L'invitée du jour - Andréa Bescond

  • il y a 8 mois
Nous recevons ce matin la danseuse, comédienne et réalisatrice, Andréa Bescond. Elle est l'une des réalisatrice de la série Nudes, qui sort ce jeudi 1er février sur Prime Video et qui traite le sujet du revenge porn. 

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Transcription
00:00 Danseuse comédienne et réalisatrice engagée, on est ravis de la recevoir aujourd'hui sur le plateau Télématin.
00:05 C'est Andrea Bescon qui est avec nous. Bonjour Andrea.
00:07 Bienvenue Andrea.
00:08 Bienvenue. La série "News" sort aujourd'hui sur Prime Vidéo.
00:11 On a beaucoup aimé à Télématin. On voudrait faire le petit marqueur approuvé par Télématin.
00:17 C'est quoi "News" en quelques mots ?
00:19 "News" c'est une saison de 10 épisodes concernant la revenge porn.
00:23 C'est en fait 3 miniséries, 3 personnages réalisés par 3 réalisatrices différentes.
00:28 Sylvie Verret qui traite le personnage de Sofia, Lucie Borleto qui traite le personnage de Hadda et moi je traite le personnage de Victor.
00:36 Le revenge porn, cette mode malheureusement consiste à tourner des vidéos intimes.
00:40 Et quand on veut se venger de quelqu'un, on les balance sur les réseaux sociaux, on les balance aux copains, on les balance à l'école.
00:44 C'est exactement ça Thomas.
00:46 C'est des vidéos qui sont intimes, que tu partages en toute confiance à la base et qui terminent parfois sur Internet.
00:53 Le problème c'est qu'évidemment on ne peut pas les récupérer, c'est très rare, ça n'arrive jamais qu'on puisse les récupérer.
00:59 Donc c'est Advitam, c'est quelque chose qui te suit toute ta vie et c'est forcément très compliqué à vivre.
01:05 C'est une série... Pardon ?
01:08 Je sais ce que tu vas dire, c'est une série d'utilité publique.
01:10 On se disait avec Victor qui prépare l'émission avec nous qu'il fallait montrer cette série dans les lycées, dans les écoles, parce que vraiment ça apprend plein de choses.
01:17 Qu'est-ce qui vous a donné envie de réaliser ces 4 épisodes sur Victor ?
01:21 Est-ce que c'est l'idée de parler aux jeunes, parler aux parents ?
01:24 Un peu les deux, mais c'est vrai que d'être dans le point de vue de la jeunesse, de travailler avec des jeunes, de créer avec des jeunes,
01:29 puisque nos trois personnages principaux sont des jeunes de 16 à 20 ans.
01:36 C'est génial de rentrer dans leur énergie.
01:40 C'est pour les jeunes, dans leur point de vue, dans leur énergie, et également pour les parents et même les adultes en règle générale.
01:48 Ça leur permet de rentrer dans leur contexte et de comprendre aussi tous les mécanismes.
01:53 Après moi, Victor, j'ai eu envie de parler de ce personnage, puisque c'est celui qui est accusé d'avoir mis sur Internet une vidéo à caractère sexuel.
02:01 Et c'est la première fois que dans une fiction, j'abordais le point de vue de l'agresseur présumé.
02:08 Parce que Victor, le personnage principal, il est jeune, il est étudiant en médecine, il est très populaire, ses amis l'aiment beaucoup.
02:14 Il est beau, il est sportif, il a tout pour lui.
02:16 Mais dans une soirée arrosée, il filme une jeune fille sans son consentement, et la suite la voilà.
02:21 Nico s'était rendu compte qu'il y avait des gens dans la chambre de sa petite sœur.
02:25 C'est tout ?
02:27 Bah non, mais je sais pas, moi, regarder des gens qui baissent dans des drapeaux, ça nous a fait marrer.
02:31 Donc on est allé voir qui c'était depuis le balcon.
02:33 Et puis c'est un peu la tradition de filmer des gens qui chopent en souris, tout le monde le fait.
02:37 Ça n'a jamais fait un drame.
02:39 Et bien c'est complètement contre la tradition.
02:45 Oui, d'accord, c'est un peu con.
02:47 Mais bon, on était dans un état.
02:50 Et c'était qui le mec ?
02:54 Je sais rien, c'était un interne, je crois.
02:57 Ça sera vraiment tapé toute la fac, celle-là, c'est fou.
02:59 Après la droite, tu vois, chacun son kiff.
03:01 Mais Victor, m'as-tu jeté, oui ?
03:03 Et ils ont convoqué que toi ?
03:06 Oui.
03:07 Pourquoi ?
03:08 Parce que la vidéo a été postée.
03:10 Et alors ?
03:11 Elle a été postée depuis mon téléphone.
03:15 Attends, t'as pas fait ça, Victor ?
03:17 Mais non.
03:18 Ça va pas ou quoi ?
03:20 Oh, j'ai pas fait ça.
03:22 C'est eux, ils ont pris mon téléphone, ils ont mis ça en story.
03:24 Alors vous l'avez dit, c'est la première fois que vous vous mettez dans la peau de celui qui est accusé.
03:30 Comment vous avez fait pour justement penser à sa place, vous mettre dans ce personnage-là ?
03:34 Ça fait longtemps que je parle des violences sexuelles et des violences en règle générale.
03:40 J'avais envie de montrer que les personnes qui sont accusées ne sont pas des espèces de mythes, de monstres, etc.
03:49 Ce sont juste des personnes qui sont "normales", c'est-à-dire qu'il y a un mécanisme autour des violences
03:57 qu'il faut affronter aujourd'hui, il me semble,
03:59 et montrer que ça pouvait être quelqu'un de ton entourage, que tu aimes énormément.
04:05 Et c'est pas quelque chose de surnaturel.
04:09 En fait, il n'a rien d'un monstre quand on le voit comme ça.
04:11 Non, justement.
04:12 Il n'a rien d'un monstre quand on le voit comme ça, de prime abord.
04:14 On le trouve même plutôt sympa, on le trouve très normal.
04:16 Mais jamais à faire.
04:17 C'est pour ça que vous le filmez en faisant du sport, parce que vous les filmez toujours en faisant du sport.
04:20 Et ça, c'est assez exceptionnel, parce que c'est assez rare de montrer des "monstres", puisqu'il n'est pas vraiment, mais au sport.
04:26 Oui, mais après, c'est mon style de réal aussi, j'adore le mouvement,
04:30 donc c'est quelque chose que j'intègre constamment dans mon travail, le sport, la danse, le chisier.
04:34 Ça permet de ne pas voir qu'il est justement ce monstre potentiel ?
04:37 Ça permet surtout de déceler une profondeur psychologique qui va au-delà des mots.
04:43 Une attitude comme ça, lui, il cherche la perfection, il est toujours numéro un, il refuse l'échec quand même.
04:50 Voilà, le montrer par le sport comme ça, forcément, ça parle autant que les mots, j'adore.
04:56 Et puis, il est sportif, il est beau, il est intelligent, parce qu'il est très fort en cours,
05:01 donc ça montre effectivement que ça peut être n'importe qui.
05:04 N'importe qui.
05:05 Exactement.
05:06 Quel est le truc le plus stupide que vous ayez fait, vous, pour ne pas être un garçon dans la vie ?
05:10 Wow, j'en ai fait un paquet de trucs stupides en amour,
05:15 mais peut-être de rester dans une relation en étant sûre que ça allait s'arranger.
05:20 Vous aviez l'idée ?
05:21 Oui, je me disais "on va y arriver, on va y arriver", puis j'ai perdu beaucoup de temps.
05:25 Il paraît, Jeanne, que vous faisiez du spiritisme, que vous avez même pu parler avec Kurt Cobain.
05:31 Alors, j'étais peut-être sous emprise de pas, je sais pas.
05:37 Oui, on a fait ça, on a fait du spiritisme, mais je recommencerais pas.
05:42 Pourquoi ?
05:43 C'est assez étrange, je sais pas, il s'est passé des choses bizarres,
05:48 je sais pas si nos cerveaux d'humains nous amènent à voir des choses, j'en sais rien, mais en tout cas...
05:53 Vous vous êtes perturbée ?
05:54 Ça m'a vachement perturbée, ouais. Je recommencerais pas ça.
05:57 Bon, Andrea Bescon, vous êtes connue aussi parce que vous n'avez pas votre langue dans votre poche.
06:01 On va donc faire avec vous une interview, les 4 V, les 4 vérités d'Andrea Bescon, tout de suite.
06:06 Bonjour, bienvenue dans les 4 V, Andrea Bescon.
06:10 Bonjour Thomas Sautoyen.
06:11 Si vous aviez la possibilité de dire ces 4 vérités à Gérard Depardieu, vous lui diriez quoi ?
06:15 Ah, je lui dirais qu'il a vraiment abusé de sa position pour obtenir ce qu'il voulait.
06:22 Je lui dirais qu'il a abusé aussi de son influence sur le cinéma
06:28 et comment le cinéma l'a laissé opérer de cette manière,
06:32 et qu'il a profité de cette complaisance et de cette complicité passive.
06:37 Je lui dirais qu'il n'avait pas le droit de faire ce qu'il a fait à Charlotte Arnoux,
06:42 qui était une... il a connu "Petite fille", et il sait très bien ce qu'il lui a fait.
06:48 Elle était dans une situation de vulnérabilité extrême.
06:52 Et je lui dirais qu'on ne fait pas ça, en règle générale,
06:56 et surtout quand la victime... on ne parle pas de consentement quand la victime a 40 ans de moins, en fait.
07:02 Si vous aviez la possibilité de dire ces 4 vérités à Rudolf Nouriev, vous diriez quoi ?
07:06 Ah !
07:07 Je dis quoi ?
07:08 Nouriev ?
07:09 Ah, Nouriev.
07:10 Je lui dirais qu'il a eu certainement raison de fuir, comme il a fui le Bolchoï,
07:17 et de pouvoir vivre sa vie à Paris.
07:20 Je lui dirais qu'il a eu raison de profiter de son orientation sexuelle et amoureuse,
07:25 et de pouvoir vivre comme il l'a fait.
07:27 Je n'ai pas de choses très, très négatives à dire sur lui, en vérité.
07:31 C'est pas toujours négatif, les 4 vérétés.
07:33 Non, c'est plutôt positif, même.
07:35 Je le remercie de nous avoir fait rêver, puisque pour moi, c'est vraiment le danseur le plus organique.
07:41 Et puis il y a eu Mikhail Baryshnikov derrière,
07:44 donc merci pour l'influence qu'il a portée sur la danse, dans le côté viscéral.
07:48 Vous avez un spectacle, qui s'appelle "Les chatouilles",
07:50 dans lequel vous racontez votre histoire personnelle de petite fille abusée,
07:54 spectacle que vous reprenez d'ailleurs au théâtre de l'Atelier de Paris du 11 avril au 1er juin.
07:58 Est-ce que c'est un spectacle qui a été votre meilleure thérapie ?
08:01 Oui, c'est un spectacle qui a bouleversé ma vie.
08:04 Concrètement, ça a bouleversé ma vie.
08:06 Là où je suis aujourd'hui, ça m'a amenée à réaliser "Nudes".
08:10 S'il n'y avait pas eu "Les chatouilles", je ne faisais pas tout ça derrière.
08:13 Donc oui, ça a bouleversé ma vie.
08:16 Surtout, ça m'a fait prendre conscience du fléau des violences,
08:19 à quel point énormément de personnes étaient touchées par la pédocriminalité et l'inceste.
08:23 Et je suis très heureuse de le reprendre.
08:26 C'est un peu exceptionnel.
08:27 Je ne pense pas que je le reprendrai longtemps, puisque je compte faire des films.
08:30 Mais je suis très heureuse de remonter sur scène, me reconnecter avec le public.
08:34 C'est une performance incroyable.
08:36 On m'a forcé à aller le voir.
08:38 J'avais un petit réticence.
08:40 C'est un thème qui est trop dur.
08:41 Je crois que je n'ai jamais été scotché comme ça, à l'époque au Théâtre Antoine.
08:44 Renvons au 4V.
08:46 Si vous aviez la possibilité, rapidement, de dire ces 4V à Andrea Bescon.
08:50 Ah, wow !
08:51 Alors, je dirais "Avance, continue d'avancer avec humilité, avec rigueur, avec travail, avec énergie.
09:01 Sors des emprises, ça va bien se passer, tu es sur la bonne voie".
09:08 Arrête de t'énerver un peu.
09:10 Quoi ?
09:11 Arrête de t'énerver un peu, ou pas ?
09:12 Non, je ne m'énerve plus, Thomas.
09:14 Ah ouais ?
09:15 Oui, justement.
09:16 Vous vous battez, quand même.
09:17 Non, je me bats, mais je ne m'énerve plus.
09:18 Ça ne sert à rien, c'est contre-productif.
09:20 Et surtout, j'ai envie d'être heureuse.
09:21 Non, accroche-toi, tu es sur la bonne voie.
09:25 Justement, j'essaie de profiter au maximum des moments les plus simples de la vie.
09:30 Mes enfants, mes amis.
09:32 J'en ai de moins en moins.
09:33 Je resserre, justement.
09:34 Je resserre, je resserre les choses.
09:36 Et je suis heureuse de ça.
09:38 Vous ne lâchez rien, quand même.
09:40 Vous continuez dans votre combat.
09:42 C'est une mission de vie.
09:43 Je me réveille tous les matins en me disant "Tiens, alors là, aujourd'hui, tu vas écrire ça".
09:48 Sur mon Instagram, je fais les posts noirs qui parlent du système des violences.
09:53 Et je vois que les gens m'arrêtent dans la rue pour me remercier.
09:57 Donc je me dis "Vas-y, fonce".
10:00 Au-delà du fait de...
10:02 Malheureusement, on ne peut pas changer ce monde aujourd'hui.
10:07 On peut contribuer à aider les gens.
10:09 Le colibri, la petite goutte.
10:10 Oui, c'est ça, je fais ma part.
10:12 Par contre, vous vous trouvez, vous vous réveillez le matin, vous regardez Télé Matin, et ensuite vous faites vos trucs.
10:16 Andrea, votre premier métier, c'est la danse.
10:18 Pas de danse sans musique.
10:19 Et pas de musique sans Alex Jaffray.
10:21 Ta-da !
10:23 J'attends ça !
10:25 Petite interruption, c'est des sons de musique de votre vie.
10:29 On peut commencer par celle-là, puis ensuite on va par là.
10:31 Allez, c'est parti.
10:32 Alors, Dr Jaffray, ça part tout de suite.
10:37 Ça a été le grand choc, la grande découverte.
10:39 Est-ce que c'est lié aux États-Unis ou pas du tout ?
10:41 Non, non, non.
10:42 Même pas, même pas. C'est juste culte, en fait.
10:45 Driss, tu aimes le hip-hop, tu ne peux pas passer à côté de Driss, nous, Péminem.
10:49 Ce sont des gens que j'aime.
10:51 Le mastodonte dans la carrière dans le rap a été plus court, mais...
10:54 C'est pas à l'étant de venir.
10:56 Pardon, pardon de m'en parler.
10:57 Vive le flou.
10:59 Le suivant, le suivant, le bleu.
11:02 Le bleu, le bleu.
11:06 Alors...
11:07 C'est qui ? Tamino ?
11:09 Tamino que j'ai vu au Trianon l'année dernière.
11:13 Au Trianon, c'est ça.
11:15 J'ai été bouleversée par sa sensibilité.
11:18 Vraiment, il est très jeune.
11:21 Il est très jeune.
11:22 Il est très grand.
11:23 Et surtout très jeune.
11:24 Tu dis, waouh, 20 ans, pouvoir sortir ça.
11:27 Quelle présence, quelle poésie.
11:30 Allez.
11:31 Rabi Jacob.
11:35 C'est pour ce cadeau ?
11:36 Bah oui, c'est aussi...
11:38 C'est un spectacle qui a changé ma vie.
11:40 Parce que j'ai rencontré le père de mes enfants sur Rabi Jacob.
11:43 Donc...
11:44 Vous dansiez donc sur des comédies musicales ?
11:46 Bah oui, je dansais sur des comédies musicales.
11:48 C'est grâce à que là, vous êtes capable de nous faire la danse de Rabi Jacob ici tout de suite.
11:51 Ouais, il y a un truc comme ça.
11:53 On n'oublie pas.
11:54 C'est 50% de la danse, il n'y a pas de genre bien.
11:56 Non, non, ça va, je ne vais pas me lever le maître au centre.
11:58 Sinon, je vais partir en break.
12:00 Mais oui, oui, c'est...
12:03 Il y a eu une grande aventure d'équipe en fait.
12:06 C'était très très joli, même si c'était un échec total.
12:09 Qui s'y s'écoutait, c'est comme ça.
12:11 Vous avez rencontré votre mari, ce n'est pas un échec.
12:14 Oui, mon ex-mari, le père de mes enfants.
12:16 Mais oui, oui, c'était en tout cas une grande aventure.
12:19 Mais il faut que cette musique devienne de bon poil.
12:21 On peut l'écouter pendant...
12:22 Et ouais, on va l'écouter demain.
12:24 Une dernière ?
12:25 Allez, oui.
12:27 Ah, j'ai pas...
12:28 Berry, voilà.
12:29 Générique de fin, déjà dit.
12:31 Oui, Berry, coup de cœur.
12:33 Coup de cœur parce que c'est ça, n'ayez pas peur du bonheur, il n'existe pas.
12:37 Il est juste là, il est tout le temps là.
12:39 Il est tout le temps là, le bonheur.
12:40 En fait, ce n'est pas une idée, ce n'est pas un concept, le bonheur.
12:43 On court après comme s'il fallait toujours mieux.
12:46 Mais non, le bonheur, il est là, discuter avec l'équipe
12:50 avant d'arriver sur le plateau, être là avec vous.
12:53 Réveiller mes enfants ce matin pour qu'ils aillent au collège.
12:56 Malgré la grève, on verra, leur filer la clé.
12:59 Dire "bon, allez, vous êtes grands, maintenant vous êtes autonomes, vous rentrez à la maison".
13:02 Le bonheur, il est partout dans les choses les plus simples de la vie
13:05 et c'est ça que je m'accroche moi aujourd'hui.
13:07 Merci beaucoup, Andrea Brescon.
13:09 Brescon, Andrea Brescon.
13:11 Vous dansez dans la série, je vous ai vu, je vous ai reconnu.
13:14 Ah, vous m'avez recueillie, c'est mon petit caméo.
13:16 Exactement, il y a un petit caméo d'Andrea Brescon qui danse.
13:19 La série Nudes se retrouve aujourd'hui sur la plateforme Prime Vidéo.
13:21 Et c'est la grève, donc mettez vos ados devant la télé.
13:25 Vraiment, vos ados, vos garçons, vos filles, tout le monde.
13:27 Et ne ratez pas non plus les chatouilles de retour au théâtre de l'Atelier.
13:30 Ça reprend le 11 avril, il n'y en aura pas jusqu'à la fin des temps,
13:33 donc cette fois-ci il faut y aller.
13:34 C'est la dernière chance de voir Andrea dans ce spectacle.
13:36 Merci beaucoup à vous.

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