• il y a 15 ans
Dans le hall d’entrée du Zénith, à deux pas de la buvette, un employé est déjà en train de nettoyer le sol. « Le printemps des libertés », la journée (qui se voulait) « festive » du PS n’est pourtant pas terminée : il n’est pas encore 16 heures ! Au même instant, sur scène, Patrick Bloche est en train d’ouvrir la « discussion » sur « les libertés d’expression menacées » en expliquant que la France d’aujourd’hui sent bon l’« Ancien Régime » et que Nicolas Sarkozy, lui, a comme un petit goût de « Berlusconi ». Des propos qui n’ont même pas le mérite de sortir du coma les mille personnes qui occupent difficilement l'immense espace d'une salle configurée pour en recevoir… 2 500. Une salle qui, en septembre dernier, avait accueilli 4 000 partisans de Ségolène Royal. Une salle qui a même été désertée par les dirigeants du parti, à l’exception de ceux qui forment la garde rapprochée de Martine Aubry.

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