Mathilde Panot voit en Attal un « Macron junior, spécialisé dans l'arrogance »

  • il y a 7 mois
La nomination de Gabriel Attal a suscité un vent de réactions ce mardi midi. Si le camp présidentiel salue ce choix, les Républicains temporisent avant de se faire leur avis, tandis que la gauche dénonce l’arrivée d’un « clone » d’Emmanuel Macron.
Transcript
00:00 Gabrielle Attal est celui qui a commencé une rentrée scolaire, rentrée scolaire qui est catastrophique puisque des centaines de milliers,
00:08 voire des millions d'enfants manquent des millions d'heures de cours parce qu'il y a des professeurs non remplacés,
00:12 en préférant se focaliser sur l'habit de jeunes femmes et notamment sur l'interdiction de la baïa.
00:18 Gabrielle Attal est celui qui cherche à mettre la jeunesse au pas, notamment en défendant le service national universel.
00:24 Nous ne croyons pas une seule seconde qu'en mettant un espèce de M. Macron junior, celui qui s'est spécialisé dans l'arrogance et dans le mépris,
00:33 quelque chose changera dans le pays. Et donc, je le redis, les Français ont besoin d'une rupture avec la politique qui est menée parce qu'il faut quand même
00:41 comprendre le déclin dans lequel nous a emmené la Macronie. Est-ce que vous auriez cru un seul instant que dans la 7e puissance économique au monde,
00:47 on en arrive à ces chiffres effrayants de 1 Français sur 3 qui a faim dans ce pays ? Qu'ont-ils fait de ce pays pour qu'on ait des gens qui meurent sur des brancards
00:56 à l'hôpital ? Qu'ont-ils fait de ce pays pour que l'école publique s'effondre, pour que l'hôpital public s'effondre, pour que tous les droits fondamentaux des gens...
01:04 Parce que c'est de ça dont on est en train de parler avec la loi immigration. C'est de ça dont on est en train de parler sur la question de la République sociale
01:10 lorsqu'on parle du chômage. Donc nous ne croyons pas un seul instant que Gabrielle Attal changera quelque chose. Et je vous le redis,
01:16 qui que ce soit que le monarque choisit, nous demanderons un vote de confiance parce que nous voulons un retour à la démocratie parlementaire.

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