• il y a 9 mois
Sorti en 1999

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Musique
Transcription
00:00 *Musique*
00:20 Ça me fait chier, c'est la vieille, son tri, sa rage pour s'enrichir. On s'empêche pas de pécher, on agit souvent sans réfléchir. (Réfléchir)
00:26 Devant le manque de mailles, la seule chose qui ne maille pas, en ayant les proches pleines, comment tu veux que ça n'aille pas ?
00:31 Ça fait un bail que je braille, crise en pleine, crise de travail, bail, fatigué par la vie, tu dètes dans la bague.
00:36 La tristesse, ça t'amonte, t'amènes, blesses, t'aides, m'attends, m'éteins, me blesses, comme un protagoniste.
00:40 Quand je suis chaud tant, on est victime, d'avoir souvent été poussé par les djinns. Quand maman n'avait pas assez d'une pour acheter un jean.
00:47 C'est dur de nier tes camps et blister tant, facilement débiller, surtout quand t'es à sec ou que t'es même pas de quoi t'habiller.
00:52 On ne fera pas croire que je suis le seul qui pense, le seul qui l'est dû. Quand je pose la question, on me répond.
00:57 Par exemple, parfois de quoi râdir, au lieu d'être trop vilain, n'irrodis, j'ai pas un radis.
01:00 Irradier, par le manque de confiance, fleur logique, faire confiance à un adjet par peur des conséquences tragiques.
01:05 Ça me gêne aussi de voir comment progresse ce génocide, j'aimerais aussi de voir réussir de manière lucide.
01:11 Finistres sont nos vies, si tristes sont nos vies, vertigrés de vérité, histoire d'être avertis.
01:18 Je travaille mes textes à perte neurone pour mes vertus, et pour les gens pour qui le mal est devenu vertu.
01:23 Finistres sont nos vies, si tristes sont nos vies, vertigrés de vérité, histoire d'être avertis.
01:29 Je travaille mes textes à perte neurone pour mes vertus, et pour les gens pour qui le mal est devenu vertu.
01:34 La naissance reflète le sentiment dominant de ce monde, si tu ne vois pas, je t'apprends malheureusement que t'es né en pleurant, mec.
01:39 Les souffrances noient en nous et nuient à la santé jusqu'à dire, chance à tous ceux à qui la mort a souri.
01:44 Les brises de paix quotidiennes pour que nos mères sont tourmentées, vieillissant d'un an de plus pour s'en larverser.
01:49 Tout nous pousse à devenir moisis et nié, vite la haine toujours en évidence tandis que l'amour est nié.
01:54 Et la rage, nous nique comme un produit de ban animant, l'énergie d'animaux immergés des futurs énervés.
02:00 Mais qui peut se vanter de n'avoir jamais haï, qui a vraiment su se retenir quand la colère a jailli ?
02:05 On n'est pas les anges, c'est ce qu'on entend sortir des cages, des gars attendant quand le sourire d'une vie qui n'a pas de visage.
02:10 Rap imbibé de sang, le stylo se plaint des mêmes choses, cartouche vite pour une sinistre histoire de thèse.
02:15 Sinistre sont nos vies, si triste sont nos vies, vertiré de vérité histoire d'être averti.
02:21 Je travaille mes textes à perdre nos rôdes pour mes vertus et pour les gens pour qui le mal est devenu vertu.
02:26 Sinistre sont nos vies, si triste sont nos vies, vertiré de vérité histoire d'être averti.
02:31 Je travaille mes textes à perdre nos rôdes pour mes vertus et pour les gens pour qui le mal est devenu vertu.
02:36 Pour les jeunes, c'est canne de golf, dans le coffre, la colle passe pas game.
02:39 Des gun dans la boîte à gants, des guns plus vite qu'un ancienne.
02:41 Pour la paix du gain, ça se cogne, beaucoup sont calmés, mais tous calment,
02:44 se tapent à l'écoute des cons et aux scams.
02:46 Le nom souligné, surligné, sali, nos corps salis, pas sauce de France de keuf,
02:50 mon rap m'office des punicilines.
02:52 Haine et peine, haine et peine, apprenez pas d'éconcilier.
02:54 Au lieu de ça, mes rimes enguissent l'eau de consolation, entourée de murs pourpre.
02:58 Je garde un amour propre avec le peu de proches qui n'ont pas blessé mon amour propre.
03:02 La révolte, un rêver, s'avère utopique,
03:04 d'autres les leaders d'hier mais toutes leurs tripes dans les packs de bière.
03:07 La France brandit sa flamme, nous sommes couverts des sceaux.
03:10 Lorsque la tête son flamme, trouve de quoi prouver, toi ni nous change.
03:12 Les mêmes qu'on met dans les buts, les mêmes signes à les orger.
03:15 En plus du couteau, celle-ci le bras qui est sous la gorge.
03:18 Sinistre sont nos vies, ces tristes sont nos vies.
03:20 Vert tiré de vérité, histoire d'être averti.
03:23 Je travaille mes textes à faire nos rôles pour mes perdus,
03:26 et pour les gens pour qui leur ont les deux buts perdus.
03:28 Sinistre sont nos vies, ces tristes sont nos vies.
03:31 Vert tiré de vérité, histoire d'être averti.
03:34 Je travaille mes textes à faire nos rôles pour mes perdus,
03:36 et pour les gens pour qui leur ont les deux buts perdus.
03:39 Sinistre sont nos vies, ces tristes sont nos vies.
03:41 Vert tiré de vérité, histoire d'être averti.
03:44 Je travaille mes textes à faire nos rôles pour mes perdus,
03:47 et pour les gens pour qui leur ont les deux buts perdus.
03:49 Sinistre sont nos vies, ces tristes sont nos vies.
03:52 Vert tiré de vérité, histoire d'être averti.
03:54 Je travaille mes textes à faire nos rôles pour mes perdus,
03:57 et pour les gens pour qui leur ont les deux buts perdus.
04:00 *Musique*