• il y a 11 mois
Transcription
00:00 Les gars, vous savez ce qu'on dit à une femme qui a déjà les deux yeux en beurre noir ?
00:04 *Rire*
00:06 Ça s'appelle les blagues à texte et le sous-titre est savoureux.
00:09 Virer pour une blague, en voilà 300.
00:11 Guy, aujourd'hui vous revenez, entre autres, sur l'affaire texte.
00:14 La texte lynchée par des gens dont certains ont en photo de profil Twitter le panneau "Je suis Charlie".
00:19 Tu vois, c'est-à-dire je me bats pour la liberté d'expression en matière d'humour.
00:23 Laisser les humoristes faire leur métier, ça vous fait rire, tant mieux, ça vous fait parler d'autres choses.
00:28 Vous prenez ceux qui pensent que c'est absolument excessif ce qui s'est passé dans le texte.
00:32 Qu'on avertisse texte, qu'on lui dise "Voilà, vous êtes allé trop loin, il ne faut pas que ça se reproduise".
00:38 A mon avis, ça aurait suffi.
00:40 Texte, on le connaît, c'est texte. Il a dépassé les limites, il est comme ça.
00:44 C'est quand même un peu bizarre, surtout que ça fait longtemps qu'ils cherchaient quelqu'un d'autre,
00:48 donc ils ont qu'à être francs, même si c'est une direction.
00:50 Donc c'était un prétexte alors ?
00:52 C'est un prétexte, oui, bien sûr.
00:55 [Sonnerie de fin]
00:57 [Bruit de la porte qui s'ouvre]
00:59 [SILENCE]