Selección Mexicana: obstáculos que afectan el funcionamiento en la cancha | Palabra Del Deporte

  • l’année dernière
La falta de personalidad entre los #jugadoresmexicanos y las pocas oportunidades para probar a las jóvenes promesas del #fútbolmexicano, han sido los problemas más frecuentes en la #SelecciónMexicana.

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Sport
Transcription
00:00 Je considère, et je l'ai fait à un moment, quand les gens disaient "c'est Tata, c'est Tata, etc."
00:06 Je comprends que Tata a pris des décisions très questionnables,
00:08 comme les décisions de chacun des techniciens qui ont été sur ce banc.
00:12 Tous les techniciens qui sont passés par là-bas,
00:14 de la Volpe qui ne l'a pas porté à Cuauhtémoc, à Chiquis,
00:19 et en plus, il laisse aussi Jimmy,
00:22 comme Chepo qui a porté à Tri un repêchage,
00:26 et aussi plusieurs décisions que les techniciens qui sont passés par là-bas ont pris.
00:30 Javier Aguirre a porté à Guillafranco, en fin, plusieurs décisions.
00:36 Il y aura des décisions mauvaises.
00:37 Le problème n'est pas Tata,
00:39 le problème n'est pas Jimmy.
00:41 Le problème est que le Mexicain croit qu'il a un meilleur équipe que celui qu'il a.
00:46 La matière primaire est très pauvre.
00:48 La matière primaire du footballeur mexicain est limitée.
00:51 Le Mexicain croit que parce que tu as empilé en Allemagne,
00:53 c'est ton niveau et c'est ta réalité.
00:55 C'est donc plus indignant quand tu perds à Tegucigalpa.
00:59 Non, non, ton niveau,
01:01 le niveau réel de la sélection mexicaine, c'est celui que nous avons vu hier,
01:04 et c'est celui que nous avons vu à Tegucigalpa.
01:06 C'est le niveau de la Mexique,
01:07 ce n'est pas celui que nous voyons dans le Mextour aux États-Unis,
01:10 avec des tournées où il faut accomplir un contrat avec Zoom.
01:14 C'est un niveau maquillé, non ?
01:18 Le niveau réel, c'est quand les États-Unis te passent au-dessus de la Ligue des Nations de la CONCACAF.
01:22 C'est le niveau de la sélection mexicaine.
01:24 Ce n'est pas le Chucky Lozano qui a fait un but d'un autre match,
01:27 dans un match contre l'Allemagne, dans un monde.
01:31 Ce n'est pas la réalité de la Méxique.
01:35 Donc, quand nous comprenons que la matière primaire, c'est ce qu'il y a,
01:39 pourquoi Julián Quiñones a été naturalisé ?
01:41 Parce qu'il n'y avait pas d'autre Méxicain de naissance
01:46 qui était au-dessus de Julián Quiñones, au moment.
01:50 Que tu aies ce que Julián Quiñones t'avait donné,
01:52 c'est-à-dire un type différent, pour dire la vérité.
01:55 Pourquoi ? Parce que, de toute façon, le petit Sánchez peut actuer là-bas,
02:00 le même Orbelín Pineda, dans la même position,
02:03 mais ils ne sont pas spectaculaires.
02:06 Santiago Jiménez est en un grand moment dans le Feyenoord,
02:09 pas comme ça, dans la sélection mexicaine.
02:11 Jiménez ne le réflète pas.
02:13 Et il passe au contraire, peut-être Antuna, non ?
02:14 De toute façon, Antuna, avec le crucifix bleu, tu dis
02:16 « Oh, pour l'amour de Dieu, il a un bon centre ! »
02:18 Et de toute façon, avec la sélection mexicaine, il le fait bien.
02:21 Mais c'est le niveau.
02:23 Et ce sont les conséquences de faire des tournois courts,
02:26 avec trois pauses en un seul semestre.
02:28 Ce sont les conséquences d'un play-in.
02:30 Ce sont les conséquences d'un repêchage.
02:32 Ce sont les conséquences de ce que Raúl Chabrán a eu de Mali.
02:36 Parce que, après, ce sont ceux qui vont arriver à la première division,
02:38 si ils arrivent.
02:39 Et ce sont ceux qui vont représenter le Mexique, plus tard,
02:43 en une Coupe d'or ou en une Ligue des Nations.
02:46 C'est ça. Bon, je ne lui enlève pas une comme,
02:48 ce que tu as mentionné, une édition très complète
02:51 concernant ce que se représente aujourd'hui en sélection nationale.
02:54 Mon cher Steve, c'est vrai, c'est là le problème principal.
03:00 Et pas seulement les fans,
03:01 je pense aussi que les médias de communication sont culpables.
03:04 Certains collègues qui, bon, défendent l'intérêt, c'est bien,
03:07 rien ne se passe, chacun travaille.
03:09 Et c'est bien qu'ils aient un travail où il faut suivre une ligne.
03:14 Et parfois, on vend à la sélection mexicaine,
03:16 ce que nous n'avons pas, et les fans le croient.
03:18 Et après, quand il inflige, il inflige le globe et il se pinche,
03:22 c'est dur le coup.
03:23 C'est assez dur le coup.

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