier.
10:42 Donc, vous allez gagner.
10:44 Si vous avez deux parents,
10:46 vous allez gagner.
10:48 Mais si vous avez sept parents,
10:50 vous ne pourrez pas voir un.
10:52 Vous ne pourrez pas voir un.
10:54 Ou vous ne pourrez pas voir un.
10:56 Nous sommes tous premiers.
10:58 Mais ça, c'est la sorte.
11:00 Moi, mon frère,
11:02 je vais me faire un parrain.
11:04 Je vais me faire un parrain.
11:06 C'est ça.
11:08 Alors, aujourd'hui,
11:10 dans le Bassiur du Jomai,
11:12 nous avons eu des projets.
11:14 Et nous avons aussi
11:16 des projets.
11:18 Est-ce que Bastéf ou Ousmane Sonko
11:20 ont plan C,
11:22 comme vous l'avez dit,
11:24 ou plan D,
11:26 comme Bassiur du Jomai fait,
11:28 est-ce que vous pensez
11:30 qu'on peut bloquer
11:32 ou qu'il y a une autre stratégie
11:34 comme plan C?
11:36 Il peut y avoir une autre stratégie.
11:38 Je vous le dis,
11:40 Ousmane Sonko, Bassiur du Jomai,
11:42 Fayeo, Birame Koundjo, Lowo,
11:44 Birame Tuleguiobo,
11:46 tous les secrétaires généraux,
11:48 tous les vice-présidents,
11:50 même les coordonnateurs.
11:52 Nous avons des gens,
11:54 nous avons des têtes dans Bastéf.
11:56 Des têtes qui nous ont mis au boulot.
11:58 Mais,
12:00 les gars, ce qui les dérange,
12:02 ce qui les dérange,
12:04 c'est qu'ils pensent que Ousmane Sonko est obnubilé par le pouvoir.
12:06 Ousmane Sonko,
12:08 c'est ce que je dis à Birame Koundjo,
12:10 c'est que quand je me suis réunit,
12:12 dans mon pays,
12:14 personne ne fait ce qu'il fait aujourd'hui,
12:16 président de la République.
12:18 C'est-à-dire,
12:20 c'est ce que vous avez fait,
12:22 donc ce n'est pas une obsession pour moi.
12:24 C'est ce que je lui dis.
12:26 Et c'est ce que je le connais bien.
12:28 Ce qui l'intéresse, c'est le Sénégal.
12:30 Au Sénégal, tu peux travailler
12:32 où tu veux,
12:34 tu peux te mettre sur le dos,
12:36 tu peux te faire un boulot,
12:38 tu peux te faire un boulot,
12:40 tu peux te faire un boulot,
12:42 tu peux te faire un boulot,