Retrouvez le replay de la descente garçons à Châtel, comptant pour les Championnats du monde juniors de ski alpin du 30/01/2024.
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00:00:00 C'est la Junior Alpine World Skiing Championship à Haute-Savoie.
00:00:05 Dans quelques minutes, nous suivrons la menace d'un homme et après la menace d'une femme.
00:00:13 Commençons la séance !
00:00:16 Bonjour à toutes et à tous.
00:00:18 Ravis de vous retrouver dans ce magnifique domaine des Portes du Soleil
00:00:22 à l'occasion de la 43ème édition des Championnats du Monde Junior de Ski Alpin.
00:00:28 Vous l'avez entreaperçu.
00:00:29 Je vais être accompagné de main de maître durant ces 48 premières heures.
00:00:35 La vitesse consacrée à la vitesse par Yannick Bertrand.
00:00:38 Bonjour mon cher Yannick.
00:00:39 Bonjour Guillaume, bonjour à toutes, bonjour à tous.
00:00:41 On va rentrer de plein pied dans ces Championnats du Monde sur cette piste du Lingard
00:00:46 que vous connaissez comme votre poche.
00:00:49 Vous êtes un des locales de l'étape.
00:00:52 Un des coachs, je le rappelle, si les gens ne sont pas au courant,
00:00:55 un des coachs de la vitesse en équipe de France Senior
00:00:58 avec tous les succès que l'on connaît cette saison.
00:01:01 Et cette piste du Lingard, on a eu l'occasion d'ailleurs de la découvrir
00:01:05 ces deux dernières journées à l'occasion des entraînements
00:01:08 qui malgré les conditions météo évidemment dont on vous parle,
00:01:11 vous voyez le fond de vallée qui est bien vert,
00:01:13 les conditions sont très très bonnes et vont nous offrir à n'en pas douter
00:01:16 un très beau spectacle.
00:01:17 Et oui Guillaume, l'organisation a fait un boulot monstrueux.
00:01:20 Elle a fait vraiment le taf parce que la piste est parfaite.
00:01:23 Ça fait trois jours que les skieurs sont dessus, il n'y a pas une trace de réparation.
00:01:27 C'est franchement une préparation idyllique.
00:01:30 On va se régaler avec ces deux descentes au programme.
00:01:33 Les garçons dans une poignée de minutes, ils seront 52 au départ
00:01:38 pour essayer de succéder à Roccasno, le Slovène qui s'était imposé
00:01:43 l'an dernier du côté de Saint-Antoine.
00:01:45 Et là pour le coup, on va découvrir ou redécouvrir
00:01:49 pour les plus férus de ski alpin, les meilleurs athlètes de moins de 21 ans.
00:01:55 Chez les garçons Yannick, j'allais dire c'est un passage obligé
00:01:59 ou parfois on peut arriver sur des années un petit peu plus élevées ?
00:02:02 Alors sur les athlètes qui sont présents aujourd'hui,
00:02:05 c'est des athlètes qui sont encore en formation en vitesse.
00:02:07 Ils ont besoin de faire des kilomètres.
00:02:09 C'est des très bons techniciens souvent.
00:02:12 On n'oublie pas que la base c'est le gérant.
00:02:15 Mais c'est des garçons qui n'ont pas peur
00:02:16 et qui commencent à apprendre le métier de descendeur
00:02:18 ce qui est très long à apprendre.
00:02:20 Vous avez vu en tout cas la liste de départ qui s'était grainée sous vos yeux.
00:02:25 Je le disais, 52 athlètes donc.
00:02:28 Et puis évidemment, un beau contingent tricolore
00:02:32 pour essayer d'aller chercher de débloquer d'ores et déjà le compteur de médailles
00:02:36 dès la première épreuve,
00:02:38 Lio Baraldi qui aura le dossard numéro 7.
00:02:41 Edgar Meyer qui a fait de très bons entraînements avec le 9.
00:02:44 Et puis on a évidemment, j'allais dire,
00:02:46 un petit œil particulier sur Alban Elézy et Cana Ferina.
00:02:50 Ne serait-ce que parce que Cana, on va le surnommer Cana évidemment,
00:02:55 avait remporté de belles médailles l'an dernier à Saint-Antoine
00:02:58 et d'ailleurs était venu du côté de Méribel.
00:03:02 Voilà, de Courchevel, vous avez raison.
00:03:03 Moi j'étais à Méribel pour les filles.
00:03:04 C'était bien Courchevel pour les garçons,
00:03:06 donc chez les Sénors, dans la foulée.
00:03:08 Oui, c'est un très beau tremplin.
00:03:10 C'est la course d'un jour.
00:03:12 C'est très important pour eux de performer tout de suite.
00:03:15 C'est important pour l'équipe de France de mettre tout le monde dans l'ambiance.
00:03:18 J'espère qu'ils vont servir des résultats des grands
00:03:20 et qu'on ait des belles courses.
00:03:22 On va se régaler à n'en pas douter.
00:03:24 Voilà le public qui vient tranquillement se masser aux abords de la raquette d'arrivée.
00:03:30 Donc cette piste du lingot que l'on va découvrir
00:03:33 dans une poignée de secondes avec vous Yannick,
00:03:36 en comparis de Jared Thompson, le Canadien qui portera le dossard numéro 1.
00:03:41 Alors c'est vrai que c'est un plateau très ouvert.
00:03:43 On n'a pas encore forcément de garçons qui ont fait de gros résultats,
00:03:48 ne serait-ce qu'en Coupe d'Europe, ce qui n'est pas forcément le cas avec les filles.
00:03:52 Bon, néanmoins, les Autrichiens, les Suisses, les Italiens, les Norvégiens, les Français,
00:03:59 sont toujours les grandes nations des plus jeunes catégories d'âge.
00:04:03 Oui, effectivement Guillaume.
00:04:05 On va voir ça tout de suite.
00:04:05 J'espère que vous allez apprécier la piste parce que moi je l'ai trouvée magnifique.
00:04:09 Franchement, c'est régalé ce matin à l'occasion de la reconnaissance.
00:04:12 C'est parti donc pour Jared Thompson, jeune Canadien qui ouvre le portillon.
00:04:20 19 ans, c'est plutôt un polyvalent le garçon.
00:04:23 C'est plutôt en technique qu'il a réalisé ses meilleurs résultats,
00:04:25 notamment sur le circuit NORAM, le circuit nord-américain.
00:04:28 Alors là, on l'a récupéré sur la deuxième partie de la piste.
00:04:32 Partie plus technique où il y a vraiment de la vitesse.
00:04:34 Là, on n'est pas loin des 120 km/h sur ce secteur.
00:04:37 Et puis là, il va rentrer dans le dernier S avec une position de recherche de vitesse.
00:04:43 Là, on voit, il n'y a pas beaucoup de virages.
00:04:45 Il faut vraiment oser prendre des risques sur les lignes.
00:04:47 Même si ça sort un peu large ici, ce n'est pas très grave.
00:04:49 Il va rentrer sur les deux derniers virages dans la mire finale.
00:04:53 Cette partie finale emmenée un maximum de vitesse,
00:04:55 on va dire peut-être que la clé s'est fait un petit peu plus sur le haut.
00:04:58 Il y a des parties qui sont tactiques sur le haut,
00:05:03 notamment les deux doubles après le premier saut qui sont très importantes
00:05:05 parce qu'il y a un mouvement en terrain, on ne les a pas vues avec le Canadien,
00:05:07 mais on les verra plus tard.
00:05:08 Et prendre de la vitesse.
00:05:10 Et puis ensuite, vraiment ce passage-là avec cette courbe et cette bosse
00:05:15 qui sont très importantes pour se lancer sur la dernière partie.
00:05:18 1'21'52, voici donc le temps des références.
00:05:21 Alors que Simen Selag, vainqueur du premier entraînement,
00:05:24 le Norvégien vient de s'élancer.
00:05:26 Il était quatrième du Super G de Saint-Antoine l'an dernier,
00:05:29 donc lors de la dernière édition des Championnats du Monde Junior.
00:05:32 Exactement. Et là, on voit qu'il s'est très bien lancé sur le haut,
00:05:34 même si on n'a pas vraiment entendu parler.
00:05:36 Effectivement, les intervalles sont réduits.
00:05:41 Donc on ne verra peut-être pas l'intégralité.
00:05:43 Énormément d'angles sur ce piano.
00:05:45 Et attention à ne pas se faire écraser sur son appui.
00:05:47 Il a des lignes plutôt correctes, même limite un peu trop propres.
00:05:50 Mais je pense qu'il emmène quand même de la vitesse.
00:05:54 Garçon qui a été vice-champion du monde de Norvège,
00:05:57 senior ! Attention sur la descente.
00:06:01 Après, peut-être que tous les Norvégiens n'étaient pas
00:06:03 au rendez-vous en fin de saison.
00:06:05 Mais on voit un peu quand même.
00:06:06 Très propre et déjà un beau petit bébé.
00:06:09 Oui, on voit qu'il est solide le Norvégien.
00:06:11 C'est vrai que des fois, il faut prendre de l'épaisseur.
00:06:14 Et clairement, le temps de référence, il est là.
00:06:18 1'78 d'avance, il est passé sous le 1'20, 1'19.74.
00:06:22 1'13 d'avance donc pour Semen Silag.
00:06:26 Garçon qui a été aligné d'ailleurs par son équipe en Coupe d'Europe.
00:06:30 Alors, sans performance majeure, on verra tout à l'heure peut-être
00:06:34 des filles qui sont déjà capables d'aller tutoyer les podiums
00:06:37 dès le plus jeune âge.
00:06:38 C'est le bon prénom.
00:06:39 Voilà, effectivement.
00:06:40 Oui, Axel Hammer.
00:06:41 Du haut de ses 19 ans.
00:06:45 8'13 des deux entraînements disputés avant-hier et hier.
00:06:49 Il est lisse en haut et là, il va rentrer sur ses pieds aussi.
00:06:52 On essaye de ne pas faire trop de chemin et là, d'être assez direct
00:06:55 sur cette première porte, ce qui fait très bien.
00:06:57 Faire un petit peu le ventre et là, d'être très propre,
00:07:00 de ne pas se faire écraser là.
00:07:01 Là, ça a gratouillé un petit peu.
00:07:05 Il reste bien à l'intérieur, contrairement à son compatriote.
00:07:09 Autant sur les premiers entraînements, on a vu beaucoup d'athlètes
00:07:12 louper des portes, étaient un peu surpris par la vitesse de la piste.
00:07:16 Et là, on voit qu'ils ont bien travaillé sur les vidéos
00:07:17 puisque ça se passe plutôt bien sur les vidéos.
00:07:19 On prend évidemment ses marques.
00:07:21 C'est le but de ces entraînements disputés avant-hier et hier.
00:07:26 Et là, on met cette vitesse jusqu'en bas pour Axel Hammer,
00:07:30 qui va être devancé tout de même d'une demi-seconde par son compatriote.
00:07:35 Voilà, on parlait de garçon.
00:07:37 Ce n'est pas évident tout de suite d'aller faire des points en Coupe d'Europe.
00:07:40 Lui avait déjà fait un top 20 à Santa Caterina,
00:07:42 donc au mois de décembre, sur une très belle piste
00:07:47 de Coupe d'Europe et de Coupe du Monde.
00:07:49 Une belle position de recherche de vitesse, c'est important.
00:07:52 Place à Felix Enstrasseur, l'Autrichien.
00:07:56 Attention, cinquième et sixième des deux entraînements
00:07:59 et qui lui aussi compte quelques points en Coupe d'Europe cette année.
00:08:04 On a vu partir très déterminé, gros pisseau sur le départ.
00:08:07 Il y a 3-4 courbes, un petit P super G sur le haut.
00:08:10 Il faut vraiment prendre du gaz en haut, partir vraiment hyper déterminé.
00:08:15 Ça se passe bien ici aussi, un peu direct sur ces doubles.
00:08:17 Attention à ne pas sortir trop là.
00:08:20 Non, non, non, très bien sauté.
00:08:21 Il a emmené suffisamment de vitesse.
00:08:23 On va être fixé au deuxième intermédiaire.
00:08:27 Il enlève la position.
00:08:28 Je pense qu'il y a moyen de la garder sur tout ce secteur-là.
00:08:31 Il faut vraiment rester le plus profilé possible.
00:08:33 C'est vraiment les descendeurs qui font parler leur qualité de glisse
00:08:36 et qui doivent glisser vraiment le plus bas possible,
00:08:40 le plus profilé possible.
00:08:41 C'est vraiment de l'aéronautisme.
00:08:42 On l'a vu, un petit peu moins vite au niveau de la trappe de vitesse
00:08:45 par rapport à Axel Hammer.
00:08:46 Et derrière, il a perdu.
00:08:48 Alors, il a plutôt limité la casse.
00:08:50 Il y avait deux dixièmes et il reprend un gros dixième de retard
00:08:53 sur la dernière portion.
00:08:55 Mais voilà, comme vous le disiez très justement Yannick,
00:08:56 il faut vraiment emmener cette vitesse pratiquement à mi-parcours.
00:09:01 Oui, le tracé est quand même assez large.
00:09:03 C'est typé assez large.
00:09:04 Je pense que pour eux, ça leur fait un peu bizarre.
00:09:06 Même par rapport aux Coupes d'Europe qu'ils ont l'habitude de faire,
00:09:07 où le tracé doit être un poil plus tournant.
00:09:11 Là, le traceur Cyril s'est lâché et a fait une belle descente.
00:09:15 Vraiment.
00:09:15 Allez, place au premier transalpin dans le portillon.
00:09:17 Il s'agit de Max Peratonneur, 21 ans.
00:09:20 Donc lui, dans sa dernière année,
00:09:22 le champion de ces championnats du monde.
00:09:24 Troisième du second entraînement disputé hier.
00:09:27 Et lui, en Super G, capable déjà d'aller chercher des top 10,
00:09:30 comme c'était le cas sur Seineige du côté de Tarvisio.
00:09:33 Alors, je le trouve un peu bas sur ses appuis
00:09:34 et surtout, je trouve qu'il a fait beaucoup,
00:09:36 beaucoup de chemin dans les deux triples au-dessus.
00:09:38 On va voir si c'est payant.
00:09:39 J'ai l'impression que c'est honnête.
00:09:42 C'est honnête, il est dans le même chrono.
00:09:44 Et regardez au niveau de la vitesse, c'est plutôt très bon.
00:09:46 Là aussi, beau gabarit, que celui de Max Peratonneur,
00:09:48 il y a de la taille sous la toise.
00:09:50 On voit qu'il met beaucoup d'angle.
00:09:52 Franchement, j'ai trouvé qu'il avait vraiment beaucoup de chemin,
00:09:54 mais du coup, il a privilégié
00:09:56 d'avoir les bonnes directions sur ses sorties de courbe.
00:09:59 Et ça va le faire.
00:10:00 Ça va ce joueur, bien sûr.
00:10:02 Bien sûr, lui, lui a réussi à être plus rapide que Célac
00:10:06 sur la dernière portion, oui, il peut être content.
00:10:09 Il ne sera certainement pas loin de la vérité, Max Peratonneur.
00:10:12 Voilà, là, on voit qu'il a pris bien par derrière.
00:10:14 Et du coup, il peut se permettre de relâcher l'appui assez tôt.
00:10:18 Là, un énorme angle.
00:10:19 Ah oui, là, il faut le tenir, celui-ci.
00:10:22 Pas facile. Et alors, nos amis suisses ?
00:10:23 Allez, le premier suisse, effectivement, avec Denis Cortet.
00:10:27 Lui qui était 12e l'an dernier à Saint-Antoine
00:10:29 lors des Championnats du Monde Junior.
00:10:31 Attention, un superjet à lui.
00:10:33 Quatrième et neuvième du côté de Garmisch.
00:10:36 Évidemment, je parle de l'échelon Coupe d'Europe.
00:10:38 Je ne parle pas des Coupes du Monde du week-end dernier.
00:10:41 Une lignée un peu plus intérieure, on va voir, justement.
00:10:44 Là, ce n'est pas mal aussi.
00:10:45 Il ne s'est pas fait écraser.
00:10:46 Ah, il sort un petit peu plus large.
00:10:50 Il a moins bien absorbé le saut.
00:10:51 Je pense qu'il va avoir un tout petit peu moins de vitesse sur ce secteur.
00:10:54 Peut-être en manquer, effectivement.
00:10:55 Oui, bien vu, effectivement.
00:10:57 Yannick, 3/10 de plus dans la musette.
00:11:00 Et puis, 112 km/h.
00:11:01 On a vu un Peratonner atteindre les 115 km/h
00:11:04 au niveau de la trappe de vitesse.
00:11:06 Oui, oui, oui.
00:11:07 Vraiment, le bas, c'est vraiment une type de descente de champion.
00:11:11 Descente de grand, il faut être propre sur les appuis.
00:11:14 Il ne faut pas faire trop de chemin.
00:11:16 Et le Suisse, il va être un peu déçu.
00:11:17 Et ça fait cher.
00:11:18 Ça fait cher, en effet.
00:11:19 Plus d'une seconde et on voit, effectivement, le geste,
00:11:22 le body language qui donne l'impression d'un petit peu d'incompréhension
00:11:26 par rapport à cet écart, je vais dire, assez important,
00:11:30 puisqu'il est quatrième après seulement cinq passages.
00:11:32 Mais vous voyez, là, il sort de la ligne bleue.
00:11:34 Je pense qu'il y avait moyen d'être plus propre.
00:11:36 Allez, le premier Français est dans le portillon.
00:11:38 Il s'agit de Lio Baraldi.
00:11:40 Allez, c'est parti pour le skieur des deux Alpes.
00:11:43 19 ans, c'est un tout jeune de cette équipe.
00:11:46 Et c'est bien, c'est bien parti.
00:11:47 Seulement 5 centièmes sur le haut.
00:11:49 Il essaie de garder la position.
00:11:50 Lio, il est grand, il est très grand.
00:11:51 Il faut vraiment qu'il arrive à profiler son haut du corps.
00:11:54 Bien patient ici.
00:11:56 Il fait un peu de chemin, mais du coup, il ne va pas se faire écraser.
00:11:59 Attention, limite, limite là.
00:12:02 Allez, bonhomme.
00:12:03 Ça a tenu en tout cas.
00:12:04 À plat ventre maintenant, jusqu'en bas.
00:12:05 Allez, jusqu'au bout.
00:12:07 On serre un peu les pieds.
00:12:08 On a une belle position de recharge de vitesse.
00:12:09 On rentre les coudes.
00:12:11 Ça fait un peu cher là.
00:12:12 Cette dixième, oui, effectivement.
00:12:14 Cette dixième, il a encore un déficit de vitesse.
00:12:18 Quasiment 3 km/h, moins vite que les plus rapides.
00:12:21 Il était top 20 sur les entraînements.
00:12:24 Voilà, ça donne quand même une idée pour Lio à l'occasion de cette descente.
00:12:30 Une 08 sera juste derrière Denis Cortet.
00:12:34 Sixième place provisoire à elle aussi.
00:12:37 Il a mieux skié qu'aux entraînements, mais il doit être un peu déçu.
00:12:40 Ça lui en manque un peu.
00:12:41 Encore une fois, 19 ans.
00:12:43 Cette faute-là lui coûte cher.
00:12:46 La piste, tout le monde l'aborde très, très bien.
00:12:48 Il n'y a pas beaucoup de différences de lignes.
00:12:50 Il va falloir être très, très propre sur les appuis.
00:12:53 Il faut être précis.
00:12:54 Allez, Gregorio Bernadi, attention.
00:12:56 Attention parce que lui, en ce qui concerne les entraînements,
00:12:58 il a été devant sur les deux troisième et quatrième.
00:13:02 Attention par contre.
00:13:03 Il est très bien parti.
00:13:03 Oui, il est très bien parti effectivement avec trois dixièmes d'avance sur le haut.
00:13:07 Lui aussi, il a été dans les points à Tarvisio au niveau Coupe d'Europe.
00:13:11 On voit que c'est un beau bébé.
00:13:12 Là aussi, il privilégie une ligne un petit peu large dans la tripe,
00:13:15 mais du coup pour ressortir avec de la vitesse ici.
00:13:18 Attention, très arrière sur le saut.
00:13:20 Ouh là là !
00:13:21 Alors ça, ça ne va pas payer sur le bas.
00:13:23 Oui, il y a des chances effectivement.
00:13:24 Il a sorti les bras.
00:13:26 Là, il est encore devant, mais je pense qu'il va encore le payer un petit peu
00:13:29 parce qu'il n'a pas profité du mur pour prendre de l'élan.
00:13:31 Oui, on voit, c'est seulement effectivement six centièmes de perdu
00:13:34 entre le premier et le deuxième inter,
00:13:35 mais ça risque de faire quand même plus cher.
00:13:37 Lui aussi, il a un déficit de vitesse par rapport à son compatriote.
00:13:40 Pour l'instant, c'est un duel entre les deux Italiens,
00:13:43 Max Perratoneur ou Gregorio Bernadi.
00:13:46 Et il va garder un dixième d'avance.
00:13:48 Pour l'instant, les Italiens viennent dominer,
00:13:52 mais il semble en tout cas, Yannick, sur ce que l'on a vu, qu'il y a encore de la place.
00:13:55 Oui, il y a encore de la place.
00:13:57 Alors, ils y ont mis beaucoup d'intensité, ils ont été très bons.
00:13:59 Là, on voit, il ne va pas faire beaucoup de chemin.
00:14:01 Là, il est très précis à la porte,
00:14:03 mais je pense qu'ils sont prenables.
00:14:04 Il va falloir faire une course parfaite.
00:14:06 J'ai envie de dire, on va bientôt être fixé
00:14:08 parce que là, on a les costauds,
00:14:09 en tout cas ceux qui ont fait de très bons résultats sur les entraînements.
00:14:12 À l'image du Cluse, Edgar Meyer, deuxième chrono.
00:14:16 Je pense qu'il s'est loupé sur le haut.
00:14:17 Il s'est loupé, il a eu un souci sur l'entraînement des deux doubles
00:14:20 dont vous parlez tout à l'heure, parce que le 88 centième, c'est énorme.
00:14:23 Aïe, aïe, aïe, aïe, ça c'est vraiment dommage.
00:14:25 Attention à ne pas trop tendre ici.
00:14:26 Voilà, lui, alors lui, il est très tendu et ça l'assoit un petit peu.
00:14:31 Je pense qu'il a fait une faute sur le haut
00:14:32 et que du coup, maintenant, il essaye de forcer un peu son ski
00:14:35 pour pouvoir récupérer du temps, mais ça va être très difficile.
00:14:38 Le mal est fait, malheureusement, pour notre flèche tricolore,
00:14:42 avec encore deux dixièmes qui sont perdus.
00:14:45 On y voit, il y a beaucoup de détermination dans son ski, mais...
00:14:48 Une vitesse d'ailleurs qu'il a surrégénéré, entre guillemets.
00:14:50 Il est à un kilomètre heure.
00:14:53 Il a une très bonne vitesse sur le bas, mais je pense que sa faute en haut est préliminatoire.
00:14:56 Et oui, malheureusement, pour Edgar, que l'on retrouvera évidemment sur le Super-G.
00:15:03 Je dis évidemment, je ne vais pas décider avant que ce soit le cas,
00:15:08 mais voilà, en règle générale, les garçons enchaînent.
00:15:11 Oui, oui, oui, oui, oui.
00:15:12 Et là, il va être remonté.
00:15:14 Ah, c'est le moins qu'on puisse dire.
00:15:16 Ah, dommage, dommage, dommage.
00:15:18 Il nous avait montré de belles choses.
00:15:19 Attention, attention à Alban.
00:15:21 Alban Elhizik Anaferina, tenant du titre sur le géant,
00:15:24 vice-champion du monde en titre sur la descente.
00:15:27 Et on y voit une énorme envie sur la poussée.
00:15:29 Il faut savoir qu'Alban, il est sorti.
00:15:32 Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, le coup dur, le coup dur dans le clan Tricolor.
00:15:37 Ah, là, là, là, là, là, là, on l'avait parlé de lui en introduction et pour cause.
00:15:43 Ah, oui, là, toute la rage, évidemment, pour Canaf.
00:15:48 Le skieur de Corchevel qui sort.
00:15:49 Oui, vraiment, c'est dommage parce que c'est un super skieur.
00:15:52 Il s'était cassé le pouce à l'entraînement.
00:15:53 Exact, c'est vrai.
00:15:54 C'est un détail pour lui. Il nous a dit que ça ne le gênait pas.
00:15:56 C'était un pouce par an, je crois. Un doigt par saison.
00:15:59 Voilà ce qu'il avait dit pour l'instant.
00:16:01 Il a dû être un peu audacieux sur la double du haut qui compresse.
00:16:06 Et on le voit, il fulmine là, jusqu'en bas.
00:16:07 Ah, oui, jusqu'en bas.
00:16:08 Ça, c'est clairement, il va emmener son dépit et sa rage jusque sur la ligne d'arrivée.
00:16:15 Alors, il aura, c'est un polyvalent pour le coup, il aura bien d'autres occasions de briller.
00:16:21 Mais c'est vrai que pour l'instant, ce sont les Transalpins, ce sont les Italiens qui sont à la fête.
00:16:26 Pour l'instant, Grégorio Bernadie qui devance Max Perrathoner.
00:16:31 Attention, attention, parce que là, on va quand même avoir le champion du monde entier, du Super-G.
00:16:37 Livio Hildebrandt.
00:16:38 Regardez le gabarit et franchement, un super ski proposé sur les entraînements.
00:16:44 Il avait pris le bronze sur la descente derrière justement Alban l'an dernier à Saint-Antoine.
00:16:50 Je l'ai vu sur les entraînements, il a vraiment un beau ski bien propre.
00:16:55 Garçon qui est capable de rentrer, attention je le dis, dans les top 10 déjà en Coupe d'Europe.
00:16:59 Quand je parle de points pour certains, lui, ce sont de gros points qu'il est capable d'aller chercher.
00:17:04 Pour l'instant, tout se passe très bien pour lui.
00:17:06 Que c'est propre, effectivement.
00:17:07 Il n'a pas eu un millimètre de fumée.
00:17:09 Oh la la, 116 ! C'est la vitesse la plus élevée, plus rapide que les Italiens.
00:17:14 C'est beau ce qu'il est en train de réaliser.
00:17:17 On va voir ce qu'il fait sur le bas.
00:17:19 Je pense qu'il a rappelé que cette direction est parfaite.
00:17:21 Il n'y a pas eu un millimètre de fumée qui s'échappe de ce ski.
00:17:24 Exceptionnel cette descente.
00:17:27 Je pense que ça va suffire.
00:17:28 Oh oui, effectivement !
00:17:30 Lui a su l'emmener, justement, cette vitesse jusqu'en bas.
00:17:34 Alors là, très clairement, le Suisse, il va falloir aller le chercher.
00:17:38 35 centièmes quand on voyait l'engagement, vous le disiez Yannick, qu'ont mis les Transalpins.
00:17:44 Là, Livio, ça a été vraiment propre de bout en bout.
00:17:47 Il n'y a rien à jeter là.
00:17:48 Il est juste dans l'engagement.
00:17:49 Il arrive dans cet engagement à trouver le relâchement qui fait que son ski est efficace.
00:17:54 Et ça, c'est très important.
00:17:55 Allez, Félix Rossle, à présent le premier Allemand, 18 ans, de top 10 sur les entraînements.
00:18:03 Oui, il est à 18, effectivement.
00:18:06 Certainement un petit peu de pression déjà à 18 ans parce que là, ils sont tous les
00:18:11 "Ferschtel", les "Sander", ils ont mis la flèche.
00:18:13 Il y a une vague d'athlètes qui s'arrêtent en Allemagne.
00:18:16 Oui, effectivement, il va falloir que les jeunes se montrent.
00:18:19 Je l'ai trouvé un peu hésitant, moi, sur cette partie intermédiaire.
00:18:24 Du coup, ça fait vite cher.
00:18:26 Alors, Salmé à 8/10.
00:18:27 Il a quand même une bonne vitesse.
00:18:28 On voit aussi que c'est un beau bébé.
00:18:29 Il est grand.
00:18:30 Oui, effectivement, c'est un beau truc.
00:18:31 Un super actrice, là, de assez grande double.
00:18:32 Il a du mal à étaler ses appuis.
00:18:33 Là, il arrive encore à la recherche de vitesse.
00:18:34 Ce sera dur d'aller chercher ne serait-ce qu'une place sur le podium pour Félix Rossle.
00:18:45 Plus d'une seconde de retard.
00:18:46 1'33.
00:18:47 Vous voyez le podium, il est à une demi-seconde pour l'instant.
00:18:51 Ilbrand Bernadie, "Pératonneur".
00:18:53 La déception, effectivement, c'est un bon grand gabarit.
00:18:57 J'ai l'occasion d'être à côté de lui hier ou avant-hier, effectivement.
00:19:00 Là-bas, c'est propre.
00:19:02 Vous voyez cette neige qui s'échappe de ses skis.
00:19:04 Il a privilégié la ligne et pas la qualité de l'appui.
00:19:08 Et ça, ça lui a coûté cher aussi.
00:19:09 Allez, Lance Eichler, effectivement, le deuxième Suisse.
00:19:14 Tout simplement vice-champion du monde du Super G l'an dernier à Saint-Antoine, quatrième
00:19:18 du parallèle.
00:19:19 Attention, garçon qui a été aligné en Coupe du Monde à Altamadia sur la Grande Risa.
00:19:24 Ça veut dire que techniquement, il est posé.
00:19:26 Pareil ici, beaucoup de chemin dans la tripe pour privilégier cette double.
00:19:31 On voit que ça saute bien.
00:19:32 Il y a de la vitesse.
00:19:33 Il va être dans le match.
00:19:35 Il va être là.
00:19:36 Va-t-on avoir deux Suissos de première place après les Italiens ?
00:19:38 Il est en train de faire le match, effectivement.
00:19:41 Il a une bonne vitesse aussi.
00:19:42 On essaye de garder la position le plus possible.
00:19:45 Il ne faut plus rien lâcher sur le bord.
00:19:47 Les Suisses, ils sont en train de nous faire un récital après Hildebrandt.
00:19:51 Lance Eichler qui va venir tutoyer son compatriote.
00:19:56 Il a pris cher en bas.
00:19:58 Beaucoup perdu.
00:19:59 Beaucoup perdu.
00:20:00 Alors là, je ne l'ai pas vu venir, celle-là.
00:20:02 Et c'est le podium qui échappe.
00:20:03 Oui, on est bien d'accord.
00:20:04 On est bien d'accord.
00:20:05 C'est les Italiens qui sont contents.
00:20:07 Est-ce qu'il fait une erreur ? Pas plus que ça.
00:20:10 Pas tant.
00:20:11 Pas tant, effectivement.
00:20:12 Non, non, non, là c'est assez propre aussi.
00:20:14 Un petit peu arrière sur Ceauceau, mais sans plus.
00:20:17 Allez, on se remet dedans, dans le clan tricolore avec le skieur des arcs Enzoro Cacera.
00:20:23 Allez, un petit peu loin, 23ème et 28ème des deux entraînements.
00:20:27 Lui était en bronze du côté des Orcs.
00:20:30 Là, ça fait cher.
00:20:32 Je ne sais pas ce qui s'est passé là-haut.
00:20:33 C'est dommage que je ne mette pas les images, mais il va falloir que je me renseigne là.
00:20:37 Il y a un souci sur le haut.
00:20:38 Est-ce qu'il peut y avoir ?
00:20:39 On avait sur certaines remontées un peu de vent sur les crêtes,
00:20:42 mais là, pour le coup, le départ est plutôt bien protégé.
00:20:45 Les conditions sont bonnes.
00:20:46 Je pense qu'ils sont très motivés, très audacieux sur le haut.
00:20:50 C'est un endroit qui est tactique.
00:20:52 Ça précède un plat et je pense qu'ils ont été peut-être trop audacieux sur les lignes.
00:20:57 Et du coup, ça fait vraiment cher.
00:20:59 La moindre erreur, effectivement, se paye cash.
00:21:01 Et là, malheureusement, 7 km/h de débours sur la vitesse.
00:21:06 Il va perdre du terrain.
00:21:09 Là, ça fait des patines.
00:21:11 Une fois qu'on ne se lance pas sur une piste comme ça, même si on voit qu'il y a un peu de vent.
00:21:14 Peut-être un peu, effectivement.
00:21:16 3,59.
00:21:18 Ça fait très cher.
00:21:20 Là, vous voyez, nos tricolores, on ne va pas se mentir.
00:21:22 Lyo Baraldi, le meilleur d'entre eux, qui est pour l'instant 10e.
00:21:26 Petite déception, clairement, dans le clan tricolore ce matin.
00:21:31 On va espérer que les filles...
00:21:33 Bien sûr, bien sûr.
00:21:34 Il faut savoir qu'on a des bonnes flèches aussi chez les filles.
00:21:36 Oui, très clairement.
00:21:39 On suivra notamment avec attention Garance.
00:21:43 Garance, meilleur.
00:21:44 Attention, Philippe Kailin.
00:21:46 Vous avez vu le ski qui bouge énormément.
00:21:49 Effectivement, c'était moins propre que pour ses compatriotes.
00:21:53 Oui.
00:21:54 Alors, est-ce que la neige réchauffe un petit peu sur le haut aussi ?
00:21:58 Ça, c'est possible.
00:21:59 Avec le 2h15, il y a déjà des traces.
00:22:02 Hier, ce n'était pas le cas.
00:22:03 Là, il saute encore un peu large.
00:22:04 Il ne prend pas vraiment de vitesse dans ce bas de mur.
00:22:08 Vainqueur du second entraînement, Philippe Kailin.
00:22:10 Donc, lui aussi a pris de belles références, évidemment, sur cette piste du lingard.
00:22:15 Il fait moins de chemin que les autres.
00:22:16 Il a une superbe technique.
00:22:17 Il arrive à tourner court, mais du coup, est-ce que c'est pas trop court sur le bas, là ?
00:22:20 C'est peut-être trop long, normalement.
00:22:22 Pour l'instant, une demi-seconde, ça peut lui permettre de venir tutoyer.
00:22:25 Voilà, une 19'52, vous avez l'occasion.
00:22:27 Il a faut tirer un cours sur la dernière.
00:22:28 Non, il a perdu.
00:22:29 Il a perdu le temps.
00:22:30 Il a perdu le temps, à l'image d'Eschler, qui a perdu sa place sur le podium.
00:22:35 Kailin a subi également sur cette dernière portion.
00:22:38 Là, il avait une belle trajectoire.
00:22:41 Ça l'écrase aussi un petit peu ici, mais il résiste.
00:22:44 Là, il est un peu arrière.
00:22:46 Il n'arrive pas à prendre la corde sur la bosse et ça, ça lui coûte vraiment cher sur le bas.
00:22:50 On est déjà au dossard numéro 16, on l'a dit, avec des intervalles qui sont très réduits.
00:22:56 C'est que le deuxième, Autrichien ?
00:22:58 Oui, que le deuxième, effectivement.
00:23:00 Après, Henstraser, Mathéo Haas, 8e et 15e des deux entraînements.
00:23:05 Avec Autrichien, le pays du ski, on en parlait tous les deux, c'est vrai, avant la prise d'antenne.
00:23:12 Là aussi, ce n'est pas aussi criant que pour les Allemands, par exemple.
00:23:15 Il y a des gros villiers.
00:23:16 Attention, il est obligé de jeter les pieds sur le côté pour avoir la bonne direction.
00:23:20 Ça ne va pas payer, ça.
00:23:23 C'est aussi délicat pour la vitesse masculine chez les grands.
00:23:27 Ce n'est pas facile de créer cette ambiance, cette confiance dans un groupe.
00:23:32 Et de se laisser du temps, quelque part.
00:23:35 C'est aussi l'avantage que les Français ont parfois un peu tapé sur les doigts.
00:23:41 On a moins d'ensité, on est obligé de s'accompagner un peu plus longtemps, de faire confiance.
00:23:46 On l'a vu avec Nils Allègre, ça paye à 30 ans.
00:23:48 C'est pareil pour Cyprien.
00:23:50 Il faut du temps aux descendeurs pour se former.
00:23:54 Pendant ce temps-là, Mathéo As n'aura pas vécu un moment exceptionnel.
00:24:00 Je ne suis vraiment pas content de lui.
00:24:02 Je pense qu'il n'arrive pas à prendre la corde.
00:24:04 Il se fait écraser.
00:24:06 Il jette les pieds.
00:24:07 Rien ne va là.
00:24:08 Ça ne marche pas.
00:24:09 Allez, le troisième Transalpin.
00:24:12 Leonardo Rigamonti.
00:24:14 Attention, parce que lui est aussi des top 10 sur les entraînements.
00:24:18 On a vu qu'au sein de l'équipe Transalpine, ça marchait bien.
00:24:21 Pas encore de points en Coupe d'Europe pour le garçon.
00:24:24 Mais un garçon qui a été également aligné en technique.
00:24:27 Oui, beaucoup d'angles aussi.
00:24:29 Presque trop d'angles.
00:24:32 Il saute à peu près en ligne, mais il va lui en manquer des kilomètres.
00:24:37 Il va peut-être en manquer quelques kilomètres à Rigamonti.
00:24:39 Qu'on retrouvera aussi tout au long de la semaine.
00:24:42 Il a quand même limité la casse.
00:24:43 Il ne prend que 3 dixièmes sur le deuxième secteur.
00:24:45 Ça ne va pas suffire.
00:24:47 Il ne fait pas une mauvaise descente.
00:24:49 Il y a 7 dixièmes, mais les écarts ne sont pas énormes.
00:24:53 Il peut aller chercher un top 5.
00:24:55 Effectivement, il sort un peu large.
00:24:57 Il y a un peu de neige fraîche sur le bord.
00:25:00 Dans cette dernière double, il faut faire attention.
00:25:02 Entre tendre pour raccourcir la ligne, ça nous fait quand même sortir un peu large.
00:25:06 Je pense qu'il y a un peu de neige fraîche sur les bords qui est en train de se déposer.
00:25:10 Il faut faire attention, il faut rester dans le couloir de glisse.
00:25:13 On appelle ça le couloir de glisse.
00:25:14 C'est vraiment la partie où la neige est la plus dure.
00:25:17 Il ne faut pas en sortir.
00:25:19 Hunter Solani, le premier représentant des Etats-Unis d'Amérique.
00:25:26 Le garçon de veille dans le Colorado.
00:25:28 Un tout jeune de 18 ans à peine.
00:25:31 Il était déjà à 17 présents au monde de 500 hommes l'an dernier.
00:25:36 Il était 38ème en décembre, 23ème en Super G.
00:25:38 On va voir aussi d'une année sur l'autre s'il est capable de monter dans cette hiérarchie.
00:25:43 On le voit un peu hésitant.
00:25:45 Il n'a pas mis la position dans les deux triples.
00:25:47 Il n'a toujours pas remis saut arrière sur la bosse.
00:25:49 On voit vraiment que là il y a des kilomètres qui n'ont pas été faits à l'entraînement.
00:25:54 Il doit privilégier sûrement plus les épreuves de technique.
00:25:57 Garçon qui, évidemment, fourbi ses armes sur le circuit Nord-Am aussi.
00:26:01 C'est seulement sa deuxième venue sur le continent, en tout cas sur des compétitions.
00:26:06 C'était Saint-Antoine l'an dernier.
00:26:08 Ce sont les portes du soleil cette saison.
00:26:10 Mais pour l'instant il reste sur le continent Nord-Américain.
00:26:12 C'est vraiment un métier qui est dur et qui est long à apprendre.
00:26:15 Il ne va pas chercher la ligne d'arrivée.
00:26:17 Vous avez vu aussi sur ce dernier pied droit.
00:26:20 Si on arrive quand même à raccourcir un peu, la ligne d'arrivée est plus proche.
00:26:23 Là il se laisse déporter sur la droite en descendant et il fait encore du chemin en plus.
00:26:27 Techniquement ce n'est pas au point tout ça.
00:26:30 Il va falloir débriefer tout cela dès ce soir.
00:26:35 C'est vrai que ça fait deux secondes tout pile.
00:26:37 Le bornandin Emile Bohort que l'on retrouve dans le portillon lui aussi.
00:26:41 Tout jeune, 18 ans.
00:26:44 Il était présent à Valseny en Coupe d'Europe.
00:26:46 Il est entré 9-10e sur le haut.
00:26:50 A part Alban qui était passé vite.
00:26:52 Je pense qu'il avait déjà loupé la porte.
00:26:54 Les Français là-haut, il y a un petit truc qui coince.
00:26:58 Première section effectivement qui aura coûté.
00:27:00 Allez on se grandit bonhomme.
00:27:02 On se grandit sur les bosses pour pouvoir les absorber.
00:27:06 On voit qu'il a un plus petit gabarit.
00:27:08 On est bien des ski-hop là. Dans ce secteur là ça va vite.
00:27:12 Tout de suite on voit la différence au niveau des kilomètre heure.
00:27:20 Il y a 30 km/h moins vite.
00:27:22 Ça va être difficile jusqu'en bas franchement.
00:27:24 Il va certainement passer derrière l'américain.
00:27:28 C'est un grand raccourci aussi bonhomme.
00:27:30 2 secondes et demie pour Emile pour le Bornendin.
00:27:36 Lyo Baraldi pour l'instant meilleur tricolore.
00:27:39 Classé 12e.
00:27:42 On voit quelques ralentis.
00:27:48 On en profite même si ça va vite.
00:27:50 Encore une fois on l'a dit, les inters sont vraiment réduits.
00:27:54 Dominique Shackleton le britannique.
00:27:59 23e et 26e des entraînements.
00:28:02 Et lui aussi sur le haut.
00:28:04 On aimerait bien voir KMC6 ici.
00:28:06 Ce qui se passe sur la partie initiale.
00:28:08 On n'est malheureusement pas capacité.
00:28:12 Je l'ai vu à l'arco.
00:28:13 Franchement c'est deux doubles.
00:28:15 C'est vraiment une double où il faut rester patient, faire le ventre.
00:28:18 Et ensuite revenir sur un mouvement de terrain.
00:28:20 C'est exactement comme la faute qu'il vient de faire ici.
00:28:23 Si on est trop patient, on va trop loin.
00:28:25 On n'arrive pas à reprendre la corde.
00:28:26 Et si on est trop impatient, à l'inverse, on va se fermer l'angle.
00:28:30 Et du coup on est obligé d'être dur sur le mouvement de terrain.
00:28:32 Et ça nous décale aussi.
00:28:33 Donc il y a vraiment un juste milieu à trouver qui n'est vraiment pas facile.
00:28:35 Malgré les deux journées d'entraînement.
00:28:41 Aujourd'hui c'est la course.
00:28:43 On a envie d'en rajouter un peu.
00:28:45 C'est ce que les français ont fait.
00:28:48 Ils ont mal abordé ça.
00:28:50 Alors du coup c'est une course.
00:28:52 Ça arrive.
00:28:53 C'est un jeu.
00:28:55 Ils ont joué pour gagner.
00:28:57 Ils ont dû jouer.
00:28:58 Et ils n'ont pas été gagnants aujourd'hui.
00:29:00 On espère que ce sera mieux demain pour les garçons.
00:29:02 Exactement.
00:29:03 Il nous reste une flèche.
00:29:05 Ce sera Antoine Azoulin.
00:29:07 Le méjouant.
00:29:09 Allez, Mathias Wilson.
00:29:11 Dossard numéro 21.
00:29:13 L'américain.
00:29:15 Le tarif.
00:29:17 Le tarif numéro.
00:29:19 On voit un peu l'argent dans cette triple.
00:29:22 Il a beaucoup de chemin là aussi.
00:29:25 Il essaye de rester bas.
00:29:27 Mais du coup, il n'est pas dans le bon rythme.
00:29:30 Il rentre large dans les triples.
00:29:32 Et puis il revient trop vite.
00:29:34 C'est difficile pour lui.
00:29:36 Pareil.
00:29:37 Pas un énorme gabarit non plus.
00:29:39 Donc toute la partie finale, il va galérer un peu aussi.
00:29:42 On le voit.
00:29:44 Une seconde par intermédiaire.
00:29:46 La vitesse qu'il n'a pas prise sur l'eau, ça fait des petits.
00:29:49 Des écarts assez similaires sur les derniers Dossard.
00:29:54 Qui nous ont été devoirs.
00:29:57 Oui, pour coup de raccourci.
00:30:00 Le mal était fait avant.
00:30:03 2,84.
00:30:05 18ème place provisoire pour Mathias Wilson.
00:30:10 On va regarder un petit peu sur la liste de départ.
00:30:14 On a tout de suite un Suisse.
00:30:17 Ça peut jouer devant.
00:30:20 Toujours se méfier des Suisses.
00:30:22 Voilà, c'est ça.
00:30:24 Thomas Zippert.
00:30:26 Franchement, avec les glaciers qui se montrent.
00:30:29 Il faut pouvoir se préparer.
00:30:31 Encore de belles conditions d'entraînement.
00:30:35 Avec Zermatt, avec Sasse Fee.
00:30:38 Un petit peu les derniers glaciers.
00:30:41 On voit toutes les nations qui s'y déplacent.
00:30:45 Peut-être arrivera-t-on à y courir même ?
00:30:49 À la Toussaint peut-être ?
00:30:52 Ce serait bien, ça ne va pas être fatigant.
00:30:55 Apparemment, les dates sont fixées.
00:30:58 On nous a redit du côté des Suisses que ce sera à la Toussaint ou pas.
00:31:01 Avoir du beau temps à 4000 mètres au mois de novembre.
00:31:05 C'est une période...
00:31:08 On voudrait presque ouvrir une waiting periode.
00:31:11 Un petit peu à l'image du surf.
00:31:14 On veut ouvrir une fenêtre d'une semaine et courir quand on peut.
00:31:17 Mais ça, malheureusement, ce n'est pas forcément possible.
00:31:21 3'06 en tout cas, lui aussi.
00:31:24 Il vient recevoir sur la ligne d'arrivée.
00:31:27 On rappelle, c'est son compatriote, Livio Hultbrand.
00:31:30 On va garder quand même le conditionnel.
00:31:34 Conquérir ce titre de champion du monde junior.
00:31:37 Lui qui avait été déjà double médaillé la saison passée.
00:31:41 L'hiver dernier du côté de Saint-Antoine.
00:31:44 Et qui donc retrouverait, parce qu'on ne l'a pas forcément dit en préambule,
00:31:48 les mèches autrichiennes en fin de saison au mois de mars du côté de Salbar.
00:31:54 Puisque le champion du monde junior est invité au final.
00:31:57 Effectivement, c'est une super expérience.
00:32:00 Là, ils sont en train de se former sur la coupe d'Europe.
00:32:03 Et ça vous donne une chance de claquer en coupe du monde.
00:32:06 De voir comment ça se passe, de voir les grands.
00:32:08 De voir ce qui vous manque, ce qui vous reste à travailler.
00:32:11 Et puis on a vu aussi des champions du monde junior qui étaient déjà plus qu'au point.
00:32:14 Et qui arrivent à marquer des points directement à la finale.
00:32:17 Mathieu Fette l'avait fait en tant que champion du monde junior en Viermich.
00:32:20 C'est les 15 premiers qui marquent les points.
00:32:24 C'est vrai sur les finales.
00:32:26 Dans les 15, quant à les 25 meilleurs mondiaux au départ,
00:32:29 pour un junior, franchement c'est un exploit.
00:32:31 C'est un vrai exploit, effectivement, que ne réalisera pas, pour le coup,
00:32:35 Eliott Bennett, le britannique, 18ème sur la ligne d'arrivée.
00:32:40 2,81, 2 retards pour le britannique.
00:32:46 Je le rappelle, je l'ai dit en préambule,
00:32:49 ils sont 52 aujourd'hui sur cette descente, du côté des garçons.
00:32:54 Et premier sudin avec Emil Niberg.
00:32:57 Avec un bon nom.
00:32:58 Ah oui, effectivement, oui.
00:32:59 C'est la famille ?
00:33:01 On va se coller, parce qu'avec les patronymes,
00:33:05 Enrique n'est pas sûr.
00:33:06 J'aimais tellement le papa que ça ne me surprendrait pas qu'il y ait un fiston là-dessous.
00:33:10 C'est bien possible, effectivement.
00:33:12 Et qui plus est, par rapport aux derniers dossards que l'on a vus,
00:33:16 une demi-seconde, c'est presque pas si mal.
00:33:20 On était plutôt à une seconde sur les derniers dossards.
00:33:23 Il aurait mérité un petit peu plus,
00:33:26 de mettre un petit peu plus la recharge de vitesse dans ces deux tripes
00:33:28 Il a super bien skié, mais il manque un peu de...
00:33:32 Franchement, c'est 4/10ème par inter, là.
00:33:34 Il y a moyen de faire mieux en gardant le haut du corps un tout petit peu plus profilé.
00:33:40 On voit qu'il a quand même des énormes qualités sous les pieds.
00:33:42 Oui, il était aligné aussi à Tarvisio à la fin du mois de janvier,
00:33:46 il y a quelques jours, sur les descentes Coupe d'Europe, une 51.
00:33:49 Il a plutôt pas mal limité la casse.
00:33:52 Le voici aux portes du top 10, Emil Niberg.
00:33:57 Selon les informations du grand chef, Xavier Fournier-Binoz,
00:34:00 ce serait bien son fils.
00:34:01 Ah ben voilà !
00:34:03 Merci pour cette réactivité.
00:34:06 Allez Antoine, la dernière cartouche tricolore.
00:34:09 Le français de Meuzeve.
00:34:11 Exactement, Antoine Azolin, le polyvalent, médaillé de bronze en slalom,
00:34:15 l'an dernier à Saint-Antoine, 6ème du Super G.
00:34:20 Ça gratte un petit peu ici, Antoine a très très grande gabarit.
00:34:24 Il faut faire attention des fois à ne pas avoir le pied trop loin de lui sur le côté.
00:34:28 Il faut qu'il se pose dessus, pour rendre un ski très efficace.
00:34:35 On voit qu'il essaye.
00:34:37 Allez, on essaye de rentrer les coudes, attention Antoine, bien profilé,
00:34:40 on se penche vers l'avant.
00:34:42 C'est correct, pour lui c'est plus que correct.
00:34:45 Une belle vitesse avec 115 km/h.
00:34:48 Allez, range-moi ses coudes Antoine, profilé jusqu'en bas, il n'y a plus rien qui sort.
00:34:52 Peut-être le meilleur résultat pour les tricolores,
00:34:58 sur cette descente d'ouverture.
00:35:00 Une 72, une 72, juste derrière Lioé et Edgar, 13ème, 14ème et 15ème.
00:35:08 Voilà les 3 tricolores qui se suivent,
00:35:12 et qui seront donc les meilleurs représentants.
00:35:19 Il a essayé d'être agressif sur cette neige.
00:35:22 Il faut savoir que c'est une neige qui a été injectée naturellement par la pluie.
00:35:26 Ils ont fait un super boulot, ils ont brassé la neige quand il fallait,
00:35:29 ils l'ont refermée quand il fallait, ça a gelé, c'est super beau sous le pied.
00:35:32 Mais ça ressemble un peu à une neige américaine,
00:35:35 qui est quand même extrêmement agressive, il faut savoir qu'ils ont des lames sous les pieds.
00:35:39 Et si on ne trouve pas le bon dosage et le bon réglage,
00:35:42 des fois on peut se retrouver avec des skis trop agressifs et qui bougent beaucoup sous les pieds.
00:35:47 Une neige américaine pour Justin Bigatelle, peut-être justement ?
00:35:50 Justin n'est pas parti comme une fugée en gros.
00:35:55 Non, non, non, le corps de la bannière étoilée, pour l'instant ils sont un petit peu derrière les Américains.
00:36:01 Le premier d'entre eux c'est Hunter Salani, qui est 17ème.
00:36:05 Derrière nos Français, il a 3,29 malheureusement.
00:36:08 Lui va venir se classer plutôt en bas de tableau, en bas de classement.
00:36:15 Ça va faire cher. Il manque 5 km/h de seconde sur une piste comme ça.
00:36:20 Ça fait beaucoup.
00:36:22 Là effectivement j'ai peur qu'on ait pas mal d'écarts maintenant,
00:36:29 puisque évidemment, qui dit championnat du monde dit énormément de nations.
00:36:34 Nous avions, si je ne dis pas de bêtises, pas plus tard qu'hier à la cérémonie d'ouverture, 54 nations.
00:36:40 Alors bien sûr on en aura peut-être même encore plus sur la technique qui est réunie.
00:36:44 Mais voilà, on a le Hongrois Attila Banay,
00:36:49 on a les athlètes ukrainiens également qui sont présents,
00:36:53 l'athlète conco mexicain sur la fin de liste de départ, un Irlandais, un Tchèque.
00:36:58 Il faut dire aussi que maintenant c'est des dossards un peu plus élevés,
00:37:01 ça veut dire que leur niveau, leur point fise est un peu plus haut.
00:37:04 Là on voit beaucoup d'angles, attention.
00:37:07 Les points fises c'est vraiment la preuve de ton niveau.
00:37:13 Autant on avait les meilleurs du monde en junior dans les meilleurs dossards,
00:37:16 autant là c'est des mecs qui ont un peu moins d'entraînement je pense dans cette discipline, un peu moins de kilomètres.
00:37:23 - C'est pas du tout bon, c'est un peu saoulé.
00:37:27 - Ah oui, c'est certain.
00:37:28 Et encore, il limite plutôt correctement la casse, 378.
00:37:35 Vous voyez, Shackleton était derrière, Big Haddell l'américain est derrière.
00:37:39 C'est sûr que voilà, Attila n'était pas certainement là pour aller jouer les médailles, il le savait ce matin.
00:37:46 - Regardez la lance qu'il prend avec les deux jambes.
00:37:50 Elle est belle cette courbe, elle est belle, je l'adore moi.
00:37:53 Ces courbes avec un saut à la sortie.
00:37:55 - C'est magnifique, il faut bien être en direction.
00:37:57 - Il faut être à l'heure, il faut être juste, il faut être tactique.
00:38:00 C'est tout ce qu'on demande à un bon descendeur.
00:38:02 - C'est ça.
00:38:03 - Allez, on a vu que Ander Mantegi lui aussi sur le haut.
00:38:08 - Pas mal aussi.
00:38:09 - C'est pas mal.
00:38:10 - Attention, on ne va pas revenir trop vite intérieur ici, non, ça va.
00:38:12 - Oui, oui, allez, c'est bien de la part du représentant espagnol.
00:38:16 Demi-seconde, effectivement.
00:38:19 - Oui, il a sauté dans l'axe, on voit qu'il a une belle position de recharge de vitesse aussi.
00:38:23 Là, il tend les lignes.
00:38:25 - Une 26, 112 km/h.
00:38:28 - Pour son départ, c'est plutôt amoureux.
00:38:30 - C'est plutôt correct, oui, tout à fait.
00:38:32 - Lyo aussi a été, naturellement comme beaucoup à Tarvigeux sur les dernières Coupes d'Europe qui se sont déroulées.
00:38:39 Les filles cette année étaient hors-sière, on aura l'occasion d'en parler.
00:38:43 Ça alterne dans les hautes-alpes entre les garçons et les filles ces dernières années.
00:38:47 Sur la Camille Ricoultre.
00:38:48 - Qui vient se cacher derrière les Français.
00:38:50 - Oui, derrière les Français, effectivement.
00:38:52 Toujours Lyo 13e en tant que meilleur représentant français.
00:38:57 - On voit, il a envie, il essaie, il remet la recherche dès qu'il peut.
00:39:02 Il y met du cœur.
00:39:04 - On sait que du côté des Espagnols, c'est plutôt sur les épreuves là, si on parle des grands, plutôt en slalom.
00:39:11 - Avec les sites d'entraînement.
00:39:13 - Capables, bien sûr.
00:39:15 - En plus, les sites d'entraînement, si vous prenez les Pyrénées, c'est plus compliqué que le massif alpin en ce qui concerne les conditions de neige.
00:39:24 - On sait que c'est compliqué pour tout le monde.
00:39:26 - Oui, c'est compliqué pour tout le monde, effectivement.
00:39:28 - Simon Widmesser, là aussi.
00:39:31 - Gigantesque.
00:39:32 - Grand gabarit, les Allemands.
00:39:34 C'était le cas tout à l'heure pour son compatriote.
00:39:37 - Là, on ne l'a pas vu très bon.
00:39:39 Il a dû mettre une dérive au milieu de la double pour être sûr d'avoir la bonne direction.
00:39:42 Et ça lui coûte très cher.
00:39:44 - Ah oui, là, une 76.
00:39:47 Effectivement, ça ne viendra pas jouer devant.
00:39:52 - L'occasion de vous rappeler à nouveau que nous enchaînerons quasiment dans la foulée.
00:39:58 Ce sera un "not before", comme vous avez l'habitude pour les matchs de tennis.
00:40:02 Ce ne sera pas avant 11h45.
00:40:05 Les filles seront de sortie à partir de 11h45.
00:40:10 - Elles vont profiter de la même piste, juste la différence est qu'elles partent un tout petit peu plus bas.
00:40:16 - C'est ça.
00:40:17 - Ça leur fait éviter le premier saut et la première double.
00:40:20 - Si vous connaissez la piste, elles partent de l'arrivée du télécabine.
00:40:23 - On se fait pile à l'intermédiaire.
00:40:25 - Sur ce plan, vous voyez le départ des filles.
00:40:30 Kyle Blanford, allez, concours.
00:40:33 - Intermédiaire correct.
00:40:34 - Tout à fait correct.
00:40:35 - Ce qui n'est pas super propre.
00:40:36 - Ça doit commencer à bouger un petit peu sur le haut.
00:40:39 Là, il rentre bien à terre.
00:40:42 Il reste à terre.
00:40:43 Alors attention à ne pas se faire écraser maintenant.
00:40:45 Il a des lignes tendues.
00:40:47 - C'est le moins que l'on puisse dire.
00:40:50 - Allez, reste dans le tracé.
00:40:52 Mais là, en termes de kilomètre heure.
00:40:54 - Peut-être qu'en temps, il s'en sort pas mal.
00:40:56 Mais alors, en kilomètre heure, ça va être dur.
00:40:59 Le dernier est du lingard jusqu'à la ligne d'arrivée.
00:41:02 C'est long.
00:41:03 Il y a encore du chemin et ça fait des écarts.
00:41:06 - Oui, oui, c'est Blanford.
00:41:07 Autant que c'est vrai qu'il a pu limiter la case 3/10 entre le premier et le deuxième inter.
00:41:12 Là, malheureusement, 7 km/h moins vite que les plus rapides.
00:41:15 Ça va coûter cher.
00:41:17 - Il y a quelques secondes sur le dernier rappel.
00:41:19 - Ça fait beaucoup.
00:41:20 17ème rang.
00:41:21 - C'est de la tactique.
00:41:22 Il y a mis beaucoup de cœur, beaucoup d'énergie.
00:41:24 Il a essayé.
00:41:25 Et ça ne s'est pas passé.
00:41:27 Vraiment, dommage.
00:41:29 - Déjà, un podium qui est en train de se mettre en place.
00:41:33 Guiguio Hilbrandt qui vous salue bien bas.
00:41:37 Le Suisse devant les deux Transalpins.
00:41:39 Gregorio Bernadie et Max Peratonneur.
00:41:42 - On va se consoler, il y a deux marques françaises sur le podium.
00:41:45 - Oui, c'est vrai.
00:41:46 Et puis, on l'a dit, pas vraiment le surpris.
00:41:50 En Suisse, Italie, les grosses nations du ski,
00:41:54 dès les jeunes catégories d'âge sont présentes au rendez-vous.
00:41:59 Allez, l'Endurant.
00:42:00 Pérez Cornelia Guittard.
00:42:02 - Des positions un peu arrière.
00:42:04 On voit qu'il y a un manque d'engagement.
00:42:07 Pas sûr qu'il ait fait beaucoup de descentes cet été en préparation.
00:42:14 - Vraiment, il lui manque pas grand-chose.
00:42:16 Mais vraiment, s'il arrivait à basculer un petit peu,
00:42:18 à relever ses fesses et à basculer un peu vers l'avant,
00:42:20 ça lui donnerait plus d'aérodynamisme
00:42:22 et surtout un meilleur entourement dans ses ventes
00:42:24 pour être un peu plus efficace.
00:42:25 - Vous parliez d'ailleurs de préparation estivale,
00:42:28 en l'occurrence, Yannick.
00:42:30 Est-ce qu'à cette classe d'âge-là,
00:42:32 on fait déjà la grande transhumance outre-Atlantique
00:42:36 vers l'hémisphère sud, Chili et Argentine,
00:42:39 où on reste encore sur les glaciers,
00:42:42 il faut attendre encore quelques années ?
00:42:43 - Ça dépend des moyens.
00:42:44 - Ah voilà, ça dépend.
00:42:45 C'est ça, je l'ai tenté, mais oui.
00:42:46 - Je pense qu'eux, ils aimeraient bien s'entraîner en vitesse
00:42:49 sur l'hémisphère sud comme les grands peuvent le faire.
00:42:52 C'est pas le cas pour toutes les équipes.
00:42:54 Les Suisses le font, les Autrichiens le font.
00:42:56 Nous, on essaye, mais c'est pas tant...
00:42:57 - Donc, dès ces catégories d'âge,
00:42:59 par exemple, Suisses et Autrichiens font le déplacement.
00:43:02 - Par exemple, au Choya, à la Parva,
00:43:04 il y a moyen de trouver des super conditions
00:43:07 et de pouvoir entraîner des kilomètres.
00:43:09 C'est vraiment bien si on arrive à le faire.
00:43:12 Là aussi, on voit quelqu'un de très arrière.
00:43:14 - Oui, c'est le Slovene Alen Ryberzek
00:43:17 qui ne devrait pas donc succéder,
00:43:21 qui ne va pas même, on va enlever le conditionnel,
00:43:23 succéder à Aaron Cazeneau, détenteur pour encore quelques secondes
00:43:27 du titre de champion du monde junior.
00:43:29 - Un tibia très droit dans ses chaussures,
00:43:31 il actionne par le milieu du ski et l'arrière.
00:43:34 - Entre-temps, je précise que Moritz Zudrl,
00:43:38 qui était dossard normalement,
00:43:39 dossard numéro 32,
00:43:40 qui a toujours le dossard numéro 32,
00:43:41 n'a pas pris le départ.
00:43:43 Voilà pourquoi on est par là.
00:43:44 - Ça m'a échappé.
00:43:45 - Oui, écoutez, là pour le coup,
00:43:47 les Autrichiens n'auront plus non plus de cartouches
00:43:51 et donc seront bredouilles quand même.
00:43:53 Hein, Straßer et top 10.
00:43:55 - Et 7ème place.
00:43:56 - Pour la grande nation du ski qui est l'Autriche.
00:44:00 - Et oui, oui, oui, quand même.
00:44:02 On verra qu'elles auront aussi quelques cartouches.
00:44:06 Mais bon, les Suisses sont là aussi,
00:44:08 les Italiennes, enfin bon voilà,
00:44:09 on verra pour les féminines.
00:44:11 Et puis on espère évidemment du côté des tricolores,
00:44:14 notamment avec Garance Meilleur
00:44:16 qui nous a fait de très, très beaux entraînements.
00:44:18 Sacha Gilbert, le Canadien.
00:44:22 Grand segment aussi.
00:44:24 - Oui, oui, grand segment, assez fin.
00:44:26 Il va falloir faire un petit peu de muscu,
00:44:28 mais ça va venir.
00:44:29 - C'est pessy au fur et à mesure de ses années.
00:44:33 - Il est plutôt propre sur ses skis.
00:44:35 - Oui, parce qu'il est vitesse max là,
00:44:38 peut-être pour pouvoir tenir ses lignes.
00:44:40 - Il en manque un peu, mais...
00:44:41 Là, on voit un ski qui broute encore un petit peu
00:44:44 sous son pied droit.
00:44:45 Est-ce que ça va brouter du côté de l'essie ?
00:44:47 Ouais.
00:44:48 Après, c'est des détails,
00:44:50 vraiment c'est dur à voir,
00:44:51 c'est pas facile à expliquer.
00:44:53 Mais entre un ski qui est propre
00:44:55 et bien imprimé dans la neige
00:44:56 et qui glisse dans le sens de la courbe
00:44:58 et un ski qui grataille,
00:45:00 qui gratouille, je ne sais pas comment le dire,
00:45:02 mais ça fait des énormes différences
00:45:04 et c'est là où on doit travailler sur les réglages.
00:45:07 Avec le matériel, avec la confiance,
00:45:09 l'engagement qu'on doit y mettre
00:45:11 pour trouver vraiment le juste milieu entre tout ça
00:45:13 et avoir un ski le plus propre possible.
00:45:15 - Et pourtant, quand on les voit s'engager,
00:45:18 ces garçons, même avec les dos à 30, avec les 40,
00:45:21 ils ont un gros cœur, d'ores et déjà,
00:45:24 pour le commun des mortels.
00:45:26 Mais comme vous le disiez, très justement,
00:45:28 il y a ces détails qu'il va falloir acquérir
00:45:30 au fur et à mesure des années.
00:45:32 Encore une flèche suisse, Florian Voigt.
00:45:34 - C'est une bonne partie aussi.
00:45:35 - Oui, gros dossard.
00:45:37 - Attention à lui, j'allais dire dernier dossard
00:45:40 d'une grosse nation.
00:45:42 - Oui, mais là, il reste à plat ventre.
00:45:44 - Il a 20 ans.
00:45:46 - Bien large par derrière.
00:45:47 Franchement, là, il a fait du beau ski.
00:45:49 - C'est pas mal, attention !
00:45:51 - Attention, attention.
00:45:53 - Aïe, il en est filé.
00:45:55 - On l'a vu prendre, en tout cas...
00:45:58 - Il est arrivé en glissant.
00:46:00 - Il a fait pour freiner.
00:46:02 - Normalement...
00:46:04 - Il est coincé dedans, mais je pense qu'il va bien aller.
00:46:06 - Oui, on le voit déjà bouger seul, j'allais dire.
00:46:10 - Là, il arrive en pression, son ski tape,
00:46:12 et du coup, il n'arrive pas à travailler la bosse.
00:46:14 Il part en arrière.
00:46:16 Pas super bien équilibré en plus.
00:46:18 - Franchement, le ski n'a pas crougé.
00:46:21 - Il n'a pas mordu, il a juste glissé.
00:46:23 Il faut savoir que c'est filé,
00:46:25 ça fait quand même mal.
00:46:27 - Oui, c'est vrai.
00:46:29 - Il a été planté dans de la glace.
00:46:31 Mais il s'est fait freiner.
00:46:33 - Il va s'arrêter.
00:46:35 - Il devrait aller.
00:46:37 - Il va prendre le temps, évidemment.
00:46:39 - En plus, lui, je pense que c'est quand même la fin de semaine
00:46:43 qu'il attendait, parce que si je regarde ses résultats,
00:46:47 en tout cas, ses dernières sorties,
00:46:49 ne serait-ce que sur des fils,
00:46:51 c'est plutôt en slalom qu'il va chercher.
00:46:53 Il est même allé sur le circuit Noram,
00:46:55 Florian Voigt, peut-être...
00:46:57 - Peut-être aux universités, peut-être ?
00:46:59 - Il est allé faire un petit tour sur les universités américaines.
00:47:02 On sait qu'il y a pas mal de garçons qui font cela.
00:47:05 Je le vois effectivement du côté de Burke Mountain,
00:47:08 ne serait-ce qu'au début du mois de janvier,
00:47:11 en cours d'année, entre guillemets.
00:47:14 Mais plutôt sur la technique.
00:47:16 Lui, on peut imaginer qu'il attend la fin de semaine...
00:47:20 - En espérant qu'il n'ait pas trop de coups au voiture.
00:47:23 - C'est ça, oui.
00:47:25 Ce serait évidemment très dommage de voir cette semaine
00:47:28 d'ores et déjà s'arrêter pour lui.
00:47:30 Ça se passe en bas à gauche de l'écran.
00:47:33 Il semble y avoir pas trop de mal,
00:47:35 mais il va falloir quand même...
00:47:37 - On voit les équipes de l'organisation
00:47:39 qui sont déjà en train de replacer les filets.
00:47:42 Je pense qu'il est redescendu sur ses skis
00:47:44 et que tout va bien, j'espère en tout cas.
00:47:46 - On le souhaite effectivement.
00:47:48 On va en profiter d'ailleurs pour féliciter,
00:47:51 comme il se doit, tous les bénévoles
00:47:53 qui vont oeuvrer durant cette semaine de compétition
00:47:57 sur toutes ces stations des Portes du Soleil.
00:48:01 C'est un massif, c'est le massif du Chablé,
00:48:04 c'est les Portes du Soleil qui accueillent.
00:48:07 - C'est un énorme travail d'équipe.
00:48:09 Vraiment, c'est tous les skiclubs,
00:48:11 entre Morzine, Léger, Avoria,
00:48:13 la Vallée d'Abondance avec Châtel et Saint-Jean d'Eau.
00:48:16 - Saint-Jean d'Eau, exactement.
00:48:18 - Il l'avait déjà fait durant les championnats de France
00:48:21 qu'on avait fait il y a quelques années ici.
00:48:23 On avait vu une organisation au top du top,
00:48:25 c'était le club qui était présent,
00:48:27 c'est des mecs qui sont sur le terrain,
00:48:29 qui connaissent le métier.
00:48:31 Et ça apporte un plus vraiment à toute l'organisation.
00:48:33 Et en plus de ça, on rajoute des bénévoles,
00:48:35 les moniteurs de ski,
00:48:37 l'UEF Brassage de l'ESF qui est en stage à Châtel.
00:48:40 Ils en ont profité pour les faire travailler sur la piste,
00:48:42 pour les faire lisser.
00:48:44 - On joint l'utile à l'agréable,
00:48:46 en tout cas l'utile à l'utile.
00:48:48 - C'est top du top.
00:48:50 - C'est vraiment une très belle organisation
00:48:52 et vous les avez évoquées, Yannick,
00:48:54 ces stations blocs de vitesse,
00:48:56 on le dit en deux mots.
00:48:58 Aujourd'hui les descentes ici sur cette piste du Lingard.
00:49:00 On reviendra ici à Châtel demain
00:49:03 pour les deux Super G.
00:49:05 On enchaînera même tout de suite
00:49:07 avec les slaloms combinés.
00:49:10 Ce sera du côté de Morzine,
00:49:12 si je ne dis pas de bêtises,
00:49:14 sur le stade du Pléné.
00:49:16 On aura ensuite le Team Event,
00:49:18 le parallèle aux G.
00:49:20 Vous avez mieux le programme encore que moi en tête, c'est bien.
00:49:22 Et puis le bloc technique ensuite,
00:49:25 vendredi et samedi.
00:49:27 Là réparti entre Morzine,
00:49:29 Saint-Jean et Avoria
00:49:31 pour le slalom féminin.
00:49:33 - Avec un tout petit point d'interrogation.
00:49:35 - On le garde, c'est ça ?
00:49:37 Cet après-midi, décision.
00:49:39 - Les organisateurs vont retourner sur la piste à Saint-Jean d'Eau.
00:49:41 - Ouais.
00:49:43 - Pour être sûr que la sécurité est vraiment optimale.
00:49:45 Normalement ça doit être décidé aujourd'hui,
00:49:47 mais avec les gens qui travaillent sur place,
00:49:49 notamment Tony Seychaud,
00:49:51 je pense que le travail a été fait, refait,
00:49:53 et bien fait.
00:49:55 J'espère que pour tous les bénévoles
00:49:57 et toutes les forces
00:49:59 qui ont été mises en œuvre à Saint-Jean d'Eau,
00:50:01 j'espère pour eux qu'ils auront une course.
00:50:03 - On le souhaite.
00:50:05 - Et que ça se passe très bien là-bas.
00:50:07 - On souhaite tous effectivement
00:50:09 que le géant masculin,
00:50:11 ce sera évidemment la course qu'on vous proposera,
00:50:13 que ce soit sur FFS TV,
00:50:15 sur tous les canaux de diffusion
00:50:17 de ces championnats du monde junior.
00:50:19 On en est ravis.
00:50:21 Je serai accompagné après vous Yannick,
00:50:23 sur ce bloc vitesse.
00:50:25 - Du pointeur.
00:50:27 - Eh oui, c'est pris un Richard.
00:50:29 - Vainqueur d'Adèle Boden.
00:50:31 - Je ne suis pas malheureux.
00:50:33 C'est clair que cette semaine,
00:50:35 je ne suis pas malheureux.
00:50:37 Allez, ça a été ultra efficace.
00:50:39 - On ne l'a pas revu le Suisse,
00:50:41 mais j'espère que tout va bien.
00:50:43 - Je pense que ça doit aller.
00:50:45 En tout cas, l'Albanais Denis Gzepa
00:50:47 est en cours.
00:50:49 - En gabarit aussi,
00:50:51 en arrière aussi sur la bosse.
00:50:53 - Il est costaud aussi.
00:50:55 - Oui, il est effectivement costaud.
00:50:57 Quel âge a-t-il ?
00:50:59 - Il est très drangé,
00:51:01 ses coudes en position.
00:51:03 - 20 ans.
00:51:05 - Une grosse qualité.
00:51:07 - Il me dit aussi du street club de Sestrières.
00:51:09 - Le même champion que Lara Koltourine.
00:51:11 - C'est la filière.
00:51:13 On aura l'occasion de vous en parler
00:51:15 car elle est sur la Coupe du Monde.
00:51:17 On rappelle Lara Koltourine.
00:51:19 Je pense qu'elle est au Kronplatz aujourd'hui.
00:51:21 - Oui.
00:51:23 - Est-ce qu'elle va venir pour le bloc de technique
00:51:25 en fin de semaine ?
00:51:27 - Je n'ai pas l'info.
00:51:29 Mais je trouverais ça bien.
00:51:31 - Ce serait chouette.
00:51:33 - Pour les courses dans ces ports du soleil.
00:51:35 - C'est quand même une star.
00:51:37 - On ne va pas se le cacher.
00:51:39 La fille de Daniela Ceccarelli,
00:51:41 qui était déjà présente à Amérique Ligue 1
00:51:43 même si la pauvre s'était blessée
00:51:45 dès les entraînements.
00:51:47 Allez, on enchaîne.
00:51:49 - Les Chiliens.
00:51:51 - Oui, les Chiliens.
00:51:53 On en parlait justement, Manuel Horwitz.
00:51:55 Et derrière, ce sera Joachim Fuentes.
00:51:57 Donc évidemment,
00:51:59 long voyage.
00:52:01 Long déplacement.
00:52:03 On peut imaginer qu'ils en profitent
00:52:05 pour faire quelques Coupes d'Europe
00:52:07 ou des FIS à ce niveau.
00:52:09 Ce qui hors d'ailleurs de la part va.
00:52:11 C'est un chemin tout tracé.
00:52:13 Ils ont des super sites d'entraînement.
00:52:15 Alors quand c'est l'hiver chez eux,
00:52:17 les Coupes d'Europe.
00:52:19 Et après, c'est sûr qu'il faut s'exiler en Europe
00:52:21 pour pouvoir progresser,
00:52:23 se confronter au meilleur de leur année d'âge.
00:52:25 On est obligé de venir en Europe.
00:52:27 - D'ailleurs, eux, pour le coup,
00:52:31 on les voit assez jeunes.
00:52:33 On les croise souvent sur les sièges.
00:52:35 Un Zermatt très tôt,
00:52:37 on va dire,
00:52:39 Délatoussin, justement.
00:52:41 - Il a essayé de remettre la recharge de vitesse.
00:52:43 Et du coup, il rentre très inter sur cette double.
00:52:45 Et il saute un petit peu arrière.
00:52:47 Un peu désordonné sur le saut.
00:52:49 - Allez, son compatriote.
00:52:53 Donc Joachim Fuentes.
00:52:55 Allez, on a vu.
00:52:57 Pour le coup, le Chilien, 3h75 de retard.
00:52:59 Pour l'instant, il est 30ème.
00:53:01 Après 34 athlètes
00:53:03 qui ont terminé.
00:53:05 Puisqu'on rappelle, malheureusement pour nous,
00:53:07 Calban-Elezy, Canaferida.
00:53:09 Et sortie.
00:53:11 Peu d'ailleurs d'athlètes
00:53:13 hormis Florian Voigt
00:53:15 qui a terminé dans les filets.
00:53:17 On l'a vu il y a quelques minutes.
00:53:19 Et Canaf. Finalement, peu de sorties.
00:53:21 - Peu de sorties de pistes.
00:53:23 - Ce n'est pas pour nous déplaire.
00:53:25 - On est quand même mieux avec des athlètes qui font du combat
00:53:27 que des chutes à pouvoir.
00:53:29 On le voit pas très en confiance, le Chilien.
00:53:31 Je pense qu'on est plus à faire
00:53:35 avec Christian Kjærnesender.
00:53:37 Mais bon, il peut proposer des parts.
00:53:39 Il essaye.
00:53:41 Même si ce n'est pas facile.
00:53:43 - Du coup,
00:53:45 l'écart va être
00:53:47 assez important.
00:53:49 Quasiment 6 secondes.
00:53:51 On ne va pas se le cacher
00:53:53 avec les garçons que l'on va suivre.
00:53:55 Désormais,
00:53:57 les écarts vont être plus importants.
00:53:59 Vont être en tout cas de cet ordre.
00:54:01 Mais encore une fois,
00:54:03 comme on a coutume de le dire,
00:54:05 c'est aussi le charme des championnats du monde.
00:54:07 Qu'il soit junior ou senior.
00:54:09 - Il faut de la place pour tout le monde.
00:54:11 - Il faut de la place pour tout le monde.
00:54:13 - On est parti sur les films, là.
00:54:19 - Oui, c'est ça. Avec le check.
00:54:21 - Les trois ukrainiens.
00:54:23 - Oui, c'est vrai. Vous avez raison.
00:54:25 On va être ravis de saluer la présence
00:54:27 des athlètes ukrainiens.
00:54:31 - Oui, parce que ça ne doit pas être facile.
00:54:33 - Oh non, non, non.
00:54:35 Ils sont même 4.
00:54:37 4 présents sur la liste
00:54:39 de départ aujourd'hui.
00:54:41 - Bravo.
00:54:43 - Chapeau.
00:54:45 - Plus que correct, là aussi.
00:54:47 - Oui, c'est bien. 1 seconde et demie.
00:54:49 110 tout pile au niveau de la trappe de vitesse.
00:54:51 - Oui, il va filmer.
00:54:53 - Oui, c'est pas mal.
00:54:55 - Il va faire des mille-bords.
00:54:59 - Il va chercher très loin.
00:55:01 - Oui, 261 effectivement.
00:55:03 23e, bien vu.
00:55:05 Effectivement, Emile est 22e.
00:55:07 Et le check vient se placer
00:55:09 juste derrière.
00:55:11 Son compatriote s'est déjà élancé.
00:55:13 - Je pense qu'il sera content de sa course.
00:55:15 - Oui, à n'en pas douter.
00:55:17 Marek Muller.
00:55:19 Petit détail.
00:55:21 On voit le départ de Marek Muller.
00:55:23 Petit détail
00:55:25 qui n'en est pas un.
00:55:27 D'ailleurs, on vous proposera
00:55:29 les 50 premiers athlètes.
00:55:31 On ira jusqu'à Pietro Giovanni Mortellini.
00:55:33 L'Italien.
00:55:35 52 sur la liste de départ.
00:55:37 - On aurait pu faire un effort.
00:55:39 - On aurait pu.
00:55:41 Stéphane Krupa, le check.
00:55:43 Et Finley Wilson, bien sûr,
00:55:45 on vous donnera le résultat du check
00:55:47 et de l'Irlandais qui refermeront le portillon.
00:55:49 Petite chaleur.
00:55:51 - Il avait un intercorrect sur le haut.
00:55:53 Il avait fait le job en haut.
00:55:55 - Il a 10 km/h.
00:55:57 - Si on n'arrive pas à prendre la pente
00:55:59 assez tôt après ce saut.
00:56:01 - Il a des bonnes latitudes.
00:56:03 - C'est pas mal pour Marek Muller.
00:56:05 56.
00:56:07 29ème rang.
00:56:09 Je vous le rappelle,
00:56:11 en ce moment,
00:56:13 on est à 1 minute et 30 secondes.
00:56:15 - C'est un bon moment.
00:56:17 - C'est un bon moment.
00:56:19 - C'est un bon moment.
00:56:21 - C'est un bon moment.
00:56:23 - Je vous le rappelle,
00:56:25 on se retrouvera d'ici 20 minutes.
00:56:27 Il y aura peut-être
00:56:29 quelques minutes de délai.
00:56:31 Mais quoi que.
00:56:33 On a vu sur les entraînements
00:56:35 que ça se faisait très bien
00:56:37 pour le coup d'envoi des féminines.
00:56:39 Maxime Maricine.
00:56:43 Le premier.
00:56:45 Trois concurrents ukrainiens.
00:56:47 Il y en aura un quatrième.
00:56:51 - Un peu dans la difficulté.
00:56:53 On le voit pas à l'aise avec ses skis.
00:56:55 Là, ça met en travers.
00:56:57 Il a du mal à remplir toutes ses courbes.
00:56:59 Pour ces jeunes, c'est un tracé
00:57:01 extrêmement large.
00:57:03 Vraiment typé Coupe du Monde.
00:57:05 Les portes sont très espacées.
00:57:07 On a des portes à plus de 100 m.
00:57:09 80 m, 100 m.
00:57:11 Il faut les remplir.
00:57:13 Quand t'as pas l'habitude de faire ça,
00:57:15 c'est un exercice qui est vraiment pas facile.
00:57:17 - On offre peut-être plus de choix
00:57:19 sur les lignes qu'ils n'en ont.
00:57:21 - Il faut remplir les espaces.
00:57:23 - Une position un peu plus attentiste.
00:57:27 On attend que ça déroule et que ça arrive.
00:57:29 - On a vite fait de se mettre en attente.
00:57:31 Un peu passif.
00:57:33 Les skis accélèrent et on reste un peu derrière.
00:57:35 On suit nos skis.
00:57:37 Ça crée pas vraiment d'énergie.
00:57:39 C'est un ski très inefficace.
00:57:41 - 4,61 m évidemment.
00:57:43 Comme on l'a dit et redit,
00:57:45 l'essentiel est certainement ailleurs
00:57:47 pour Maxime Maricine.
00:57:49 Même si on imagine très bien
00:57:51 que le garçon a envie de performer
00:57:53 et aller jouer devant
00:57:55 comme tout compétiteur.
00:57:57 Roman Cibelenko, son compatriote.
00:57:59 Pour les conditions d'entraînement,
00:58:05 notamment pour la vitesse,
00:58:07 les besoins, les budgets
00:58:09 que cela représente.
00:58:11 Ils étaient en Italie la semaine dernière
00:58:13 sur des courses junior.
00:58:15 On l'a vu plutôt correct
00:58:17 dans les lignes.
00:58:19 Vraiment sur les 2-3 au-dessus.
00:58:21 Il propose un ski plus que correct.
00:58:23 Après il a un petit gabarit.
00:58:25 Ça manque de kilomètres.
00:58:27 Mais c'est comme ça qu'on apprend.
00:58:29 - Oui.
00:58:31 - On voit que ça bouge un peu encore.
00:58:33 Ils ont fait des déplacements
00:58:35 au Chili.
00:58:37 Au mois de septembre.
00:58:39 Ils ont fait un petit balcon
00:58:41 sur les salles sabotages.
00:58:43 - Il est au National American Cup.
00:58:45 - Oui.
00:58:47 - Ça voyage.
00:58:49 C'est ce que je me disais
00:58:51 sur le moment.
00:58:53 En voyant les courses
00:58:55 de Roman Cibelenko.
00:58:57 Même s'il va être loin.
00:58:59 4'66 de retard
00:59:01 sur la ligne d'arrivée.
00:59:03 Le trio ukrainien
00:59:09 qui se referme là.
00:59:11 Provisoire.
00:59:13 Il y en aura un 4ème.
00:59:15 Avec Mitro Tchepiouk.
00:59:17 - Une belle combinaison.
00:59:19 1000K.
00:59:21 Il n'a pas la même casse-colle.
00:59:23 - Là c'est typiquement
00:59:25 avec les moyens
00:59:27 de la fédération.
00:59:29 Je ne pense pas qu'ils aient accès
00:59:31 au top matos.
00:59:33 Et lui.
00:59:35 Il a dû trouver
00:59:37 cette combinaison.
00:59:39 - Il a peut-être
00:59:41 piqué à Tessa Worley.
00:59:43 - Oui c'est ça.
00:59:45 - Une sponsorisée.
00:59:47 - Une légérie.
00:59:49 - Et qu'on félicite.
00:59:51 - La vie change.
00:59:53 - On va en boisson.
00:59:55 - Je continue à brousser.
00:59:57 J'ai vu elle très active
00:59:59 au niveau des vidéos
01:00:01 pour sa station du Grand beau.
01:00:03 Depuis le début de la saison.
01:00:05 Allez, 39ème place.
01:00:07 5 secondes.
01:00:09 4 de retard.
01:00:11 Naturellement plutôt en bas de...
01:00:13 - Mais celle-là...
01:00:15 - Ça serait cher.
01:00:17 - Il va trop large.
01:00:19 Du coup il bascule un peu avec ses épaules.
01:00:21 Et là il se qu'il lâche.
01:00:23 Et toute la vitesse avec.
01:00:25 - Malheureusement pas de miracle.
01:00:27 Allez, attention.
01:00:29 Là on a la dénation.
01:00:31 Encore un Norvégien, un Allemand.
01:00:33 L'Italien, Pietro Giovanni Mortellini.
01:00:35 - Le concert 50, ça va être intéressant jusqu'au bout.
01:00:37 - Il est bien campé en avant.
01:00:39 On voit très direct sur l'entrée de cette triple.
01:00:41 Assez propre.
01:00:43 Attention là.
01:00:45 Je pense qu'on a un très jeune là.
01:00:49 Et qui est très polyvalent aussi.
01:00:51 - Je vais essayer de vous dire ça
01:00:53 avant de refermer.
01:00:55 18 ans, bien vu.
01:00:57 Skier derning.
01:00:59 - Pour ça il en sort.
01:01:01 - Et qui était à Valsenie, coupe d'Europe.
01:01:03 Un beau point.
01:01:05 - Un beau point.
01:01:07 - A 18 ans, il fait 30ème.
01:01:09 - Les Norvégiens, ils ne sont pas
01:01:11 très nombreux on va dire.
01:01:13 Mais ils s'en occupent très bien.
01:01:15 - Oui, vous voulez dire sur les salves de jeunes.
01:01:17 - Oui, moi.
01:01:19 - Parce que j'allais dire en technique.
01:01:21 - En technique ils sont énormes.
01:01:23 Mais ils ont eu une génération là.
01:01:25 La génération 2000 qui était incroyable.
01:01:27 Mais généralement ils n'en ont pas plus que ça.
01:01:29 Et puis ils arrivent à très bien s'en occuper.
01:01:31 Ils ont pu monter au niveau très vite.
01:01:33 Et franchement ils sont impressionnants là-dessus.
01:01:35 - Après des kilomètres, eux pour le coup.
01:01:37 - Ils peuvent en faire.
01:01:39 - Ils peuvent en faire.
01:01:41 Et puis tard dans la saison.
01:01:43 Younes Terbesh, concurrent à Moussins.
01:01:45 - À Moussins.
01:01:47 - Modégasque, oui exactement.
01:01:49 - Il n'est pas super bien parti sur l'eau.
01:01:51 On ne voit pas super allégement tout là dans ce secteur.
01:01:53 On va rentrer un peu dans l'ombre maintenant.
01:01:55 Donc il va falloir de l'engagement.
01:01:57 Allez on essaye d'aller vers l'avant dans cette triple.
01:01:59 Attention il reste très bas avec son bassin.
01:02:01 Et du coup les vibrations, il ne les absorbe pas très bien.
01:02:03 Ça va lui manquer un petit peu de vitesse là sur ce secteur.
01:02:11 - Là on est quasi à deux secondes sur chaque inter.
01:02:15 Pour pouvoir aller à Mégasque.
01:02:17 - Il essaye mais...
01:02:23 C'est pas encore tout bien fini.
01:02:27 - Il faut pas se décourager.
01:02:29 - Non.
01:02:31 - Il faut s'entraîner.
01:02:33 - On peut suivre l'aventure.
01:02:35 Mais là effectivement, ça vient de placer en avant
01:02:37 dernière position provisoire.
01:02:39 Allez salué comme il se doit par ce public
01:02:45 qui est venu tranquillement se masser là
01:02:47 aux abords de la raquette d'arrivée.
01:02:49 Et qui va pouvoir célébrer dans quelques minutes
01:02:53 le succès.
01:02:55 - C'est bien désormais.
01:02:57 On va évidemment enlever le conditionnel.
01:02:59 De Livio et le Brandt.
01:03:01 - C'est un défavori.
01:03:03 - Très clairement.
01:03:05 Pas de grosse surprise.
01:03:07 Et Max Peratonneur.
01:03:11 Allez l'allemand Lucas Kraus.
01:03:13 - Il prend des risques.
01:03:17 Il ose.
01:03:19 Mais attention c'est un peu tendu ça.
01:03:21 Mais ça se passe très bien.
01:03:23 - C'est un peu un channing gun.
01:03:25 - Allez maintenant on essaye de pas trop baisser les fesses.
01:03:27 On reste le bus bien en avant.
01:03:29 Là il sort un petit peu large.
01:03:31 - Oui exactement.
01:03:33 - Il est aussi un polyvalent.
01:03:39 On le retrouvera très certainement en géant.
01:03:41 Là il sort d'un podium justement sur une fise
01:03:43 à Oberwiesenthal.
01:03:45 Après ils seront peut-être un petit peu plus nombreux.
01:03:51 - Oui c'est ça.
01:03:53 - En Allemagne peut-être qu'il y a un peu plus de possibilités
01:03:55 sur la technique.
01:03:57 - Sur les épreuves techniques.
01:03:59 - Non non, sur la vitesse.
01:04:01 En tout cas sur les dernières années.
01:04:03 Je me souviens qu'il y avait eu des médailles.
01:04:07 Oui c'est ça.
01:04:09 C'est Nico Palamara et Louis Voigt
01:04:11 qui avaient fait médaille à Saint-Antoine
01:04:13 notamment l'an dernier.
01:04:15 - Il a pas fait de platineur.
01:04:17 Il a fait les pieds dans l'axe.
01:04:19 - Oui il a mal à la victoire.
01:04:21 Il ne laisse pas écarter les jambes.
01:04:23 Normalement on part quand même
01:04:25 avec une technique de fondeur
01:04:27 sur un départ de ski.
01:04:29 Même si c'est du ski alpin.
01:04:31 - Et encore peut-être des petites choses
01:04:33 à voir pour Artem Soldatenko.
01:04:35 - Là du coup ça va être très tendu.
01:04:37 Heureusement qu'il n'avait pas beaucoup de vitesse
01:04:39 parce que sinon là je pense que ça ne passait pas.
01:04:41 - Avec cette trajectoire.
01:04:43 - Allez il reste encore en piste
01:04:45 Soldatenko.
01:04:47 Trois-quatre hauts ça aura encore à suivre
01:04:49 à l'occasion de cette descente masculine.
01:04:51 On l'a dit.
01:04:53 On basculera ensuite
01:04:55 sur la descente féminine
01:04:57 ici à Châtel.
01:04:59 - Avec Locale.
01:05:01 Plus que Locale.
01:05:03 Une fille du ski club de Châtel
01:05:05 au départ des chemins du monde.
01:05:07 Une junior franchement c'est une chance pour elle.
01:05:09 C'est une chance pour nous.
01:05:11 Et je trouve ça génial.
01:05:13 - On va se régaler de toute façon
01:05:15 sur cette descente à n'en pas douter.
01:05:17 Allez 6'54.
01:05:21 Un peu de retard pour Artem Soldatenko.
01:05:23 - On le voit sur ce ralentir là.
01:05:25 Il fait intérieur, milieu.
01:05:27 Il ne décolle presque pas.
01:05:29 Ce n'est pas la bonne ligne.
01:05:31 - Non non non.
01:05:33 Allez 248 elle est belle cette combi
01:05:35 pleine de couleurs.
01:05:37 Et oui le Mexique
01:05:39 avec Alessandro Cantelefink.
01:05:41 - Ah.
01:05:43 - Deux lignes que j'assume.
01:05:45 - Oui.
01:05:47 - Ça fait beaucoup.
01:05:49 Il est très très positionné.
01:05:51 Mais oui là ça va être difficile.
01:05:53 - Ah là oui très clairement.
01:05:55 - Il n'a aucune vitesse.
01:05:57 Il rentre.
01:05:59 Ce n'est pas propre sur le pied.
01:06:01 Ça ne taille pas.
01:06:03 Ça va devenir difficile.
01:06:05 Je serai propre sur ce secteur.
01:06:07 Pour être sûr de ne pas sauter en arrière.
01:06:09 - Et puis essayer de rejoindre l'arrivée
01:06:11 sans dégâts.
01:06:13 - Ce qu'il va faire.
01:06:15 Mais c'est sûr qu'au niveau de la trappe de vitesse
01:06:17 ça va être criant.
01:06:19 Là on avait 5, 10 km/h.
01:06:21 Quasiment 14 km/h de retard.
01:06:23 Là malheureusement
01:06:25 c'est certainement la dernière place
01:06:27 qui se promet à Alessandro.
01:06:29 - Il continue.
01:06:31 - Oui.
01:06:33 On a tapé une huitième.
01:06:35 Donc Athlète
01:06:37 va suivre 8,26.
01:06:39 Les écarts commencent à devenir
01:06:41 assez conséquents.
01:06:43 On souhaite qu'il soit
01:06:45 moins important
01:06:47 pour l'Irlandais
01:06:49 qui va s'élancer.
01:06:51 Ethan Bouchard.
01:06:53 Il a 18 ans.
01:06:57 Il est sur des
01:07:01 fils là.
01:07:05 Il est en Bosnie
01:07:07 sur de la technique.
01:07:09 Le circuit Coupe d'Europe
01:07:11 qui retourne sur les hauteurs de Sarajevo.
01:07:13 - Normalement oui.
01:07:15 J'ai peur que les conditions
01:07:17 d'enneigement ne soient pas top top là-bas.
01:07:19 - Plus à l'est, plus il y a de monde.
01:07:21 - Je crois que ça va être chaud.
01:07:23 - Oui parce que là
01:07:25 les altitudes ne sont pas...
01:07:27 - On est vraiment au niveau de l'en bas.
01:07:29 Mais ils se proposent, ils essayent.
01:07:33 - C'est bien.
01:07:35 - Ce n'est pas facile non plus.
01:07:37 - Oui.
01:07:39 Ça demande des moyens d'accueillir.
01:07:41 Ne serait-ce qu'une épreuve
01:07:43 de Coupe d'Europe.
01:07:45 C'est un vrai investissement.
01:07:47 Bosnie-Herzégovine.
01:07:51 - Quand on skie comme ça,
01:08:01 on n'a pas confiance.
01:08:03 On a l'impression qu'on se fait bouger.
01:08:05 Le ski tape.
01:08:07 Ça nous donne encore moins confiance.
01:08:09 Et ça amplifie tout ça.
01:08:11 C'est un cercle vicieux qui n'est pas bon.
01:08:13 - Les Italiens sont deux sur la boîte.
01:08:17 Même s'il n'y a pas la médaille d'or
01:08:19 et le titre de champion du monde à la clé.
01:08:21 Ce sont de très belles courses réalisées.
01:08:23 C'est avec un Transalpin
01:08:25 qu'on va refermer ce direct.
01:08:27 En tout cas,
01:08:29 en ce qui concerne la descente masculine.
01:08:31 Pietro Giovanni Mortellini.
01:08:33 Qu'on retrouvera également
01:08:35 à n'en pas douter
01:08:37 en vitesse.
01:08:39 Il était à Meribel
01:08:41 sur les dernières épreuves nationales.
01:08:43 Française.
01:08:45 Sur le géant du ski prolo.
01:08:47 Ça me se tourne.
01:08:49 - Un départ plus que correct.
01:08:51 - Un top 10 d'ailleurs.
01:08:53 Sur le premier des six épreuves.
01:08:55 - Très intérieur.
01:08:57 Il assume.
01:08:59 C'est des lignes très tendues.
01:09:01 Limite sur le saut.
01:09:03 Il n'a pas fait de chemin là-haut.
01:09:05 - Il s'était aligné
01:09:07 sur les trainings de Santa Catarina.
01:09:09 Il n'avait pas pris part
01:09:11 ensuite aux descentes.
01:09:13 - Très belles attitudes.
01:09:15 - C'est bien.
01:09:17 - Il a confiance en lui.
01:09:19 Il essaie des choses.
01:09:21 C'est pas bien ventilé dans le long bas.
01:09:23 Mais il y a un bon potentiel.
01:09:25 - Ça va nous permettre
01:09:27 de refermer cette descente masculine
01:09:29 avec un beau run.
01:09:31 Une belle manière
01:09:33 pour lui d'entrer
01:09:35 dans sa semaine de championnat.
01:09:37 - Je pense qu'il est content.
01:09:39 Il était là pour préparer le Super G.
01:09:41 Pour ce qui est la neige,
01:09:43 la piste.
01:09:45 - Le classement final
01:09:47 de cette descente masculine.
01:09:49 - C'est un bon défi.
01:09:51 - C'est l'idéal.
01:09:53 Ilbrande vient s'imposer.
01:09:55 Champion du monde junior.
01:09:57 Invité du côté de Salbar
01:09:59 au mois de mars.
01:10:01 Champion du monde en titre
01:10:03 du Super G.
01:10:05 Il aura ce titre à défendre
01:10:07 demain.
01:10:09 Il était en bronze l'an dernier
01:10:11 à Saint-Antoine.
01:10:13 Troisième médaille mondiale.
01:10:15 Et puis les Italiens.
01:10:17 Gregorio Bernadie et Max Perratoneur
01:10:19 qui nous ont fait de belles
01:10:21 descentes.
01:10:23 - Pas tout parfait.
01:10:25 Mais ils ont mis un engagement incroyable.
01:10:27 Et ça a payé.
01:10:29 - Petite déception
01:10:31 dans le clan tricolore.
01:10:33 - On a trois reconseils
01:10:35 qui sont dans les 15.
01:10:37 C'est pas ridicule.
01:10:39 Mais je pense qu'il visait mieux que ça.
01:10:41 Il va falloir se servir
01:10:43 de cette petite frustration
01:10:45 pour faire de meilleures courses.
01:10:47 - Je suis un petit berger.
01:10:49 On va voir le fil tout de suite.
01:10:51 Mais moi je suis heureux.
01:10:53 Il n'y a aucun souci.
01:10:55 - Ça permet de se faire des copains,
01:10:57 des amis pour la vie.
01:10:59 - Découvrir notre passion.
01:11:01 - Apprendre à vivre avec les autres.
01:11:03 - On se marre, on s'amuse.
01:11:05 - C'est passé comme ça aujourd'hui.
01:11:07 - Bouger en pleine nature,
01:11:09 c'est juste magique.
01:11:11 - Il faut y aller.
01:11:13 - Bienvenue au club.
01:11:15 - Bienvenue au club.
01:11:17 - Bienvenue au club.
01:11:19 - Bienvenue au club.