#FreezeCorleone #LibertéDExpression #Rap
La préfecture de police de Paris interdit les concerts de Freeze Corleone
La préfecture de police de Paris a récemment publié un arrêté interdisant les deux prochains concerts de Freeze Corleone, prévus les 24 et 25 novembre prochain. Cette décision de censure n'est pas une première pour l'artiste du 667, et la société chargée de l'organisation des concerts a déjà déposé un recours pour tenter de maintenir les performances.
Une série de censures pour Freeze Corleone
En mars dernier, un arrêté municipal de la ville de Rennes avait tenté d'empêcher le concert de Freeze Corleone lors du festival Boomin Fest, sous prétexte d'un "risque avéré de trouble à l'ordre public". Le tribunal avait finalement donné raison à l'artiste, lui permettant ainsi de se produire sur scène. Aujourd'hui, Freeze Corleone se retrouve une fois de plus sous le feu des autorités.
Motifs avancés par les autorités
La préfecture de police de Paris justifie cette décision en invoquant les tensions géopolitiques actuelles et en déplorant les "nombreuses références complotistes et antisémites" de l'artiste, en particulier dans son single "Shavkat" extrait de l'album "ADC". Les paroles de cette chanson, notamment la phrase "Je préfère être accusé d'antisémitisme que de viol comme Darmanin", ont suscité la controverse.
Réactions et recours
Le manager de Freeze Corleone a réagi immédiatement à cette sanction, promettant de tout mettre en œuvre contre la censure du rappeur. Il a également relayé le communiqué de la production Survolta, qui exprime son désaccord avec cet arrêté et dénonce une méconnaissance totale de la musique de l'artiste. Un recours a d'ailleurs été déposé pour tenter de maintenir les deux concerts.
Censure #FreezeCorleone #LibertéDExpression #Rap
La préfecture de police de Paris interdit les concerts de Freeze Corleone
La préfecture de police de Paris a récemment publié un arrêté interdisant les deux prochains concerts de Freeze Corleone, prévus les 24 et 25 novembre prochain. Cette décision de censure n'est pas une première pour l'artiste du 667, et la société chargée de l'organisation des concerts a déjà déposé un recours pour tenter de maintenir les performances.
Une série de censures pour Freeze Corleone
En mars dernier, un arrêté municipal de la ville de Rennes avait tenté d'empêcher le concert de Freeze Corleone lors du festival Boomin Fest, sous prétexte d'un "risque avéré de trouble à l'ordre public". Le tribunal avait finalement donné raison à l'artiste, lui permettant ainsi de se produire sur scène. Aujourd'hui, Freeze Corleone se retrouve une fois de plus sous le feu des autorités.
Motifs avancés par les autorités
La préfecture de police de Paris justifie cette décision en invoquant les tensions géopolitiques actuelles et en déplorant les "nombreuses références complotistes et antisémites" de l'artiste, en particulier dans son single "Shavkat" extrait de l'album "ADC". Les paroles de cette chanson, notamment la phrase "Je préfère être accusé d'antisémitisme que de viol comme Darmanin", ont suscité la controverse.
Réactions et recours
Le manager de Freeze Corleone a réagi immédiatement à cette sanction, promettant de tout mettre en œuvre contre la censure du rappeur. Il a également relayé le communiqué de la production Survolta, qui exprime son désaccord avec cet arrêté et dénonce une méconnaissance totale de la musique de l'artiste. Un recours a d'ailleurs été déposé pour tenter de maintenir les deux concerts.
Censure #FreezeCorleone #LibertéDExpression #Rap
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