#Rock #Musique #Groupe
Les Kinks, meilleur groupe du monde ? Voici cinq raisons de le penser.
Dave Davies l’assène dès qu’un journaliste lui tend un micro : les Kinks auraient, dès 1964, été les inventeurs du hard rock avec “You Really Got Me” et son follow up “All Day And All Of The Night”. Vrai, la violence des riffs, le tranchant des solos ont fait des émules. Classe ultime : après ces deux impeccables 45 tours, les Kinks ont immédiatement cessé de jouer du hard rock pour se concentrer sur des choses encore plus belles. Un gentleman, c’est quelqu’un qui sait jouer de la cornemuse mais qui n’en joue pas.
En complément : The Kinks : Dave Davies va sortir l’autobiographie “Living On A Thin Line”
En 1968, la révolte gronde parmi la jeunesse occidentale qui se pique d’idéaux révolutionnaires, suivie de près par les groupes rock de l’époque, qui s’achètent alors gros amplis et tenues de cuir.
Tous, sauf Ray Davies. Lequel à 24 ans sort en cette fin d’année un album en décalage total avec la concurrence : “The Kinks Are The Village Green Preservation Society”, une merveille où il est question de la vanité de l’existence, mais aussi de trains à vapeurs, de souvenirs d’enfance, de confiture de fraise et de tasses en porcelaine. Ray Davies : une grand-mère enfermée dans un corps de jeune homme.
En complément : The Kinks : le jour où Ray Davies s’est fait tirer dessus à la Nouvelle Orléans
Idée communément proférée au sujet des frangins Davies : Ray écrivait les chefs-d’oeuvre mais ressemblait au chansonnier Tex, tandis que Dave, l’apollon du Swinging London, composait des titres sympathiques mais forcément moins bons.
Objection. Qu’on étayera par une énumération de quelques splendeurs signées par ce dernier : “Susannah’s Still Alive”, “This Man He Weeps Tonight”, “Mr Shoemaker’s Daughter”, “There Is No Life Without Love”, “Death Of A Clown”, “Lincoln County”, “Love Me Till The Sun Shines”… Ne pas oublier que Dave fut aussi le plus inventif des guitaristes lead : il suffit d’écouter les enluminures géniales qu’il tricote dans “Waterloo Sunset” pour s’en convaincre.
En complément : The Kinks : un nouveau clip animé pour “Lola”
Pour le meilleur ou pour le pire, les Kinks sont les inventeurs du lo-fi.
Il y a “You Really Got Me” et son solo enregistré sur un ampli au haut-parleur lacéré à coup de lame de rasoir. Il y a surtout toute la première périod
Les Kinks, meilleur groupe du monde ? Voici cinq raisons de le penser.
Dave Davies l’assène dès qu’un journaliste lui tend un micro : les Kinks auraient, dès 1964, été les inventeurs du hard rock avec “You Really Got Me” et son follow up “All Day And All Of The Night”. Vrai, la violence des riffs, le tranchant des solos ont fait des émules. Classe ultime : après ces deux impeccables 45 tours, les Kinks ont immédiatement cessé de jouer du hard rock pour se concentrer sur des choses encore plus belles. Un gentleman, c’est quelqu’un qui sait jouer de la cornemuse mais qui n’en joue pas.
En complément : The Kinks : Dave Davies va sortir l’autobiographie “Living On A Thin Line”
En 1968, la révolte gronde parmi la jeunesse occidentale qui se pique d’idéaux révolutionnaires, suivie de près par les groupes rock de l’époque, qui s’achètent alors gros amplis et tenues de cuir.
Tous, sauf Ray Davies. Lequel à 24 ans sort en cette fin d’année un album en décalage total avec la concurrence : “The Kinks Are The Village Green Preservation Society”, une merveille où il est question de la vanité de l’existence, mais aussi de trains à vapeurs, de souvenirs d’enfance, de confiture de fraise et de tasses en porcelaine. Ray Davies : une grand-mère enfermée dans un corps de jeune homme.
En complément : The Kinks : le jour où Ray Davies s’est fait tirer dessus à la Nouvelle Orléans
Idée communément proférée au sujet des frangins Davies : Ray écrivait les chefs-d’oeuvre mais ressemblait au chansonnier Tex, tandis que Dave, l’apollon du Swinging London, composait des titres sympathiques mais forcément moins bons.
Objection. Qu’on étayera par une énumération de quelques splendeurs signées par ce dernier : “Susannah’s Still Alive”, “This Man He Weeps Tonight”, “Mr Shoemaker’s Daughter”, “There Is No Life Without Love”, “Death Of A Clown”, “Lincoln County”, “Love Me Till The Sun Shines”… Ne pas oublier que Dave fut aussi le plus inventif des guitaristes lead : il suffit d’écouter les enluminures géniales qu’il tricote dans “Waterloo Sunset” pour s’en convaincre.
En complément : The Kinks : un nouveau clip animé pour “Lola”
Pour le meilleur ou pour le pire, les Kinks sont les inventeurs du lo-fi.
Il y a “You Really Got Me” et son solo enregistré sur un ampli au haut-parleur lacéré à coup de lame de rasoir. Il y a surtout toute la première périod
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00:00 Les Kings le meilleur groupe du monde ? Voici 5 raisons de le penser.
00:03 Dave Davila s'endet qu'un journaliste lui tend un micro, les Kings auraient, dès
00:07 un 964, été les inventeurs du hard rock avec Ujili Gomwe et son follow à Paul D
00:13 and All Of The Night.
00:14 V.R.I.
00:15 La violence des riffs, le tranchant des solos ont fait des émules.
00:18 Classe Utime Après ces deux impeccables 45 tours, les Kings
00:22 ont immédiatement cessé de jouer du hard rock pour se concentrer sur des choses encore
00:26 plus belles.
00:27 Récemment, c'est Kéké qui sait jouer de la corne muse mais qui n'en joue pas.
00:30 En 1968, les révolts grondent parmi les jeunesses occidentales qui se piquent d'idées révolutionnaires
00:34 suivies de près par les groupes rock de l'époque.
00:37 Qui s'achète alors gros remplis tenus de cuir ?
00:39 Tous souffraient d'Avi, lequel à 24 ans sort en cette fin d'année un album en décalage
00:44 total avec la concurrence.
00:46 The Kings Are The Village, Guggen Preservation Society.
00:48 Une merveille où il est question de la vanité de l'existence, mais aussi de trains à vapeur,
00:53 de souvenirs d'enfance, de confiture de fraises et de tasses en porcelaine.
00:57 Ray Davy et une grand-mère enfermées dans un corps de jeune homme.
01:00 « Idées communes et mô-profères et sujet de frangins d'avrait-ré écrivés les chefs
01:03 d'œuvres mais ressemblés aux chansonniers tecles tandis que datent l'Apollo du Swimming
01:07 London.
01:08 Composés des titres sympathiques mais forcément moins bons.
01:09 »
01:10 Objection.
01:11 Qu'on étayera par une énumération de quelques splendeurs signés par ce dernier,
01:14 sous un aussi style à livre.
01:15 This Man Re-weeps Tonight, M.
01:17 Shoemaker's Daughter.
01:18 There Is No Life Without Love, Dav Aclun.
01:21 St. Colm County, Love Me Till The Sun She Ne Pas Oublier Que Dave, fut aussi le plus
01:26 inventif des guitaristes leads.
01:27 Il suffit d'écouter les enluminures géniales qu'il tricote dans Haute Lou Sainte-Sé,
01:32 pour s'en convaincre.
01:33 Pour le meilleur ou pour le pire, les kinks sont les inventeurs du Lofi.
01:36 Il y a eu Julie Gourmont et son solo enregistré sur un ampli haut-parleur lacéré à coups
01:41 de lame de rasoir.
01:42 Il y a surtout toute la première période intégralement produite par un spécialiste
01:46 de la production à l'arrache, le légendaire Sheltalmi.
01:49 En 1967, Ray Davy tente de remédier au problème et coproduit la merveilleuse Aminelles.
01:55 Aux chansons Eternelm et à la prise de sons toujours défaillantes si l'on écoute ce
01:59 que faisait Village du Gin, l'album suivant sera même constitué de maquettes.
02:03 Ces bien-peud-êtres chanteurs sont des rock-retites inopérés ici.
02:06 En ce domaine, le missing-joop Ray Davy aurait été l'un des plus grands.
02:09 Voici comment il chroniquait Revolver des Beatles à sa sortie, dans les colonnes du
02:13 Melody Maker.
02:14 Un régal de méchanceté, c'est vraiment pourri, ça sonne comme moi quand je fais
02:18 l'idiot au piano.
02:19 C'est mauvais et je pense qu'ils le savent y'a l'eau ou submarine.
02:22 On dirait un mélange des Roux et de Batman, c'est un peu limité taxement.
02:25 La preuve que quand des musiciens anglais essaient de faire du jazz, ils n'arrivent
02:29 absolument pas à soigner Goto J ou Tommy Life.
02:41 [Musique]