• il y a 10 mois
En 1958, à Téhéran. Depuis que son violon a été brisé au cours d'une dispute avec sa femme, Nasser Ali Khan a perdu le goût de vivre. Il a bien cherché un autre instrument, mais aucun ne reproduit le son de celui qu'il a perdu. Il décide de se mettre au lit et d'attendre la mort. Pour passer le temps, il se plonge dans ses souvenirs de jeunesse, dialogue avec Azraël, l'ange de la mort, et entrevoit son avenir. Au fil des jours, Nasser fait le bilan de son existence et comprend ce qui a nourri son inspiration pendant si longtemps...
Transcription
00:00 Ce qui fonctionne avec Marjanne, c'est tout simplement parce qu'on n'a pas le même caractère.
00:07 Elle est plutôt exubérante et bavarde.
00:11 Et moi pas.
00:14 Notre film est construit comme une sorte de puzzle, donc on ne pouvait pas se permettre d'improviser.
00:21 Donc on a imaginé chaque séquence, on l'a testée ici même à l'atelier,
00:26 on a monté même des pseudo scènes.
00:30 Et parce qu'on avait besoin d'avoir le rythme avant de faire le film,
00:33 on avait besoin d'avoir une sorte de musique témoin aussi,
00:37 puisque c'est un film énormément musical.
00:39 Donc on a conçu le film bien avant de tourner, on l'a même monté quasiment.
00:44 Et ce qui a été précieux puisque sur le tournage, comme je disais, c'est assez intense,
00:48 donc il y avait très peu de place à l'improvisation.
00:52 [Bruits de machine à tour]
00:56 [Bruits de machine à tour]
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01:28 [Bruits de machine à tour]

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