• il y a 10 mois
L’écrivain et président de Souverains Demain, Paul Melun, estime qu’il est normal pour l’administration publique et pour l’État de diligenter une enquête si les lois de la République ne sont pas respectées dans les cours d’éducation religieuse de certains établissements privés catholiques. «Si on explique aux jeunes enfants que l’homosexualité est choix, je comprends qu’il y ait une enquête».

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Transcription
00:00 Je peux comprendre qu'une collectivité publique, territoriale, enlève des subventions.
00:05 Si effectivement les cours de catéchèse sont rendus obligatoires, alors que ça ne devrait pas être le cas,
00:09 et que dans ces cours de catéchèse on explique aux jeunes enfants, aux adolescents,
00:14 que l'homosexualité résulte d'un choix, ce qui est hautement contestable
00:18 et qu'il y a effectivement un certain nombre de propos qui sont tenus de ce type,
00:22 je comprends qu'il y ait une mission d'enquête administrative
00:24 et que cette mission d'enquête administrative puisse donner lieu à cela.
00:28 Je pense que pour que l'école privée puisse continuer à exister en bon ordre
00:32 et de façon, si vous voulez, elle doit être observatrice d'un certain nombre de principes fondamentaux,
00:37 que la collectivité s'est fixée.
00:38 S'il y a des manquements, il doit y avoir sanction.
00:41 Je pense qu'il faut être extrêmement clair.
00:42 Après, il faut la même sévérité, et là je rejoins ce qui a été dit,
00:45 avec Stanislas qu'avec des lycées effectivement confessionnels.
00:49 [Musique]
00:53 [SILENCE]

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