️ Paris Saint-Germain v Real Sociedad: Luis Enrique post match press conference
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00:00 Mais...
00:02 Je crois que ce sont deux parties très différentes.
00:09 La première, dans laquelle la société réelle était supérieure.
00:14 Elle était meilleure que nous.
00:16 Elle nous a pris le ballon.
00:17 On ne pouvait pas pressionner parce qu'elle jouait à long.
00:20 Quand elle jouait à long, elles gagnaient le deuxième ballon.
00:26 On ne pouvait pas tirer le ballon de l'arrière avec la fraîcheur et la finesse de toujours.
00:32 Ça nous a coûté beaucoup.
00:33 Beaucoup de pertes de ballon.
00:35 Et ça faisait que le match était clairement décanté à son favori.
00:40 La grande première partie de la réelle, et ça nous a coûté beaucoup, la vérité.
00:45 Mais bon, le football est si capricieux et si beau,
00:51 que dans la deuxième partie, on a pu faire la tour.
00:53 On a changé de match, on a commencé à pressionner et à être plus efficaces dans cette pression.
00:59 On a récupéré les ballons.
01:01 On a tiré le ballon de l'arrière.
01:03 Ça nous a donné de l'air.
01:04 On a pu combiner beaucoup plus à l'intérieur.
01:06 On a commencé à supérer sa pression.
01:08 Et c'est là que sont apparus les espaces.
01:11 Et puis le but, le 1-0 en une partie stratégique,
01:16 quand justement ils ont 10 points,
01:18 ça fait que nous avons gagné en confiance et que nous avons pu prendre ce match.
01:26 Parce que la vérité, la réelle, c'est un équipe que nous connaissions déjà très bien.
01:30 Un équipe qui est très faite, qui a joué ensemble depuis de nombreuses années,
01:35 avec de très bons joueurs, un très bon entraîneur,
01:38 et qui a une idée de jeu très attractive et très effective.
01:43 Bonsoir coach.
01:44 Juste là, Giovanni Castelli, la chaîne L'Equipe.
01:47 Sur votre compo de départ, vous avez choisi d'aligner Lucas Berraldo plutôt que Lucas Hernandez.
01:53 Est-ce qu'il y avait un souci avec Lucas Hernandez ?
01:56 Et pour quelle raison vous avez choisi d'aligner Berraldo côté gauche ? Merci.
02:02 Non, aucun problème physiquement.
02:06 C'est comme un journaliste, pourquoi vous posez des questions ?
02:12 Vous êtes un journaliste, je décide les joueurs et les alignements.
02:15 Je suis entraîneur, c'est mon travail.
02:17 Mon travail, c'est ça.
02:19 J'ai mis les 11 joueurs que je considérais les meilleurs pour commencer le match.
02:22 Sûrement, je ne serais pas là aujourd'hui,
02:25 si je n'avais pas eu ce travail.
02:27 Je ne serais pas là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:29 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:31 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:33 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:36 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:38 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:40 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:42 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:44 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:46 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:48 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:50 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:52 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:54 Je serais là aujourd'hui, si je n'avais pas eu ce travail.
02:56 Je ne me souviens pas de rien.
02:58 Je ne me souviens pas de rien.
03:00 Les cuisiniers ne disent pas leurs recettes.
03:04 C'est eux qui ont fait ça.
03:08 Ils ont croit, ils ont eu la faim.
03:10 C'est un jeu, je ne m'arrête pas de le dire.
03:12 Il ne se passe rien si nous perdons.
03:14 Rien.
03:16 En fait, l'autre jour, nos fans sont venus voir l'entraînement et nous encourager.
03:20 Et ils nous ont seulement dit
03:22 que nous soyons valides et courageux.
03:24 Que rien ne se passe.
03:26 Que si nous ne gagnons pas la championnat, rien ne se passe.
03:28 Donc, c'est bon.
03:30 Nous pouvons perdre. La Real fut mieux que nous en première partie.
03:32 Mais il faut perdre avec nos armes.
03:34 Et si nous perdons avec nos armes, rien ne se passe.
03:36 La vie continue.
03:38 L'autre jour, les gens se réveillent.
03:40 Tu te lèves de nouveau.
03:42 C'est une partie du sport. Comme la vie.
03:44 Il faut être fiel.
03:46 Et en première partie, je crois que nous avons manqué un peu d'intention.
03:50 Et devant un équipe comme la Real,
03:52 ça devient un cauchemar.
03:54 La première partie, c'était un cauchemar.
03:56 Vous vous souvenez, il y a peu,
04:16 vous me demandiez si, comme la seconde partie,
04:18 le Brest nous avait empaté.
04:20 C'est un sujet physique.
04:22 La Real Sociedad est parfaitement préparée physiquement.
04:24 Le PSG, parfaitement préparé physiquement.
04:26 Mais,
04:28 celui qui a une mauvaise seconde partie,
04:30 c'est parce qu'il est mal préparé physiquement ?
04:32 Non. Il faut faire un analyse un peu plus profond.
04:34 Tous les équipes, à niveau professionnel,
04:36 sont bien préparés physiquement.
04:38 Aujourd'hui, il y a une quantité de
04:40 médias et de professionnels de haut niveau.
04:42 Pourquoi ?
04:44 Parce que la seconde partie,
04:46 on a changé de match.
04:48 On a plus de ballon.
04:50 On a superpris la pression.
04:52 Le but te donne de l'énergie
04:54 et de confiance.
04:56 Et le rival,
04:58 il commence à souffrir,
05:00 comme il serait logique quand tu joues à la maison.
05:02 Mais,
05:04 je préfère ne pas penser,
05:06 que dans 15 jours,
05:08 on va souffrir.
05:10 La Real Sociedad est un très bon équipe,
05:12 avec une idée de jeu très claire.
05:14 Si on avait joué avec son amour,
05:16 ils seraient plus forts.
05:18 Si c'était une autre équipe,
05:36 et non la Real Sociedad,
05:38 on n'aurait pas passé à la première partie.
05:42 Ça a quelque chose à voir avec le rival,
05:44 avec son niveau,
05:46 avec la partie,
05:48 qui, au lieu de jouer un ballon,
05:50 le premier ballon de la première partie,
05:52 indique ce que sera la première partie.
05:54 Au lieu de jouer notre jeu typique,
05:56 pour avoir le ballon dans le camp contraire,
05:58 et pressionner et encourager notre fan,
06:00 on joue dans notre camp et on a des problèmes.
06:02 C'est un réflexe de ce qui s'est passé
06:04 toute la première partie.
06:06 Et dans la seconde,
06:08 ça ne s'est pas passé.
06:10 On a gagné confiance et on a pu
06:12 faire la retour à un match qui
06:14 était très compliqué.
06:16 Je pense que c'est la première partie
06:18 de toute la saison
06:20 où le rival est
06:22 tellement supérieur à nous.
06:24 Vous avez permuté en deuxième mi-temps
06:26 entre Vitinha et Fabian Ruiz.
06:28 J'ai l'impression que Vitinha est descendu
06:30 un peu plus.
06:32 Qu'est-ce qui a provoqué ce changement ?
06:34 La intention de tenir un peu plus
06:36 le ballon. Vitinha est un joueur
06:38 plus dynamique, qui a la capacité
06:40 de ne pas perdre de ballons.
06:42 Je pense que le changement a été très bien.
06:44 Il a permis de voir
06:46 le match de l'équipe
06:48 et de voir comment il pouvait
06:50 jouer.
06:52 Il a permis de voir le meilleur Vitinha
06:54 et de voir le meilleur Fabian.
06:56 Warren était au niveau de son équipe.
06:58 Mais plus que ça,
07:00 il a permis de voir
07:02 la mentalité et la conviction
07:04 qui ont commencé la deuxième partie.
07:06 On a vu que les joueurs
07:08 avaient commencé à suivre leur pression.
07:10 Ça a permis à l'équipe de se faire
07:12 croître, de se faire croire
07:14 et de pouvoir faire la retour
07:16 à un match qui, je le répète,
07:18 était très compliqué.
07:20 C'était très compliqué.
07:22 Bonsoir coach.
07:26 Vous avez ouvert le score
07:28 sur la phase arrêtée
07:30 avec une remise de Marquinhos au second poteau
07:32 pour le but de Kylian. On a vu aussi qu'en première période
07:34 il y avait déjà eu ce schéma
07:36 qui n'était pas allé jusqu'au bout parce que Fabian Norris
07:38 n'avait pas pu marquer au second poteau. Est-ce que c'était
07:40 une faiblesse identifiée dans le jeu d'Arreal Sociedad ?
07:42 Cette faiblesse au second poteau ?
07:44 Non. La vérité, c'est que
07:48 je pense que c'est un équipe
07:50 qui a des stratégies et des actions
07:52 à haut niveau.
07:54 Je pense qu'ils sont plus forts que nous.
07:56 Ils ont de grands lanceurs
07:58 et de grands remboursateurs.
08:00 Mais le football est toujours comme ça.
08:02 De toute façon, le 1-0 est marqué
08:04 par un joueur à un poteau.
08:06 Un joueur comme Kylian Mbappé
08:08 qui n'est pas un grand spécialiste
08:10 dans ces leaders,
08:12 mais il y a un bon centre,
08:14 un bon remboursement de Marquinhos
08:16 dans le premier poteau.
08:18 Ça signifie toujours des problèmes pour l'adversaire
08:20 et aussi de la chance.
08:22 Ils étaient 10 dans cette action
08:24 parce que Traoré était juste à l'extérieur.
08:26 Tout aide au football.
08:44 Non, je ne me suis pas surpris du tout.
08:46 Ils l'ont fait avec 6 joueurs.
08:48 Normalement, quand on est pressé dans la Ligue française,
08:50 ils viennent avec 7.
08:52 Nous, 8, mais nous n'avons pas été fluides
08:54 ni avec confiance.
08:56 Nous n'avons pas la capacité
08:58 de trouver de bons passes.
09:00 Je ne me suis pas surpris,
09:02 mais ça ne m'importe pas
09:04 que vous connaissez un équipe.
09:06 Ça ne m'importe pas.
09:08 Ça ne m'importe pas
09:10 que vous saviez
09:12 ce qui se passe.
09:14 C'est bien de connaître les adversaires,
09:16 mais le football est très dynamique.
09:18 Beaucoup de joueurs,
09:20 un grand terrain,
09:22 beaucoup de situations de jeu
09:24 que, même si vous connaissez,
09:26 un équipe peut faire un but
09:28 en 10 matchs en s'éloignant.
09:30 Et vous ne le rectifiez pas.
09:32 C'est comme ça.
09:34 C'est pourquoi ils l'appellent le football.
09:36 C'est pourquoi c'est le meilleur sport du monde.
09:38 Imprédicable, beaucoup de fois.
09:40 - Bonsoir.
09:42 Je suis Diego Torres, du Pays.
09:44 Je voulais te demander
09:46 si ce qui t'a le plus
09:48 à penser
09:50 ces derniers mois
09:52 c'est la sortie du ballon
09:54 avec le centre-média,
09:56 quelque chose qui a l'air
09:58 de t'avoir résolu
10:00 dans la deuxième partie aujourd'hui.
10:02 - Je crois que
10:04 depuis que nous sommes arrivés ici,
10:06 c'est un peu comme ça.
10:08 On peut voir la révolution du équipe.
10:10 Je suis content de ce qu'elle fait.
10:12 Je crois que nous avons,
10:14 dans mon idée,
10:16 ce que nous souhaitons,
10:18 un équipe difficile
10:20 à pressionner.
10:22 Si ils décident de nous pressionner
10:24 et de nous arrisquer
10:26 et de sortir de nombreux joueurs,
10:28 nous sommes capables de porter le ballon
10:30 en bonne condition aux avant-gardes.
10:32 Normalement, aujourd'hui,
10:34 en première partie, non.
10:36 La société pressionnait très bien
10:38 et avec seulement 6 joueurs
10:40 et en étant en supériorité
10:42 de 4 contre 3 en arrière,
10:44 nous avons récupéré
10:46 une quantité de ballons.
10:48 Mais si je dois regarder
10:50 le projet de ces 6 mois,
10:52 je crois que l'équipe
10:54 a beaucoup de choses
10:56 que j'aime.
10:58 Il est évident que nous devons
11:00 évoluer et nous sommes
11:02 dans cette étape initiale,
11:04 mais je ne sais pas si je vous ai
11:06 bien expliqué ou pas.
11:08 C'est ce que je fais
11:10 comme entraîneur,
11:12 et c'est ce qui me fait
11:14 le plus de prière.
11:16 C'est la seule façon
11:18 de préparer mon profession
11:20 et de faire
11:22 mon travail avec succès.
11:24 Si nous devons nous éliminer,
11:26 je veux que ce soit de notre façon,
11:28 pas en faisant des hybrides
11:30 ou en faisant des choses
11:32 comme avant.
11:34 Merci.
11:36 (...)
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