L'ancien magistrat Georges Fenech : «Le président de la République a annoncé un hommage aux victimes du terrorisme commis le 7 octobre, or, LFI n'a jamais voulu considérer qu'il s'agissait d'actes de terroristes».
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00:00 On n'aurait jamais tourné le dos parce que d'abord, c'était le dos au monument.
00:03 Il ne fallait pas tourner le dos, premièrement.
00:05 Instrumentaliser politiquement, c'est très mauvais,
00:08 surtout quand on est sur des événements comme celui-ci,
00:11 des commémorations aussi importantes que celle-là.
00:13 Secondo, je ne sais pas ce que va faire Mathilde Panot le 7 février,
00:17 parce qu'au fond, si vous regardez de près, qu'a annoncé le président de la République ?
00:21 Un hommage aux victimes du terrorisme commis le 7 octobre.
00:26 Or, LFI n'a jamais voulu considérer que c'était d'actes de terroristes,
00:32 qui considèrent que ce sont des répostes, une résistance, des crimes de guerre éventuellement.
00:36 Donc, elle n'a pas allé se recueillir pour ceux qu'elle ne considère pas
00:41 comme étant des victimes directes de terrorisme.
00:43 Il y a quelque chose d'assez déplacé, indécent dans cette présence.
00:47 Et d'ailleurs, si je ne crois pas qu'on puisse l'interdire,
00:51 elle est députée de la Nation.
00:53 Ah non, elle peut venir.
00:54 Elle ne pourra en aucun cas...
00:55 Mais elle va créer une polémique.
00:56 Sa présence va créer une polémique, évidemment, et beaucoup d'émoi.
00:59 Une très mauvaise polémique.
01:00 Pensons aux familles.
01:01 Pensons aux familles des victimes.
01:04 Il y a quelque chose de très indécent.
01:05 Sous-titrage Société Radio-Canada
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