Les clubs de Serie A en rébellion contre la fédération et le gouvernement italiens !
#Football #Réforme #SerieA #Crise
Une volonté de réforme pour le football italien
La situation du football italien est préoccupante. Entre crise économique, stades délabrés, faible utilisation des jeunes joueurs et difficultés de l'équipe nationale, le Calcio a du mal à évoluer et à retrouver sa gloire d'antan. Pour changer cette situation, le président de la FIGC, Gabriele Gravina, a des idées de réformes pour moderniser le football italien. Il souhaite notamment mettre l'accent sur la durabilité économique, les relations entre les clubs, les footballeurs et les entraîneurs, ainsi que la valorisation des jeunes joueurs. Gravina a plusieurs propositions à présenter et espère convaincre les acteurs majeurs du football italien de soutenir ces réformes.
Discussions en cours pour la réforme du football italien
Le président de la FIGC, Gabriele Gravina, a récemment rencontré les représentants des clubs de Serie A pour discuter de la réforme du football italien. Cette réunion a été qualifiée de "constructive" par Giuseppe Marotta, le président de l'Inter Milan. Les discussions portent sur la réduction du nombre d'équipes dans chaque championnat professionnel, avec une proposition d'alléger la Serie A, la Serie B et la Serie C à 18 équipes. Une autre idée envisagée est l'introduction de playoffs entre les trois championnats, pour garantir la promotion des équipes vers les divisions supérieures. Ces discussions se poursuivront tout au long de l'année 2024, avec une réunion prévue le 11 mars qui pourrait marquer un tournant dans l'histoire du football italien.
Des oppositions persistantes à la réforme
La réforme des championnats italiens se heurte à une forte opposition de certains clubs de Serie B et Serie C, ainsi que d'une partie des clubs de Serie A. Les grandes équipes seraient favorables à une réduction à 18 équipes afin de faire face aux futurs engagements du football mondial, tandis que les équipes plus petites souhaitent maintenir le format actuel de 20 participants. Pour que la réforme soit adoptée, une majorité de 14 voix est nécessaire au sein de la Serie A, ce qui semble difficile à obtenir pour l'instant. Les clubs italiens se réuniront à nouveau le 26 janvier pour discuter de ces questions. La Fédération de football continue de pousser pour la réforme et espère parvenir à un accord d'ici les deux prochains mois.
Les conséquences des choix politiques
Outre les changements sportifs, les clubs italiens doivent également faire face à des choix p
Une volonté de réforme pour le football italien
La situation du football italien est préoccupante. Entre crise économique, stades délabrés, faible utilisation des jeunes joueurs et difficultés de l'équipe nationale, le Calcio a du mal à évoluer et à retrouver sa gloire d'antan. Pour changer cette situation, le président de la FIGC, Gabriele Gravina, a des idées de réformes pour moderniser le football italien. Il souhaite notamment mettre l'accent sur la durabilité économique, les relations entre les clubs, les footballeurs et les entraîneurs, ainsi que la valorisation des jeunes joueurs. Gravina a plusieurs propositions à présenter et espère convaincre les acteurs majeurs du football italien de soutenir ces réformes.
Discussions en cours pour la réforme du football italien
Le président de la FIGC, Gabriele Gravina, a récemment rencontré les représentants des clubs de Serie A pour discuter de la réforme du football italien. Cette réunion a été qualifiée de "constructive" par Giuseppe Marotta, le président de l'Inter Milan. Les discussions portent sur la réduction du nombre d'équipes dans chaque championnat professionnel, avec une proposition d'alléger la Serie A, la Serie B et la Serie C à 18 équipes. Une autre idée envisagée est l'introduction de playoffs entre les trois championnats, pour garantir la promotion des équipes vers les divisions supérieures. Ces discussions se poursuivront tout au long de l'année 2024, avec une réunion prévue le 11 mars qui pourrait marquer un tournant dans l'histoire du football italien.
Des oppositions persistantes à la réforme
La réforme des championnats italiens se heurte à une forte opposition de certains clubs de Serie B et Serie C, ainsi que d'une partie des clubs de Serie A. Les grandes équipes seraient favorables à une réduction à 18 équipes afin de faire face aux futurs engagements du football mondial, tandis que les équipes plus petites souhaitent maintenir le format actuel de 20 participants. Pour que la réforme soit adoptée, une majorité de 14 voix est nécessaire au sein de la Serie A, ce qui semble difficile à obtenir pour l'instant. Les clubs italiens se réuniront à nouveau le 26 janvier pour discuter de ces questions. La Fédération de football continue de pousser pour la réforme et espère parvenir à un accord d'ici les deux prochains mois.
Les conséquences des choix politiques
Outre les changements sportifs, les clubs italiens doivent également faire face à des choix p
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00:00 La situation du football italien est préoccupante.
00:02 Entre crise économique, stade délabré, faible utilisation des jeunes joueurs et difficulté de l'équipe nationale,
00:08 le Calcio a du mal à évoluer et à retrouver sa gloire d'antan.
00:12 Pour changer cette situation, le président de la FIG, Gabriel Gravinin, a des idées de réforme pour moderniser le football italien.
00:19 Il souhaite notamment mettre l'accent sur la durabilité économique, les relations entre les clubs, les footballeurs et les entraîneurs,
00:25 ainsi que la valorisation des jeunes joueurs.
00:27 Gravinin a plusieurs propositions à présenter et espère convaincre les acteurs majeurs du football italien de soutenir ces réformes.
00:34 Le président de la FIG, Gabriel Gravinin, a récemment rencontré les représentants des clubs de Serie A pour discuter de la réforme du football italien.
00:42 Cette réunion a été qualifiée de constructive par Giuseppe Marotta, le président de l'Inter Milan.
00:47 Les discussions portent sur la réduction du nombre d'équipes dans chaque championnat professionnel,
00:52 avec une proposition d'alléger la Serie A, la Serie B et la Serie C à 18 équipes.
00:56 Une autre idée envisagée est l'introduction de play-off entre les trois championnats pour garantir la promotion des équipes vers les divisions supérieures.
01:04 Ces discussions se poursuivront tout au long de l'année 2000 avec une réunion prévue le 11 mars qui pourrait marquer un tournant dans l'histoire du football italien.
01:12 La réforme des championnats italiens se porte à une forte opposition de certains clubs de Serie B et Serie C, ainsi que d'une partie des clubs de Serie A.
01:21 Les grandes équipes seraient favorables à une réduction à 18 équipes afin de faire face aux futurs engagements du football mondial,
01:28 tandis que les équipes plus petites souhaitent maintenir le format actuel de 20 participants.
01:32 Pour que la réforme soit adoptée, une majorité de 14 voix est nécessaire au sein de la Serie A, ce qui semble difficile à obtenir pour l'instant.
01:40 Les clubs italiens se réuniront à nouveau le 26 janvier pour discuter de ces questions.
01:45 La Fédération de football continue de pousser pour la réforme et espère parvenir à un accord d'ici les deux prochains mois.
01:51 Outre les changements sportifs, les clubs italiens doivent également faire face à des choix politiques qui affectent leur fonctionnement.
01:57 Le gouvernement italien dirigé par Giorgia Meloni a récemment mis fin à un avantage fiscal pour les clubs de Serie A.
02:03 Cette décision a suscité une vive réaction de la part des dirigeants de clubs qui estiment que cet avantage était essentiel pour attirer des joueurs de talent et des investissements étrangers.
02:13 Ces décisions politiques ajoutent une difficulté supplémentaire à la situation déjà précaire du football italien.
02:19 Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
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