Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée
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00:00 Fin de la vigilance rouge dans le Pas-de-Calais où la décrue a commencé ce vendredi.
00:07 Ce deuxième épisode d'inondation en moins de deux mois a durement éprouvé les habitants.
00:11 Habitants qui vont bientôt devoir affronter le froid.
00:15 Quels seront les prix à la pompe en 2024 ?
00:18 Ces dernières semaines, les tarifs du carburant se sont plutôt stabilisés.
00:22 Mais une envolée des prix n'est pas exclue.
00:24 Les automobilistes sont-ils inquiets ?
00:26 Reportage à Lyon.
00:28 Il y a six ans, Arnaud Beltrame a risqué sa vie pour sauver celle de Julie Grand.
00:33 A quelques jours du procès des attentats de Trèbes et Carcassonne,
00:36 la jeune femme a décidé de livrer le récit de cette journée effroyable
00:39 qu'elle n'oubliera jamais.
00:41 Son témoignage à suivre.
00:43 Enfin, la querelle qui déchire le clan de Lons n'est pas un problème d'héritage.
00:47 Après les attaques entre les enfants de l'acteur,
00:50 Anthony, le frère aîné, sort du silence.
00:52 Il s'est exprimé sur notre antenne.
00:54 Vous entendrez sa version des faits.
00:56 ...
01:09 -Bonsoir à tous. Bienvenue sur CNews.
01:11 Je suis ravie de vous retrouver pour l'édition de la nuit.
01:14 A la une, cette petite accalmie dans le Pas-de-Calais
01:17 où la vigilance rouge a été levée.
01:20 Ce vendredi, après un nouvel épisode d'importantes inondations,
01:24 le département reste en vigilance orange pour risque de crues.
01:28 Ainsi que le nord, les Ardennes et la Meuse.
01:31 Sur place, les habitants sont résignés, notamment à Bourte.
01:35 Comme en novembre dernier, la commune a été submergée.
01:38 Le récit de Maxime Leguet.
01:41 -Une ville entière figée par les eaux.
01:46 A Bourte, dans le Pas-de-Calais,
01:49 la commune a été de nouveau touchée par les inondations.
01:52 Pour la 3e fois depuis novembre, celle de trop pour les habitants.
01:56 -On avait racheté tout ce qu'il fallait, les intérieurs,
01:59 tout ce qu'il nous fallait, en début de semaine.
02:02 Là, on en a ras-le-bol.
02:04 Si le gouvernement me donne un peu près la valeur de ma maison,
02:07 même que je perds un peu d'argent, demain, je leur donne,
02:10 je déménage, je rachète ailleurs, j'en ai marre.
02:13 -Ici, l'eau est rapidement montée jusqu'à 90 cm.
02:16 De nombreuses routes sont devenues impraticables
02:19 à moins d'être munies d'un tracteur.
02:22 Une situation qui paralyse l'activité de la ville.
02:25 -Il faut qu'on recommence l'année.
02:27 On a des familles à nourrir, à faire travailler.
02:30 On est à l'arrêt, on devait reprendre l'activité aujourd'hui.
02:33 On a dû annuler parce que les salariés
02:36 ne peuvent pas venir jusqu'à l'entreprise.
02:39 -En déplacement dans le Pas-de-Calais ce jeudi,
02:42 le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchut,
02:45 a proposé une nouvelle réforme.
02:48 Il a promis des réponses exceptionnelles
02:51 pour venir en aide aux sinistrés.
02:54 -Et après des températures plutôt clémentes pour la saison,
02:57 préparez-vous à avoir froid.
03:00 Paris-Moscou, c'est le nom du phénomène météorologique
03:03 qui arrive sur la France.
03:06 Une vague polaire venue tout droit du nord-est de l'Europe.
03:09 La Suède en a déjà fait les frais.
03:12 -43,6 degrés ont été relevés là-bas mercredi.
03:15 En France, nous devrions perdre en moyenne 10 degrés
03:18 la semaine prochaine.
03:21 C'est une question qui interroge de nombreux,
03:24 si ce n'est tous les automobilistes.
03:27 Après deux ans de hausse, à quoi faut-il s'attendre en 2024
03:30 concernant le prix des carburants ?
03:33 L'année dernière, c'est achevé avec un gazole à 1,75 euro le litre.
03:36 Le récit d'Aminata Deme.
03:39 -Dans cette station-service de Lyon,
03:42 le gazole qui avoisinait les 2 euros il y a quelques mois
03:45 affiche désormais 1,70 euro.
03:48 Ces dernières semaines, les tarifs du carburant
03:51 se sont plutôt stabilisés.
03:54 Et si les plis à la pompe sont encore élevés,
03:57 certains relativisent.
04:00 -Tant donné que tout est devenu cher,
04:03 les gens se sont habitués et n'ont pas le choix.
04:06 -On est à 1,69 euro.
04:09 On ne va pas redescendre en dessous de ce prix.
04:12 -Pour les professionnels du secteur,
04:15 aucune raison de s'inquiéter d'une éventuelle envolée des prix.
04:18 -Ce à quoi il faut qu'on fasse attention,
04:21 c'est que le baril ne remonte pas trop
04:24 pour qu'on ne connaisse pas à nouveau des pics de prix
04:27 qui sont tout à fait désagréables.
04:30 -Seul le contexte économique et diplomatique
04:33 des pays producteurs de pétrole pourraient faire changer la donne.
04:36 -En une journée, on peut voir plusieurs dizaines de dollars
04:39 de surprimes sur le baril, parce qu'à ce moment-là,
04:42 tout le monde va s'inquiéter sur l'approvisionnement mondial
04:45 et ça va faire booster les cours de manière trop importante.
04:48 -De son côté, le gouvernement a annoncé
04:51 que l'indemnité carburant ne sera accordée qu'à condition
04:54 que les prix dépassent le seuil d'1,95 euro.
04:57 -Arnaud Beltrame a pris ma place.
05:00 Voici les mots de Julie Grand,
05:03 cette caissière prise en otage le 23 mars 2018 à Trèbes
05:06 et dont le lieutenant-colonel de gendarmerie s'est proposé
05:09 en échange de sa libération.
05:12 Elle revient avec beaucoup de courage sur ce qu'elle a vécu
05:15 ce jour-là dans le supermarché Bombagueil et Célia Barotte.
05:18 -Il y a 6 ans, c'est dans ce supermarché de Trèbes
05:21 qu'Arnaud Beltrame a risqué sa vie pour sauver celle de Julie Grand.
05:24 A l'époque, la jeune femme est caissière
05:27 et lorsque Radouane Lagdime pénètre sur son lieu de travail,
05:30 elle se cache, puis elle est prise en otage.
05:33 Le terroriste lui demande d'appeler la police
05:36 et lui dévoile même les raisons de son passage à l'acte.
05:39 -Il a justifié son action en parlant de ses frères
05:42 morts en Syrie ou dans d'autres conflits.
05:45 Il a très clairement exprimé, il a directement dit
05:48 que c'était une petite action, qu'elle était terminée,
05:51 qu'il lui restait plus qu'à mourir en martyr
05:54 en essayant de péter du flic,
05:57 en essayant de blesser les forces de l'ordre.
06:00 -Lorsque les gendarmes arrivent dans le magasin,
06:03 le terroriste pose ses armes sur la caissière.
06:06 C'est à ce moment-là qu'Arnaud Beltrame établit le dialogue
06:09 avec Radouane Lagdime qui lui propose de faire un échange d'otages.
06:12 -Arnaud Beltrame a saisi la balle au bon
06:15 par devoir professionnel, il a pris ma place
06:18 et ensuite parce qu'il avait toutes les raisons de penser
06:21 à ce moment-là qu'il était bien plus outillé que moi
06:24 pour survivre, pour repartir, ressortir vivant
06:27 de cette prise d'otages.
06:30 -Depuis le 23 mars 2018, la vie de Julie Grand n'est plus la même.
06:33 C'est grâce à ses proches et à sa conversion à la religion catholique
06:36 qu'elle trouve la force de se reconstruire.
06:39 -Les au revoir à l'un des pères de l'Europe
06:42 ce vendredi aux Invalides.
06:45 Un hommage national présidé par Emmanuel Macron
06:48 a été rendu à Jacques Delors, l'ancien président
06:51 de l'Union Européenne. Entre autres pères de l'euro
06:54 et décédés le 27 décembre à l'âge de 98 ans.
06:57 Je vous propose d'écouter le chef de l'Etat à son sujet.
07:00 -Ce fut là sans doute l'une de ses plus grandes
07:03 oeuvres de réconciliation, celle de 1983.
07:06 Réconcilier dans ce moment décisif
07:09 le socialisme de gouvernement
07:12 avec l'économie sociale de marché.
07:15 Réconcilier véritablement la France
07:18 avec l'Europe.
07:21 -Près de 3 mois après le début du conflit
07:24 entre Israël et le Hamas, le ministre israélien
07:27 de la Défense a présenté pour la première fois
07:30 un plan pour l'après-guerre à Gaza.
07:33 Thibault Marcheteau est sur place.
07:36 Il nous dévoile ce qu'il contient.
07:39 -Le ministre de la Défense israélien a détaillé
07:42 une nouvelle phase dans laquelle rentre l'armée israélienne
07:45 dans les deux objectifs principaux.
07:48 Le premier, c'est la libération des otages
07:51 le plus rapidement possible.
07:54 Le deuxième, c'est l'élimination militaire et politique du Hamas.
07:57 Et enfin, la neutralisation de toutes les infrastructures
08:00 militaires qu'il y a dans la bande de Gaza.
08:03 Pour atteindre ces objectifs, la bande de Gaza
08:06 a été divisée en deux parties.
08:09 La partie nord avec des combats qui devraient diminuer
08:12 pour recueillir le maximum d'informations
08:15 pour savoir ce qu'il s'est passé le 7 octobre dernier.
08:18 Dans le sud de la bande de Gaza, les combats vont continuer
08:21 des combats intensifs au sol pour éliminer les membres du Hamas
08:24 qui pourraient s'y retrancher, notamment Yahya Sinwar,
08:27 le chef de la branche armée du Hamas qui s'y serait retranché
08:30 selon l'armée israélienne, mais également pour libérer les otages.
08:33 Cela va prendre du temps, le temps qu'il faudra,
08:36 nous dit le ministre de la Défense israélien,
08:39 et l'intervention s'intensifie également sur le front nord
08:42 avec le Hezbollah.
08:45 Retour en France en Seine-Saint-Denis,
08:48 où un homme de 30 ans est décédé après son interpellation
08:51 par la police. L'individu aurait reçu plusieurs coups de taser.
08:54 Deux enquêtes ont été ouvertes.
08:57 Retour sur les faits avec Tanguy Hamon.
09:00 Un homme de 30 ans ayant reçu une douzaine de tirs de taser
09:03 lors de son interpellation est décédé à l'hôpital vendredi matin.
09:06 Il est décédé ce jeudi dans une épicerie de Montfermeil
09:09 où cet individu connu des services de police pour sa violence
09:12 se comportait de façon surexcitée et agressive.
09:15 Il était également alcoolisé et en train de commettre
09:18 des dégradations dans le commerce. Il a même frappé un policier
09:21 au visage et l'a mordu au moment de l'intervention.
09:24 Après plusieurs tentatives pour le raisonner et face aux dangers
09:27 qu'il représentait, les agents ont dû utiliser leur taser à 12 reprises.
09:30 Peu après, l'individu a fait un arrêt cardiorespiratoire.
09:33 Il avait alors été hospitalisé dans le coma.
09:36 Suite à sa mort, deux enquêtes sont désormais ouvertes.
09:39 Une pour dégradation volontaire, rébellion et violence sur les policiers.
09:43 L'autre, confiée à l'IGPN, concerne l'intervention des forces de l'ordre.
09:48 Une dame de 88 ans victime d'un "homejacking".
09:51 Les faits ont eu lieu dans la nuit du 30 au 31 décembre dernier à Florence,
09:55 un petit village du Gers, réveillé par un énorme bruit.
09:59 La retraitée s'est retrouvée face à deux cambrioleurs.
10:03 Jeannine est toujours sous le choc et ce n'est pas la seule à avoir été cambriolée.
10:07 Sur place, les habitants s'inquiètent de la montée en puissance de ce phénomène.
10:10 Jean-Luc Thomas les a rencontrés.
10:13 Ils ont commencé par forcer la petite serrure de la véranda,
10:16 qui est très facile apparemment à enlever.
10:19 Puis après, ils sont rentrés et se sont attaqués à coups de pied
10:22 à la porte 3 points en bois.
10:25 Ils ont fait péter 2 points et ils sont rentrés, ils ont fouillé.
10:28 Les voleurs cagoulés arrivent ensuite dans la chambre de Jeanine, 88 ans.
10:32 Elle est réveillée, ils lui braquent une torche dans les yeux,
10:35 puis trouvent des bijoux, son téléphone portable.
10:38 Jeanine a dû répondre. Elle leur dit "sortez de ma chambre, on n'attaque pas une vieille dame".
10:43 Les cambrioleurs s'enfuient, le mode opératoire surprend.
10:47 Je vous dis ce qu'a dit le gendarme. Il a dit "j'ai jamais vu ça, ça fait 5 ans qu'il est ici".
10:52 Il a dit "c'est la première fois qu'on a quelqu'un qui rentre avec une personne qui est dedans à la maison".
10:56 Il y a un an, un voisin subit un cambriolage dans la même rue.
11:01 Ils sont passés par la porte d'entrée, ils ont arraché la serrure, ils sont rentrés.
11:06 Ils ont volé les bijoux, ils ont vidé les chambres, quelques tiroirs dans la cuisine.
11:10 Pour les habitants du quartier, les vols se multiplient, il y a un ras-le-bol.
11:15 C'est depuis 4-5 ans qu'on a beaucoup de cambriolages.
11:18 On se demande jusqu'à quand on va y passer à côté.
11:21 Selon la mairie de Florence, il y a eu 21 cambriolages en 2023, 5 de plus qu'en 2022.
11:28 80% se sont déroulés de jour.
11:31 Deux semaines après l'adoption de la loi immigration, la Cour des comptes étrie le gouvernement dans un rapport.
11:38 Les magistrats qualifient d'inefficace la stratégie de la France pour faire appliquer les OQTF.
11:43 Selon eux, seule une petite minorité des étrangers sous le coup d'une obligation de quitter le territoire sont véritablement expulsés.
11:50 Alors pourquoi ces OQTF sont-elles si compliquées à réaliser ?
11:54 Éléments de réponse avec Aminata Demphal.
11:57 Les contrôles opérés aux frontières sont tout d'abord très restreints.
12:01 Dans les faits, lorsqu'un individu est interpellé, seule l'identité qu'il déclare compte.
12:07 Faute de cadre légal, ses empreintes ne sont pas prises, ses papiers d'identité ne sont pas scannés.
12:13 Conséquence, cette personne n'est pas répertoriée, cela aurait pourtant facilité son expulsion.
12:19 Si cette personne passe la frontière mais sous le coup d'une obligation de quitter le territoire,
12:24 il existe de très nombreux recours. Ils ont été quadruplés en 10 ans.
12:29 On apprend également que le ministère de l'Intérieur ne communique pas avec les autres ministères.
12:34 Si le ministère de la Santé n'est pas au courant de cet OQTF et que l'individu bénéficie de prestations sociales, il continuera de les toucher.
12:43 Enfin, si la France dispose de tous les papiers nécessaires pour permettre une expulsion, même d'un laissé-passer consulaire envoyé par le pays d'origine,
12:51 l'expulsion, qui se fait par un vol commercial, ne peut pas aboutir si la compagnie aérienne ou le commandant de bord s'y opposent,
12:59 ce qui arrive dans un cas sur deux. Les Républicains font donc cette proposition.
13:04 En utilisant plus les vols Frontex, des vols charter affrétés par Frontex, l'Union européenne, vers des pays,
13:11 comme on le fait, je pense, pas assez d'ailleurs, on pourrait améliorer un tout petit peu, on pourrait peut-être augmenter, aller de 500 à 1500 expulsions par an.
13:19 En France, seuls 10% des OQTF prononcés sont exécutés.
13:24 Hormis la difficulté pour la France d'exécuter les OQTF, selon la Cour des comptes, les contrôles des migrants aux frontières sont aussi très difficiles.
13:33 À Menton, à la frontière avec l'Italie, de 2 à 300 migrants sont quotidiennement interpellés par les autorités françaises.
13:40 Alors que deviennent-ils ? Franck Trivio s'est rendu sur place. Le récit d'Aminata Demphal.
13:45 Dans ce poste de Menton, près de Nice, des migrants sont remis à la police des frontières italiennes, leur point de départ.
13:53 Une procédure quasiment quotidienne et pourtant inefficace.
13:58 Quand on ramène ces individus en Italie, que se passe-t-il ? Ils reviennent par la montagne, après être passés par Menton.
14:04 Donc en gros, ils reviennent, si je puis dire, par la fenêtre.
14:07 Les interpellations étant nombreuses, la police n'a pas les moyens suffisants pour contrôler et identifier les étrangers.
14:13 On ne peut pas contrôler ces individus, partant du principe qu'ils n'ont pas commis réellement d'infraction.
14:19 Donc ça, c'est la première chose. En réalité, peut-être faudrait-il qu'on puisse travailler de concert avec nos collègues douaniers,
14:25 avec nos collègues gendarmes, qui eux ont un arsenal juridique, finalement, qui est un peu plus pléthore que le nôtre.
14:31 Faute de place dans les centres d'accueil, ces jeunes mineurs isolés se retrouvent à attendre devant la caserne de Menton,
14:37 venue du Mali il y a quatre mois. Sidi, 16 ans, attend toujours d'être placé.
14:42 On doit vivre ici. On ne mange pas, on ne se lave pas, il n'y a rien.
14:46 Peu de moyens et de nombreux migrants qui affluent chaque jour. Les habitants de Menton font également le constat.
14:52 Pour avoir habité proche de la gare routière, je le voyais tous les matins venir et récupérer des jeunes
14:58 qui essayaient de dépasser la limite des 30 km.
15:02 La Cour des comptes a évalué le coût annuel de la politique de lutte contre l'immigration irrégulière en France à 1,8 milliard d'euros.
15:10 Il n'y a pas de guerre d'héritage, ce sont les mots d'Antony Delon, le fils du célèbre acteur,
15:17 est sorti du silence ce vendredi dans l'heure des pros sur notre antenne,
15:20 en réaffirmant que cette dispute familiale avec sa sœur n'était pas liée à la succession de leur père.
15:25 Je vous propose de l'écouter.
15:28 Moi je veux commencer par éteindre un incendie, qui pour moi c'est très important,
15:33 parce que toutes ces histoires d'argent, d'héritage, toutes ces supputations, moi ça me rend malade, parce que c'est pas ça.
15:43 Et je ne veux pas, je ne veux absolument pas que, même si j'ai beaucoup de respect pour Johnny,
15:50 je ne veux pas qu'on soit associé à Johnny Betancourt ou je ne sais qui.
15:55 Donc en fait je voudrais dire les choses telles qu'elles sont, je veux dire la vérité.
16:00 Et je veux dire aussi pourquoi il y a ce conflit aujourd'hui, parce que ce n'est pas un problème d'héritage,
16:06 ce n'est pas un problème de succession.
16:09 Si vous connaissez Starsky et Hutch, la série télévisée américaine phare dans les années 70,
16:15 et bien sachez que Starsky a perdu son fidèle binôme, puisque David Saul, qui interprétait Hutch, est décédé ce jeudi.
16:23 Ce jeudi, l'acteur avait 80 ans.
16:26 Voilà pour l'essentiel de l'actualité, mais restez bien avec nous tout de suite, c'est le JT SPA.
16:30 !