Son spectacle "L'Odyssée de la Voix" arrive à l'Olympia : l'imitateur, chanteur et comédien Michaël Gregorio termine son tour de France et de Belgique avec un show protéiforme où il explore la voix, de Scatman au jazz, de Johny à Bowie, de Berger au death metal en passant par Dave...
Regardez L'invité de RTL Soir du 06 décembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
Regardez L'invité de RTL Soir du 06 décembre 2023 avec Marion Calais et Julien Sellier.
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00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 Julien Celié, Marion Calais et Cyprien Sini. RTL bonsoir.
00:09 RTL bonsoir. La deuxième heure, là-bas dans le studio, Alex Vizorek, Marion, Cyprien, Isabelle, Steven Bellery, notre spécialiste musique aussi.
00:18 Salut Steven. Salut à tous. Et nous accueillons tous ensemble notre grand invité. Il est imitateur, chanteur, comédien. C'est Mickaël Grigorio. Bonsoir.
00:26 Merci d'être avec nous. Vous chanterez d'ailleurs pour nous en live dans quelques minutes votre version à plusieurs voix de Moonlight in Vermont, un classique du jazz.
00:35 Avec en fait l'arrivée de votre spectacle, l'Odyssée de la voix qui s'arrête à Paris les 15, 16 et 17 décembre à l'Olympia. C'est complet.
00:44 Donc une date est ajoutée le 9 mars à la scène musicale et vous serez aussi vendredi à Compiègne, samedi à Chalon-en-Champagne, dimanche à Charleroi.
00:53 C'est un tour de France et de Belgique depuis des mois avec un spectacle un peu protéiforme où vous explorez la voix en chantant.
01:00 Évidemment, on passe de Scatman au jazz, de Johnny Aboie, de Michel Berger au death metal en passant par Dave.
01:18 Cette voix, vous vous amusez donc à la tordre, parfois même vous vous taisez en hommage au cinéma muet de Chaplin.
01:24 C'est drôle, c'est rythmé et surtout c'est un spectacle qu'on n'arrive pas, je ne sais pas si vous êtes d'accord, mais à ranger dans une case en fait.
01:29 Tant mieux. C'était l'idée ? C'était l'idée. Moi je ne suis pas très très rangement, même chez moi. C'est un peu le bordel.
01:34 Capillairement. Capillairement aussi, ça c'est sûr.
01:37 On l'a vu dans le studio, vous avez mis les affaires partout d'ailleurs.
01:39 Non, alors ça oui. Mes musiciens se moquent de moi parce que je mets un peu dans l'horloge, un peu dans...
01:44 Je suis tout le temps en train de chercher mes affaires, voilà. C'est peut-être un truc de marquage de territoire.
01:49 C'est vrai qu'il y en a un peu partout.
01:51 Je vais vous oublier en piano là.
01:54 Ce spectacle en fait, c'est certes l'histoire de votre voix, de vos goûts musicaux.
01:59 Vous avez répété je crois plus de 200 chansons avec vos musiciens avant vraiment de créer la ligne de ce spectacle.
02:04 Où en fait plusieurs ingrédients sont mélangés, il y a encore plus de vidéos, de scénettes, d'humour.
02:09 Pourquoi cette évolution au fil du temps et de près de 20 ans de carrière ?
02:13 Ça se fait assez naturellement. C'est-à-dire que j'avais envie d'ouvrir ce spectacle.
02:17 Il y a plein de choses qui sont venues très très très facilement.
02:20 Et puis j'avais envie de jouer avec la voix, mais pas seulement avec des références marquées.
02:27 Par exemple, il y a un titre qu'on reprend, "Diana Kamoura", et on le réarrange dans plein de genres musicaux,
02:31 en reggae, en ska, en salsa, en musette.
02:34 Je ne vais pas imiter Bob Marley ou un chanteur en particulier.
02:38 Ça va être comment ma voix s'installe dans un registre.
02:42 Ce que je ferai tout à l'heure, par exemple, c'est ce que je fais avec "Moonlight in Vermont".
02:46 J'imagine comment ma voix serait si j'étais un crooner ou une chanteuse de jazz.
02:51 C'est ça qui m'amusait aussi, me donnait un petit peu plus de liberté dans les interprétations.
02:54 Et est-ce qu'il y a des moments où vous sentez que le public se soulève ?
02:58 Quand vous imitez Michel Berger et Johnny, on sent un peu les frissons monter dans la salle.
03:04 C'est vrai que c'est l'une des chansons que j'ai gardées.
03:06 C'est la seule chanson que j'ai gardée des précédents spectacles.
03:08 Parce qu'on l'a réclamée, et puis je prends vraiment beaucoup de plaisir à la chanter.
03:12 Je ne l'ai pas gardée telle qu'elle, j'ai rajouté quelque chose, une petite surprise.
03:15 Mais oui, effectivement, c'est un moment assez fort du spectacle.
03:19 C'est d'ailleurs très étrange parce que parfois j'ai des gens qui se lèvent, la salle se lève à la fin.
03:26 Je m'amuse et je dis "merci, au revoir, maintenant que j'ai eu l'installation, je ne peux pas crier".
03:30 Mais oui, ça me touche beaucoup ce moment dans le spectacle.
03:35 Vous dites dans ce spectacle que vous avez un peu le trac au moment de monter sur scène.
03:39 Vous avez encore le trac ? Après toutes les fois où vous l'avez fait ?
03:42 Oui, bien sûr, j'aurai toujours le trac.
03:45 Je pense qu'Alex, quand tu montes sur scène, il y a quand même un petit moment où on se consente,
03:50 il se passe quelque chose, ce n'est pas anodin.
03:52 Les cinq dernières minutes, on se demande pourquoi on a choisi ce métier.
03:55 Et puis quand ça s'allume, on y va en...
03:57 Vous comprenez pourquoi on a choisi ce métier.
03:59 Oui, et puis on oublie qu'on est là et qu'il y a des gens qui nous regardent.
04:02 Le trac, ça date de tout petit, parce qu'il paraît que quand vous aviez trois ans,
04:05 pour le premier spectacle de l'école, vous avez eu aussi un gros moment de stress.
04:09 Il paraît, oui. J'ai vaguement une image, je n'avais pas du tout envie de monter sur scène.
04:14 Je crois que j'ai pleuré. Ce n'était pas pour moi la scène.
04:18 Et en fait, oui.
04:19 Ce rapport au spectacle, à la voix, il commence très jeune.
04:22 Vous dites dans le spectacle d'ailleurs que quand certains jouaient au foot ou aux jeux vidéo,
04:25 vous vous jouiez à la voix, à déjà quelque chose de très ludique.
04:30 Oui, j'avais un petit micro, vous savez, les petits radio-cassettes avec un petit micro intégré.
04:35 Je jouais déjà beaucoup avec ça.
04:38 Je pense que l'imitation de la guitare a dû naître à cette époque.
04:41 Et le lieu où vous entendiez beaucoup de chansons, c'était la R5 de Tonton Bernard.
04:45 C'est ce que vous dites dans le show.
04:46 Exactement.
04:47 C'est vrai que ça ?
04:48 À peu près, oui.
04:49 Est-ce que c'était vraiment une R5 ?
04:51 Ça a été une R5, mais peut-être qu'à l'époque, c'était un autre modèle.
04:54 Mais oui, je pense qu'il a eu une R5 en tout cas.
04:57 Et c'était quoi les musiques ?
04:58 Ça allait de toute la musique des années 80, et puis aussi un peu de musique encore plus ancienne.
05:05 Mon grand-père aussi, là c'était une Rover.
05:08 On va être très précis sur les voitures.
05:12 Et lui, il avait effectivement pas mal de chansons.
05:16 Il écoutait Mike Brandt, plein plein plein plein plein d'artistes.
05:21 Vous parliez de ce rock et de cette guitare que vous arrivez à imiter.
05:25 C'est devenu avec le temps un de vos tubes ?
05:27 Oui, c'est ça.
05:28 C'est devenu un peu un truc de la vie.
05:30 C'est devenu un truc de la vie.
05:31 C'est devenu un truc de la vie.
05:32 C'est devenu un truc de la vie.
05:33 C'est devenu un truc de la vie.
05:34 C'est devenu un truc de la vie.
05:35 C'est devenu un truc de la vie.
05:36 C'est devenu un truc de la vie.
05:37 C'est devenu un truc de la vie.
05:38 C'est devenu un truc de la vie.
05:39 C'est devenu un truc de la vie.
05:40 C'est devenu un truc de la vie.
05:41 C'est devenu un truc de la vie.
05:42 C'est devenu un truc de la vie.
05:43 C'est devenu un truc de la vie.
05:44 C'est devenu un truc de la vie.
05:45 Finalement, le succès vous est tombé dessus alors que vous n'étiez même pas adulte.
05:55 Vous deviez, paraît-il, prendre des cours à distance pour devenir avocat et puis quand
05:59 on sait aussi bien faire la guitare, on arrête de prendre des cours, c'est ça ?
06:02 Parce qu'on rappelle que là, ce n'était pas une guitare, c'était votre voix.
06:05 C'est ma voix avec la guitare de mon guitariste aussi.
06:08 Il y a le prochain spectacle où il va faire tous les appareils électroménagers.
06:11 C'est formidable.
06:12 Il y a l'aspirateur qui fait extrêmement bien.
06:15 Un spectacle d'artiste.
06:17 Donc, les cours à distance d'avocat sont restés dans la pochette ?
06:20 Oui, je ne les ai même pas ouverts.
06:22 Je commençais à travailler au 20e théâtre tous les soirs.
06:26 C'était un peu compliqué.
06:27 Puis, le droit, c'est vraiment un nouveau langage, une nouvelle matière.
06:31 Au final, j'ai laissé tomber.
06:35 Je n'ai même pas essayé de le porter.
06:36 Vous avez bien fait.
06:37 Michael Grigoriou, vous restez avec nous.
06:38 L'odyssée de la voix, votre spectacle arrive à l'hôpital.
06:39 On vous retrouve dans une poignée de secondes.
06:40 Vous restez avec nous, les auditeurs.
06:41 RTL, bonsoir.
06:42 RTL, bonsoir.
06:43 Julien Sélier, Marion Calais et Cyprien Signeux.
06:44 RTL, bonsoir.
06:45 La deuxième heure avec la bande en studio et notre grand invité.
06:46 Il est imitateur, chanteur, comédien, performeur.
06:47 C'est Michael Grigoriou.
06:48 Et on rappelle que vous chanterez d'ailleurs avec la bande.
07:12 On vous rappelle que vous chanterez d'ailleurs dans un tout autre style en live.
07:19 Dans quelques minutes, pour nous, un titre très jazzy.
07:22 Votre version de Moonlight in Vermont.
07:24 On fait donc tous ensemble l'arrivée de votre spectacle, l'Odyssée de la voix à
07:28 l'Olympia.
07:29 15, 16, 17 décembre.
07:30 Là, vous enchaînez les dates.
07:31 Michael Grigoriou, la voix, on le sait, c'est votre instrument de travail.
07:34 Comme nous d'ailleurs, même si on a une voix beaucoup moins sympathique que la vôtre.
07:37 On tire un peu moins dessus.
07:38 Voilà, exactement.
07:39 En 2020, vous l'avez perdue.
07:40 En 2022, vous avez été opéré des cordes vocales.
07:42 Comment vous la protégez au quotidien, cette voix ? Ou est-ce que vous ne la protégez
07:46 pas particulièrement d'ailleurs ?
07:47 J'ai été opéré en 2020, au même temps que les problèmes.
07:52 Ce qui m'a permis de faire la rééducation et de remonter sur scène.
07:57 Ça a été un moment pas difficile, mais assez étrange.
08:03 C'était au milieu de la pandémie.
08:05 Tout le monde était arrêté.
08:07 Je pouvais traverser Paris pour aller chez le phoniatre.
08:10 La place de l'étoile, il n'y avait personne.
08:12 C'était assez surréaliste.
08:13 Pourtant, j'étais assez prudent avec ma voix avant.
08:18 J'avais l'impression d'en prendre soin, de la protéger.
08:21 Mais c'est vrai que le spectacle, c'est engageant vocalement.
08:25 Je ne peux pas faire autrement que parfois de la mettre un petit peu en danger.
08:29 Donc là, aujourd'hui, je me suis appliqué quelques règles que je suis un petit peu
08:35 plus qu'avant.
08:36 Et comment on la préserve du coup ?
08:37 Le silence, le sommeil.
08:39 Ça joue vraiment ?
08:41 C'est le plus important.
08:42 Le sommeil et le silence, c'est vraiment le plus important.
08:46 Quand je suis en tournée, j'essaie de dormir le plus possible.
08:49 Ce n'est pas évident parce qu'avec les transports, le tourbus, ce ne sont pas des
08:52 conditions de sommeil qui sont idéales.
08:54 Mais après le reste de la journée, j'essaie de me mettre au calme, de faire le maximum
08:59 de siestes, etc. pour être en forme le soir.
09:01 Est-ce qu'elles ont une particularité, vos cordes vocales ? J'imagine que vous les
09:04 connaissez bien.
09:05 Le phoniatre a bien dû vous les montrer.
09:07 Je les ai vus, ce n'est pas le truc le plus joli à voir.
09:10 Ce n'est pas beau, mais est-ce que pour avoir ce talent vocal, vous avez des cordes
09:14 vocales spéciales ?
09:15 Non, j'ai les mêmes cordes vocales que tout le monde.
09:18 Après, avec le temps…
09:19 C'est du travail.
09:20 Oui, mais je pense que ça se passe aussi beaucoup dans la tête.
09:24 Il y a tout qui va fonctionner.
09:25 Il y a les cordes vocales aussi, mais toute la sphère ORL va travailler.
09:30 Les résonateurs, le nez, la gorge, essayer d'entendre des choses, essayer de déplacer
09:36 la voix.
09:37 C'est comme s'il y avait plein d'endroits un peu cachés qui permettent de faire résonner
09:43 la voix un peu différemment et autrement.
09:45 Est-ce que l'opération a révélé des choses, a changé des choses dans cette voix
09:50 ou pas ?
09:51 Oui, c'est comme si on avait rendu mon appart et on avait changé la déco.
09:55 En mieux ou en moins bien ?
09:57 En vrai, j'ai envie de dire en mieux.
10:00 Les premières fois, il a fallu que je me remette un petit peu et que j'essaye de réappréhender
10:10 tout ça.
10:11 Il y avait aussi un peu d'appréhension.
10:12 J'avais peur de me blesser au tout début quand j'ai recommencé à chanter.
10:15 Je voulais y aller vraiment très doucement.
10:18 Et puis finalement, ça s'est très bien passé.
10:21 Est-ce qu'il y a des types de voix où vous avez plus de mal ?
10:25 On en parlait avec Marc-Antoine l'autre jour.
10:27 Il disait "moi, les voix de fumeurs très éraillées, j'ai du mal à aller les chercher
10:31 Marc-Antoine Lebret.
10:32 Vous, est-ce qu'il y a un type de voix qui est plus difficile à aller chercher ?
10:35 Oui, pareil, ce genre de voix qui ne sont pas hyper bien placées, c'est compliqué.
10:39 Mais aussi parce qu'aujourd'hui, je m'abîme un petit peu la voix quand je le fais, je
10:45 le sais.
10:46 Donc peut-être qu'aujourd'hui, je fais un petit peu plus attention avec des voix comme
10:49 ça.
10:50 Mais ça ne m'empêche pas de chanter Joe Cocker ou quand je joue en Belgique, parfois
10:53 je joue Arnaud aussi.
10:54 Oui, ne fume pas Arnaud !
10:55 J'ai reçu un SMS de Renaud pendant l'Internet, il voudrait le numéro de votre faunia.
11:01 Avec plaisir, je lui donnerai.
11:05 On a une petite surprise pour vous, Miquel.
11:07 En 2001, la France vous découvre dans "Graine de star".
11:10 Vous n'avez que 16 ans.
11:11 Laurent Boyer, l'animateur de l'émission, se souvient pour Ertel.
11:14 Bonsoir de vos dépouilles.
11:15 Mais non !
11:16 C'est marrant parce qu'il est si frêle physiquement.
11:19 Il a cette grâce.
11:20 Tu sais, il est tout petit, c'est un oiseau.
11:21 Il a cette puissance dans la voix.
11:24 Moi, ça m'avait stupéfait.
11:25 Je ne sais pas combien de fois il est venu faire l'émission, je l'ai même gardé
11:28 avec moi pour qu'on le présente comme commandeur, d'ailleurs comme Jérôme.
11:30 Il était perfectionniste, il l'est toujours.
11:32 D'une telle gentillesse, on a l'impression qu'il s'excuse d'être là, presque.
11:35 Il est tellement doux.
11:37 Mais Gregorio m'a toujours ébahi.
11:39 Pourquoi ? Parce que lui chantait des artistes modernes, nouveaux.
11:43 Il a cette qualité de voix et d'aller chercher des artistes que personne d'autre n'imite.
11:48 Et il le fait à la perfection.
11:50 Il me bluffe toujours.
11:51 Je suis bluffé, vraiment.
11:52 Pour moi, c'est le meilleur au chant "Je t'aime, Michael".
11:56 Je t'aime aussi.
11:58 Ça a changé votre vie, vraiment, graine de star ou pas ?
12:01 Oui, un petit peu quand même.
12:02 Mais c'est un très bon souvenir.
12:04 J'ai fait deux fois, trois fois l'émission.
12:06 En tout cas, je ne savais pas si j'allais en faire mon métier.
12:09 C'était une expérience extraordinaire.
12:12 J'aurais été très heureux si ça s'était arrêté là.
12:15 Mais ça a continué.
12:16 J'ai eu beaucoup de chance.
12:17 Et pour l'avenir, est-ce que c'est le métier de comédien sur lequel vous pourriez miser ?
12:23 Parce que sur scène, vous vous amusez, vous changez de tenue, vous jouez.
12:27 Vous avez d'ailleurs déjà joué dans des films et des téléfilms.
12:30 Ça, c'est une piste pour la suite ?
12:31 C'est quelque chose que j'aime faire.
12:33 C'est d'ailleurs ce que je voulais faire au début.
12:35 J'ai commencé par faire du théâtre.
12:36 Et puis finalement, il y avait la musique, la comédie qui m'intéressait aussi.
12:42 Au final, c'est un peu ce qui s'est passé.
12:44 C'est un petit peu ce qu'il y a sur scène aujourd'hui.
12:46 Donc c'est un peu le mélange de tout ça.
12:48 C'est clair que c'est quelque chose que j'aime.
12:50 J'adore la caméra.
12:51 J'adore la scène aussi.
12:54 Je viens de finir de tourner une série qui s'appelle "Les Bracelets Rouges"
13:00 qui sera diffusée l'année prochaine ou en fin d'année, je ne sais pas encore.
13:05 Il y aura d'autres choses, je l'espère.
13:08 Parce que c'est quelque chose que j'aime faire énormément.
13:10 D'ailleurs, le spectacle s'ouvre sur un hommage au cinéma,
13:12 à "L'Odyssée de l'espace" de Kubrick,
13:14 avec un petit film où vous êtes grimé en Australopithèque.
13:16 Oui, le mot "Gregorio Sapiens"
13:19 qui découvre un petit peu le micro avec l'os.
13:24 Et ce qui est drôle, c'est que j'ai vu Barbie,
13:27 et ça ouvre aussi.
13:28 Ils ont refait plan pour plan l'intro.
13:33 Ils ont triché sur vous en fait.
13:35 C'est évident.
13:36 Vous allez faire autant d'entrées qu'eux.
13:38 J'espère.
13:39 Nickel, Gregorio, vous restez avec nous.
13:41 Vous faites le passage de votre "Odyssée de la voix"
13:44 à Paris, 15, 16, 17 décembre, à l'Olympia,
13:47 9 mars à la scène musicale,
13:49 et en tournée partout en France.
13:50 Vous allez chanter en live pour nous dans un instant,
13:52 "Moonlight in Vermont".
13:54 Et Lafitzgerald, Sinatra, Billie Holiday,
13:56 l'ont chanté, votre version à vous,
13:58 avec plusieurs timbres.
13:59 C'est dans un instant, on va vous laisser vous installer.
14:01 Et en attendant, on va passer en cuisine
14:03 avec la guinguette d'Angèle.
14:05 Qu'est-ce qu'on mange, Angèle ?
14:06 Qu'est-ce que vous proposez à Mikaël Gregorio en cuisine ?
14:08 Ce soir, je vous conseille une petite recette
14:11 à faire pour les fêtes, en entrée ou à l'apéritif.
14:14 C'est une sorte de saumon mariné,
14:15 c'est un saumon Gravelax.
14:17 On va donc concentrer les textures,
14:19 ça va être une explosion de saveurs.
14:20 Et je vous propose, avec une belle couleur rose,
14:23 facile à faire, ça va bluffer tout le monde,
14:25 c'est un Gravelax rouge en lettre A.
14:27 Un peu arc-en-ciel en quelque sorte, votre Gravelax.
14:29 Complètement.
14:30 À Montbarbie.
14:30 À tout de suite.
14:32 Julia Seyer, Marion Calais, Cyprien Cygni.
14:35 RTL Bonsoir.
14:36 !