L'édito d'Eliot Deval  : «Anne Hidalgo en résistance contre la loi immigration»

  • l’année dernière
Dans son édito du 23/12/2023, Eliot Deval revient sur les frondes contre la loi immigration. 
Transcript
00:00 - Et à la une ce matin, Anne Hidalgo entre en résistance contre la loi immigration.
00:05 La maire de Paris dit refuser de faire un tri entre les familles et les enfants que la ville doit accueillir en urgence.
00:11 Anne Hidalgo vit-elle dans un monde parallèle où en matière migratoire, 1+1=11 ?
00:16 L'accueil des migrants est un des plus grands fiascos de l'ère Hidalgo à la mairie de Paris.
00:21 Fiasco sécuritaire où les mineurs isolés représentent une grande part de la délinquance dans les transports en commun.
00:26 Fiasco humanitaire où des centaines de clandestins vivent dans des tentes livrées à eux-mêmes dans les jardins des Halles,
00:31 portes de la Villette ou boulevards de la Chapelle installées par des associations dans des écoles,
00:36 parfois délabrées ou grand-dames des riverains utilisées pour des actions coup de poing comme en octobre 2022 au sein même de l'hôtel de ville.
00:44 Depuis 2019, plus de 130 000 étrangers en situation irrégulière ont été interpellés dans la capitale.
00:50 La police a démantelé plus de 300 réseaux car dans le réel, l'immigration illégale est aussi un business.
00:56 La démagogie plutôt que l'action la fronde, plutôt que la loi votée à l'Assemblée par des représentants du peuple.
01:02 Les trottinettes, les SUV, les surmulots plutôt que la sécurité.
01:05 Anne Hidalgo est loin, loin des préoccupations des Français, loin de l'urgence à agir,
01:10 loin de faire mieux que 1,75% si l'élection présidentielle devait se tenir deux mains.
01:16 Anne Hidalgo est minoritaire mais n'est pas seule, 31 départements suivent le pas.
01:20 Le syndicat de la magistrature pense la même chose.
01:22 Les universités se mobilisent.
01:24 Auront-ils la peau de la loi immigration ?
01:27 On en parle dans cette émission.
01:30 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
01:33 [SILENCE]

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