Finale : Nigeria - Côte d'Ivoire à la CAN 2024

  • il y a 8 mois

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00:00 Ce que Mesfahy a trop rassuré de faire.
00:03 Et aujourd'hui je pense que c'est la récompense d'un groupe, mais surtout aussi d'un entraîneur
00:07 parce qu'il ne faut pas oublier le boulot qu'il faut au quotidien.
00:10 Il recolte un peu les fruits de ce travail-là.
00:12 On a vécu une Coupe d'Afrique avec beaucoup d'émotion, mais j'ai envie de dire réussite
00:19 dans tous les plans.
00:20 Le plan de l'organisation, le plan des matchs, des matchs exceptionnels, des rebondissements,
00:25 l'arbitrage qu'on ne parle pas souvent assez parce que pendant des années on a longtemps
00:29 critiqué l'arbitrage là-bas qui a été, je trouve, juste.
00:33 Donc je pense que oui, il faut féliciter cette Côte d'Ivoire-là pour l'organisation
00:36 de la canne.
00:37 Et Vanessa, pour terminer, elle a mis la barre très très haute aujourd'hui.
00:41 Est-ce que celui qui n'avait pas raison dans cette canne finalement, c'est pas Chancel
00:45 Bemba ? La justice de Dieu.
00:47 On est obligé de parler de ça.
00:49 C'est vrai qu'il y a quelque chose qui habite chacune des nations qui participent
00:52 à cette Coupe d'Afrique des Nations.
00:54 Toutes viennent avec cette foi aussi qui les habite et qu'on ressent.
00:57 Oui, ça joue beaucoup Vanessa et c'est important de le signaler.
01:00 Le continent africain est très croyant, que ce soit la religion musulmane ou catholique.
01:04 Et ils sont beaucoup.
01:05 Tout ce qui arrive, c'est tout ce que Dieu fait est beau comme on dit ici.
01:09 Et effectivement, on ne perd jamais l'espoir.
01:11 Quel que soit le scénario, on prie toujours le bon Dieu et on espère toujours le mieux.
01:16 Donc effectivement, il faut le signaler.
01:20 Et c'est important de le dire.
01:22 Mais nous, on n'a jamais lâché.
01:23 C'est vrai que même quand on perd 4-0, on est déçu.
01:26 Mais comme je dis souvent, il y a un proverbe qui dit que le découragement n'est pas ivorien
01:30 au Côte d'Ivoire.
01:31 Et effectivement, on ne s'est jamais découragé du début à la fin.
01:34 Et aujourd'hui, on est champion d'Afrique, c'est juste exceptionnel.
01:36 Tu l'aurais pensé quand on a commencé cette canne et quand on était après le match
01:40 de la Guinée équatoriale, tu étais au fond du saut.
01:43 Non, effectivement.
01:44 Et si je dis que je le savais, c'est mentir.
01:47 Effectivement, le scénario était catastrophique dans ce même stade.
01:50 Tout le monde était déçu.
01:51 Mais le lendemain, tout de suite, on y a cru.
01:54 Parce que tant qu'il y avait la vie, il y a l'espoir, comme on dit.
01:56 Donc il y avait une petite chance.
01:57 Le Maroc nous a fait une faveur.
01:59 On a pris ça comme une deuxième vie.
02:01 Après, on a regardé devant et aujourd'hui, on est champion.
02:03 Je pense en plus que Vanessa, il faut peut-être le dire, c'est la première fois dans l'histoire
02:06 de la canne qu'on a un pays qui va gagner la canne avec un entraîneur qui a été remplacé
02:11 au cours de la compétition.
02:13 Donc une fois de plus encore, on rentre encore dans l'histoire de la Coupe d'Afrique.
02:18 Et cette histoire-là, elle s'est écrite ici, en Côte d'Ivoire, avec un public chaleureux.
02:23 On a même pu la voir parce que nous aussi, on a vibré, on a crié.
02:25 On était bien sûr objectifs et impartiales parce qu'on n'avait pas forcément de parti
02:30 pris.
02:31 Mais je suis content pour Saul parce qu'on a vécu cette campagne ensemble depuis le
02:34 début.
02:35 Et aujourd'hui, il récolte aussi des fruits de tout ça.
02:39 Une pensée quand même, parce que les fruits récoltés, à la base, il y a eu un cultivateur.
02:44 Une pensée pour Jean-Louis Gassé et Justin Printemps, que vous connaissez très bien
02:47 tous les deux.
02:48 Oui, il faut le signaler Vanessa, vous avez raison, parce qu'il y a un travail de fond
02:50 qui a été fait aussi avant.
02:51 Il a fait des choix forts en sélectionnant Allaire et Adingras.
02:55 Il a été contesté aussi par rapport à ces choix-là.
02:57 Et en ne prenant pas Zaha aussi.
02:59 Exactement, j'allais le signaler, il a laissé Zaha à la maison.
03:01 Et malgré tout ça, la victoire est là ce soir.
03:04 Et effectivement Vanessa, il faut le signaler.
03:06 Un grand merci à Jean-Louis Gassé, c'est un adjoint apprécié.
03:08 Concernant ça, j'ai une question.
03:10 Qui a mis l'huile sur le riz de Zaha ?
03:12 Non mais parce que je me pose...
03:14 On cherche encore.
03:15 Moi je ne rentre pas dedans.
03:16 On ne rentre pas dedans les champions, c'est ça qui compte.
03:19 L'autre stat très importante à signaler aussi,
03:22 et pourquoi cette canne rentre dans l'histoire,
03:24 ça faisait 17 ans qu'un pays autre n'avait pas remporté
03:26 la Coupe d'Afrique des Nations.
03:27 Et c'est la Coupe d'Ivoire, c'est un symbole.
03:29 Moi je pense aussi à Belgique.
03:30 Je pense aussi parce que pour toutes ces raisons-là,
03:33 on fait la canne, jamais personne ne l'a gagnée à domicile.
03:37 Ça a été compliqué, avec des scénarios extraordinaires.
03:40 Et effectivement aujourd'hui c'est facile de dire que c'était écrit.
03:43 Mais je pense qu'il y avait le signe du destin qui passait par là aussi.
03:47 Et surtout il faut se le rappeler,
03:48 parce que quand on a commencé la compétition avec ce mat d'ouverture,
03:51 on s'est dit que pour la Côte d'Ivoire, ça pouvait être compliqué.
03:54 Parce qu'on sait que c'est un public qui est trop demandeur,
03:57 qui demande énormément à ses joueurs.
03:59 L'idée, on s'était dit, c'était de pouvoir ramballer,
04:02 les amener avec soi,
04:03 tous les porter jusqu'aujourd'hui.
04:05 Et c'est ce qu'ils ont réussi à faire,
04:06 même si on sait que le début a été compliqué.
04:09 Ils reviennent de l'enfer, des ténèbres.
04:11 Et comme je disais à Sol, j'ai dit,
04:13 honnêtement, vu comment le scénario est écrit,
04:16 je pense que la Côte d'Ivoire ira jusqu'au bout.
04:18 Parce que moi, je ne vois pas une autre issue dans ces matchs d'aujourd'hui.
04:22 Julien Chaput, Robert Malm,
04:23 qui était au commentaire tout au long de cette compétition
04:26 des matchs de la Côte d'Ivoire,
04:27 vous aussi, vous avez vibré avec ces éléphants.
04:30 Vous aussi, vous êtes complètement cuit émotionnellement,
04:32 je pense qu'on peut le dire.
04:34 Oui, et même d'ailleurs, ça nous a valu quelques reproches,
04:37 parce que parfois, on nous a dit qu'on était pro-Côte d'Ivoire.
04:40 Non, c'est pas vrai.
04:41 On a supporté toutes les nations dans cette gagne.
04:43 On était derrière tout le monde.
04:44 Mais évidemment, le football est vecteur d'émotion.
04:47 Et l'équipe qui nous a transmises, à nous, à vous aussi,
04:50 devant votre télé, le plus d'émotion, c'est la Côte d'Ivoire.
04:53 Le parcours, il a quelque chose d'irrationnel.
04:56 Personne ne pouvait arrêter la Côte d'Ivoire, Robert.
04:58 Chaque match était une surprise, une nouvelle surprise.
05:01 Non seulement une nouvelle surprise, de la progression aussi dans le jeu.
05:06 Tout a été dit.
05:07 Mais moi, si je reviens purement sur le plan sportif,
05:10 cette demi-finale et cette finale qui a été jouée ce soir
05:13 ont été les deux matchs les plus aboutis de la part des Ivoiriens
05:18 qui leur ont permis justement d'être champions d'Afrique ce soir.
05:21 Alors après, on peut utiliser tous les superlatifs, c'est vrai.
05:24 Toutes les croyances que vous voulez.
05:25 Je vous l'accorde aussi, c'est vrai.
05:27 Mais il n'y a qu'une chose qui compte, c'est le sportif.
05:30 Et ce qu'a fait la Côte d'Ivoire à partir des demi-finales,
05:34 non, des huitièmes de finale,
05:36 parce que c'est là où la véritable compétition a commencé pour eux
05:39 jusqu'à la victoire de ce soir a tout simplement été magnifique.
05:43 Et la Côte d'Ivoire n'a rien volé à personne.
05:45 Il n'y a pas eu d'arbitrage maison.
05:47 Tout ce que la Côte d'Ivoire a eu, elle a été le chercher.
05:51 Et je tenais aussi à vous remercier, messieurs,
05:52 parce que vous nous avez transmis vos émotions durant les commentaires.
05:56 Et d'ailleurs, c'est, je pense, une belle récompense pour vous.
05:59 C'était vos commentaires qui étaient lors de la cérémonie de clôture
06:02 avec les films sur les parcours des équipes.
06:05 Et ça, c'est une belle récompense sincèrement,
06:06 parce que voilà, on a pris plaisir aussi à suivre les matchs avec vous.
06:10 Merci beaucoup, Vanessa.
06:11 Et comme on est dans les remerciements,
06:12 je vais juste monopoliser un peu l'antenne.
06:14 30 secondes.
06:15 Je voudrais remercier Marilyn Flech,
06:16 qui a été tout simplement énorme,
06:18 sans qui rien n'aurait pu être possible au niveau technique ici durant cette canne.
06:21 Je remercie Tom Courteau au digital, qui a été au top également.
06:25 Guillaume Truyer au ZTV,
06:27 qui a tenté d'être drôle tout au long de la compétition.
06:29 Il a commencé à y arriver un petit peu sur la fin.
06:31 Et je remercie mon compagnon aussi, Robert, qui m'a accompagné.
06:35 Et avec qui ça s'est super bien passé.
06:37 Un grand merci à tous.
06:38 Je vous incloue aussi, Vanessa, à Sol.
06:40 Tous les consultants qui ont été avec vous aussi sur le plateau de Club Canne.
06:44 Écoutez, comme disent les jeunes, comme peut dire mon fils, on va kiffer.
06:48 On profite de cette ambiance.
06:49 Je commence à perdre aussi un petit peu la voix.
06:52 Mais sincèrement,
06:53 ouais, c'est...
06:55 Je dis putain, on a kiffé.
06:57 Voilà.
06:58 Vous vous mettrez habillés dans la tirelire.
07:01 D'accord ? Et restez lucides quand même, parce que c'est pas terminé le travail.
07:03 À tout moment, on peut vous engueuler quand même derrière.
07:05 Et évidemment, moi, j'en profite.
07:07 Désolée, on fait les remerciements aux parents et tout.
07:10 À mon papa du travail, pour le coup, même s'il est plus jeune que moi, Julien Gray.
07:14 Franchement, voilà, on t'aime beaucoup.
07:15 Merci pour tout ton boulot.
07:17 Merci à tout le monde aussi du côté de la Factory à Be In Sport.
07:20 Merci à Célia, notre stagiaire très très précieuse.
07:22 Et rendez-vous au Maroc.
07:24 Et oui, rendez-vous au Maroc.
07:25 Bien sûr, on a fini nous avec nos remerciements.
07:28 Une image à vous proposer, regardez.
07:30 Parce qu'il est aussi très fair play.
07:31 C'était l'une des stars de cette compétition.
07:34 Il l'a pas déçu, c'est Victor Ossimène.
07:36 Victor Ossimène en train de faire un selfie avec un fan.
07:42 On va l'appeler comme ça.
07:43 Non, mais je pense que même dans la défaite, il faut rester fair play.
07:48 C'est une belle équipe.
07:49 Oui, ils ont une très belle équipe.
07:51 On les a notamment suivis il y a deux ans.
07:53 On s'était un peu inquiétés parce qu'on trouvait que cette équipe manquait un peu d'équilibre défensif.
07:59 Mais là, du coup, lors de cette compétition, ils sont revenus avec beaucoup plus d'assurance.
08:04 Ils ont fait le boulot.
08:05 Malheureusement, ils sont tombés face à une belle équipe de Côte d'Ivoire
08:08 qui avait une revanche, qui revenait des ténèbres.
08:10 Et puis, les destins, je pense, étaient tous tracés.
08:15 Dans quelques instants, la remise du trophée de ce vainqueur de la Coupe d'Afrique des Nations.
08:19 Mais avant cela, on va vous proposer de revoir un peu ce match.
08:22 Les moments forts de cette rencontre.
08:24 Ça va faire plaisir à Sol.
08:26 D'autant plus que derrière, tu sais maintenant quelle est la victoire.
08:29 Ce sera moins difficile de voir cette ouverture du score du Nigeria à la 38ème.
08:33 Premier tir cadré, un coup de pied arrêté à la tête de Trost et Kong.
08:36 Le capitaine, troisième but du défenseur du Nigeria dans cette canne.
08:40 Deux tirs cadrés, un but en première mi-temps.
08:43 Donc pour ce Nigeria, une leçon de réalisme à ce moment-là.
08:45 Exactement.
08:47 C'était vraiment contre le cours du jeu parce qu'on a vraiment entamé le match
08:51 avec plein de bonnes intentions.
08:53 On a dominé les 15-20 premières minutes.
08:55 Malheureusement, leur première incursion, ils obtiennent un coup de pied arrêté.
08:58 Sur corner, ils marquent le premier but sur leur seul tir cadré.
09:02 Vraiment, c'était difficile, mais effectivement, on est bien revenus après.
09:05 Un but à zéro à la mi-temps, mais on le savait,
09:09 les éléphants ont cette capacité de revenir.
09:11 Et pour la cinquième fois en six matchs,
09:14 ils vont égaliser, ils vont revenir grâce à Franck Quessier.
09:19 Donc sur un corner, Franck Quessier, le capitaine des éléphants,
09:22 deuxième but de la compétition.
09:24 Oui, je pense que Quessier a été très précieux dans ce match-là.
09:27 Son coup de tête, il est magnifique.
09:29 Le centre de Andingra, qui a été aussi très, très bon.
09:32 Notamment, on se rappelle de l'action, toujours avec Andingra sur le côté,
09:35 qui déborde, qui sonne.
09:37 Quessier qui avait du mal à ajuster sa tête, mais là, sur le corner,
09:39 il se fait oublier au deuxième poteau.
09:42 La défense nigérienne est attentiste.
09:44 Et puis derrière, il met une belle tête piquée pour aller tromper le gardien nigérien.
09:50 L'état d'esprit, vraiment, de Franck Quessier, en chef de troupeau,
09:55 donc ce Franck Quessier au cours au Moulin,
09:56 qui a impulsé véritablement un état d'esprit à cette équipe.
10:00 Sébastien Aller.
10:01 Et oui, on l'attendait de nouveau, Sébastien Aller a marqué.
10:05 Il a permis à la Côte d'Ivoire de s'imposer sur son score de 2 buts 1
10:09 grâce à un travail de 6 mois à Andingra.
10:12 Il a été exceptionnel, Benji.
10:13 Franchement, dans tout le match, il était percutant, il provoquait.
10:17 À chaque fois, justement, les joueurs ivoiriens cherchaient à lui donner le ballon
10:20 parce que c'était le joueur le plus dangereux.
10:21 Et là, on ne sait pas s'il va rentrer à l'intérieur ou à l'extérieur.
10:25 Il part sur le côté gauche, il met un excellent centre et Aller,
10:28 toute sa technique et il passe devant le défenseur, ce qui est très difficile.
10:32 Et il a tout juste comme il faut pour marquer le but.
10:35 Regardez cette image, Emmanuel Adébayor, qui est en train d'amener le trophée.
10:39 La cérémonie va commencer dans quelques instants.
10:44 Seul a déjà les larmes.
10:46 J'ai des bouchoirs.
10:49 J'ai un donnerie.
10:50 Je vais essayer de ne pas craquer.
10:52 On va donner la main tout de suite à Julien Chaput et à Robert Malm pour cette cérémonie.
10:55 Écoutez, vous pouvez intervenir un seul.
10:57 Et Benjamin, évidemment, je pense que vous n'y verrez pas de problème.
11:01 C'est à vous, messieurs.
11:02 Ce sera évidemment avec grand plaisir que vous puissiez intervenir à nos côtés.
11:08 Un homme que Robert Malm connaît très bien.
11:11 Il a été son coéquipier en sélection.
11:13 C'était en 2006, durant la Coupe du Monde,
11:15 il a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:19 C'est un homme qui a été un des meilleurs joueurs de la Coupe du Monde.
11:22 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:25 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:28 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:31 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:34 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:37 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:40 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:43 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:46 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:49 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:52 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:55 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
11:58 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:01 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:04 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:07 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:10 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:13 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
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12:19 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:22 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:25 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:28 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:31 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:34 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:37 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
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12:52 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
12:55 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
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13:04 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
13:07 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
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14:04 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
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14:40 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
14:43 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
14:46 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
14:49 C'est un homme qui a été le premier à l'avoir remis au trophée.
14:52 Beaucoup de respect, beaucoup de fair play entre ces deux nations,
14:56 ces deux monstres du continent africain.
14:59 La Côte d'Ivoire égalise, trois trophées chacun maintenant.
15:03 Entre dans une certaine cour où pour l'instant le roi reste l'Egypte
15:10 avec ses sept étoiles.
15:13 Derrière bien sûr il y a le Ralph Cameroun avec ses cinq étoiles.
15:18 On va aller au fur et à mesure pour arriver jusqu'à la Côte d'Ivoire
15:22 qui vient de bronzer cette troisième étoile sur son maillot.
15:25 Vous ne le verrez pas tout de suite mais je pense que l'équipementier
15:30 doit y avoir quelque chose de prévu.
15:34 On rappelle que le record man est l'Egypte avec sept succès.
15:45 Les visages fermés, les super rigoles qui contrastent.
15:49 Patrice Motsepe, le président de la Confédération africaine de football,
15:54 accompagné par Gianni Infantino.
15:59 Bienvenue à la Côte d'Ivoire.
16:02 Le président, Gianni Infantino, et la dignitaire
16:07 et le premier de la cérémonie, Ben Piedal.
16:11 Bienvenue sur le podium, le président de la Confédération africaine
16:16 et le président, Gianni Infantino,
16:23 et le dignitaire et le premier de la cérémonie.
16:28 (Musique)
16:56 Et monsieur Alassane Ouattara, le président de la République de Côte d'Ivoire
17:03 qui donc, selon les supporters, aura le droit à un mandat supplémentaire.
17:08 C'est ce qui avait été annoncé en cas de victoire.
17:14 En tout cas, sans prendre parti par rapport à un parti politique ou quoi que ce soit,
17:21 il faut quand même reconnaître que l'investissement qui a été fait justement par cette Côte d'Ivoire
17:26 en termes d'infrastructures pour permettre à tous ces supporters,
17:31 qu'ils soient ivoiriens, du Ghana, de la Guinée-Bissau,
17:37 bref, de toute l'Afrique, d'être venus justement ici en Côte d'Ivoire,
17:41 d'avoir été accueillis dans des conditions absolument parfaites.
17:46 Les enceintes, les hôtels, les voies routières, on en sait quelque chose
17:51 parce qu'on a parcouru quand même quelques kilomètres en voiture, Julien.
17:54 Quelques-uns, oui.
17:55 Mais oui, c'est vrai, c'est vrai que tout a été très très bien fait, très très bien organisé
18:01 et je peux comprendre que les Ivoiriens veulent lui accorder un second mandat.
18:07 C'est vrai qu'ils peuvent être fiers, les Ivoiriens.
18:09 Oui, ils peuvent.
18:10 L'affaire de l'Afrique a vraiment été magnifique et regardez cette image,
18:15 Alassane Ouattara dans les bras de l'équipe nationale de Côte d'Ivoire.
18:20 (Acclamations)
18:43 Maxime Agrale, elle organise les choses.
18:45 (Acclamations)
18:52 Et Versailles qui a été félicité par Alassane Ouattara.
18:55 (Acclamations)
19:07 Ça restera une image forte, évidemment, de ce tournoi.
19:12 Cette communion entre le président de la République ivoirienne et son équipe de football.
19:19 (Acclamations)
19:37 (Acclamations)
20:06 (Acclamations)
20:20 Alors, l'heure est venue, évidemment, de remettre les récompenses.
20:23 (Acclamations)
20:51 (Acclamations)
20:53 Eh oui, le drapeau marocain est affiché sur les écrans géants du stade.
20:58 Car évidemment, c'est aussi une passation symbolique de relais entre la Côte d'Ivoire et le Maroc.
21:09 (Acclamations)
21:12 Car la Confédération africaine de football a attribué la prochaine édition au Maroc,
21:18 un vrai pays de football également.
21:21 Et normalement, le football africain va pouvoir surfer sur cette Coupe d'Afrique de Côte d'Ivoire
21:27 et monter peut-être encore plus d'un cran du côté du Maroc,
21:31 qui possède aussi de superbes infrastructures et qui est un vrai peuple de football.
21:36 Je vous rejoins parfaitement, Julien, sur ce que vous venez de dire.
21:42 C'est tout un symbole, parce que pendant cette compétition, la victoire marocaine a permis aussi à la Côte d'Ivoire
21:51 d'être là, d'être champion d'Afrique ce soir.
21:54 Mais il n'y a pas que ça, il y a plein d'autres choses.
21:57 Il y en a aussi.
21:59 Mais voilà, la passation est passée.
22:03 Le football raconte de belles histoires.
22:05 De très belles histoires.
22:06 On s'en lâche pas, moi j'aime beaucoup ce livre. Je vais continuer de le lire.
22:10 J'espère qu'il y a encore beaucoup de belles histoires.
22:15 Le gardien sud-africain qui va aller récupérer sa récompense.
22:37 Renouen Williams, qui est donc élu meilleur gardien du tournoi.
22:43 On se souvient évidemment de sa séance de tir au but totalement incroyable.
22:50 C'était en quart de finale.
22:53 Quatre arrêts sur les cinq frappeurs.
22:56 C'est tout simplement monstrueux.
22:59 Et il l'a encore prouvé hier lors de la petite finale en arrêtant encore deux tirs au but.
23:04 Ce qui permet à son équipe de finir sur le podium.
23:07 Le premier titre national de l'Afrique du Sud.
23:11 Et le deuxième de l'Amérique du Nord.
23:13 Attention, ce sont les débutants de la World.
23:15 Ce sont les bonnes et belles goalkeepers.
23:17 Williams, on est dans son atelier.
23:20 South Africa.
23:35 Le beau trophée pour Renouen Williams.
23:38 C'est le double trophée, j'ai l'impression, pour Renouen Williams.
24:05 Trophée du fair play et de meilleur gardien.
24:08 Emilio Enzue, le meilleur buteur de ce tournoi.
24:15 Lui qui a fait des merveilles sur le front de l'attaque de la Guinée équatoriale.
24:33 Cinq buts inscrits pour Emilio Enzue.
24:36 Et il avait fait très mal à la Côte d'Ivoire ici même.
24:44 Le 22 janvier, en inscrivant un doublé lors du 4-0.
24:53 Et maintenant, mesdames et messieurs, recevons le nominat du Premier de la Ligue de Manoeuvre de Compétition.
24:59 Williams, Crosse et Pau.
25:02 On est le premier national du Niger.
25:04 Et qui est le gagnant ?
25:06 Le Premier de la Ligue de Manoeuvre de Compétition.
25:09 C'est Williams, Crosse et Pau.
25:12 On est associés en mairie.
25:17 Et le meilleur joueur de la compétition, me semble-t-il, est Williams, Crosse et Cong.
25:23 Le défenseur et capitaine des Super Eagles.
25:27 Effectivement, Robert, il a été très très costaud tout au long de ce tournoi.
25:36 Il aura été exemplaire, comme avec le brassard qu'il porte autour du bras.
25:45 Il aura été buteur lors de cette finale, pensant peut-être donner le titre à son équipe.
25:52 Mais il faut le reconnaître qu'il a fait une belle canne.
25:56 3 buts inscrits pour Williams, Crosse et Cong.
26:10 Le premier titre de la Ligue de Manoeuvre de Compétition.
26:15 Et maintenant, on va voir les rôles des équipes.
26:20 On va voir qui est le meilleur joueur de la compétition.
26:24 (Musique)
26:39 Alors, les arbitres de la 3ème place, l'arbitre également de la finale, Dan Veïda.
26:52 Ils vont être eux aussi récompensés.
26:55 Et l'occasion encore une fois, Robert.
26:59 Tant pis, on se répète, c'est pas grave.
27:02 On l'aura dit tout au long de la compétition.
27:03 Mais on a assez dit quand c'était pas bien.
27:05 Donc là, on va le souligner, le surligner.
27:08 L'arbitrage de cette compétition, de cette Coupe d'Afrique des Nations en Côte d'Ivoire
27:14 a été vraiment à la hauteur des enjeux du football moderne.
27:19 On a souvent tiré sur l'arbitrage africain.
27:23 Eh bien, il faut rendre à César ce qui lui appartient.
27:28 L'arbitrage africain a été très très bon tout au long de la compétition.
27:33 C'est vrai, c'est vrai.
27:36 Il s'est mis à la hauteur de la compétition, à la hauteur de ce que cette canne a été
27:40 tout au long de ce mois vécu ici.
27:43 Et vous voyez, un grand coup de chapeau parce que moi je pense à tous les arbitres.
27:48 Alors aujourd'hui, on parle de l'arbitrage africain, mais à tous les arbitres,
27:51 qu'ils soient français, européens, bon bref, de tous les pays.
27:55 Alors oui, la barre permet de rectifier certaines erreurs.
28:02 J'ai dit certaines erreurs, mais globalement, ils ne se sont pas trompés dans leur prise de décision.
28:08 Dans ce qu'il fallait mettre des cartons ou non, quand il fallait prendre la responsabilité
28:13 et dire qu'il y avait pénalité ou non.
28:16 Tout ça a été très bien fait, donc il faut savoir tirer un grand grand grand coup de chapeau.
28:20 Bravo aux arbitres et bravo également à l'Afrique du Sud,
28:25 qui termine troisième de ce tournoi sous les ordres d'Hugo Brouste,
28:33 que Benjamin Mukonjo connaît très bien puisqu'il a été sacré avec le Cameroun,
28:39 avec également Hugo Brouste comme entraîneur.
28:42 Hugo Brouste qui est un excellent technicien, un excellent tacticien
28:47 et qui a donc propulsé l'Afrique du Sud sur la troisième marche du podium ici en Côte d'Ivoire.
28:53 C'était hier face à la République démocratique du Congo.
29:06 L'Afrique du Sud qui va donc prendre place sur la troisième marche de ce podium de cette Coupe d'Afrique 2023.
29:15 Et Patrice Motsepe qui remet toutes les médailles et qui a un petit mot évidemment pour chacun des joueurs.
29:25 [Musique]
29:42 On peut aussi féliciter la République démocratique du Congo qui s'est réunie lors de ce match pour la troisième place.
29:48 Mais il faut être clair, leur canne est réussie.
29:52 Oui, surtout en plus l'objectif était 2025 pour les hommes de Sébastien Dessabre.
30:00 Et puis ils ont été en avance sur leur tableau de marche.
30:04 Et mais voilà, tire un grand coup de chapeau.
30:07 Capitalisé sur ce qui a été fait pendant cette canne pour la République démocratique du Congo.
30:13 Et puis on espère les revoir du côté du Maroc.
30:17 Ça va vite arriver déjà l'année prochaine.
30:21 Effectivement, ça va vite arriver.
30:24 Et on rappelle d'ailleurs concernant le Maroc, Walid Hidragi qui reste à la tête des Lyons de la classe.
30:31 Le voici, Hugo Grouch, je vous en parlais tout à l'heure.
30:35 Grouch de l'Afrique du Sud, belle performance pour lui et ses hommes.
30:42 Et ces hommes...
30:50 Ils placent maintenant au Super Eagles.
30:54 On a pris aussi énormément de plaisir à voir évoluer dans ce tournoi, dans cette compétition.
31:01 On se souvient du match face au Cameroun où ils nous avaient fait une vraie grosse impression.
31:07 C'est une vraie belle équipe avec beaucoup de talent.
31:10 Mais comme on l'a dit à la fin du match, rien ne pouvait venir briser le règle ivoirien.
31:16 Et le Nigeria s'est également cassé les dents.
31:20 Oui c'est vrai.
31:22 Cette équipe du Nigeria au fur et à mesure...
31:25 Alors, plus qu'un outsider bien placé au début de cette compétition.
31:30 Mais emmené par un Victor Rosimene.
31:33 Alors peut-être pas le Victor Rosimene buteur qu'on peut connaître du côté Nap.
31:38 Mais un Victor Rosimene travailleur, emmenant avec lui ses coéquipiers.
31:44 Alors d'autres en ont profité.
31:46 Je pense à Luqman qui a été fini meilleur buteur de cette équipe.
31:51 Mais encore une fois, je me répète peut-être en disant qu'à chaque fois il faut capitaliser.
31:58 Parce qu'on a aussi beaucoup l'habitude de tout détruire.
32:02 Et puis à un moment donné de dire qu'il faut partir d'une feuille blanche.
32:04 Quand au contraire, je pense qu'il y a des joueurs en devenir.
32:08 Je pense que Victor Rosimene finira par un jour être capitaine aussi de cette sélection.
32:12 Mais je pense qu'on va vite les revoir.
32:16 Non seulement pour la prochaine Coupe d'Afrique des Nations.
32:19 Mais aussi peut-être pour la prochaine Coupe du Monde.
32:21 Qui sera disputée à temps dans un peu plus de deux ans.
32:25 Comme le disait Vanessa dans l'avant-match.
32:27 C'était une affiche inédite en finale.
32:30 On avait annoncé un grand match entre deux monstres du continent africain.
32:34 On n'a pas été déçus.
32:36 Elle était inédite. On en avait bien d'autres.
32:39 On est comme ça. Et ce sera avec plaisir.
32:41 Car on a vraiment vu une très belle finale.
32:45 Et du coup, pour faire une belle finale, il faut de belles équipes.
32:50 Le Nigeria est une belle équipe.
32:53 Et le Nigeria termine donc deuxième de cette Coupe d'Afrique des Nations.
32:58 3 buts inscrits. Les deux équipes sont rendues pour vous.
33:07 C'était un peu un match de boxe.
33:10 Et c'est le Nigeria qui a mis Genoa à terre.
33:13 Au moment où vous avez dit, durant la rencontre,
33:17 Est-ce que le Nigeria va tenir ? Est-ce que le Nigeria va accepter de souffrir ?
33:21 Oui, accepter de souffrir. Je pense qu'ils s'étaient résignés.
33:25 Est-ce qu'ils allaient tenir ? La preuve, non.
33:28 Ils n'ont pas tenu pas suffisamment longtemps pour gagner.
33:33 Je sentais à ce moment-là que ça allait.
33:35 On sentait que la Côte d'Ivoire était en train de prendre le dessus.
33:40 Et évidemment, avec le 12ème homme présent, comme c'était le cas ici à Al-Assad, au Attara.
33:46 La belle accolade entre le ballon d'or africain Victor Ousimène
33:51 et Patrice Motsepé, le président de la Confédération Africaine de Football.
33:56 Énormément de respect là aussi.
33:59 Je ne sais pas si vous l'avez entendu de chez vous,
34:11 mais pendant plusieurs secondes, le public d'Al-Assad au Attara a repris le nom de Victor Ousimène.
34:18 Il est aimé au Nigeria évidemment, mais il est aimé partout en Afrique.
34:23 Il véhicule tellement une belle image du football africain.
34:28 Et alors là, évidemment, il va y avoir une déflagration au stade olympique Al-Assad.

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