Retrouvez ce mardi 6 février notre entretien avec le président de Région Ary Chalus.
Nous avons échangé avec lui sur le tourisme, son avenir politique, le Macte et d'autres sujets.
Nous avons échangé avec lui sur le tourisme, son avenir politique, le Macte et d'autres sujets.
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00:00 Pour la formation personnelle, c'est comme chaque année, je crois que c'est une bonne
00:10 mémoire, c'est 24 millions je crois, pour une formation.
00:15 Nous avons des conventions signées avec le Pôle emploi qui aussi fait des formations
00:23 en fonction des besoins des entreprises de la région et aussi l'armée, le RSMA, je
00:30 crois, pour un nombre de formations pour les jeunes.
00:35 Donc à ce niveau là, nous avons une réunion avec le préfet la semaine dernière où nous
00:42 avons fait un état un peu des formations que nous avons mises en place pour les jeunes
00:48 guanobéens et nous avons vraiment un très bon retour de la part du Pôle emploi, de
00:56 l'état, de Guanobe Formations et aussi des entreprises de formation que nous finançons.
01:00 Nous avons trouvé un déficit énorme quand nous sommes arrivés en 2015.
01:07 Ça nous a pris du temps pour pouvoir effectivement éprouver ce déficit, ce qui nous a mis en
01:11 difficulté avec beaucoup d'entreprises, mais en nous essayant plus le déficit, il
01:16 faut le dire, nous avons eu des entreprises qu'on n'avait pas basculé, c'était
01:23 le CRFP à l'époque et ces entreprises avaient des marchés sous le CRFP.
01:28 Quand on a balancé sur Guanobe Formations, ces entreprises n'ont pas été transférées.
01:32 Donc tout ça, il fallait les payer.
01:34 Donc ça nous a pris du temps, mais aujourd'hui il faut le dire que ça va mieux, les choses
01:38 se sont calmées, la région a fait un effort considérable.
01:40 Nous avons perdu beaucoup, effectivement a perdu, mais les dossiers à faire seul
01:47 n'ont pas été montés pour pouvoir accompagner Guanobe Formations, c'est ce qui se fait
01:51 aujourd'hui et je crois qu'au moment où je vous parle, nous sommes peut-être à
01:57 moins d'un million à pouvoir éponger pour que Guanobe Formations puisse retrouver sa
02:03 vitesse de loisir.
02:04 Les fonds sont en partie d'apparatus, c'est sûr.
02:07 Les fonds européens, il y en a plusieurs.
02:10 Les fonds sont répartis en fonction des dossiers qui arrivent, en fonction des demandes des
02:15 entreprises.
02:16 C'est autour en globalité de milliards de fonds européens que nous distribuons.
02:23 2024, c'est le programme 2021-2027.
02:31 On vient de boucler 2014-2021 et là nous sommes sur 2021-2027.
02:37 Donc les dossiers commencent à venir, notamment de gros dossiers, notamment pour l'aéroport,
02:44 la modernisation du Terminal 2.
02:48 Nous avons financé la réfection de la piste d'atterrissage à hauteur de 20 millions,
02:58 je crois.
02:59 Nous avons aussi le grand projet sur le hub du port que nous avons à financer.
03:06 Des chantiers comme la faculté de médecine de plein exercice.
03:15 La nouille aussi, la nouille, le nouveau programme de rénovation urbaine de Cap Excellence à
03:25 hauteur de 20 millions sur 10 ans.
03:27 Je parle des gros chantiers à la fin de finançement.
03:31 Et d'autres projets sur des écoles, sur des déchetteries, des demandes d'investissement
03:37 des communes, des entreprises même aussi.
03:40 J'entends certains dire que des fonds repartent.
03:44 Depuis que nous sommes là, nous n'avons jamais eu de dégagement en France européenne.
03:49 Parce que les entreprises se consomment bien, la région suit bien cela, suit bien les dossiers.
03:56 Certains pensent à un certain moment que c'est à cause de la région que les fonds
04:03 repartent.
04:04 Non, la région est autorité de gestion de ces fonds européens.
04:07 Nous finançons en fonction des projets et les entreprises ont eu le délai de pouvoir
04:12 justifier l'utilisation de ces fonds.
04:15 Et c'est en fonction de cela que nous pouvons effectivement financer et justifier à l'Europe
04:22 que les fonds ont bien été utilisés.
04:24 Et aujourd'hui, j'indique que nous avons bien utilisé les fonds européens du dernier
04:28 pogode.
04:29 Nous avons une petite île de 385 000 habitants.
04:35 Nous ne sommes pas un pays, je le rappelle.
04:37 Nous sommes régi par les lois françaises et européennes.
04:40 Nous n'avons pas de chantier naval, nous n'avons pas de constructeur de voitures.
04:47 Si nous pouvons créer de l'emploi et de la richesse aujourd'hui sur notre territoire,
04:52 c'est surtout par le tourisme qui alimente la pêche, qui alimente les restaurants, les
04:57 hôtels, qui permettent aux patrons de pouvoir recruter les jeunes, créer de l'emploi et
05:02 de la richesse.
05:03 Donc c'est ce que nous voulons, intensifier ce tourisme.
05:06 Les taxis mains de travail, les transporteurs au travail.
05:11 Et rappelez-vous, en 2019, nous avons eu une croissance de plus de 6%.
05:15 Le Covid l'a arrêté, mais nous repartons de plus belle actuellement et nous faisons
05:22 aujourd'hui partie des destinations les plus prisées aujourd'hui en matière touristique.
05:26 Comment dire, ce sont les aléas de la vie.
05:32 Actuellement, nous accompagnons le SMG AG de manière à pouvoir rapidement faire des
05:40 travaux.
05:41 Ce qui s'est passé, c'est que des travaux ont été lancés.
05:44 Il semblerait qu'il y a eu un manque de communication pour ces gros personnes qu'il fallait faire
05:51 une pointe d'exposition pendant un certain temps.
05:54 Et que les travaux qui sont entamés, c'est pour améliorer sérieusement la situation.
06:01 Je sais que ce n'est pas facile pour ces personnes, mais nous nous appelons avec le
06:06 SMG AG parce que la région n'est pas compétente en matière de mai.
06:11 Nous faisons partie du conseil d'administration pour pouvoir soutenir ces structures et mettre
06:17 les moyens pour pouvoir réparer les réseaux.
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