Le vice-président Renaissance 92, Martin Garagnon sur les critiques concernant la communication du Premier ministre : «Qu'est-ce qu'on n'aurait pas dit si Gabriel Attal avait attendu dans son ministère (...) il a eu le courage de se déplacer»
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00:00 C'est votre droit de voir de la communication partout.
00:01 Qu'est-ce qu'on n'aurait pas dit si Gabriel Attal avait attendu
00:04 dans son ministère, dans son beau bureau, pour recevoir les acteurs
00:07 de la crise actuelle ?
00:08 Il a eu le courage, il faut le reconnaître, de se déplacer.
00:10 Maintenant, effectivement, les barrages, ils sont faits avec des bottes de paille.
00:13 Ce n'est pas lui qui l'a décidé. Ce n'est pas une mise en scène.
00:15 Donc, il est allé au cœur de l'action.
00:16 Ce Jérôme Bel, qui effectivement fait l'objet de beaucoup de critiques,
00:19 je trouve extrêmement injuste et très, très virulente.
00:21 C'est quand même quelqu'un, il faut le rappeler,
00:23 qui est monté au créneau, qui a fait ce que les autres n'ont pas fait.
00:30 - La semaine à Matignon, Gabriel Attal a reçu...
00:32 - La preuve, il a pas la bloquée.
00:33 - Oui, mais là, votre propos était de dire, de dénoncer le fait
00:37 de court-circuiter les partenaires sociaux.
00:38 Or, c'est exactement le contraire qui s'est passé,
00:40 puisque Gabriel Attal, dans un premier temps, a reçu les partenaires sociaux,
00:43 dont la FNSA et les jeunes agriculteurs.
00:47 Donc, il les a reçus.
00:48 On a fait un certain nombre de partages, de constats, de propositions.
00:52 Les propositions, il les a annoncées au cœur de l'action,
00:54 là où il y avait le point de blocage le plus ardent, le plus historique.
00:58 Ces propositions, il n'a jamais été dit, et Gabriel Attal le premier,
01:02 il n'a jamais été dit qu'elles étaient suffisantes et définitives.
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