• il y a 9 mois
Procédure judiciaire contre les Forces armées canadiennes. Conférence vidéo avec Serge Faucher (major à la retraite), Stéphane Clouatre (lieutenant-colonel), Patrice Noreau (caporal-chef), Carole-Anne Marchand (matelot de 1re classe), Claude Laferrière (avocat, ancien militaire canadien et double médaillé du gouverneur général du Canada), Éric C. Busque (alias Dystoman), Dr Stéphane Gayet (infectiologue hygiéniste, praticien hospitalier) et Guy Boulianne. Samedi le 10 février 2024 à 11H (Montréal) — 17H (Paris) : https://bit.ly/FACpoursuite.
Transcription
00:00:00 [Musique]
00:00:03 [Musique]
00:00:06 [Musique]
00:00:12 [Musique]
00:00:18 [Musique]
00:00:24 [Musique]
00:00:30 [Musique]
00:00:33 [Musique]
00:00:39 [Musique]
00:00:45 [Musique]
00:00:51 [Musique]
00:00:57 [Musique]
00:01:00 Bonjour, Mesdames et Messieurs, mon nom est Guy Boullion. Je vous souhaite la
00:01:05 bienvenue à cette conférence vidéo en ce samedi le 10 février 2024.
00:01:12 Aujourd'hui, nous parlerons d'une importante poursuite judiciaire de 708
00:01:17 millions de dollars contre les forces armées canadiennes par au moins 458
00:01:23 membres ou d'anciens membres des forces armées canadiennes, c'est-à-dire les FAC.
00:01:29 Pour cela, je reçois des invités de marque, c'est-à-dire Serge Fauché,
00:01:35 major à la retraite au sein des FAC, Stéphane Cloître, qui est lieutenant-colonel
00:01:41 dans les FAC, Patrice Noreau, caporal-chef dans les FAC,
00:01:46 lorsqu'on dit les FAC, ça veut dire les forces canadiennes de l'armée,
00:01:52 on reçoit aussi Carole-Anne Marchand-Mateleau de première classe dans les FAC,
00:01:58 Claude Léferrière qui est avocat, ancien militaire canadien et double médaillé du
00:02:04 gouverneur général du Canada, Éric Busque, fondateur et animateur du podcast
00:02:10 Distoman, ainsi que le docteur Stéphane Gayet, infectiologue, hygiéniste,
00:02:16 praticien hospitalier, qui nous parlera directement de la France.
00:02:23 C'est le major à la retraite de Serge Fauché qui m'informa de cette importante
00:02:27 procédure judiciaire il y a quelques semaines.
00:02:30 Le major Fauché est l'un des 458 anciens combattants lésés des forces armées
00:02:36 canadiennes à avoir subi des préjudices en raison des politiques des FAC en
00:02:42 matière de vaccination contre la COVID. La poursuite allègue que les droits
00:02:48 garantis par la Charte ont été violés de manière malveillante et illégale
00:02:54 pendant que les FAC cherchaient à vacciner 100% de leurs membres.
00:03:00 Les accusés dans le procès comprennent le chef d'état-major de la Défense Wayne
00:03:06 Ayer, le ministre de la Défense Anita Anand, le vice-chef d'état-major de la
00:03:14 Défense lieutenant général France Allen, le médecin général-major général JGM
00:03:21 Bilodeau et la juge-avocat général contre-amiral Geneviève Bernadje.
00:03:29 L'action en justice vise à obtenir un million de dollars de dommages et
00:03:34 intérêts pour chaque plaignant et à reconnaître que les FAC ont
00:03:40 violé leurs droits garantis par la Charte. Selon le majeur Faucher, les
00:03:46 dépositions devant caméra devraient débuter dans quelques semaines ou mois.
00:03:51 Donc pour débuter cette conférence, je donnerai la parole à Serge Faucher,
00:03:56 major à la retraite au sein des Forces armées canadiennes. Donc bonjour Serge.
00:04:05 Bon matin Guy, merci de nous avoir sur ton show pour bien sûr que l'audience
00:04:12 québécoise puisse nous entendre. Ça a été très difficile, écoute, notre poursuite
00:04:17 contre le gouvernement, contre la couronne est peut-être une des poursuites les plus
00:04:21 importantes dans l'histoire canadienne et les gros médias ne veulent pas nous
00:04:27 toucher avec même une peau de douze pieds. Honnêtement, notre avocate l'année
00:04:32 passée a eu un gros 11 secondes sur je pense c'était avec CTV ou Global, je me
00:04:39 souviens pas exactement. Bien sûr, ils ont essayé de faire dire que c'était des
00:04:43 conspirations et tout ça, les lignes standards des gros médias.
00:04:49 Fait que une des stratégies qu'on a fait depuis ce temps-là, c'est d'essayer de
00:04:54 contacter le plus de podcasters possible au Canada anglais, en Angleterre,
00:05:02 même jusqu'en Australie et là on débute au Québec. C'est très difficile d'essayer
00:05:09 de rendre un contact avec beaucoup de gens et puis je suis bien heureux d'être sur le
00:05:14 podcast aujourd'hui avec toi. Peut-être Serge, peut-être dans un premier temps pour les
00:05:21 personnes qui nous qui te connaissent moins ou pas, peut-être te présenter
00:05:25 brièvement quel rôle tu joues au sein des facs et aussi comment justement
00:05:30 cette vaccination-là force t'a atteint toi personnellement et ensuite on
00:05:36 pourra commencer à parler de la poursuite. Ok, c'est bien. J'ai passé presque 40 ans
00:05:44 dans les forces canadiennes. C'était un travail que j'ai absolument adoré.
00:05:48 Les forces, les forces, j'en mangeais comme on dit. J'ai fait 23 ans dans les rangs.
00:05:54 J'ai eu une commission à partir du rang de sergent et je suis devenu officier
00:05:59 ingénieur au spatial et j'ai passé le prochain 17 ans après ça comme officier.
00:06:06 Maintenant, dans les 40 ans de service que je fais, j'ai fait 34 ans dans les forces
00:06:10 régulières et un autre, le restant, un autre 6 ans dans les forces de la réserve.
00:06:18 J'ai fait deux, je suis allé à la première guerre du golfe. Je suis allé en
00:06:23 Afghanistan. J'ai travaillé sur les F-18. J'ai travaillé sur les Dash 8 à Winnipeg.
00:06:30 J'ai travaillé sur les Tutors, les fameux Snowbirds. J'ai passé 11 ans à
00:06:35 enseigner dans les écoles. J'ai même enseigné comme quand j'étais,
00:06:39 comme on dit, drill sergeant. J'ai enseigné à Saint-Jean, j'ai enseigné à Kingston,
00:06:43 les jeunes officiers. J'ai eu une carrière très, très variée et très agréable,
00:06:50 plus ou moins. Ça a été, ça a été une belle chose. Jusqu'à ce que la COVID arrive en 2020.
00:06:59 Avec ça, j'étais pas trop, ça me dérangeait pas trop parce que je suis un gars en super santé.
00:07:07 Je suis un très bon athlète et tout ça. Puis je mange bien, je prends mes vitamines, etc.
00:07:12 Avec tout ça, l'année a déboulé. Et puis, au début de l'année 2021,
00:07:21 je me suis fait appeler par ma gérante de carrière. Elle a dit, veux-tu aller sur un
00:07:27 cours de leadership d'un an? C'était pour une promotion à lieutenant-colonel.
00:07:30 Finalement, j'ai dit, OK, vu que je travaillais déjà de la maison,
00:07:34 je vais le faire. Et là, maintenant, il y avait beaucoup de pourparlers à propos du
00:07:39 vaccin qui s'en venait et tout ça. Dans ma tête, je me suis dit, il n'y a absolument aucune chance
00:07:46 que les forces vont pousser le vaccin sur nous autres de force parce qu'ils vont perdre
00:07:51 ben trop de monde. Je commence mon cours de leadership à l'automne parce qu'un précourse
00:07:57 l'été, après ça à l'automne, au mois de septembre. Le 8 d'octobre, la première directive
00:08:03 du chef d'état-major sort. Si vous ne prenez pas le vaccin, vous allez aller en congé sans solde et
00:08:12 il va y avoir des répercussions, etc. Moi, quand j'ai vu ça, j'avais déjà,
00:08:18 comme on dit, j'avais déjà ma pension de 34 ans. J'étais en réserve, qui était comme un deuxième
00:08:24 travail, si on veut. J'ai dit non, je m'excuse, je suis complètement contre ça. J'étais vraiment
00:08:33 contre ça. En plus, je savais dans le temps que le vaccin était encore expérimental,
00:08:39 les essais sur les humains allaient durer jusqu'à la fin 2022, 2023. J'ai dit, on va attendre.
00:08:46 J'ai décidé de mettre ma release en français. S'il vous plaît, les autres, aidez-moi parce que
00:08:55 ça fait quand même 42 ans que je suis parti du Québec. Parfois, je cherche les bons mots.
00:08:58 Libération.
00:08:59 Libération. J'ai mis ma libération. Le travail voulait me garder pour 6 mois. J'ai dit non,
00:09:08 30 jours, je m'en vais. Bonsoir, la maison. Pendant que je faisais ma libération,
00:09:15 la deuxième directive a sorti. Magiquement, comme par magie, le congé sans solde disparaît.
00:09:24 Je n'ai même pas le droit de faire. Mais non, ça c'est une autre conversation. Et là, vous allez
00:09:29 être mis sur des mesures administratives et vous allez être, on va vous libérer sous une 5F. Il y
00:09:37 a différents numéros que tu peux avoir une libération, libération médicale, libération
00:09:43 volontaire, 4C, il y a plein. 5F dans le passé, c'était une libération bien mal vue, qui était
00:09:50 déshonorable dans le temps. Ce n'est plus déshonorable maintenant, mais ça a quand même
00:09:53 une connotation négative. Et quand tu te fais libérer 5F, tu n'as plus le droit de t'employer
00:10:00 dans aucun travail pour travailler pour le gouvernement. Ça fait que c'est une punition,
00:10:05 en gros. C'est une grosse marque noire sur quelqu'un qui a eu une belle carrière.
00:10:10 C'est ça.
00:10:11 Puis Stéphane peut en jaser tant l'heure là-dessus.
00:10:13 C'est comme on dit, c'est une gifle dans la face.
00:10:15 C'est une grosse gifle. Moi, j'ai eu une carrière impeccable. J'étais un des meilleurs
00:10:21 athlètes que les forces ont jamais eu. J'ai eu, ça s'appelle une commandation de l'aviation.
00:10:28 J'ai un paquet de choses. J'ai fait plein de choses dans ma carrière. J'ai eu une belle
00:10:32 carrière. Je dis, je ne veux pas terner ma carrière. Je dis, c'est beau, on s'en va.
00:10:36 Mon neveu est aussi dans cette poursuite-là. Ça fait que j'ai dédié tout mon temps à aider
00:10:44 mon neveu et lui s'est fait libérer à l'été 2022 sous une sanguette. On peut parler de
00:10:53 ça plus tard dans la discussion générale. En gros, ça illustre ce qui s'est passé.
00:11:01 Moi, mon gros problème avec le vaccin et le fait d'être poussé, c'est parce que moi,
00:11:07 on peut revenir jusqu'en arrière à la guerre du Golfe. Quand je suis allé à la guerre du
00:11:12 Golfe, avant le départ en 1990, on s'est fait donner plusieurs injections et il n'y
00:11:19 avait aucun consentement informé. Ça n'existait pas. Ça n'existe toujours pas. Et puis, en
00:11:27 arrivant là-bas, on s'est fait donner, en arrivant là-bas, c'était des pilules, c'est
00:11:32 un long nom, des boromides, des pilules de boromides. C'était censé ralentir les effets
00:11:37 d'une attaque nerve agent, d'agents contre le système nerveux de Sadamoussine, ce qui
00:11:45 n'est jamais passé. La minute où j'ai commencé à prendre ces pilules-là, probablement en
00:11:49 conjonction avec les adjuvants qu'il y avait dans les vaccins, j'ai commencé à avoir
00:11:56 des allergies contre certaines nourritures. Ça a été immédiat. Je me grattais sans
00:12:01 arrêt et jusqu'à aujourd'hui, 33 ans, 34 ans plus tard, les allergies ne sont jamais
00:12:09 parties. Je prends des médicaments pour ça tous les jours. Ça, ça a été mon premier
00:12:17 « strike », comme on dit. Deuxième fois, c'est en 2008, quand on s'est fait forcer
00:12:22 de prendre un vaccin pour le H1N1. Encore une fois, il y avait de la coercion qui s'est
00:12:28 passée. Je ne le voulais pas, mais j'étais un bon soldat. Dans le temps, j'étais rendu,
00:12:31 je pense, capitaine. J'étais un bon militaire. Ça fait qu'on se la ferme et on le prend.
00:12:37 Là, j'ai dit la troisième fois, non. Comme on dit en anglais, fool me once, fool me twice,
00:12:42 not the third time. Ça fait que j'ai dit non, c'est fini. Je n'ai plus confiance.
00:12:48 On peut revenir en arrière avec les militaires. Agent Orange à Gagetown, il y a eu tellement
00:12:58 de gens qui ont eu des problèmes avec ça. On peut revenir au gros scandale de la mefloquine
00:13:04 en 1993. 900 militaires qui ont été forcés de prendre une drogue expérimentale contre
00:13:11 la malaria. Il y a une grosse poursuite en ce moment qui se passe. Les 900 poursuivent
00:13:17 la couronne, incluant le général, c'est quoi son nom, de la Somalie, il était Rwanda,
00:13:26 un francophone. Dallaire. Roméo Dallaire. Roméo Dallaire. Il y a lui aussi sur la poursuite.
00:13:35 Et ça fait, comment veux-tu avoir confiance au gouvernement, vraiment, quand ils t'ont
00:13:44 menti plusieurs fois d'avance. Puis, ils te mentent, tu prends le médicament, tu deviens
00:13:51 blessé, puis ils veulent que t'en prennes d'autres. Puis si cette fois-ci tu ne le
00:13:55 prends pas, tu vas perdre ton travail. Mais si je peux faire un commentaire, c'est
00:14:01 justement ça que je trouve dommage avec l'armée, c'est qu'une personne qui est de bonne
00:14:06 foi, qui s'engage dans l'armée pour servir le pays, en fin de compte, l'armée et le
00:14:12 gouvernement, ils vont se servir de ces personnes-là comme cobayes pour des médicaments. Moi,
00:14:17 c'est pas parce qu'on s'engage dans l'armée qu'on doit être l'esclave du système
00:14:22 puis offrir notre corps, autrement dit, à la science, mais sans consentement. Moi, je
00:14:27 trouve ça aberrant, personnellement. Bien, c'est ça qui est arrivé avec la mefloquine.
00:14:31 Les forces canadiennes avaient fait un contrat avec la compagnie qui a produit le médicament.
00:14:40 Puis ils étaient censés faire des essais, des « human trials » comme on dit en anglais,
00:14:46 des essais sur les humains. Les 900 militaires n'ont pas été informés de ça. Puis beaucoup
00:14:53 d'entre eux, jusqu'à aujourd'hui, ont des gros problèmes neurologiques, toutes
00:14:58 sortes de problèmes. Il y en a plusieurs d'entre eux, ils ont peur de dormir le soir
00:15:05 parce qu'ils ont des rêves épouvantables. Les gars pensent au suicide. C'est épouvantable.
00:15:11 On a déjà perdu plusieurs militaires à cause du suicide juste à cause de ce médicament-là.
00:15:16 Mais là, on peut parler couramment de ce qui se passe. Moi, je ne suis pas vacciné.
00:15:22 Je suis parti avant. On en a dans notre groupe, les deux gars. On a deux groupes en ce moment.
00:15:27 On va parler de ça dans un instant. On a plusieurs qui sont vaccinés et ont beaucoup
00:15:32 de séquelles. On a perdu déjà deux dans notre groupe, ils sont morts. Le dernier est
00:15:37 mort avant Noël et on a un qui ne se rendra pas jusqu'à la fin. La famille va continuer
00:15:44 à être dans la poursuite avec nous. Mon estimé, écoute, je faisais des petits calculs
00:15:50 vite-vite. On a perdu, on va en perdre trois dans notre groupe sur 458. Si tu acceptes
00:15:56 ça, pour les forces canadiennes, admettons qu'on a 60 000 dans les forces, ce qu'on
00:16:03 n'a pas d'après moi, admettons qu'on a 60 000, on regarde peut-être à 600 personnes
00:16:08 qui sont mortes déjà dans les forces. On n'est pas capable d'avoir les numéros.
00:16:12 Les forces ne gardent pas les statistiques. Je suis bien généreux. On parle de 1 % de
00:16:19 mortalité et les forces sont vaccinées à 95 % plus. À la fin, c'est ça. 600, c'est
00:16:31 un numéro très bas. Si tu demandes à n'importe qui, tu peux demander au chef d'état-nageur,
00:16:37 comment de soldats qu'on a perdus à cause de COVID-19? Un gros zéro puis une barre.
00:16:44 On n'a perdu pas une personne. Pourquoi? Parce que la moyenne d'âge dans le temps
00:16:48 est de 41 ans et des jeunes ne meurent pas de COVID-19. Si tu regardes de 0 à 95 ans,
00:16:57 la survie était, on savait déjà ça en 2021, c'était de 99,68 %. Si tu vas en bas de
00:17:04 60 ans, qui inclut tout le monde dans les forces, là tu regardes à peu près à 99,95
00:17:10 %. Mais il fallait vacciner absolument tout le monde. Je vais laisser les autres parler
00:17:16 un peu parce qu'on peut rentrer là-dedans à moins que tu veux que je débute. Je pense
00:17:19 que Mme Marchand aimerait ajouter un commentaire là-dessus. J'ai vu votre main se réveiller.
00:17:24 Oui, c'est ça. Dans le fond, c'est que moi, en 2013, j'ai été en contact avec
00:17:34 le médicament de la malaria parce que je m'étais portée volontaire pour aider dans
00:17:37 les Caraïbes, en Colombie. Sauf que quand j'ai vu la feuille et toutes les implications
00:17:44 que ça impliquait, puis qu'ils se déchargeaient de toutes responsabilités, j'ai refusé.
00:17:50 Je suis bien contente. Peut-être Mme Marchand, vous présentez brièvement pour que les gens
00:17:58 puissent mieux vous connaître peut-être votre rôle dans l'armée. Racontez un peu
00:18:04 votre histoire pour que les gens puissent mieux vous connaître. Oui, dans le fond,
00:18:09 moi je suis membre de la marine. J'ai été membre de la régulière de 2008 à 2013.
00:18:17 J'ai fait un pot pour civils subventionné par les forces canadiennes. Puis après ça,
00:18:22 j'ai été travailler à temps plein à Halifax, puis servi sur le Ville de Québec
00:18:27 pendant trois ans, entre autres sur d'autres bateaux aussi. Après ça, j'ai fait une
00:18:33 libération volontaire. Je suis retournée au civil et je ne me suis pas plus au civil.
00:18:38 Donc, je suis retournée dans la réserve de la marine à Trois-Rivières. Puis là,
00:18:45 je suis encore en service parce que je suis encore tombée dans un glitch de la patrace
00:18:51 du gouvernement. Ils ne m'ont pas libérée dans les temps. Donc, je suis un peu chanceuse
00:18:58 là-dessus. Est-ce que c'est une chance de continuer à travailler pour un employeur
00:19:02 aussi difficile avec ses employés?
00:19:08 Là, vous êtes au travail au sein de l'armée.
00:19:13 Oui, je suis réservée. En fait, je fais du travail de classe A. Donc, je n'ai ni
00:19:18 de contrat temps plein, ni de futur avec les forces canadiennes.
00:19:25 Mais là, est-ce qu'ils essayent encore de vous obliger à vous faire vacciner?
00:19:32 Non.
00:19:33 Non. C'est devenu comme un sujet tabou au niveau de la réserve. On n'en parle pas
00:19:39 trop. Puis, c'est comme si de rien ne s'était jamais passé. Mais d'après moi, il n'y
00:19:46 aura jamais rien qui va se passer dans ma carrière. Ça n'avance pas plus.
00:19:51 Oui, c'est ça. Ils vont vous bloquer.
00:19:53 Oui, exactement.
00:19:54 C'est ça qui arrive. On a plusieurs membres. On a des pilotes, on a des pilotes instructeurs.
00:19:58 Ça fait trois ans qu'ils ne volent pas. Comme on dit en anglais, des "fly the desk".
00:20:04 Ils sont derrière un bureau. C'est la punition constante maintenant. La carrière est finie
00:20:09 là.
00:20:10 Moi, en fait, ce que ça m'a impliqué, cette obligation-là, c'est que ça m'a empêchée
00:20:15 de travailler comme réserviste pendant près d'un an. Puis, j'ai dû sortir des
00:20:19 serrières pour réussir à subvenir à mes besoins financiers. Ça a été un temps assez
00:20:26 difficile. Je travaille à l'heure autonome au niveau des vélos électriques.
00:20:31 Oui, c'est ça. Il n'y a rien d'évident.
00:20:34 Il n'y a pas grand-chose.
00:20:36 Ils rendent les gens dans des situations précaires. C'est vraiment… Ça, c'est
00:20:41 à tous les niveaux, pas seulement dans les forces canadiennes, mais aussi dans le civil.
00:20:46 C'est vraiment effroyable ce qui se déroule. Donc, là, ce que je vais faire, c'est
00:20:50 que je vais donner la parole à M. Stéphane Cloître, qui est lieutenant-colonel. Je crois
00:20:55 qu'il est à la retraite depuis peu. Peut-être, M. Cloître, vous présentez brièvement,
00:21:00 puis donnez votre avis. Qu'est-ce que cette vaccination-là, forcée, vous a occasionné?
00:21:07 Puis, nous parlez un peu de la poursuite. On va faire le tour de table pour débuter.
00:21:12 Puis ensuite, on parlera de la poursuite comme tel. Donc, M. Cloître.
00:21:17 Certainement. Je suis lieutenant-colonel à la retraite Stéphane Cloître. J'ai eu
00:21:22 une longue carrière de 35 ans de service, 25 ans de régulière, 10 ans de réserve.
00:21:29 J'ai commencé comme jeune soldat au 12e à Valcartier, comme blindé, les chars
00:21:37 d'assaut. J'ai fait une partie là-dessus. Ensuite, j'ai commissionné en 2004 comme
00:21:42 officier. Et ensuite, j'ai progressé comme officier de reconnaissance blindé. J'ai
00:21:49 toujours été dans le feu et mouvement. J'ai toujours, pas mal toujours, à part mes deux
00:21:55 mutations à l'école des recrues à Saint-Jean ou à l'école de l'arme blindée à Gagetown,
00:22:00 j'ai toujours été à Valcartier. Toujours dans les opérations. Deux fois en Bosnie,
00:22:05 deux fois en Afghanistan. Mes deux tours en Afghanistan, j'ai travaillé avec l'armée
00:22:09 afghane sur le terrain. Le premier tour, j'étais tout seul avec une compagnie d'infanterie
00:22:13 afghane. La mef, la queen, on avait ça nous aussi. Ça me faisait pisser dans mon sleeping
00:22:19 bag. Donc, j'ai arrêté tout simplement. J'ai cheminé pour éventuellement me rendre
00:22:26 dans la réserve comme commandant d'unité à Trois-Rivières. J'ai commandé le 12e
00:22:32 régiment blindé, Mélisse. Et puis, dès le début de la COVID, j'étais à l'emploi,
00:22:40 j'avais un contrat comme major où j'étais en charge de tout l'entraînement et l'instruction
00:22:49 individuelle de tous les jeunes recrues de l'Est du Québec, de Québec jusqu'à l'Est.
00:22:55 Donc, le COVID présentait beaucoup de défis à des regroupements. Et puis moi, j'ai
00:23:02 travaillé sur le plan qu'il y a fait pour réussir à maintenir nos chiffres et de garder
00:23:08 notre effectif de brigade dans un état qui était très bien. Donc, rapidement, le COVID
00:23:14 s'en vient. Moi, je suis un survivant. J'ai eu deux cancers. Un cancer du rein, une
00:23:19 amie partielle du rein droit. En 2017-2018, j'ai eu un pré-cancer du colon où j'ai
00:23:26 eu une partie du colon qui a été enlevée, suivie d'une ronde de chimio qui m'a donné
00:23:31 une phlébide dans l'épaule et le bras gauche. J'ai eu des problèmes de santé majeurs.
00:23:36 Quand j'ai voulu faire mes représentations comme commandant, c'était délicat parce
00:23:41 que moi, en tout cas, je comprends qu'on est supposé de respecter les ordres, mais
00:23:47 moi, je voyais que ce n'était pas légitime. Je n'arrivais pas à faire un argument que
00:23:52 ce soit médical ou que ce soit par la Charte. Moi, j'ai fait une demande d'accommodement
00:23:57 qu'on respecte mes droits parce que quand j'ai abordé mon médecin civil, c'était
00:24:03 hors de question qu'il me soit. Moi, étant donné que je suis un commandant, j'ai des
00:24:07 chambres dans les états-majors. À l'état-major de la division à Montréal, le médecin-chef
00:24:12 a déjà été très clair qu'il ne donnerait aucun accommodement. Quand les médecins sont
00:24:19 déjà tous alignés, tout le monde est aligné, il n'y avait pas de possibilité. Alors,
00:24:23 moi, dans mon cas, ce qu'ils ont fait, c'est que rapidement, ils m'ont relevé de mes
00:24:27 fonctions. Ils m'ont séparé de la troupe parce que je n'avais pas d'influence positive
00:24:31 sur mes soldats. Moi, tout le monde le savait. Tout le monde avait accès à mon dossier
00:24:36 personnel dans la salle des rapports. Tout le monde savait à brigade que moi, j'étais
00:24:40 le non-vacciné. J'ai passé pour l'Urlub-Berlub de 35e brigade. C'est bien correct. Parce
00:24:45 que moi, je me suis tenu debout à mes droits. Ce n'est pas sûr que je suis rentré dans
00:24:49 force sur 35-40 ans. C'est parce que moi, je voulais faire respecter les droits canadiens
00:24:53 un peu partout à travers le monde. Puis, je croyais à cette institution-là. Ce qui
00:24:57 est arrivé, c'est qu'on a clairé tous les généraux en qui j'avais confiance.
00:25:01 Et ensuite de ça, on a vécu un peu la dictature de ce qui est arrivé. Quand on regarde la
00:25:07 poursuite, on comprend rapidement que le premier ministre n'est pas impliqué là-dedans parce
00:25:12 que ce n'est pas le patron. Le patron, c'est le roi présentement. C'est comme ça que
00:25:16 c'est structuré au Canada. On a des lois. Moi, j'étais protégé par la loi de la
00:25:20 défense nationale comme réserviste à temps partiel. Je n'étais pas assujetti au même
00:25:25 nombre opérationnel qu'un régulier. C'est l'article 33 sous paragraphe. En tout cas,
00:25:30 j'ai tout fait mes représentations, je connais mes droits. Et quand j'ai vu jusqu'à où
00:25:35 je suis, j'étais bouche bée. J'étais chez moi en petite boule, puis on était
00:25:40 tous en télétravail. Je continue à travailler pareil. Puis, vous savez, mes dix dernières
00:25:46 années de réserviste, j'ai travaillé au développement des activités d'influence
00:25:51 à la division puis pour le pays. Quand on s'assit devant la TV, on est un spécialiste
00:25:57 des activités d'influence puis des opérations psychologiques, on est capable de reconnaître
00:26:02 rapidement le danger qui s'en vient par TBA. Au mois de janvier, c'était clair pour
00:26:07 moi, j'avais été entraîné à reconnaître le danger et d'y réagir adéquatement.
00:26:13 Puis moi, ce que je trouvais très dangereux là-dedans, puis Serge a fait le point tantôt,
00:26:18 c'est que tout le monde s'alignait sur un vaccin qu'on ne connaissait pas. On n'est
00:26:22 même pas capable d'établir de la paix dans le monde, présentement, mais à 96 heures,
00:26:27 la planète s'est mis au garde-à-l'œil. Alors, moi, là, il était hors de question.
00:26:32 J'avais déjà eu des gros problèmes de santé, j'avais 35 ans de service. Quand
00:26:37 on m'a dit « Steph, libère au lieu de… », tu sais, on ne va pas être à reprendre
00:26:42 quand ça va passer, là, c'est là que j'ai cassé. Honnêtement, j'ai cassé
00:26:47 un jour l'institution pour laquelle moi je m'étais dévoué pendant 35 ans. J'étais
00:26:53 devenu un spécialiste de l'éthique. J'enseignais l'éthique aux jeunes officiers
00:26:58 et aux jeunes soldats. Je ne pouvais pas croire que le CDS manquait autant d'éthique.
00:27:05 Je vais juste mettre la picture de où on était avec moi, ma situation, 35 ans de service,
00:27:15 beaucoup d'expérience de combat, et puis moi, dans où je me suis senti, puis pourquoi
00:27:22 je suis embarqué dans la poursuite, c'est qu'un moment donné, je me suis dit « enfin
00:27:26 quelqu'un à qui je peux faire confiance ». Alors, en gros, c'est un peu… tu sais,
00:27:30 je fais un… j'ai eu une longue carrière, j'ai fait beaucoup de choses, j'ai adoré
00:27:35 ma carrière militaire jusqu'à la fin. À la fin, ça ne marchait plus. Alors, est-ce
00:27:39 que je quitte les forces sur une bonne note? Absolument pas. J'ai été montré à la
00:27:46 porte, forcé, et je les ai forcés à le faire. Je les ai forcés à passer à travers
00:27:52 la mécanique parce que moi, je n'ai pas demandé le COVID.
00:27:56 C'est ça. C'est ça.
00:27:58 On vous l'a imposé, tu sais. Donc là, ce que je vais faire, c'est que je vais donner
00:28:03 la parole à notre ami Éric Busque, alias « Discitoman ». Bonjour Éric.
00:28:08 Bonjour tout le monde.
00:28:10 Si tu voulais, Éric, peut-être te présenter brièvement ce que tu fais comme travail dans
00:28:14 la vie, comme passion.
00:28:16 Je suis un retraité de l'industrie de la construction. Je suis un observateur de la
00:28:22 scène internationale et nationale. On a beaucoup de traction sur le réseau X. D'entrée
00:28:29 de jeu, je voudrais tous vous remercier pour le dévouement que vous avez manifesté pendant
00:28:37 ces décennies-là envers l'institution qui s'appelle le Canada. C'est dommage que votre
00:28:44 premier ministre n'y croit pas, qu'il travaille depuis 2015 à établir un État post-national.
00:28:51 Et je pense qu'avec le COVID, on en a eu la preuve que le plan fonctionne très bien.
00:28:57 Maintenant, moi, j'ai une question pour vous tous. Est-ce que le sentiment d'appartenance
00:29:02 envers ce pays-là que vous avez développé au fur et à mesure des décennies, avec votre
00:29:07 soeur, avec votre sang, avec votre implication, est-ce que ce sentiment d'appartenance-là
00:29:12 existe encore?
00:29:14 Qui aimerait répondre à cette question?
00:29:19 Je peux laisser, moi, je peux parler toute la journée.
00:29:26 Peut-être, parce que moi, j'aimerais, Éric, que tu te présentes peut-être un peu plus
00:29:31 aux gens qui ne te connaissent pas, parce qu'il y a des gens en Europe qui nous écoutent,
00:29:36 il y a des gens du côté anglophone aussi du Canada qui nous écoutent. Peut-être mieux
00:29:40 un peu plus te présenter, puis nous parler toi de ton avis sur cette poursuite qui a
00:29:45 lieu au sein des forces armées.
00:29:47 La poursuite, je ne peux pas. Bon, moi, je suis un podcaster, c'est sûr. Je suis un
00:29:53 chercheur au niveau de l'actualité, au quotidien. On utilise des outils, on a des partenariats
00:30:00 avec des gens, mais je ne peux pas définitivement me prononcer sur la poursuite parce que je
00:30:05 n'en fais pas partie, puis je n'ai pas vu les tenants et les aboutissants, je n'ai
00:30:08 pas vu les documents. C'est gigantesque et des poursuites comme ça, il y en a dans le
00:30:12 domaine des relations de travail, il y en a dans le domaine aérien, industriel. Ce n'est
00:30:17 pas la seule poursuite qui est au Canada, qui est en cours.
00:30:21 Moi, c'est au niveau de la structure et des gens qui font partie de la structure et qui
00:30:25 se sont donnés pour des structures. Avec l'épreuve qu'on a tous passé, une épreuve
00:30:31 qui était définitivement artificielle. Le but de ma recherche, c'est de savoir est-ce
00:30:36 que le sentiment d'appartenance envers l'institution qui est le pays existe encore? Et est-ce que
00:30:42 votre sentiment d'appartenance envers l'organisation des forces canadiennes existe encore?
00:30:47 Parce qu'avec tous les gens, peu importe le domaine que j'ai étudié, avec tous les
00:30:53 gens que j'ai parlé, leur sentiment d'appartenance a littéralement disparu.
00:30:57 Peut-être Stéphane pourrait répondre à cette question. Stéphane.
00:31:00 Écoute, c'est l'essence même d'où moi j'en suis. J'ai été blessé profondément
00:31:08 dans mon égo d'éthique. J'étais un soldat dévoué. Je n'ai jamais posé de question.
00:31:18 J'ai toujours été un soldat dévoué. J'ai toujours été un soldat dévoué.
00:31:22 Mais de dire que j'ai une perte de confiance absolument, puis l'institution, elle est
00:31:34 un peu comme un type de lot. On va avoir de la difficulté à se remettre de ça, même
00:31:40 si on change notre politique, même si on change tout ce qu'ils veulent changer, puis
00:31:45 on s'en va vers une... En tout cas, je ne pense pas. Présentement, la relation entre
00:31:50 le gouvernement et les forces, elle est néfaste et elle n'est pas... En tout cas, moi, je
00:31:55 n'ai pas confiance à par où la politique envers les forces. Comment est-ce que les
00:32:01 forces sont rendues politisées? Moi, j'ai une perte de confiance à cet égard.
00:32:06 Vous avez raison. Stéphane a tout à fait raison. La morale
00:32:11 est très bonne en ce moment dans les forces canadiennes, mais c'est, comme on dit en
00:32:15 anglais, « by design ». C'est fait... Le gouvernement qui a des tendances marxistes,
00:32:22 n'importe qui qui a lu les œuvres de Saul Alinsky, incluant « Rules for Radicals »,
00:32:29 les règles pour les radicaux. Le gouvernement qui est établi en ce moment suit les règles
00:32:36 un par un, puis il faut défaire tous les piliers de la société, et un des piliers,
00:32:43 c'est les forces armées. Et puis Stéphane a fait allusion à ça, qui n'a plus de
00:32:49 bonheur, c'est qu'il y a eu une décapitation au sein de nos top, de nos généraux en
00:32:55 haut, et je peux te donner un petit compte rendu sur ceux qui se sont fait sortir. On
00:33:02 a une douzaine de généraux qui se sont fait sortir sous des allégations sexuelles. Ça
00:33:09 s'est fait bien vite. Moi, moi, dans le temps, je travaillais de la maison, je faisais
00:33:13 du télétravail. Trois de fils se font sortir, c'est pas normal. Dans le temps, j'avais
00:33:19 comme 38 ans dans les forces. Mais là, c'est quoi qui se passe? Puis finalement, on peut
00:33:26 revenir avec le général Vance, qui était le chef d'état-major, puis la ministre,
00:33:32 la députée ministre, la deuxième, elle a dit à Vance « Vous allez vacciner 100%
00:33:38 des forces canadiennes ». Puis Vance, il a dit non, il dit « Je ne vais pas utiliser
00:33:44 des forces canadiennes comme des cochons d'Inde ». Ça fait que ça n'a pas été
00:33:49 long, il s'est fait sortir sur une inconduite sexuelle. C'est quelque chose de rien, je
00:33:54 n'irai pas dans l'histoire, parce que l'histoire, ça va être assez longue.
00:33:58 L'amiral Macdonald, qui a pris sa place, se fait dire « Vous allez vacciner tout le
00:34:06 monde ». Lui, il a dit non. Non seulement ça, il s'est fait donner une note de service
00:34:12 en lui disant « Tu ne peux pas faire ça, c'est contre la loi médicale, éthiquement,
00:34:18 etc. Tu ne devrais pas faire ça. » Puis spécialement en utilisant seulement une
00:34:24 drogue pour vacciner tout le monde, qui était Moderna. Lui aussi s'est fait sortir avec
00:34:34 des allégations, des inconduites sexuelles, mais il s'est fait clairer après. Mais
00:34:39 c'est trop tard, sa carrière est finie. Finalement, le député de chef d'état-major,
00:34:47 le général Ayer, lui a dit « Ah oui, je vais le faire ». Ayer s'est fait donner
00:34:52 aussi de la papresse, il s'est fait donner aussi une note de service en lui disant « Tu
00:34:57 ne peux pas faire ça, médicalement, éthiquement, par la loi, etc. » Il l'a fait de parrain.
00:35:03 Tout d'un coup, il devient chef d'état-major. Le gars est promu.
00:35:06 À part ça, on a eu le général Fortin. Lui, il poussait le vaccin du côté civil
00:35:11 dans les forces canadiennes. Bien, lui, il ne voulait pas le faire. Guess what? Devine.
00:35:17 Lui aussi s'est fait sortir avec des inconduites sexuelles.
00:35:20 Là, maintenant, je vais faire un point. Oui, les inconduites sexuelles, il y en a tout
00:35:25 le temps eu dans les forces canadiennes. Il y en a encore. On est une tranche de la société.
00:35:31 On reflète la société, bien sûr. Est-ce que c'est correct? Non. Mais on sait aussi
00:35:36 que plusieurs gouvernements utilisent cette arme pour tasser les gens qui ne veulent pas
00:35:43 faire ce qu'ils veulent. C'est exactement ça qui s'est passé, dans mon opinion.
00:35:47 Après ça, on a eu le général Whelan, que lui, il était en charge des ressources humaines.
00:35:52 Il était CMP. Lui aussi s'est fait casser. C'est un général trois étoiles, trois
00:35:59 feuilles d'érable. Lui aussi s'est fait casser, qu'il allait en cours. La journée
00:36:05 avant que son avocat était pour mettre le chef d'état-major Ayers sur le stand en
00:36:10 cours, les forces ont dit « On n'a plus d'intention de poursuivre le général Whelan,
00:36:16 le truc qui tombe à l'eau. » Mais il est trop tard. Sa carrière est finie. Le général
00:36:20 Whelan les emmène en cours. By the way, en revenant avec le général Fortin, il les
00:36:24 emmène en cours et il a gagné. Les rumeurs c'est qu'il a gagné 4 millions. Imagine,
00:36:29 il tasse un gars, mais les payeurs de taxes sont obligés de payer pour les niaiser.
00:36:35 Incroyable.
00:36:36 Je pourrais lire une liste d'encore une douzaine, je pourrais passer au travers de
00:36:40 ça. Mais voyez un peu ce qui se passe. Décapitation de ceux qui ne veulent pas jouer la game avec
00:36:45 le gouvernement privé. C'était Serge qui me l'a rappelé.
00:36:48 Serge, vous devez être terrifié de connaître l'identité des gens qui mènent l'armée
00:36:56 en ce moment parce que ce n'est pas des commandants intègres. Ils sont marxistes.
00:37:02 Écoute, il y a beaucoup de bons membres encore dans les forces. Beaucoup de bons membres.
00:37:09 Mais beaucoup d'eux autres ont pris le vaccin parce qu'ils voulaient sauver leur carrière.
00:37:15 Il y en a d'autres qui croyaient au vaccin. C'est un des bonnes personnes pareilles.
00:37:22 Ils croyaient, ils ont pris le vaccin. Ce n'est pas tout du mauvais monde, mais du monde en
00:37:27 haut, dans des grosses positions importantes, ils le savent ce qui s'est passé.
00:37:32 J'ai jasé de ça avant l'émission. Je connais des officiers en intelligence qui
00:37:39 m'ont contacté. Des hauts placés dans les forces canadiennes le savaient qui poussait
00:37:45 le régime de la peur contre les forces et contre la population canadienne parce qu'ils
00:37:51 voulaient briser la résistance des Canadiens contre l'application des mandats.
00:37:57 Comme Stéphane, il est bien familier avec ce livre-là, j'imagine.
00:38:02 « Introduction à 5GW » « Introduction à 5GW »
00:38:09 « Cinquième génération de guerre » Ça, c'est un petit bouquin, là.
00:38:14 Allez chercher ça sur Amazon. Ça, ça explique comment que les opérations
00:38:22 contre les gens, comment qu'ils font ça, les opérations psychologiques.
00:38:28 Les forces canadiennes se sont faits pogner cinq fois à faire des opérations psychologiques
00:38:33 contre les Canadiens. Ça a sorti, c'était dans Ottawa Citizen, c'était dans le papier,
00:38:39 ici, dans le newspaper ici à Ottawa. Mais pourquoi, pourquoi est-ce que je devrais
00:38:45 payer pour qu'on se serve de mon armée contre moi?
00:38:50 Encore une fois, tu as fait allusion à ça. Est-ce que les gens en haut qui ne sont pas,
00:38:58 disons, qui ne sont pas à 100% dédiés à leur pays?
00:39:04 Ces gens-là seront-ils congédiés quand Pierre Poilieff va prendre le pouvoir?
00:39:08 Voyons donc. Personne est redevable.
00:39:12 Il n'y a pas un policier qui va faire de la ménage.
00:39:14 Personne est redevable. Tout le monde est dans des positions de décision majeures et
00:39:20 personne est redevable.
00:39:22 Tout le monde a des limités. Donc, ce que je vais faire, excusez-moi,
00:39:26 messieurs-dames, je vais donner la parole cette fois-ci à Claude Laferrieur. Bonjour,
00:39:30 Claude.
00:39:31 Bonjour, Guy.
00:39:32 Bonjour, Claude. Peut-être te présenter brièvement pour celles et ceux qui te connaissent
00:39:37 peu ou pas, puis ensuite nous parler de, je te laisse entrer dans cette conversation
00:39:43 à propos de cette poursuite contre les forces armées canadiennes.
00:39:47 OK. Je suis Claude Laferrieur. Je suis avocat depuis 1992.
00:39:54 Présentement, j'enseigne à la Faculté de droit de l'Université de Montréal.
00:39:58 J'enseigne un des seuls séminaires qui se donnent en sécurité nationale.
00:40:03 J'ai un confrère à l'Université d'Ottawa, Craig Forsese, qui le donne.
00:40:07 Moi, mon cours, mon séminaire est surtout orienté vers le droit américain.
00:40:12 J'ai étudié à Georgetown à Washington. J'ai vécu aux États-Unis aussi un bout de temps.
00:40:18 J'ai été membre des forces armées canadiennes il y a très longtemps.
00:40:22 À l'époque, c'était le généraux Pelletier, Morneau, Paradis, Beazle, à la fin des années 70.
00:40:31 En fait, j'étais rentré dans les forces armées à cause du référendum.
00:40:35 J'ai été dans la réserve, j'ai été dans la régulière. J'ai fait à peu près deux années et demie.
00:40:40 J'étais au Royal 22e. Quand j'ai vu comment ça marchait, j'ai largué tout ça.
00:40:46 Parce que je me suis aperçu que c'était une petite affaire de famille pour les gens de Québec.
00:40:50 Et moi, ils m'avaient posté à Georgetown. Et puis, c'était pas possible de revenir à Valcartier.
00:40:57 Donc, je leur ai dit « Bye bye ». Et je suis allé travailler pour la compagnie American Motors.
00:41:03 Mon salaire a pratiquement triplé. Et disons que j'ai eu une belle période avec American Motors.
00:41:12 Malheureusement, American Motors a été acheté par la régie Renault.
00:41:16 Et là, j'ai été confronté au système de gestion des Français, ce qui est une catastrophe absolument pouvantable.
00:41:22 L'Illiaquoka Chrysler s'en est aperçu. Il a racheté la régie Renault qui avait acheté American Motors.
00:41:29 Et par la suite, vous connaissez l'histoire, c'est Fiat qui a mis la main sur Chrysler.
00:41:35 Entre temps, je me suis replacé au Service correctionnel du Canada.
00:41:39 Et j'ai travaillé pendant 28 ans dans les dossiers de grand banditisme, ce qui veut dire « House Angels », mafia et compagnie.
00:41:47 Et voilà, j'ai pratiqué le droit des sociétés aussi. Voilà.
00:41:56 Maintenant, pour venir arrêter de parler de moi, je ne suis pas très narcissique.
00:42:01 Je ne suis pas vacciné, je suis une personne handicapée. Je suis atteint de stéroïdes en plaques.
00:42:06 Pour dire les choses franchement, on a essayé de me faire vacciner. J'ai dit non, il n'y a jamais été question de ça.
00:42:15 Heureusement, j'avais pris ma retraite du Service correctionnel en 2009.
00:42:20 Mais voilà. Maintenant, en ce qui concerne la poursuite, il y a quelques observations que j'aimerais partager avec vous.
00:42:30 D'abord, je voudrais vous dire que vous tous qui avez été membre des Forces armées, je trouve que vous êtes extrêmement courageux.
00:42:37 Et comme on dit en anglais, « Thank you for your service ».
00:42:41 Mais c'est dommage que vous ayez aujourd'hui des problèmes de santé.
00:42:46 Et lorsqu'on parle de problèmes neurologiques, c'est un domaine que je connais très, très bien.
00:42:51 Voilà. Maintenant, mes commentaires en ce qui concerne la poursuite.
00:42:56 Premièrement, en ce qui concerne le vaccin, ce qui est frappant, c'est le dossier Pfizer.
00:43:03 Le dossier Pfizer, le 13 mars 2020, lorsque l'Organisation mondiale de la santé a déclaré la pandémie mondiale,
00:43:14 c'est intéressant de suivre le cours des actions en bourse.
00:43:18 Il faut comprendre que lorsqu'on fait affaire avec des libéraux, avec un gouvernement libéral,
00:43:23 tout se mesure en termes de donants. Il faut évaluer et suivre le marché boursier.
00:43:29 Sinon, on perd la mesure.
00:43:33 Et les actions de Pfizer, l'augmentation de la valeur des actions, c'était quelque chose d'assez spectaculaire et intéressant.
00:43:42 Et on comprend l'insistance de nos gouvernements d'avoir forcé la vaccination et d'avoir créé une véritable crise.
00:43:53 Mais quand on n'est pas branché sur la bourse, et comme j'enseigne en particulier le droit des sociétés,
00:44:00 je sais très bien que cet aspect de la vie canadienne est extrêmement important.
00:44:05 Et si on n'a pas un contact avec les milieux financiers, on ne peut pas vraiment comprendre ce qui se passe.
00:44:11 Mais lorsqu'on suit le milieu financier, le milieu marché boursier,
00:44:16 on comprend très bien que Pfizer, qui est souvent devant les tribunaux, qui est poursuivi.
00:44:20 D'ailleurs, sur ma page Facebook, j'ai mis un lien Pfizer, où on voit tous les numéros de Docket,
00:44:25 tous les Docket Numbers de Pfizer.
00:44:28 Et Pfizer est continuellement poursuivi pour toutes sortes de raisons, civiles et criminelles.
00:44:36 Un autre commentaire que je vais faire par rapport à la poursuite à proprement parler.
00:44:41 D'abord, un petit détail. Est-ce que c'est un recours collectif?
00:44:46 Est-ce que c'est un recours collectif à « class action »?
00:44:48 Est-ce que ça a été introduit à l'échelle fédérale au Québec, en Ontario?
00:44:53 Donc, c'est des poursuites individuelles. Est-ce que je comprends la réaction de M. Serge?
00:44:58 Bon, donc ça répond à ma question.
00:45:01 Ensuite, un autre point, c'est qu'au Canada, présentement, j'ai suivi un petit peu l'actualité.
00:45:09 Et j'ai constaté qu'à peu près tous les recours qui ont été entrepris par des non-vaccinés contre des autorités ont été perdus.
00:45:17 À l'heure actuelle, le dossier n'est pas très encourageant.
00:45:22 Il n'y a pas vraiment, à l'heure actuelle, de précédents de non-vaccinés qui ont gagné des causes.
00:45:27 À moins, évidemment, sauf erreur de ma part. C'est possible. C'est possible.
00:45:31 Deuxième commentaire que je ferai, c'est que le juge en chef de la Cour suprême du Canada, c'est lui le boss.
00:45:38 OK? C'est lui le patron.
00:45:41 Lui, il va décider du recours éventuellement, parce qu'il va décider du caseload pour chacun de ses chefs, de ses juges,
00:45:49 si le dossier va en Cour suprême et si la Cour suprême accepte d'entendre la cause.
00:45:54 Ça, c'est en supposant que vous perdiez en première instance et que vous perdiez en appel.
00:46:00 Vous aboutissez devant la Cour suprême et à la Cour suprême, bien là, il y a un juge en chef.
00:46:05 Il s'appelle Richard Wagner.
00:46:07 Richard Wagner, c'est le même nom que Wagner, l'autre Richard, qui était le musicien préféré d'Adolf Hitler,
00:46:13 qui a composé la trilogie et qui a été, si vous voulez, le symbole du pangermanisme.
00:46:20 Donc, ceux d'entre vous qui connaissez le nazisme, je vous invite à poursuivre vos recherches.
00:46:26 Vous allez peut-être faire des découvertes intéressantes.
00:46:28 Tout ça pour vous dire que le juge en chef, qui s'appelle Richard Wagner, c'est lui le patron.
00:46:32 C'est lui qui va décider.
00:46:33 Et il a pris position publique en faveur de la vaccination massive.
00:46:37 Il a aussi pris position publique en faveur d'une lutte contre la désinformation.
00:46:44 Mais il n'a jamais donné d'exemple de ce qu'est une désinformation.
00:46:51 Tout ce qu'il a dit, c'est « je lutte contre la désinformation ».
00:46:55 La désinformation des médias grand public, peut-être ?
00:46:59 Bien là, il faut voir ce que ça veut dire.
00:47:03 Il faut voir ce que ça veut dire. Je n'en ai aucune idée. Il n'a jamais donné d'exemple de ça.
00:47:07 Il faut comprendre aussi un autre point important, c'est que nos juges pratiquent ce qu'on appelle l'activisme judiciaire.
00:47:13 C'est-à-dire que contrairement aux États-Unis, je vais vous donner un exemple précis.
00:47:18 Aux États-Unis, si vous êtes pris dans une accusation de trafic et qu'il y a un minimum de sentence de deux ou trois ans,
00:47:24 le principe de sentence minimum va être appliqué.
00:47:28 Ici au Canada, toutes les causes, toutes les lois qui ont été adoptées par le gouvernement Harper et qui imposaient des sentences minimums,
00:47:36 toutes ces lois ont été battues en brèche.
00:47:38 En d'autres états, c'est le juge qui décide.
00:47:41 C'est ce qu'on appelle l'activisme judiciaire en opposition, si vous voulez, à la restriction judiciaire.
00:47:49 Un autre point important à l'heure actuelle, il y a néanmoins une lueur d'espoir.
00:47:57 Je ne sais pas où ça va aller. C'est la décision du juge Sean Morseley dans le dossier des camionneurs,
00:48:02 qui a été vraiment une claque sur la gueule de Justin Trudeau, la décision qui a été rendue cette semaine, la semaine dernière.
00:48:09 J'ai lu la décision. Elle est très courte, elle est peu documentée, elle est portée en lapelle.
00:48:14 Ça porte sur l'article 1 de la Charte canadienne des droits et libertés, qui permet de restreindre des droits dans une société libre et démocratique.
00:48:23 Justin Trudeau n'a pas hésité à utiliser, au fond, d'une façon, en utilisant, si vous voulez, la loi sur les mesures d'urgence,
00:48:33 à évoquer indirectement cet article 1, qui permet de restreindre les droits des camionneurs, de saisir leur compte de banque, et ainsi de suite.
00:48:42 Comme si c'était une grande organisation terroriste, finalement.
00:48:47 Le juge Morseley a décidé, dans sa décision très courte, que finalement, il n'y avait pas de justification pour imposer de telles mesures aux camionneurs.
00:48:58 Donc ça, c'est un nuage d'espoir, parce que, en fin de compte, ce qu'on dit, c'est que l'article 1 ne doit pas être utilisé de façon, si vous voulez, exagérée.
00:49:09 Un autre commentaire que je ferais, c'est que, présentement, on vit dans un régime où l'ingénierie sociale, ce qu'on appelle l'ingénierie sociale,
00:49:25 l'ingénisme, est devenu un paradigme. Pourquoi? Parce que les États sont endettés et qu'il faut, pensez-moi l'expression, aller chercher de l'argent.
00:49:36 C'est la raison pour laquelle on met beaucoup l'accent sur les changements climatiques. Est-ce que les changements climatiques existent?
00:49:41 C'est une autre question. Je n'ai pas de réponse à ça. Ce que je sais, c'est que les dinosaures n'existent plus.
00:49:48 Donc, on peut penser que les changements climatiques en ont toujours eu. Mais, présentement, avec la COVID, il faut lire la COVID avec les changements climatiques.
00:49:57 C'est la même religion. Beaucoup parlent aujourd'hui des globalistes, des mondialistes. Moi, je ne suis pas d'accord avec ce discours-là.
00:50:06 Pour moi, c'est très clair que, derrière le mot globaliste, derrière le mot mondialiste, ce qui se cache, c'est la chaîne.
00:50:13 C'est la chaîne de Xi Jinping qui mène véritablement une guerre absolument épouvantable dans le cyberespace, qui mène une guerre avec la COVID, avec les changements climatiques.
00:50:26 Tout ça sert à l'intérêt de la Chine. C'est toujours la Chine. Pourquoi? C'est simple. Parce que nos oligarques, nos millionnaires canadiens, ont investi des milliards en Chine.
00:50:36 Pourquoi ils ont investi des milliards en Chine? Parce qu'en 2003, Yujintao a amendé la Constitution de la République populaire de Chine, de façon à ce qu'on puisse rendre privé ce qui a permis la privatisation des moyens de production.
00:50:52 Et ce qui a permis aussi, on permet à des investisseurs étrangers d'investir en Chine. Autrement dit, vous êtes un homme d'affaires, vous voulez faire beaucoup d'argent.
00:51:02 Eh bien, vous investissez en Chine. Vous avez un marché absolument épouvantable. Et troisièmement, en Chine, il n'y a pas de syndicat, il n'y a pas de négociation, il n'y a pas de ligne d'applicage.
00:51:13 Tu travailles, et voilà, jusqu'à la fin de tes jours. Puis si tu parles trop, il y a des camps de rééducation. Puis si tu parles encore trop, il y a la peine de mort. Et la peine de mort est appliquée.
00:51:24 Donc, autrement dit, la Constitution de la République populaire de Chine a été organisée pour attirer tous les oligarques. Et ces oligarques, ce ne sont pas des marxistes.
00:51:35 Ce sont carrément des oligarques, comme Aristote et Platon en parlent dans La République de Platon, dans La Politique d'Aristote. Autrement dit, des gens qui tuent la civilisation parce que c'est l'argent.
00:51:46 C'est le veau d'or et tout pour faire de l'argent et en faire beaucoup. Même chose pour les vaccins avec Pfizer, Moderna, c'est toute la même poutine.
00:51:55 Et derrière ça, c'est la nouvelle oligarchie chinoise qui fait en sorte que nos hommes d'affaires ne peuvent pas résister à la pôte du gain.
00:52:05 Et les grandes familles canadiennes de milliardaires, il y en a très peu. Au Québec, il y en a deux ou trois. On les connaît tous, mais ils ont investi leur fortune en Chine.
00:52:14 Ils ont investi tout leur avoir en Chine et ils veulent implanter au Canada, au Québec, le modèle chinois.
00:52:21 Et ce modèle, c'est un modèle extrêmement autoritaire où il n'y a pas de syndicat. Ça, c'est bien important, se débarrasser des syndicats.
00:52:28 C'est la priorité absolue des oligarques. Ils ne veulent plus les voir la face. C'est vraiment un régime où il n'y a pas de droits fondamentaux.
00:52:40 Et là-dessus, je vous ferais remarquer au Canada, pour ceux qui s'intéressent à l'histoire politique du Canada des années 1920, des années 1930, même durant la guerre,
00:52:52 Mekenzi King était de la même catégorie que Justin Trudeau, sauf que lui était dans l'extrême droite. Il aimait bien Adolf Hitler, alors que Justin Trudeau, lui, c'est Xi Jinping.
00:53:03 Mais que ce soit l'extrême gauche ou l'extrême droite, c'est tous la même poutine, à savoir qu'il n'y a plus de droits fondamentaux. Voilà.
00:53:11 Donc là, on a fait un premier tour de table à nos conférenciers. Avant de parler comme tel de la poursuite, j'aimerais peut-être, Serge,
00:53:24 que tu nous fasses peut-être un résumé de certains cas, de certaines personnes qui ont été affectées par le vaccin, qui ont été vaccinées. Parce que je sais que dans la poursuite,
00:53:34 il y a des dizaines et des dizaines et des dizaines d'exemples de personnes qui ont subi des effets secondaires très graves parfois.
00:53:43 J'aimerais que tu nous fasses un bref résumé, nous donner quelques exemples. Et ensuite, on pourrait commencer à parler de la poursuite comme tel.
00:53:51 Où est-ce que vous en êtes dans cette poursuite et tout ce qui reste sur la suite? Peut-être nous donner des exemples de personnes qui ont été affectées.
00:54:01 Il y a tellement de gens, non seulement dans les deux poursuites, même en dehors des poursuites, qui ont eu des séquelles après la vaccination.
00:54:13 Je connais un sergent à Bagotville, la minute qu'il a eu sa première dose de vaccin, il a commencé à avoir des problèmes respiratoires, plus capable de s'entraîner,
00:54:27 difficulté à monter des escaliers. Il ne voulait pas avoir la deuxième et il a encore cinq ans avant sa pension, a pris la deuxième dose et a soudainement développé un cancer.
00:54:40 Il y en a d'autres, je connais un jeune capitaine, je vais dire en Ontario, lui s'en allait, il s'entraînait pour devenir force spéciale dans les forces canadiennes
00:54:57 et sa santé est complètement détruite maintenant. Il attend une libération médicale des forces canadiennes et il m'a dit qu'il y a beaucoup plus de mauvaises journées que de bonnes journées.
00:55:16 On a d'autres, c'est tellement fou, on a des femmes enceintes dans notre poursuite, qui étaient enceintes dans le temps. Les forces voulaient absolument les vacciner, absolument,
00:55:32 et ils ont refusé. On avait une femme qui avait des problèmes de grossesse, son docteur l'a envoyée à l'hôpital, mais à cause qu'elle ne s'est pas présentée à la parade de PQ,
00:55:47 il voulait la charger, en anglais c'est AWOL, pas être présent au travail, j'imagine. Son docteur a dit qu'elle avait des gros problèmes de grossesse, il voulait quand même continuer.
00:56:02 Le problème, c'est que dans les forces canadiennes, il y avait déjà une chose qui était établie, c'est que tu ne vaccines pas les femmes enceintes avec absolument rien.
00:56:12 Tu ne prends même pas de thé ou de café, tu fais attention à ce que tu manges, tu essaies d'arrêter de fumer si tu fumais.
00:56:19 Les forces ont dit que c'était correct, même si on vous encourage à prendre le vaccin. Le problème, c'est que Santé Canada a dit qu'il n'y avait même pas le data sur comment le vaccin allait affecter les femmes enceintes.
00:56:35 Les forces ont dit que c'était pareil. Si tu ne le fais pas, tu perds ton emploi, tu te fais sortir sans équerre.
00:56:45 Moi, je n'arriverai jamais à comprendre, et pas seulement pour les forces armées canadiennes, mais aussi dans le domaine civil. Je n'arriverai jamais à comprendre, pas parce que je suis naïf ou quoi que ce soit.
00:56:59 Je comprends, dans le fond, mais c'est une manière de dire que je ne comprends pas comment la population qui est composée de millions de personnes a pu se laisser dominer par une poignée de personnes sans réagir au-delà de ce qu'il faut.
00:57:19 Les actions qui ont été posées, il faut se le dire, ce sont des actions criminelles. Aujourd'hui, on sait les effets secondaires de ces vaccins. Toutes ces personnes-là qui ont obligé les personnes, autant dans les forces armées canadiennes que dans la partie civile,
00:57:37 ça c'est moi qui le dis, ça n'engage que moi, ces personnes-là devraient être arrêtées sur le champ. C'est mon opinion personnelle. Tout simplement.
00:57:47 Mon opinion, c'est qu'un jour ça va venir. Les choses avancent lentement, mais ça va venir.
00:57:53 C'est criminelles ce qu'ils ont fait.
00:57:56 Les opérations psychologiques, ça fait depuis les années de Goebbels dans la Deuxième Guerre mondiale. Ce sont des techniques qui ont été établies et utilisées à maintes reprises par plusieurs.
00:58:09 Le chantage émotif qu'on a subi.
00:58:12 Exactement. Mais étant donné qu'on est dans une société, parce qu'en 1930-1945, les gens n'avaient pas les moyens de s'informer comme on les a aujourd'hui.
00:58:24 Aujourd'hui, ça devrait être beaucoup plus difficile, franchement, d'en arriver à ces résultats-là. Je veux dire, on a Internet, toutes les personnes peuvent être en communication les unes avec les autres à travers le monde en un éclair, en une fraction de seconde.
00:58:41 Moi, je comprends que dans les années 1930-1945, pas que je comprends que ça s'est fait, mais les gens ne pouvaient pas être informés. Mais aujourd'hui, on n'a plus d'excuses. Il faudrait que les choses bougent plus rapidement.
00:58:56 Mais c'est le contrôle des médias. On le sait que les gros médias ont été capturés. Et c'était 24/7 à la télé. Faites-vous vacciner, faites-vous vacciner, faites-vous vacciner.
00:59:05 Non seulement ça, si tu n'étais pas vacciné, tu étais une mauvaise personne. Nous autres, on a eu le chef de l'État-major Ayers, qui s'est fait interviewer à l'automne 2021, je me souviens bien, sur Global par Mercedes Stevenson.
00:59:20 Il a dit à la télé, « We cannot employ those people » d'une façon déragatoire. On ne peut pas employer ces gens-là. C'était la grosse négativité envers nous. Puis on s'est fait rentrer dedans comme il faut.
00:59:36 Les gens le savaient. J'ai des voisins qui me disent « Hey, es-tu vacciné? » J'ai dit non. J'ai plusieurs voisins qui ont des problèmes. J'ai un de mes voisins, il n'y a pas si longtemps, juste avant Noël, il a poigné un caillot au cerveau.
00:59:58 Son fils a des gros problèmes après la vaccination. J'ai quatre membres de la famille qui ont soudainement développé du psoriasis.
01:00:11 Ce qui est grave, ce qui est grave, excusez-moi, je vais juste faire un commentaire. Ce qui est grave, parce que j'ai parlé tout à l'heure d'informations qu'aujourd'hui on n'a plus d'excuses, mais là on est en train de rentrer dans une nouvelle étape.
01:00:26 Hier ou ce matin, j'ai publié un nouvel article, un article sur une loi qui est passée en Angleterre. Là, ils sont en train de… mais pas ils sont en train, la loi, elle est votée. C'est une loi qui criminalise ceux qui publient des fausses nouvelles, mais tout en immunisant les médias mainstream.
01:00:46 La loi, elle existe, elle a été signée et adoptée en Angleterre. Puis comme on conclut à la fin de l'article, cette loi-là en Angleterre va fort probablement s'étendre à travers le monde.
01:00:58 Fait que là, j'ai parlé d'Internet tout à l'heure, on a Internet pour s'informer, mais là, ce qui arrive, c'est qu'on est en train de le perdre. Comme moi, mon site Internet, en tant que journaliste indépendant, je m'attends éventuellement… mon site ne sera pas fermé comme tel, mais plus personne ne va y avoir accès, il ne sera plus référencé dans les moteurs de recherche, je ne pourrai plus publier mes articles sur les réseaux sociaux.
01:01:25 Fait que là, c'est là qu'en tant que peuple, en tant que population, nous allons tomber tranquillement dans la dictature de ceux et celles qui vont nous dominer et qui vont nous donner leur information, qui en fait souvent vont être la fausse information, mais nous, on n'aura plus de possibilité de combattre cela.
01:01:48 Je pense qu'on n'aura pas le choix de revenir au réseautage direct avec des formats papiers comme dans le bon vieux temps et de se regrouper en cellules régionales, parce que sinon, on est littéralement condamné à mourir. Ils nous ont guidés à utiliser ces instruments-là électroniques qui sont littéralement sous leur gouverne, ils contrôlent exactement le narratif qui s'y déploie et on n'a pas le choix de faire un boulot, sinon on est foutu.
01:02:17 Éric, je te comprends parfaitement, par contre, je vais amener quand même un bémol à ce que tu dis. Oui, je comprends qu'on peut réseauter le quartier, les gens qui sont autour de nous, on ne pourra pas aller beaucoup plus loin que ça. Je veux dire, on vit à l'époque des ordinateurs quantiques.
01:02:36 Je veux dire, oui, ok, on peut réseauter, mais ce qu'on va se dire dans un petit groupe, si on n'a pas accès à des moyens de diffusion rapide et efficace, ça ne nous mènera nulle part. Nous autres, on va vivre au Moyen-Âge, tandis que ceux qu'on appelle les globalistes pour l'instant, je sais que Claude n'est pas d'accord avec ça, mais pour la conférence, on va les appeler comme tel.
01:03:00 Les globalistes, eux, ils vont avoir des ordinateurs quantiques. Je veux dire, c'est comme nous, on va avoir pour communiquer ensemble des feux, comme les amérindiens, puis eux, ils vont avoir des ordinateurs quantiques à la vitesse de la lumière. Donc oui, je comprends cette idée de réseauter avec du papier, mais je te jure que si on en est là, on est fait.
01:03:21 On est rendu à l'époque du film « Demolition Man » où les gens vivent dans les sous-sols en mangeant du rat, et puis ceux-là en haut sont dans le système avec le Dr Cocteau qui leur dit « c'est du Taco Bell que tu vas manger, c'est pas du Burger King ».
01:03:38 Donc, messieurs-dames, étant donné qu'on a fait un tour de table, général, là, il ne faut pas se gêner, on entreprend comme une discussion. Donc, on a le droit de se couper, d'intervenir, de poser des questions. Donc, si vous voulez, je ne sais pas, peut-être que vous aimeriez parler plus précisément de la poursuite comme telle. Peut-être, M. Cloître, vous aimeriez…
01:04:01 On est trop tard dans les Forces canadiennes, on ne trouve jamais la parole.
01:04:05 Ok. Non, mais ce que je veux dire, c'est qu'il ne faut pas attendre de la question, là, on est en conversation tout le monde ensemble. Comme c'est une conversation de cuisine qu'on fait, ok? À la Québécoise.
01:04:17 Au fait, si je peux y aller, comme tu dis, M. Claude Laferrière, il a fait un commentaire tantôt, il dit « lui, il ne pense pas que ça va donner de quoi ». Puis, je ne suis pas farmé à cette idée-là parce que tout est déjà « staged », les juges en place, tout le monde est là.
01:04:36 Moi, je ne connais personne qui a voté pour Justin Trudeau, je ne vais pas me lancer dans cette conversation-là, mais c'est vrai pareil. Mais moi, ce qui est important pour moi personnellement, c'est d'être capable d'enregistrer en quatre parts dans les archives que moi, j'ai poursuivi, moi, j'ai fait de quoi, puis moi, je ne me suis pas laissé écrasé par cette approche-là, par la gouvernementale.
01:05:01 Je n'ai pas voté le gouvernement-là, je suis… ça devient complexe, toute cette…
01:05:06 Je me permets de te répondre, Stéphane. Si Pierre Poilievre, qui a le pouvoir de donner son 4% au juge en chef, de changer le juge en chef, en espérant que d'autres juges vont démissionner, vont quitter, vont prendre de retraite, ça peut faire une différence.
01:05:33 Parce qu'il faut comprendre que l'arme secrète des libéraux de tout temps, ça a été les nominations judiciaires. Ils nomment des juges, ce que les conservateurs n'ont pas nécessairement tendance à faire.
01:05:48 Je le sais parce que j'ai été très près du gouvernement Harper, et un des reproches que je faisais à des gens haut placés au Sénat et parfois des ministres, c'est de nommer des juges, surtout au Québec, des juges libéraux, des avocats libéraux,
01:06:06 qui se ramassent sur le banc, et de ne pas prendre en compte les valeurs conservatrices ou encore le background intellectuel des avocats qui postulent des nominations comme juge.
01:06:22 Donc, si Poitiers adopte une approche vraiment conservatrice, conservatrice avec un grand C, pas un conservateur à la Brian Mulroney, ce qui est libéral en fait, mais un vrai conservateur à la sauce républicaine, si on veut,
01:06:43 comme aux États-Unis, je dirais, et qui fait des changements importants dans la structure du système judiciaire, à ce moment-là, je pense qu'il y a de l'espoir.
01:06:56 Mais dans l'état actuel des choses, la façon dont toutes les nominations que Justin fait, parce qu'il a probablement sent que la soupe est chaude, il nomme beaucoup de juges de ce temps-ci.
01:07:08 Vous allez sur le site de Justice Canada, vous regardez les nominations judiciaires, regardez les nominations depuis deux ou trois dernières années, il remplace.
01:07:18 Il place des gens qu'il connaît. Il ne place pas ses ennemis, il veut protéger son héritage politique. C'est ça que les politiciens font avec le système judiciaire.
01:07:29 Comme aux États-Unis, si vous regardez CNN ou Fox, quand ils parlent d'un juge, ils vont dire « c'est Obama appointé » ou encore « c'est Bush appointé » en d'autres termes.
01:07:41 Et là, on voit avec tous les dossiers que Trump a devant les tribunaux, chaque fois qu'il se fait planter, c'est par un « Obama appointé ». Mais c'est normal, c'est un démocrate.
01:07:51 Donc, il faut comprendre que le système judiciaire, le processus de nomination, il y a eu la commission Bastarache qui a soulevé des problèmes intéressants, mais le processus de nomination n'a jamais vraiment été réglé.
01:08:05 Puis, lorsque la « short list » est confectionnée par le commissariat de la magistrature, la « short list », qui c'est qui décide si vous avez 10 noms et qu'il y a deux postes?
01:08:17 Ben là, il va y en avoir 8 qui vont être frustrés, puis moi je le sais, j'ai été dans la liste des 8.
01:08:24 Il y en a deux qui vont se retrouver à la Cour supérieure ou à la Cour de l'appel.
01:08:29 Et là, on parle d'un salaire, d'un revenu d'entre 350 et 400 000 par année, ce qui est l'équivalent du revenu du premier ministre.
01:08:37 Le premier ministre, il n'aura pas nommé des gens qui sont des ennemis politiques sur le banc.
01:08:44 Ça c'est clair?
01:08:47 Et il y a là le problème. En Europe, il y a ce qu'on appelle l'école de la magistrature.
01:08:53 Ça, c'est un processus de nomination qui est beaucoup plus objectif.
01:08:56 Mais ici, on a la tradition britannique, puis du côté américain, c'est encore pire.
01:09:01 Ils ne se cachent même pas. Du côté américain, vous savez, vous écoutez les médias et vous dites,
01:09:06 ça c'est Obama appointé, c'est Bush appointé, c'est Trump appointé, so on and so forth. That's it.
01:09:13 Et il y a là le problème. Autrement dit, si Poitiers décide, passez-moi l'expression, de prendre le taureau par les cornes,
01:09:20 puis il dit, moi, le système judiciaire, on va en faire un système judiciaire conservateur, là vous avez des chances.
01:09:26 Mais est-ce que tu crois, Claude, que Poitiers va vraiment faire la différence entre toi et moi?
01:09:32 Je pense qu'à l'heure actuelle, avec le genre de paroles ou de discours qu'il tient dans les médias,
01:09:39 il est en train de… moi j'avais des doutes un peu, mais je vous dirais qu'il me rassure un peu.
01:09:48 Parce qu'il n'a pas peur de… il dit ce qu'il pense. Et je pense qu'il est conscient de l'emprise du Parti libéral sur l'appareil d'État.
01:10:00 Et il en est conscient. Et s'il veut remettre de l'ordre dans les finances publiques, il sait qu'il va devoir faire du ménage, du gros ménage.
01:10:08 Et ça, ça veut dire des coupures massives, ça veut dire aussi réorienter la politique extérieure du Canada,
01:10:18 que ce soit par rapport à l'Ukraine, par rapport au Moyen-Orient, et aussi à l'interne, énormément.
01:10:26 Écoutez, la liste des problèmes que Trudeau a créés, c'est énorme. C'est énorme.
01:10:32 Et en tout cas, moi je pense qu'il faut lui laisser une chance, parce qu'au fond, on n'a pas vraiment le choix.
01:10:39 Mais c'est ça, c'est parce qu'on n'a pas le choix. Parce que laisser des chances, on en a laissé à plusieurs personnes.
01:10:46 C'est vraiment parce qu'on n'a pas le choix. Moi je connais que c'est des chances.
01:10:52 Oui, mais donner un autre mandat à Trudeau, ben là, écoutez…
01:10:56 Non, non, non, c'est sûr.
01:10:58 Également, la décision à propos du gouverneur de la Banque du Canada va être cruciale,
01:11:07 parce que ça va peut-être donner un angle de ce nouveau gouvernement-là hypothétique,
01:11:12 s'il est élu, qui avait promis d'éjecter le gouverneur de la Banque du Canada.
01:11:17 Monsieur Laferrière, selon vous, est-ce qu'il va le faire?
01:11:20 Je pense que la Banque du Canada, à moins que je me trompe, c'est possible.
01:11:27 Dans le contexte actuel de l'inflation, de la crise du logement, la crise des banques alimentaires,
01:11:34 écoutez, on est rendu avec au-dessus de 10 000 sans-abri au Québec.
01:11:39 J'aimerais bien avoir le portrait canadien pour Vancouver et Toronto.
01:11:44 Là, maintenant, il y a des gens qui vivent dans des temples.
01:11:49 Et quand Pierre Poirier parle de tout ça à la Chambre des communes, je pense qu'il est sincère.
01:11:54 Et je pense qu'il fait bien d'amener ça, la fameuse crise du logement.
01:11:58 Pourquoi avoir une immigration massive?
01:12:01 Et là, j'aimerais rappeler de façon importante qu'au Canada,
01:12:06 parce que je pense que le premier ministre Trudeau ne le sait pas,
01:12:10 et là, je vais vous divulguer une information ultra secrète, top secret,
01:12:15 croyez-le ou non, ceux qui ont fait du renseignement.
01:12:18 Savez-vous, au Canada, il y a l'hiver.
01:12:21 Il y a l'hiver.
01:12:25 On ne le savait pas.
01:12:26 Ben non, mais Trudeau ne le sait pas.
01:12:29 Parce que si vous admettez des millions de réfugiés, des réfugiés économiques,
01:12:35 ce qui n'était pas admis autrefois, et que vous n'avez pas de logement,
01:12:39 qu'est-ce qui va arriver? Ils vont mourir. Le froid tue.
01:12:44 Ça, c'est un corollaire de la grande vérité.
01:12:48 « Mon pays, c'est l'hiver », disait Gilles Vigneault.
01:12:51 Mais ça, Trudeau ne le sait pas, Legault ne le sait pas, Valérie Plante ne le sait pas.
01:12:58 Ils ne le savent pas.
01:13:00 Si vous voulez admettre des réfugiés économiques, des bonnes personnes,
01:13:05 il faut les loger, sinon ils vont mourir.
01:13:08 Il y a des femmes, des enfants, ils vont mourir dans l'air, ils vont mourir dans l'as.
01:13:12 Il faut les loger.
01:13:14 Écoute, Claude, on a des gens dans les forces canadiennes
01:13:18 qui vivent dans leurs voitures et dans leurs tentes en ce moment.
01:13:21 Oui, je le sais.
01:13:23 À New-York et sur la côte de l'Ouest.
01:13:25 C'est parce que les logements sont soit inaccessibles ou sont trop chers.
01:13:31 On a des jeunes militaires qui vivent dans des tentes en ce moment.
01:13:34 Imagine. C'est là qu'on en est.
01:13:37 C'est là-dessus que Poilière tape sur le clou,
01:13:42 chaque fois qu'il est à la Chambre des communes, durant la période des questions,
01:13:46 des choses fondamentales que Trudeau, qui vit dans son petit monde,
01:13:50 de Outremont-Westmount, à Montréal, avec des maisons de 3 ou 4 millions,
01:13:55 lui, il vit dans la réalité, c'est que la majorité des Canadiens en arrachent.
01:14:01 On la vit difficile.
01:14:03 Je ne sais pas si il y en a d'entre vous qui faites de l'épicerie,
01:14:06 mais les prix ont augmenté. C'est absolument incroyable.
01:14:09 C'est scandaleux. C'est la même chose pour le logement.
01:14:12 C'est la même chose pour les hypothèques.
01:14:14 C'est la même chose pour l'augmentation des taxes municipales,
01:14:16 l'augmentation des assurances.
01:14:18 C'est skyrocket dans tout.
01:14:22 Maintenant, qui s'occupe? Est-ce qu'il y a quelqu'un qui tient le gouverneur?
01:14:27 Il est là, la question.
01:14:29 Et la Banque du Canada l'a dénoncé, pour répondre à mon collègue, en haut à droite.
01:14:37 Simplement, Poitiers se sert des arguments de la Banque du Canada
01:14:44 pour faire avancer son agenda politique.
01:14:48 Mais il est certain que si Poitiers prend le pouvoir demain matin,
01:14:51 les maisons ne vont pas pousser des champs pour pouvoir accueillir tout le monde,
01:14:55 parce qu'il y a des Canadiens qui ont besoin de logements.
01:14:58 Il y a des réfugiés, à cause de la politique d'immigration massive,
01:15:02 qui ont besoin de logements.
01:15:04 Ça va prendre au moins un an ou deux avant d'avoir des bâtisses habitables,
01:15:08 un peu sur le modèle des cités à Paris ou des cités à Londres.
01:15:13 Parce que si vous êtes déjà allé en Angleterre, vous avez des immenses bâtisses en béton.
01:15:17 Et vous avez des balcons communs.
01:15:20 Si vous allez dans le banlieue de Londres, dans le banlieue de Paris,
01:15:23 et là vous avez ce qu'on appelle des cités.
01:15:25 Autrement dit, d'immenses blocs d'appartements.
01:15:28 C'est ça qu'on va devoir bâtir pour loger à prix raisonnable tout le monde.
01:15:34 Maintenant, on est loin.
01:15:36 À prix raisonnable? Je ne suis pas certaine de ça.
01:15:38 Mon conjoint est dans la construction, puis ce qu'il a entendu dire, c'est épouvantable.
01:15:42 Ils vont construire des blocs d'appartements de masse à Trois-Rivières,
01:15:47 puis ça va revenir à 1,2 million par porte.
01:15:51 C'est débile.
01:15:52 Il doit y avoir des pots de vin quelque part, c'est certain.
01:15:55 L'exemple que je donnais, c'est ce qui existe déjà à Paris et à Londres.
01:15:59 Vous allez en banlieue de Paris, en banlieue de Londres,
01:16:02 vous avez ce qu'on appelle des cités qui sont souvent habitées par des gens
01:16:07 qui viennent du Maghreb, d'Algérie, de Tunisie, de Maroc.
01:16:10 Et souvent, la police a perdu le contrôle sur les cités.
01:16:14 Ça, c'est un autre dossier.
01:16:16 Mais vous avez la même chose à Londres et dans les grandes villes d'Europe.
01:16:20 Évidemment, ce qui se passe ici au Québec,
01:16:22 on est la province la plus corrompue.
01:16:24 Il y a eu pas mal de reportages et de commissions là-dessus.
01:16:27 Probablement qu'il faut huiler la machine si on veut que ça fonctionne.
01:16:33 Parce que sans ça, ça bloque.
01:16:35 Donc Serge, je vais revenir à toi,
01:16:37 parce que je sais que tu aimerais faire un compte-rendu justement de la poursuite.
01:16:42 Donc, on t'écoute. Pourrais-tu nous en parler?
01:16:44 Oui, et Claude, tu peux m'aider avec la nomenclature de certains termes,
01:16:48 parce que j'ai tout ça en anglais.
01:16:50 J'ai fait une couple de traductions, mais ce n'est pas vraiment les termes traduits comme du monde.
01:16:54 Je veux juste donner un compte-rendu, comment ça a commencé,
01:16:56 et où est-ce qu'on en est rendu en ce moment.
01:16:59 Puis, tu as ta question, Claude Bonheur, tu parlais de recours collectif.
01:17:03 Notre avocate était très, très consciente dès le début
01:17:07 qu'il n'y a aucun juge qui allait accepter un cas, une poursuite,
01:17:12 en disant « vaccin mauvais, on n'en voulait pas ».
01:17:16 Elle était certaine, et Claude, tu peux interjecter n'importe qui en là-dedans,
01:17:20 mais elle était certaine que ça ne passerait pas.
01:17:23 Ce qu'elle a décidé de faire, c'est des poursuites en responsabilité délictuelle,
01:17:28 des « tort lawsuits ». C'est collectif, mais juste dans notre groupe à nous autres.
01:17:33 Est-ce que c'est en Ontario ou au Québec?
01:17:37 En Ontario. Bien non, elle a « file-é » ça, je pense que c'est en Alberta, si je me souviens bien.
01:17:41 En Alberta. En Alberta qu'elle a « file-é ».
01:17:44 Oui, parce qu'elle est à Edmonton, juste en dehors d'Edmonton.
01:17:49 Là, c'est ce qu'on appelle une « tort lawsuit », une poursuite en responsabilité délictuelle.
01:17:55 Elle a utilisé une approche, parce qu'elle a mis, comme elle l'a dit, son petit chapeau de penseur.
01:18:04 Elle a dit que c'est un « tort of public malfeasance »,
01:18:08 qui est un délit civil de malversation publique.
01:18:11 C'est quand, ça n'a pas été utilisé souvent, mais il y a des précédents pour ça,
01:18:17 c'est quand les offices publics abusent de leurs gens.
01:18:22 Puis c'est là qu'il y a de l'avance, parce que nos poursuites, c'est des poursuites d'abus de pouvoir.
01:18:29 Il y en a déjà eu plusieurs dans les postes, et ça a été gagné plusieurs fois.
01:18:34 Oui, au Québec, je vais t'arrêter Serge, au Québec, on n'a pas ce genre de poursuites-là.
01:18:40 Ce genre de procédure-là, dis-je, en France, c'est long, ça s'appelle « abus de biens sociaux ».
01:18:47 Et à ce moment-là, ça fait en sorte qu'ici, au Québec, c'est vraiment un problème.
01:18:54 Il faut aller, pour faire l'équivalent de ça, il faut aller dans un dossier de fraude.
01:18:59 C'est ce qui fait que je peux difficilement me prononcer sur quelque chose.
01:19:03 Enfin, je vais être très prudent avant de faire des commentaires sur la poursuite de ma consoeur en Alberta,
01:19:10 étant donné qu'au Québec, on n'a pas ça du tout. C'est complètement étranger, notre droit.
01:19:15 Puis elle, sa force, un, elle a été éduquée sur la Constitution canadienne, un.
01:19:26 Puis deux, ça fait 20 ans qu'elle prend des cas militaires.
01:19:33 Ça fait qu'elle connaît les livres de A à Z, elle connaît la loi militaire de A à Z.
01:19:39 Ça fait que non seulement elle connaît la loi canadienne, elle connaît la Constitution.
01:19:43 Ça fait que c'est peut-être une des plus qualifiées au Canada pour nous aider avec la poursuite.
01:19:48 Ça fait que l'été passé, en juin 2023, on était le premier groupe, ce qu'on appelle le 1.0.
01:19:55 On a déposé ce qu'on appelle le Statement of Claims, qui est notre déclaration pour la Cour.
01:20:01 Ça avait 137 pages et comme peut-être tu as eu une copie, je sais que Guy, j'en ai envoyé une copie.
01:20:08 On dit qui qu'on amène en cours, ils sont 10 ou 12, le chef d'état-major de la gang.
01:20:14 Excuse-moi Serge, pour consulter la poursuite, les 140 pages, il y a le lien en dessous de l'écran.
01:20:22 Si les gens veulent le noter, vous allez sur mon site internet et vous allez pouvoir consulter la poursuite.
01:20:28 Puis là avec ça, c'est juste un paragraphe sur chaque personne. On est 330 personnes dans 1.0.
01:20:39 Ça fait que chacun d'eux autres ont leur paragraphe et même si tu as soumis 50 pages dans ton affidavit,
01:20:47 tu as un paragraphe. C'est beau. Ça c'est juste la première tranche, c'est pour commencer le tout.
01:20:53 Là, la couronne, parce qu'on poursuit la couronne, la couronne avait tant de jours pour répondre.
01:21:00 Je pense que c'était 30 jours, je ne me souviens pas exactement.
01:21:02 Il était en retard, ils ont demandé une extension. Notre avocate l'a donné, c'était un autre 2 semaines de plus.
01:21:10 Il était toujours en retard, finalement il était 21 jours plus tard que ça, 3 semaines plus tard.
01:21:15 Ça fait qu'ils nous ont donné, après tout ce temps-là que c'est passé, après notre statement of claim, notre déclaration,
01:21:23 leur défense avait seulement 8 pages et c'était vraiment pathétique. C'était safe and effective en gros.
01:21:31 Mais c'est pas ça, nous autres, c'est pas de ça qu'on parle. C'est un abus de pouvoir.
01:21:35 On parlait, c'est vraiment, le vaccin lui-même, on n'en parle vraiment pas.
01:21:39 C'est les mandats qui ont été poussés sur nous autres illégalement, un, parce qu'on est eux sur 30 points.
01:21:47 Si tu lis le statement of claim, on a les 30 points, ils ont brisé la protection sur les renseignements personnels à main de foi.
01:21:57 On les a là-dessus. Non seulement on les a, on a 300 000 pages d'évidence contre eux autres.
01:22:05 Parce que ce qu'on a commencé à faire il y a 2 ans, c'est qu'on a payé une petite 5$,
01:22:11 pis t'es capable de faire des requêtes d'information au travail du gouvernement.
01:22:14 Pis on a eu des gens dans notre groupe partout qui ont fait des requêtes sans arrêt.
01:22:18 Qui a dit quoi, qui, les courriels, les notes de service, toute la paperasse qui se passait entre les généraux et tout ça.
01:22:26 On a toutes les conversations. Mais qu'on va faire les dépositions d'ici quelques mois,
01:22:33 ils sont dans le gros quéquette. Parce qu'on a tout. Pis c'est de toute beauté.
01:22:39 Ça, ça les aide pas non plus. Numéro 2, après leur défense, on a fait une réponse.
01:22:46 Alors, ils sont rentrés dedans, la fin de la réponse.
01:22:49 Là, elle a ouvert pour une deuxième poursuite, ce qu'on appelle la 2.0, parce qu'il y a beaucoup de membres qui voulaient joindre.
01:22:58 On avait au moins 500 personnes qui voulaient joindre la deuxième.
01:23:03 Et puis, à cause qu'il y avait une date limite, on avait juste une certaine date pour les amener en cours,
01:23:10 on a seulement 128 qui ont joint la deuxième. Ça fait qu'on est quand même 548 en tout, ce qui est quand même un bon numéro.
01:23:24 Ça fait que là, on les a sur, ils ont utilisé la section 7, la charte des droits.
01:23:30 On les a sur, comme je dis, sur Privacy Breach, sur la protection de renseignement personnel.
01:23:36 On les a sur une trentaine de claims, anyway, là-dessus.
01:23:41 Il y avait le choix éclairé au consentement, au traitement médical qui était là-dedans aussi.
01:23:49 Oui, il y a. Mais le tout, c'est vraiment l'abus de pouvoir qu'ils ont fait.
01:23:56 Je vais te donner un exemple. On a un jeune homme à Valcartier qui ne voulait pas le vaccin.
01:24:04 Sa major s'est planté dehors comme piquette, en dehors de la porte de son building, de son établissement,
01:24:16 pendant l'hiver, pendant trois mois. Il fallait qu'il reste là toute la journée à rien faire.
01:24:22 Et puis, tous les jets, ses coéquipiers qui rentraient le matin et qui s'en allaient le soir, riaient de lui.
01:24:28 On ne traite même pas nos prisonniers de guerre comme ça.
01:24:31 Le jeune homme a perdu 20 % de sa masse musculaire jusqu'à temps qu'il n'était plus capable.
01:24:36 Ils l'ont brisé. Cette major-là, elle l'a brisé, le jeune. Il a sorti des forces.
01:24:41 Physiquement, mentalement, il est encore en train d'essayer de revenir de ça.
01:24:45 Ça, c'est juste un exemple d'abus de pouvoir.
01:24:48 Excusez-moi l'expression, mais je trouve ça écoeurant. Je reviens à ce que j'ai dit au début.
01:24:54 C'est bien beau de rentrer dans l'armée. Les gens qui rentrent dans l'armée veulent servir leur pays.
01:24:59 En général, ce sont des gens honnêtes qui ont envie d'avoir une mission.
01:25:04 Puis oui, servir les ordres. Je comprends, il faut suivre les ordres quand on rentre dans l'armée,
01:25:10 mais pas ce genre d'ordre-là. Ça, c'est des abus incroyables.
01:25:15 Oui, et moi, je parle en tant que cédule.
01:25:18 C'est incroyable. Mais si les gens savaient, c'est pour ça qu'on fait des podcasts.
01:25:23 On essaie de passer le mot.
01:25:25 Il faut pas se connaître aux gens ce qui s'est déroulé dans les forces armées.
01:25:29 Bien oui. Moi, écoute, je suis comme les deux autres, mais les trois autres militaires qui sont ici.
01:25:40 J'avais 100 % confiance dans mes confrères pendant toutes ces années-là.
01:25:44 Je me disais, on est du monde allumé, on a voyagé partout, on est allé à la guerre, on a tout ce type d'expérience.
01:25:50 Après 40 ans dans les forces, la plus grande déception de ma vie, c'est d'avoir tant de mes confrères
01:25:59 qui ont fait des choses si horribles. On a tellement d'exemples de choses comme ça.
01:26:05 Ça vient me chercher tellement profondément parce que j'étais militaire jusqu'à là.
01:26:11 J'ai adoré les forces. J'en mangeais. Puis ils ont détruit cette notion-là dans ma tête.
01:26:19 Anyway, je vais arrêter ici. Je vais continuer.
01:26:22 Après ça, on a continué. La prochaine étape, c'est affidavit of documents.
01:26:27 C'était donner notre liste de tous les documents qu'on a.
01:26:31 Comme je l'ai dit, on a au-dessus de 300 000 documents d'évidence.
01:26:35 On a donné une longue liste de tous les documents.
01:26:39 Là, on a attendu, attendu pour leur réponse. Pour leur liste, on n'a eu rien.
01:26:45 Ils nous ont donné absolument zéro.
01:26:47 Là, la poursuite 2.0 fait la même chose. On donne l'affidavit de documents.
01:26:55 Aucune réponse de la Couronne.
01:26:58 Là, on est rendu dans ce qu'on appelle en anglais « discovery phase ».
01:27:02 En français, je ne sais pas c'est quoi.
01:27:04 L'enquête.
01:27:06 L'enquête. Notre avocate a mis une motion pour avoir un jugement sommaire.
01:27:11 Bien sûr, la Couronne a opposé ça. La Couronne était même pas mal en maudit.
01:27:17 Mais là, on attendait après la Cour pour qu'elle décide sur la motion.
01:27:22 Notre motion a été entendue. Maintenant, on a ce qu'on appelle un « case management judge ».
01:27:34 Oui, c'est ça. C'est-à-dire que le juge va fixer une échéancier.
01:27:38 La motion, en français, c'est la requête.
01:27:41 Mais ce que j'aimerais savoir, est-ce qu'il y a des interrogatoires qui vont être prévues,
01:27:46 qui ont été discutées?
01:27:48 Ça s'en vient d'ici quelques mois. Quelques semaines ou quelques mois.
01:27:52 Notre avocate, ça fait quand même depuis le mois de décembre qu'elle travaille sur essayer d'organiser les dates.
01:27:59 Ça va se passer à Edmonton d'après moi d'ici le mois de mars à avril dans ce coin-là. Peut-être mai.
01:28:06 Puis, il y a des gars comme le général Ayer, le chef d'état-major, puis tous eux autres vont se faire questionner.
01:28:13 Non seulement ça, c'est les autres généraux qui se sont fait tasser.
01:28:17 Ils en ont long à dire aussi.
01:28:19 Ça fait qu'il va y avoir beaucoup de révélations explosives qui s'en viennent.
01:28:24 Et entre-temps avec tout ça, la commissaire à l'information du Canada amène les forces canadiennes en cours en ce moment.
01:28:38 Parce que nous autres, on fait des requêtes. On continue à en faire des requêtes.
01:28:42 Puis les forces se traînent les pieds.
01:28:45 Ils nous donnent des réponses. Ce n'est pas les bonnes pages. Ils font exprès, se traînent les pieds.
01:28:50 Là, elle, la commissaire à l'information du Canada les amène en cours.
01:28:54 Ça ne paraît pas bien encore une fois pour les forces canadiennes.
01:28:58 Les choses avancent.
01:29:01 Puis comme Claude dit, c'est quoi qui arrive dans les prochaines étapes?
01:29:07 C'est les interrogations à Edmonton.
01:29:10 Ça fait que beaucoup de nous autres, on va prendre l'avion et on va aller voir ça en personne.
01:29:16 Parce que moi, je veux faire face au chef d'état-major. Je veux le regarder dans le visage.
01:29:22 Puis j'ai des beaux commentaires de choix à lui dire, mais je veux être quand même poli.
01:29:27 Puis on a beaucoup de nous autres, parce qu'on a le droit, quand tu es plaintif, tu as le droit d'être dans la salle.
01:29:32 Ça fait que ça, c'est ce qui s'en vient.
01:29:38 Est-ce que le public, en général, peut assister par caméra à ces questions?
01:29:44 Non, ça va être juste pour les plaintifs.
01:29:47 Ah oui, OK.
01:29:48 Oui, juste pour les plaintifs. Mais, tout ce qui va se dire, les transcripts, vont être donnés au public une fois que la cour les relâche.
01:29:59 Il faudrait essayer de trouver les liens internet de ces transcriptions-là.
01:30:04 Parce que souvent, oui, c'est public, mais on ne trouve jamais des informations.
01:30:08 Donc, si quelqu'un pourra partager, ce sera bien.
01:30:11 Mon Guy, n'inquiète pas, on va tous te donner ça.
01:30:13 Oui, c'est ça.
01:30:14 N'inquiète pas. Parce qu'une des stratégies qu'on fait, c'est il faut…
01:30:18 You gotta win public opinion. L'opinion publique, c'est très important.
01:30:22 C'est pour ça que c'est peut-être mon dixième podcast que je fais en ce moment.
01:30:27 Je l'ai fait plusieurs années passées et on fait des interviews avec des médias plus conservateurs qu'ils nous écoutent,
01:30:36 comme Epoch Times, puis le Western Standard dans l'Ouest, des choses comme ça.
01:30:41 Ça me donne l'occasion de parler de ça. J'avais une question à poser.
01:30:45 Peut-être toi, Serge, tu peux répondre ou quelqu'un d'autre.
01:30:49 J'ai remarqué que les fameux médias mainstream ne parlaient pas vraiment de votre cause.
01:30:55 Je n'ai pas vu de grandes informations dans les médias.
01:30:59 La télévision n'en parle pas. Ça ne passe jamais aux nouvelles.
01:31:02 Ça ne passe jamais à la radio.
01:31:05 Les seuls… et ça, ce n'est pas pour dénigrer, au contraire.
01:31:09 Les seuls podcasts, justement, que vous avez eus, c'est dans ce qu'on appelle les médias alternatifs.
01:31:15 Est-ce qu'il y a des médias mainstream, grand public, qui commencent à s'intéresser à votre cause?
01:31:21 Peut-être Stéphane…
01:31:22 Je pense qu'il y a eu un article dans le National Post, je me souviens bien.
01:31:27 Puis, il y a eu, je pense que c'était Global qui avait interviewé notre avocate.
01:31:33 Ils ont donné 11 secondes. Ça ne t'explique rien.
01:31:37 Oui, mais 11 secondes.
01:31:39 Ok.
01:31:40 C'est tout ce que j'ai vu.
01:31:41 Non, mais c'est ça qui est malheureux. Comment on peut avoir l'opinion…

Recommandations