L'Europa Ligue ce jeudi pour se relancer ? LE REPLAY DU BDS ICI !

  • il y a 7 mois
Gennaro Gattuso parle de mini-crise à l'OM ...
Qu'en pensent Jacque Bayle, Steph Martins et Marc Galy ce soir dans le Bar des Supporters ?
 
Le BDS du lundi au vendredi à 17h30 sur Maritima Radio

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Vidéo publiée le : 13/02/2024 à 18:15:00

Lien vers l'article de Maritima.info :
https://www.maritima.info/depeches/om/marseille/91348/l-europa-ligue-ce-jeudi-pour-se-relancer-le-replay-du-bds-ici-.html
Transcript
00:00 [Générique]
00:10 Le bar des supporters sur Maritima, bonsoir à toutes et à tous,
00:14 avec une période compliquée on va dire pour l'Olympique de Marseille,
00:18 l'OM dans le dur depuis plusieurs semaines,
00:21 on va en parler bien sûr avec l'équipe du BDS.
00:24 Bonsoir Jacques Vail.
00:25 Bonsoir les gars.
00:26 Bonsoir Steph Martins.
00:26 Salut les amis.
00:27 Gennaro Gattuso parle de mini crise, est-ce qu'il a raison de ne pas être dans le déni ?
00:33 Non, je pense que ce n'est pas une mini crise, c'est une crise.
00:35 À partir du moment où il y a autant de problèmes, Marc il faut appeler un chien et un chat,
00:39 je pense qu'on manque d'objectivité,
00:41 il faut se rendre compte de l'état d'urgence qu'il y a à l'Olympique de Marseille.
00:45 Je pense qu'il y a beaucoup trop de problèmes sur le terrain,
00:48 hors du terrain, dans les tribunes, pour appeler ça une mini crise.
00:52 Et si tu minimises les événements, voilà ce qu'il en est,
00:55 prise de conscience obligatoire,
00:57 il faut du jeu, il faut du contenu, il faut marquer des buts,
01:00 parce que dans 15 jours, si tu es éliminé de la Coupe d'Europe,
01:04 et si tu ne venais pas faire le résultat à Brest,
01:07 c'est-à-dire même un match nul,
01:09 attention, sonate d'alarme.
01:11 Alors même si tu parles toujours en ton nom dans cette formidable émission,
01:15 dans chacun des débriefs,
01:18 qu'est-ce que tu observes autour de toi,
01:19 dans quel état d'esprit sont les supporters d'une manière générale ?
01:23 Moi, avec les collègues avec qui je joue au stade, de la colère.
01:26 De la colère, de l'énervement,
01:28 parce que qu'on le veuille ou pas,
01:31 ce groupe a de la qualité.
01:33 Mais voilà, quand tu vois ce qui est produit sur le terrain,
01:38 c'est insuffisant.
01:40 Il manque énormément de talent dans cette équipe-là,
01:43 alors que certains joueurs en ont énormément,
01:45 mais ils n'arrivent pas à le mettre à contribution.
01:47 Et est-ce que c'est du fait de l'entraîneur,
01:49 est-ce que c'est du fait des choix, des compositions ?
01:53 Aussi, c'est un tout,
01:54 mais quand je vois encore le match face à Metz
01:56 et qu'on rate des actions à 3 mètres à bout portant des buts,
02:00 ça me laisse me poser des questions.
02:02 Quand je vois Unai qui fait un match qui est loin d'être dégueulasse,
02:05 mais quand on voit ce qui manque,
02:06 tu n'as pas le droit à ce niveau-là,
02:07 surtout dans la situation où tu es,
02:09 de rater ce genre d'occasion-là.
02:10 Et c'est répétitif, à chaque match,
02:12 tu vendages énormément.
02:14 Jaco, comment il faut organiser le plan de bataille ?
02:17 Tu dis toujours la même phrase,
02:20 avant de trouver des solutions, il faut identifier les problèmes.
02:23 J'en ai listé quelques-uns.
02:25 Stabilité administrative, stabilité dans le groupe,
02:27 comportement juste dans le club et avec les joueurs,
02:31 prise de conscience des joueurs eux-mêmes,
02:33 choix de Gennaro Gattuso,
02:35 management de Gennaro Gattuso, on commence par quoi ?
02:38 On commence par mettre les choses à leur place,
02:40 c'est-à-dire que chaque personne doit prendre ses responsabilités.
02:43 Déjà, on va commencer par la direction,
02:45 les choix qui ont été faits, ils sont mauvais,
02:47 on va les assumer.
02:48 Je pense que les joueurs, tu vois,
02:49 par exemple le cas de Kloss, le cas de Mbemba,
02:51 Mbemba voulait le faire partir en début de saison,
02:53 il faut se rappeler de ça.
02:54 Après, tu ne mets pas les gens en confiance,
02:56 le cas de Kloss, le cas de Papgei qui a été mal géré,
02:59 tous les trucs, les uns après les autres,
03:02 il y a aussi la direction qui doit prendre conscience.
03:04 On peut concéder qu'il n'y a pas que toujours
03:06 des erreurs faites par la direction de l'OM,
03:09 les torts peuvent être partagés aussi.
03:10 Bien sûr, mais là, il y en a quand même beaucoup
03:13 où nous, on se pose des questions.
03:14 Quand il y a autant de problèmes,
03:16 forcément, tu es obligé de te poser des questions.
03:19 Ensuite, concernant l'entraîneur,
03:21 tu sais, il y a le savoir-faire et le faire savoir,
03:23 c'est-à-dire, est-ce qu'il est capable de donner son énergie ?
03:26 Je ne pense pas.
03:27 Il n'arrive pas à donner à cette équipe son âme.
03:29 Il n'y arrive pas.
03:31 Cette équipe ne ressemble pas.
03:32 Quand on l'a fait venir Gattuso,
03:33 on attendait un caractère,
03:34 on attendait une équipe puissante.
03:36 Il n'y a rien qui se passe.
03:37 Sincèrement, il n'y a rien qui se passe.
03:39 On avait des choses à mettre en place,
03:41 parce que si tu as un président qui a une autorité,
03:44 il va dire "bon coach, je suis désolé,
03:46 on a essayé votre 4-3,
03:47 maintenant il faut repasser au 3-5-2".
03:49 On a eu des résultats.
03:52 On a été bien pendant très longtemps,
03:54 mais c'est au 3-5-2.
03:55 Beaucoup de joueurs s'agacent de jouer en 4-3-3.
03:58 Il faut changer.
03:59 Quand tu me mets N'Ziay, couloir droit,
04:02 il n'est pas son poste,
04:03 mais ça agace beaucoup de gens.
04:04 Sark, lui, son poste ne joue pas.
04:06 Il y a des questions à se poser.
04:09 Donc tu vois Aubameyang, sur l'autre côté,
04:11 qui lui n'est pas un joueur de couloir,
04:12 qui est normalement numéro 9,
04:13 se retrouve sur un autre couloir.
04:15 Alors tu as fait un 4-3-3,
04:16 mais ce n'est pas son poste.
04:17 Unai, lui, il se retrouve dans des endroits
04:20 où ce n'est pas forcément lui aussi son poste.
04:22 Donc je suis désolé,
04:23 il y a une mauvaise organisation.
04:25 Il y a des mauvais choix de joueurs.
04:27 Aujourd'hui, sincèrement,
04:28 Samuel Gigo n'a pas les qualités
04:31 pour jouer devant Meite.
04:33 La défense centrale, c'est Balerdi-Meite.
04:36 Je ne vois pas à quel moment
04:37 Gigo peut être titulaire dans cette équipe.
04:40 Voilà les gars, il y a des choix forts
04:41 qu'il faut prendre.
04:42 C'est tout simplement indispensable.
04:44 Steph, quand tu entends parler,
04:45 Jaco, de management avec les joueurs,
04:48 est-ce que c'est un problème plus
04:50 de Gattuso qui n'arrive pas
04:53 à faire passer sa grinta ?
04:54 Ou est-ce que c'est qu'il doit faire
04:56 avec des joueurs qui n'arrivent pas à recevoir
04:59 et qui ne sont pas compatibles
05:00 avec la personnalité de Gattuso ?
05:02 Je pense que le plus dur dans le système
05:04 mis en place par Longoria,
05:07 c'est-à-dire changer 60-70% de ton effectif
05:09 tous les ans,
05:11 c'est avoir un coach qui va réussir
05:12 à fédérer de suite.
05:14 Et c'est là la problématique.
05:15 Ça a marché sur Sampaoli,
05:17 ça a marché sur Tudor,
05:19 et plusieurs fois on l'a dit dans cette émission,
05:21 attention, ça ne marchera pas tous les ans
05:23 et le jour où ça ne va pas marcher,
05:23 on va prendre une gifle.
05:25 On est devant l'effet, c'est tout.
05:27 Ce système-là ne peut pas fonctionner.
05:30 Ce n'est pas possible en changeant
05:32 70-80% de ton effectif
05:35 d'essayer de performer.
05:36 Ça va arriver deux fois, trois fois sur dix.
05:38 On a eu de la chance énorme
05:40 que ça marche les deux premières saisons.
05:43 On a crié au génie, moi le premier,
05:44 c'est vrai, je le conçois.
05:46 Il y a des idées qui ont été bonnes,
05:47 des recrutements qui ont été intelligents,
05:49 mais il va falloir retrouver de la stabilité
05:52 et surtout un coach qui arrive à fédérer
05:55 et à créer quelque chose avec une haussature
05:57 qui reste dans la durée.
05:58 Quand je dis dans la durée,
05:59 c'est minimum trois, quatre ans.
06:01 Donc il va falloir...
06:02 On a des bons jeunes qui sont là,
06:04 on a Meïti, on a Balerdi.
06:06 Au milieu, c'est un peu vieillissant,
06:09 il va falloir voir ce qu'on peut faire
06:11 pour trouver une petite pépite
06:13 qui peut grandir chez nous.
06:15 Devant, il y a Mumbagna,
06:16 23 ans, c'est jeune.
06:17 Il va falloir essayer aussi de s'entourer.
06:20 Mais il te faut une haussature costaud
06:22 et remplacer tous les ans
06:24 deux, trois, quatre joueurs, pas plus.
06:26 Arrêtons à chaque fois.
06:27 On dirait que c'est une machine à laver.
06:28 C'est une machine à laver pour le président,
06:31 pour le nouvel entraîneur,
06:32 pour les joueurs qui savent plus
06:33 dans quel pied où ils sont,
06:35 pour les supporters.
06:36 Tous les ans, on repart à zéro.
06:37 Non, il faut arrêter les conneries.
06:38 Il faut retrouver de la stabilité,
06:40 soit remettre la tête à l'endroit.
06:43 Et je me répète,
06:44 garder une haussature sur trois, quatre ans
06:47 et jouer sur le moyen terme.
06:48 Il n'y a que ça qui fera qu'on redeviendra,
06:50 on sera à nouveau en haut de l'affiche.
06:52 Alors pour l'instant,
06:52 ce n'est pas un moyen ou un long terme
06:54 qu'on a besoin de gérer.
06:56 Là, c'est surtout les affaires courantes
06:58 tout de suite.
06:59 Quand vous entendez certains observateurs
07:01 et même certaines observations
07:03 qu'on fait nous,
07:04 et dans les débriefs,
07:05 et dans les émissions,
07:07 et pendant les soirées foot,
07:09 quand on vous dit que l'effectif
07:13 de l'Olympique de Marseille
07:14 est composé de joueurs limités,
07:18 qui manquent de talent,
07:19 est-ce que c'est réaliste ?
07:21 Est-ce que c'est juste ?
07:22 Est-ce que c'est très sévère ?
07:23 Comment vous en trouvez ?
07:25 On a des joueurs qui ne sont pas en forme,
07:26 ça c'est sûr.
07:27 Par exemple, un Sar, un Ndiaye,
07:29 des joueurs qui ont été recrutés,
07:30 ils ne sont pas à leur niveau.
07:31 Un Unaï, un Arit,
07:33 ils ne sont pas à leur niveau du tout.
07:34 Ils ne sont même pas au niveau de la canne.
07:36 Mais c'est là que tu dois te poser la question Marc.
07:39 Pourquoi on est là ?
07:41 Pourquoi les joueurs n'arrivent pas
07:42 à performer chez toi ?
07:43 Quand ils sont ailleurs,
07:44 ils sont capables de faire de belles choses.
07:46 Il y a un climat de confiance,
07:48 il y a quelque chose qui n'est pas mis en place.
07:50 Il y a quelque chose dans le rouage.
07:52 Combien de temps ça fait que je vous dis
07:54 que ça ne va pas ?
07:55 Alors on m'a dit,
07:55 il y a les joueurs,
07:56 ils sont à la canne,
07:58 ils vont arriver,
07:58 ils sont là les joueurs de la canne,
08:00 et il n'y a rien qui a changé.
08:01 Après on a fait des réunions,
08:02 où on m'a dit,
08:03 oui mais il faut faire des réunions.
08:04 Tu as vu que les réunions avec les joueurs,
08:05 avec les supporters,
08:07 ça ne change rien.
08:09 Le principal intéressé c'est l'entraîneur.
08:11 Si l'entraîneur ne met pas les joueurs au bon endroit,
08:14 si l'entraîneur ne met pas en place
08:16 quelque chose de cohérent,
08:17 tu peux crier ce que tu veux.
08:19 Ça ne changera absolument rien.
08:21 Donc je pense,
08:22 très honnêtement,
08:23 franchement les gars,
08:24 là je pense que Gattuso,
08:25 il a un réel problème.
08:26 Mais il a un réel problème.
08:28 Aucune prise de conscience,
08:30 aucune capacité de changer un cours de match,
08:33 de système,
08:34 parce que de temps en temps,
08:35 tu as mis quelque chose en place,
08:36 si tu vois que ça ne va pas,
08:37 il faut être réaliste,
08:39 et il faut savoir changer,
08:40 c'est possible.
08:41 On n'arrive absolument pas.
08:42 Il n'y a jamais rien qui se passe.
08:44 Et donc l'état d'esprit c'est bien,
08:46 mais techniquement, tactiquement,
08:47 il n'y a absolument rien.
08:49 Est-ce que c'était l'entraîneur qu'il nous fallait ?
08:51 Je pense qu'il est venu là en tant que pompier.
08:54 Oui.
08:54 Et voilà.
08:55 Après Marco,
08:56 à un moment donné,
08:57 il va falloir qu'on arrête de penser que,
08:59 à côté des Pyrénées,
09:00 ou à côté des Alpes c'est mieux.
09:02 Arrêtons avec les entraîneurs étrangers.
09:05 Arrêtons.
09:06 On dirait Raymond Domenech.
09:07 Non, mais les gars,
09:08 quand je vous ai parlé,
09:09 il y avait des Antonetti,
09:10 il y avait des Julien et Stéphane,
09:11 tout le monde a crié au voleur.
09:13 Mais pourquoi Julien et Stéphane,
09:14 vous voyez ce qu'ils font à Rennes ?
09:15 Peut-être que l'association Antonetti-Stéphane,
09:18 ce duo,
09:19 il aurait peut-être fait des massacres
09:21 au stade Vélodrome.
09:22 Pourquoi on prend toujours des gens
09:24 qui ne parlent pas français ?
09:25 On a l'impression quand tu es français,
09:27 que dès que tu es italien, c'est mieux.
09:29 On est champion du monde,
09:30 vice champion du monde.
09:32 Il y a des entraîneurs français
09:33 qui valent le coup quand même.
09:34 Et la difficulté, c'est qu'en plus,
09:36 le staff,
09:38 les personnes qui accompagnent
09:40 ces entraîneurs étrangers
09:42 sont étrangers aussi.
09:43 Donc l'ADN marseillais
09:46 qui nous tient particulièrement à cœur,
09:48 il y est de moins en moins
09:50 et ça transpire moins dans les travées,
09:53 non seulement du stade,
09:54 mais dans le vestiaire.
09:55 Après, l'ADN,
09:57 ils doivent l'avoir sur la pelouse
09:59 quand ils portent ce maillot.
10:00 Et comme je le dis toujours,
10:02 aux garants de l'institution,
10:04 c'est-à-dire les supporters,
10:05 de leur montrer ce qu'est cet ADN-là
10:07 en étant toujours derrière cette équipe-là,
10:10 en allant aux quatre coins du globe
10:13 les supporter, les encourager.
10:15 Oui, ça c'est la mission des supporters.
10:17 Tu me parles de l'ADN.
10:19 Alors il te faut l'entraîneur marseillais
10:20 pour que ça réussisse ?
10:21 Non, on n'a pas.
10:22 On a eu des Belges et ça a très bien marché.
10:24 On avait des Belges,
10:26 mais le reste du staff,
10:27 ce n'était pas forcément que des Belges.
10:28 Oui, voilà.
10:29 Là, il n'y a pas de chose.
10:31 Je pense que c'est bien aussi.
10:32 Il n'y a pas de chose.
10:33 Il y en a un, peut-être.
10:34 C'est le dernier des Wicca,
10:35 peut-être qu'il n'y a pas de chose.
10:36 Moi, je te parlais du banc de touche.
10:37 Après, tu me parles au niveau de l'institution.
10:39 Bien sûr que moi, je suis pour
10:40 qu'il y ait plus de Marseillais.
10:41 Bien entendu.
10:42 On se rappelle du travail d'ensemble
10:43 qu'a voulu faire Jacarero.
10:44 Tu étais marseillais,
10:45 tu étais presque un paria à la commanderie.
10:48 Et ça, ça n'a rien à faire chez nous.
10:49 Bien sûr qu'il nous faut des personnes du cru
10:52 pour comprendre ce que respire cette ville,
10:54 ce qu'elle attend,
10:55 notamment de son équipe et de ses joueurs.
10:57 Et c'est ça qu'il te faut.
10:58 Voilà pourquoi moi, je suis pour la venue d'anciennes légendes
11:01 comme Kanchay Mbouli qui est là,
11:02 Kanchay Mpapeng qui est là.
11:04 S'il y a un Jiméco qui peut intégrer,
11:06 pourquoi pas un Fabien Barthez,
11:08 entraîneur des gardiens ?
11:09 Ça serait dégueulasse, ça.
11:10 Non mais tu vois, par exemple ?
11:11 Jean-Pierre Papeng, ballon d'or.
11:13 Il est aujourd'hui entraîneur de la réserve.
11:15 Est-ce que vous pensez que c'est normal,
11:16 les choses pareilles ?
11:17 Moi, je vous pose la question.
11:18 C'est-à-dire, c'est bien, c'est pas bien ?
11:20 Non, c'est pas bien.
11:21 C'est pas suffisant ?
11:22 Mais Jean-Pierre Papeng doit être dans l'équipe numéro une.
11:25 C'est lui le fer de lance.
11:28 Moi, j'ai besoin d'identité marseillaise.
11:30 Tu le sais très bien,
11:31 je suis ami avec Laurence Pinozzi, entraîneur des gardiens.
11:33 On a viré.
11:34 Au moins des Espagnols.
11:35 Dans les bureaux, on a viré tout le monde.
11:37 Il est devenu héros, il ne voulait plus être marseillais.
11:39 Eh bien, il n'y a plus d'identité.
11:40 Et les gens qui sont au club,
11:41 tout le monde s'en fout.
11:42 Parce que le jour qu'ils seront licenciés,
11:44 ils s'en vont.
11:45 Un, il va à Toulouse, l'autre, il va à Dunkerque.
11:46 Ils s'en foutent.
11:47 Mais nous, on est marseillais.
11:48 Nous, c'est notre ville, c'est notre passion.
11:49 Mettez-nous cette identité marseillaise.
11:50 Vous vous adaptez, vous venez, il y a du soleil,
11:51 il y a de la bouillabaisse, il y a des boules,
11:52 il y a tout ça.
11:53 Il y a le stade Vélodrome.
11:54 C'est ça Marseille.
11:55 Ils voulaient quoi ?
11:56 Nous changer tout ça, Marco ?
11:57 Mais vous êtes en train de faire n'importe quoi.
11:58 Le gardien, c'est espagnol.
11:59 Le gardien remplaçable, c'est un espagnol.
12:00 Les recruteurs, c'est des espagnols.
12:02 Les entraîneurs du jeûne, c'est des espagnols.
12:03 Le staff médical, c'est des espagnols.
12:04 En France, on sait même pas soigner les gens.
12:05 Les gars, trop c'est trop.
12:06 Trop c'est trop.
12:07 Pour revenir au jeu, aux difficultés, beaucoup d'incompréhension,
12:08 quand on regarde le match de l'OM face à Metz,
12:09 encore la confirmation qu'on n'arrive pas à garder un score.
12:10 Dès que tu marques, tu n'arrives pas à garder le score.
12:11 C'est un jeu de la vie.
12:12 C'est un jeu de la vie.
12:13 C'est un jeu de la vie.
12:14 C'est un jeu de la vie.
12:15 C'est un jeu de la vie.
12:16 C'est un jeu de la vie.
12:17 C'est un jeu de la vie.
12:43 C'est un jeu de la vie.
13:07 C'est un jeu de la vie.
13:35 C'est un jeu de la vie.
13:45 C'est un jeu de la vie.
13:56 C'est un jeu de la vie.
14:18 C'est un jeu de la vie.
14:46 C'est un jeu de la vie.
14:58 C'est un jeu de la vie.
14:59 C'est un jeu de la vie.
15:00 C'est un jeu de la vie.
15:01 C'est un jeu de la vie.
15:02 C'est un jeu de la vie.
15:03 C'est un jeu de la vie.
15:04 C'est un jeu de la vie.
15:05 C'est un jeu de la vie.
15:06 C'est un jeu de la vie.
15:07 C'est un jeu de la vie.
15:08 C'est un jeu de la vie.
15:09 C'est un jeu de la vie.
15:10 C'est un jeu de la vie.
15:11 C'est un jeu de la vie.
15:12 C'est un jeu de la vie.
15:13 C'est un jeu de la vie.
15:14 C'est un jeu de la vie.
15:15 C'est un jeu de la vie.
15:16 C'est un jeu de la vie.
15:17 C'est un jeu de la vie.
15:18 C'est un jeu de la vie.
15:19 C'est un jeu de la vie.
15:20 C'est un jeu de la vie.
15:21 C'est un jeu de la vie.
15:22 C'est un jeu de la vie.
15:23 C'est un jeu de la vie.
15:24 C'est un jeu de la vie.
15:25 C'est un jeu de la vie.
15:26 C'est un jeu de la vie.
15:27 C'est un jeu de la vie.
15:28 C'est un jeu de la vie.
15:29 C'est un jeu de la vie.
15:30 C'est un jeu de la vie.
15:31 C'est un jeu de la vie.
15:32 C'est un jeu de la vie.
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21:53 C'est un jeu de la vie.
21:54 C'est un jeu de la vie.
21:55 Allez, chaque tarou M, justement, ça sera jeudi en fin d'après-midi, 18h45, en direct
22:00 sur Maritima, avec les commentaires de Karim Intab et Jacques Bail.
22:03 C'est tout pour ce soir.
22:04 Merci les frérots, merci mon Jaco.
22:06 Bonsoir les gars.
22:07 Merci mon Steph.
22:08 Merci l'équipe.
22:09 Belle fin d'après-midi sur Maritima et à demain.
22:12 [Musique]

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