TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 -J'ai rencontré ma nouvelle copine, ma nouvelle femme,
00:02 ça fait 2 ans qu'on est ensemble, et que j'ai trouvé...
00:04 Comme vous le savez, j'étais un nioble charreau,
00:06 et que voilà, on a une relation très forte.
00:09 -Elle l'a apaisée. -Voilà.
00:11 Applaudissements
00:13 -Ma gueule !
00:14 -Merci beaucoup.
00:16 Applaudissements
00:19 -Vous savez que ça me touche, quelque part.
00:21 Ca me touche.
00:22 -Vous serez un parrain généreux ?
00:24 -Alors, je suis déjà parrain de la fille de Diego.
00:26 -Ah oui ? -Ah oui.
00:27 -Et du fils de Vincent aussi ?
00:29 -Vous êtes parrain de beaucoup de...
00:31 -Je suis également le parrain du père de Daniel.
00:33 Rires
00:36 Je suis le parrain de pas mal de personnes.
00:37 Je rappelle le parrain, c'est si les parents les aident,
00:40 c'est le parrain qui les récupère,
00:42 donc je pense que les enfants vont très vite vouloir
00:44 que leurs parents...
00:45 Rires
00:47 ...prendent tout mon argent, bien entendu.
00:49 Je connais ce genre de personnes.
00:51 -La manœuvre.
00:52 -Non, mais Guillaume, tu sais que je t'aime, mon chéri,
00:54 et je serai toujours là pour vous, pour mon enfant,
00:56 pour ta femme et bien sûr pour tout ce que tu désires,
00:58 mais pas pour tes chiens sales.
00:59 Rires
01:01 Non, en fait, t'as parlé aussi...
01:03 Non, c'est vrai, en plus, c'est un truc de fou.
01:05 Il a parlé de quoi, Guillaume ? Faites comme s'il n'était pas là.
01:07 -Ah, Guillaume, j'entends, il a parlé de plein de trucs.
01:09 -Non, mais comment ça descend ? Il paraît que...
01:11 -Il paraît que j'ai reste de sa boulimie,
01:12 moi, c'est ce qui m'a aussi beaucoup...
01:14 -Ah, c'est vrai que t'es boulimique ? -Ouais, ouais, ouais.
01:16 Ca fait 20 ans, 15 ans que j'ai des gros problèmes avec la nourriture,
01:20 que je fais des crises de boulimie régulièrement,
01:22 que je prends 20, 30 kilos et que je les repère, que je les reprends.
01:24 Et seuls les gens qui sont boulimiques peuvent le comprendre, je pense,
01:28 parce que c'est une vraie souffrance qui se voit pas dans la vie,
01:30 mais qui est très difficile.
01:32 Je vois que ça vous touche beaucoup, mon témoignage.
01:33 -J'en ai mon micro.
01:34 C'est le frère de Gingan de Rappoi.
01:37 Rires
01:39 -Il n'y a que des Céphanes et Chéri.
01:40 -Non, voilà, c'est quelque chose de très douloureux
01:42 et qui est très chiant à vivre, parce que, pour moi, c'est une drogue,
01:46 et là où les drogues comme la cocaïne, l'alcool...
01:48 Enfin, l'alcool est légal, mais la cocaïne, c'est illégal.
01:50 La bouffe est partout et c'est très difficile de s'en passer.
01:52 C'est ça qui est dur.
01:54 -Vous avez dit que vous étiez raide.
01:57 -En fait, j'ai énormément dépensé à une période où vous m'avez connu, Cyril.
02:03 Je dépensais énormément d'argent.
02:05 C'est vrai que j'avais deux chauffeurs, j'avais trois appartements
02:08 parce que j'avais une vie complètement dissolue,
02:09 je peux le dire.
02:10 J'avais plein de relations en même temps.
02:12 -Non !
02:14 (Rires)
02:15 (...)
02:24 -Un bordeur !
02:25 -Quelle lourdeur, ce truc !
02:26 -Je sortais beaucoup avec Jean-Michel Maire,
02:28 et je suis rentré dans une espèce de spirale de n'importe quoi
02:32 où j'avais plein de voitures, des appartements.
02:34 Je dépensais 10 000 euros pour un an pour m'acheter des vêtements
02:37 à Avenue Montaigne.
02:39 Et en fait, c'est une espèce d'engrenage qui rend très malheureux,
02:43 et je pense que je suis allé au bout de ça.
02:45 Et j'ai eu une série d'événements négatifs.
02:48 J'ai eu deux contrôles fiscaux qui m'ont tué,
02:51 professionnellement et personnellement.
02:54 Et plein de choses dans la vie qui sont arrivées,
02:55 qui ont fait que ça m'a ramené sur Terre, et c'est une bonne chose,
02:58 parce qu'aujourd'hui, je m'en fous complètement,
02:59 je vis beaucoup plus simplement, et je pense être plus heureux qu'avant.
03:02 -C'est fou, ce que tu dis.
03:03 -Pas peine de prétendre.
03:04 (Applaudissements)
03:06 -C'est vraiment beau.
03:07 -Il va rester avec moi, alors.
03:08 -C'est vrai que... -Tu le savais.
03:10 -Il y a eu ça, ouais, j'ai eu ça, j'ai eu...
03:12 Ça vous fait rire, je vais faire Nicolas Pernicoff,
03:14 mais j'ai perdu un de mes chiens, c'était très dur.
03:16 -C'est la mort. -American stuff.
03:17 Et moins drôle, j'ai ma femme qui a fait un AVC il y a un an,
03:20 et ça, c'était très dur aussi, et ça m'a ramené à la réalité,
03:22 et c'est pour ça que j'ai fait un enfant avec elle aussi rapidement,
03:24 parce que c'est vrai que ça soude, ça rapproche.
03:26 -Et maintenant, t'es plus heureux qu'avant,
03:27 maintenant que tu dépenses plus rien, tout ça ?
03:29 -Non, je suis une barre.
03:30 Non, mais je fais plus attention, en vrai, parce que...
03:33 -Mais c'est vrai que même moi, je le dis aux téléspectateurs...
03:35 -Vous hallucinez, je me rappelle.
03:36 -Je me disais "Mais Guillaume Janton, il a un train de vie,
03:39 c'est un truc de fou."
03:40 -En fait, j'avais l'argent, il y a une année où,
03:43 parce que j'avais un régime particulier, j'ai pas eu d'impôt,
03:45 il y a eu une année blanche, en fait, j'ai tout flambé,
03:47 j'ai pas payé mes impôts qui auraient dû être 50 %,
03:49 alors je vais pas pleurnicher, parce que je me fais un bon séparément,
03:52 mais oui, j'ai fait n'importe quoi,
03:55 et je vivais clairement au-dessus de mes moyens,
03:56 et surtout pour rien, en fait, je me suis dit "Mais pourquoi ?"
03:58 Pour impressionner qui ? Pour faire passer quel message à qui ?
04:01 Pour faire le kéké et sortir dans des restos et dans des trucs,
04:04 et voilà, je l'ai fait, je le regrette en partie,
04:06 parce que j'ai...
04:07 -On rappelle, les voitures, c'était n'importe quoi.
04:08 -Les voitures, tout, chauffeur, voilà, j'ai pas le permis,
04:10 les voyages, aller à New York, à Tokyo pour un oui ou pour un non,
04:13 mais c'est une manière de se détourner.
04:14 -Il achetait le pain à Tokyo.
04:15 -Non, mais c'est une manière de se détourner, en fait.
04:18 -Non, à New York, en plus, vous étiez pas là.
04:20 -Oui, en plus, je venais pas.
04:21 -Vous venez pas aller me rejoindre à New York,
04:22 à un moment, j'étais tranquillement à Limoges.
04:23 -En fait, voilà, encore une fois, j'ai pas envie de faire pleurer
04:25 dans les chemins, mais il y avait une part, évidemment,
04:27 de plaisir, de kiff, mais il y a aussi une manière de se détruire
04:29 où vraiment, je dépensais des sommes hallucinantes pour...
04:32 -Genre quoi ?
04:33 -Bah, je sais pas, je rencontrais une fille,
04:35 deux mois après, je lui offrais une voiture, quoi.
04:36 -Non, mais arrête. -Si, bien sûr.
04:38 -Il a vu, mais bon... -C'est pas quand on se rencontre.
04:39 -De quoi ? -On dit qu'on s'est rencontrés
04:41 il y a deux mois. -Non, mais voilà.
04:43 Je rencontrais une fille à Tokyo, parce que ça me faisait marrer,
04:47 alors que j'avais déjà... Et c'est de ma faute,
04:48 c'est moi qui faisais n'importe quoi, il y a que moi qui suis ablamé.
04:50 J'allais la voir une fois par mois à Tokyo, et ça me faisait marrer.
04:53 Et je prenais le billet d'avion en première classe.
04:55 Et encore une fois, de l'argent que j'avais,
04:57 mais que d'un autre côté, je n'avais pas.
04:58 Enfin, c'était pas du tout dans mes moyens de faire ça.
05:01 -D'un autre manière.
05:02 -Et je me suis vraiment détruit avec ça, je pense.
05:04 C'était une manière de se détruire, comme d'autres le font avec la drogue,
05:07 comme d'autres le font avec d'autres choses,
05:09 et moi, c'était dépenser, dépenser, dépenser,
05:11 jusqu'à ne plus avoir rien.
05:12 Mais c'est pas grave.
05:13 Et je pense que la seule personne à qui je peux en vouloir,
05:17 c'est moi, encore une fois.
05:18 -Pourquoi tu m'en as pas parlé ?
05:19 -Il parle pas. -On n'a jamais parlé.
05:21 -Parce que j'ai géré la situation.
05:23 Et quand j'ai plus rien eu, c'est là où je suis retourné vivre
05:24 dans 30 mètres carrés.
05:26 Et je sais qu'il y a des gens qui vivent dans 30 mètres carrés,
05:27 même dans moins.
05:28 Mais quand on passe de 500 à 30, il faut assumer.
05:32 Mais j'ai assumé, j'étais très content,
05:33 et j'étais très heureux de vivre dans 30 mètres carrés.
05:34 Très heureux, et pas de problème.
05:36 -Parce que tu passes beaucoup, en plus, à courir.
05:37 -T'as pas voulu en parler, même, à ton pote ?
05:39 -Non. -Même à moi.
05:40 -Non, parce que je vais faire quoi ? Demander de l'argent ?
05:42 J'avais pas envie.
05:43 -En plus, je t'en aurais pas donné.
05:45 -Voilà, c'est ça.
05:46 Je pense que...
05:47 (Rires)
05:48 (Applaudissements)
05:49 -Non mais voilà.
05:51 -Il a mis du temps.
05:52 -T'as raison.
05:53 Je pense que dans ces cas-là, il faut assumer,
05:54 il faut être un bonhomme.
05:55 Moi, j'ai revendu toutes mes montres,
05:57 j'ai revendu beaucoup de mes fringues,
05:58 j'ai revendu tout ce que je pourrais revendre,
06:00 j'ai diminué, je sais pas, par 10, au moins, mon train de vie,
06:04 et j'ai la chance, encore, de plutôt bien vivre
06:06 par rapport au reste des gens.
06:07 Donc, encore une fois, je ne m'appitouais pas du tout sur mon sort.
06:09 Et dans ces cas-là, il faut assumer, il faut stopper net,
06:11 arrêter les conneries et arrêter de se prendre pour quelqu'un qu'on n'est pas.
06:15 -Tu t'es pris vraiment pour... -Ouais.
06:17 -T'es pris pour qui ? -Pour un autre.
06:18 -C'est vrai. -Ouais, j'étais un pauvre petit...
06:20 -T'avais combien de voitures ?
06:22 -Trois.
06:23 Ma copine de l'époque en avait une, moi, j'en avais deux,
06:25 et je conduisais aucune parce que j'avais pas le permis,
06:27 j'en avais une qui restait...
06:28 -C'est ça qui est énorme.
06:30 -Voilà.
06:31 -Pourquoi t'achetais des voitures, t'avais pas le permis ?
06:32 -Pour faire le kéké. -Ouais.
06:33 -Pour aller au resto, j'étais content, je mettais de la musique à fond,
06:35 j'étais... Voilà.
06:37 Après, c'est une sorte de... Je sais pas, peut-être pour se valider
06:40 professionnellement, socialement, aux yeux de certaines personnes,
06:42 peut-être vis-à-vis des parents, peut-être vis-à-vis...
06:45 Voilà. Et aujourd'hui, je m'en fous complètement
06:47 et je suis dans le truc inverse. Plus jamais j'achèterai une voiture de luxe,
06:50 plus jamais j'aurai un chômeur... Non, parce que c'est...
06:52 Et en plus, l'argent... -T'as vendu ta voiture ?
06:54 -Ouais, toutes les voitures, je les ai vendues.
06:55 -A qui ? -Quoi ?
06:56 -A qui ? -Je les ai vendues à des proches.
06:59 Non, j'ai vendu une voiture à un proche, et voilà, et je...
07:03 -Et les deux autres ? -Quoi ?
07:06 Les deux autres, je les ai vendues à des particuliers.
07:08 Et je pense... -C'est quoi, les particuliers ?
07:10 -Non, mais j'ai pris deux personnes dans la sauce.
07:12 -T'as vendu ta voiture à un proche, et quand tu dis "proche",
07:14 c'est quelqu'un qui est proche de toi ? -Quelqu'un qui est proche physiquement.
07:17 Ça peut être Géraldine, ça peut être vous, ça peut être Myriam...
07:20 -Ça peut être quelqu'un d'autre à la table.
07:22 -Pourquoi pas ? -Un maître chien.
07:24 -Non, mais je peux le dire ou pas ? -C'est quoi, un maître chien ?
07:26 -Peut-être.
07:27 (Rires)
07:28 (Applaudissements)
07:32 -Non, mais ceci dit... -Vas-y, Raymond a aidé Guillaume.
07:35 -Ceci dit, je vais le dire. -C'est pour Raymond.
07:37 Parce que Raymond, c'est pas du tout ce que vous croyez.
07:38 Il a vraiment voulu aider Guillaume, et ils ont fait un deal ensemble.
07:41 -C'est vrai. Pour dire la vérité, c'est vrai que j'étais un peu dans la merde.
07:45 J'ai demandé d'argent à personne.
07:46 Raymond, il a compris que j'étais dans la merde.
07:48 Et élégamment, il s'est proposé de me racheter une partie de ma voiture.
07:53 Et je le remercie, parce que ça m'a beaucoup aidé.
07:57 -Parce que Guillaume, moi, j'aurais pu taper sur lui,
07:59 dire "T'as dépensé, j'aime pas les gens qui font ça.
08:01 Vous brûlez l'argent, et après, vous pleurez."
08:02 D'abord, une, il pleure pas, il se plaint pas, il assume.
08:05 En 30 mètres carrés, moi, l'histoire de la voiture, ça m'avait choqué.
08:08 Il la connaît depuis peu, elle a déjà une voiture.
08:10 Moi, j'avais pas de voiture, elle a déjà une voiture.
08:12 Ça m'avait choqué.
08:13 Après, on est partis dans la villa, une villa incroyable,
08:15 avec vue sur la mer. Il m'a invité.
08:17 Je lui ai dit "Mais comment il peut faire ça ?"
08:18 Et je te souviens, je lui avais dit "Fais attention, parce que ça va vite."
08:21 Dans le sens où tu peux gagner de l'argent.
08:23 Moi, je suis un crevard, ce qu'on appelle un crevard.
08:25 Mais ça va super vite.
08:26 Et là, ce que j'aime bien à Guillaume, c'est que le matin, tu l'appelles à 7h,
08:28 il va te dire "Je pars au bureau."
08:29 Et quand tu l'appelles à 22h pour lui dire "Viens, on va au resto après l'émission."
08:32 Il me dit "Bah passe, on prend des sandwiches, je suis au bureau."
08:34 J'étais déjà au bureau à 7h, il est 22h.
08:36 Et il retourne après bosser derrière.
08:37 Et comme c'est un bosseur, il va se relever.
08:39 Moi, ce que j'ai pu faire, c'est pour récupérer une voiture.
08:41 -Non mais pour le coup, t'es le seul à l'avoir fait.
08:43 -Parce qu'on a pu le faire, et avec des potes aussi, on a pu faire un geste.
08:47 -On va te le demander.
08:48 -Mais non, il voulait pas, je pense.
08:50 -Non mais je sais pas, franchement, c'est même pas osé.
08:51 -Je vais te dire, une voiture à 50 %, je l'aurais achetée, c'est sûr.
08:54 (Rires)
08:56 (Applaudissements)
08:59 (Rires)
09:01 -Mais c'est un voileur, il est enthousiaste.
09:03 -Moi, je lui ai dit "Par contre, tu dis rien à Cyril."
09:05 -Mais il peut rien vous dire.
09:06 -Mon principe, c'est que quand quelqu'un vous demande de l'argent, c'est qu'il me l'a pas.
09:09 -Je vais vous dire juste un truc aux téléspectateurs, c'est que Raymond, il a une maladie.
09:12 C'est-à-dire qu'il dit à tous les gens "Tu dis rien à Cyril."
09:14 Et c'est le premier à venir voir dans ma loge, il a pas dansé les mains.
09:16 (Rires)
09:17 -Mais c'est magnifique, il dit à tout le monde "Tu dis rien à Cyril."
09:20 -Cyril, je peux te voir deux minutes ?
09:22 (Rires)
09:23 -D'ailleurs, c'est pas un secret, parce qu'il y a plein de gens qui me voient dans la rue,
09:26 même si je prends le métro tous les jours, et c'est cool.
09:28 -Il part et rentre à pied.
09:29 -Il y a des gens qui me disent "Alors, t'as l'embout ?"
09:31 Et je dis "Ouais, j'ai plus d'argent, je l'ai revendue."
09:33 -Elle est partie en lambeaux.
09:34 -Exactement.
09:35 C'est même pas un secret, c'est même pas un dossier, je m'en fous, j'ai plus d'argent.
09:37 -Exactement.
09:38 -T'as un maître chien qui est derrière toi.
09:43 [Musique]