Le tournage du film Le Jour d'après (TMC) : une révélation surprenante de Roland Emmerich sur une situation absurde
#écologie #climat #catastrophe
TMC diffuse ce soir le célèbre film écologique Le jour d'après : retour sur un tournage glacial...
La Terre, à l'ère actuelle. Typhons, inondations, raz-de-marée... Les prédictions les plus sombres en matière de climat se réalisent avec un siècle d'avance. Une ère glaciaire imminente menace l'humanité...
Un manifeste à 120 millions de dollars
Le réalisateur Roland Emmerich (Independence Day, Godzilla) partage son temps entre les États-Unis, où il travaille, et l'Allemagne, où il exerce son droit de vote... toujours en faveur des Verts. Ce film catastrophe est une réponse au refus du président George W. Bush, en 2001, de ratifier le protocole de Kyoto pour lutter contre le réchauffement climatique. « J'ai réalisé qu'il était nécessaire d'agir pour sensibiliser le public aux dangers écologiques. »
Le climat porteur secours
Lorsqu'il propose son projet de film à grand spectacle sur le péril climatique à plusieurs studios hollywoodiens, Emmerich est rejeté. Qu'importe, il décide de produire le film lui-même. Parallèlement, le monde est frappé par une série de catastrophes naturelles : inondations tragiques, tornades dévastatrices... La Fox change d'avis.
Le roi des neiges
Les scènes glaciales de New York ont été tournées à Montréal, qui a connu un hiver particulièrement rigoureux en 2002. « Il faisait tellement froid, raconte le cinéaste, que nous n'avons pas pu tourner en extérieur. La situation était absurde. Nous travaillions dans un studio surchauffé avec de la neige artificielle, et les acteurs étouffaient sous d'épaisses tenues pour lutter contre le froid ! »
Le Jour d'après : lundi 4 décembre à 21h25 sur TMC
Julien Barcilon
cinéma #écologie #climat #catastrophe
TMC diffuse ce soir le célèbre film écologique Le jour d'après : retour sur un tournage glacial...
La Terre, à l'ère actuelle. Typhons, inondations, raz-de-marée... Les prédictions les plus sombres en matière de climat se réalisent avec un siècle d'avance. Une ère glaciaire imminente menace l'humanité...
Un manifeste à 120 millions de dollars
Le réalisateur Roland Emmerich (Independence Day, Godzilla) partage son temps entre les États-Unis, où il travaille, et l'Allemagne, où il exerce son droit de vote... toujours en faveur des Verts. Ce film catastrophe est une réponse au refus du président George W. Bush, en 2001, de ratifier le protocole de Kyoto pour lutter contre le réchauffement climatique. « J'ai réalisé qu'il était nécessaire d'agir pour sensibiliser le public aux dangers écologiques. »
Le climat porteur secours
Lorsqu'il propose son projet de film à grand spectacle sur le péril climatique à plusieurs studios hollywoodiens, Emmerich est rejeté. Qu'importe, il décide de produire le film lui-même. Parallèlement, le monde est frappé par une série de catastrophes naturelles : inondations tragiques, tornades dévastatrices... La Fox change d'avis.
Le roi des neiges
Les scènes glaciales de New York ont été tournées à Montréal, qui a connu un hiver particulièrement rigoureux en 2002. « Il faisait tellement froid, raconte le cinéaste, que nous n'avons pas pu tourner en extérieur. La situation était absurde. Nous travaillions dans un studio surchauffé avec de la neige artificielle, et les acteurs étouffaient sous d'épaisses tenues pour lutter contre le froid ! »
Le Jour d'après : lundi 4 décembre à 21h25 sur TMC
Julien Barcilon
cinéma #écologie #climat #catastrophe
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00:00 C'est diffus ce soir le célèbre film écologique Le jour d'après-retour sur un tournage glacial.
00:04 La Terre à l'air actuel, typhon, inondations, raz-de-marée.
00:08 Les prédictions les plus sombres en matière de climat se réalisent avec un siècle d'avance.
00:12 Une ère glaciaire imminente menace l'humanité.
00:14 Le réalisateur Roland-Hombrich Indépendance-TI, de l'IA, partage son temps entre les Etats-Unis,
00:20 où il travaille, et l'Allemagne, où il exerce son droit de vote, toujours en faveur des verts.
00:25 Ce film catastrophe est une réponse au refus du président George W. Bush en 2001
00:31 de ratifier le protocole de Kyoto pour lutter contre le réchauffement climatique.
00:35 "J'ai réalisé qu'il était nécessaire d'agir pour sensibiliser le public aux dangers écologiques"
00:39 lorsqu'il propose son projet de film à grands spectacles sur le péril climatique à plusieurs studios.
00:44 Hollywoodien Hombrich est rejeté. Qu'importe, il décide de produire le film lui-même.
00:49 Parallèlement, le monde est frappé par une série de catastrophes naturelles, inondations tragiques,
00:54 tornades dévastatrices, la Fox change d'avis, les scènes glaciales de New York ont été tournées à Montréal.
01:00 "Qui a connu un hiver particulièrement rigoureux en 2002 ? Il faisait tellement froid"
01:05 raconte le cinéaste, "que nous n'avons pas pu tourner en extérieur. La situation était absurde.
01:10 Nous travaillions dans un studio surchauffé avec de la neige artificielle.
01:13 Et les acteurs étouffés se dépestent nus pour lutter contre le froid."