L’essayiste Driss Ghali était l’invité de La Matinale ce mardi 23 janvier sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet des maires français qui refusent la répartition des migrants sur le territoire national, exigée par Emmanuel Macron à l’approche des Jeux olympiques : «Un fois qu’un migrant est en Europe, il est déjà en France»
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00:00 Il n'y a pas de submersion mais il y a beaucoup de pression.
00:02 En tout cas, on sait qu'un des bilans dramatiques de ces deux mandats,
00:06 c'est l'augmentation très sensible, enfin ça saute aux yeux quand on vient à Paris,
00:11 dans les grandes villes françaises, très sensible de l'immigration en France,
00:15 légale, illégale, peu importe, il y a un changement complet de peuple.
00:19 Et là où je lui donne raison, c'est que la pression augmente.
00:25 Pourquoi ? Parce qu'il y a des diasporas.
00:27 Ces diasporas accueillent les migrants.
00:29 Notamment les migrants illégaux.
00:30 Au fait, le migrant illégal, il suffit, en guillemets, de payer le passeur,
00:35 de traverser la mer, ce qui est très difficile, je l'admets.
00:37 Mais une fois qu'il est en Europe, il est déjà en France.
00:40 Parce que la diaspora de tel ou tel village du Maghreb, d'Afrique ou d'ailleurs,
00:45 du Sri Lanka ou autre, le ramène là où il veut être ramené.
00:48 Donc dans ce sens, effectivement, la pression ne fait qu'augmenter.
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