L'augmentation du nombre de maladies respiratoires en Chine suscite des inquiétudes
L'augmentation , du nombre de maladies
respiratoires en Chine, suscite des inquiétudes.
Newsweek rapporte que l'augmentation du nombre d'infections respiratoires en Chine a incité les autorités sanitaires mondiales à se pencher sur la question et mesurer l'ampleur et la gravité de la menace sanitaire. .
Le 13 novembre, la Commission nationale
de la santé chinoise a souligné la nécessité
de surveiller la situation.
En début de semaine, les médias d'État chinois
ont indiqué que les cas concernaient principalement
la grippe, la pneumonie à mycoplasme, le rhinovirus
et d'autres maladies.
Selon les experts, les mesures strictes d'exemption de COVID qui ont été levées il y a moins d'un an,
ont rendu le système immunitaire
des enfants vulnérable. .
C'est pourquoi, selon les experts,
un certain nombre de cas signalés en
Chine concernent des enfants. .
Bien que nous ne puissions pas poser un diagnostic définitif à ce stade, la présence
de nodules pulmonaires tend à suggérer une
une cause bactérienne plutôt que virale, Paul Hunter, professeur de médecine à l'université britannique d'East Anglia au Royaume-Uni via le Science Media Centre.
Les nodules pulmonaires chez les enfants
sont observés dans la pneumonie à pneumocoques et la toux peut être absente. La grippe peut entraîner des modifications parcellaires sur la radiographie du thorax, souvent dues à des infections
bactériennes secondaires, Paul Hunter, professeur de médecine à l'université britannique d'East Anglia au Royaume-Uni via le Science Media Centre.
Les experts chinois en matière de santé ont déclaré à plusieurs médias d'État que les cas devraient atteindre leur maximum dans les deux à trois semaines à venir, tandis que les infections persistantes pourraient durer jusqu'au printemps prochain.
Selon le Dr Leana Wen, professeur de politique et de gestion de la santé à l'Institut Milken, l'objectif est d'améliorer la qualité des soins de santé, .
les pics ne sont "pas inattendus compte tenu de la
levée des restrictions COVID-19, comme cela
a été dans d'autres pays".
Il est important de noter qu'aucun nouvel agent pathogène n'a été détecté. Il n'y
a pas eu non plus de présentation clinique inhabituelle, les enfants semblant
beaucoup plus malades que la normale, Leana Wen, professeur de politique et de gestion de la santé à l'Université George Washington via CNN
respiratoires en Chine, suscite des inquiétudes.
Newsweek rapporte que l'augmentation du nombre d'infections respiratoires en Chine a incité les autorités sanitaires mondiales à se pencher sur la question et mesurer l'ampleur et la gravité de la menace sanitaire. .
Le 13 novembre, la Commission nationale
de la santé chinoise a souligné la nécessité
de surveiller la situation.
En début de semaine, les médias d'État chinois
ont indiqué que les cas concernaient principalement
la grippe, la pneumonie à mycoplasme, le rhinovirus
et d'autres maladies.
Selon les experts, les mesures strictes d'exemption de COVID qui ont été levées il y a moins d'un an,
ont rendu le système immunitaire
des enfants vulnérable. .
C'est pourquoi, selon les experts,
un certain nombre de cas signalés en
Chine concernent des enfants. .
Bien que nous ne puissions pas poser un diagnostic définitif à ce stade, la présence
de nodules pulmonaires tend à suggérer une
une cause bactérienne plutôt que virale, Paul Hunter, professeur de médecine à l'université britannique d'East Anglia au Royaume-Uni via le Science Media Centre.
Les nodules pulmonaires chez les enfants
sont observés dans la pneumonie à pneumocoques et la toux peut être absente. La grippe peut entraîner des modifications parcellaires sur la radiographie du thorax, souvent dues à des infections
bactériennes secondaires, Paul Hunter, professeur de médecine à l'université britannique d'East Anglia au Royaume-Uni via le Science Media Centre.
Les experts chinois en matière de santé ont déclaré à plusieurs médias d'État que les cas devraient atteindre leur maximum dans les deux à trois semaines à venir, tandis que les infections persistantes pourraient durer jusqu'au printemps prochain.
Selon le Dr Leana Wen, professeur de politique et de gestion de la santé à l'Institut Milken, l'objectif est d'améliorer la qualité des soins de santé, .
les pics ne sont "pas inattendus compte tenu de la
levée des restrictions COVID-19, comme cela
a été dans d'autres pays".
Il est important de noter qu'aucun nouvel agent pathogène n'a été détecté. Il n'y
a pas eu non plus de présentation clinique inhabituelle, les enfants semblant
beaucoup plus malades que la normale, Leana Wen, professeur de politique et de gestion de la santé à l'Université George Washington via CNN
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01:30 *Bruit de porte qui s'ouvre*