️️ Replay Kickoff : Paris Saint-Germain - Stade Rennais en direct du Parc des Princes
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00:04:31 Bonjour à tous et bienvenue ici en direct du Parc des Princes, bienvenue dans Kick-Off, votre avant match, votre rendez-vous habituel, cette fois 23ème journée de Ligue 1, opposition entre Paris et Rennes. Salut Alexis !
00:04:42 Salut Ambre, la Ligue 1 comme on l'aime avec un Paris-Saint-Germain en quête d'un 18ème match consécutif sans défaite dans la Ligue 1 que l'on aime, c'est un PSG leader qui reçoit un stade Rennes 8ème mais dans une dynamique plus que positive.
00:04:56 Vous l'avez vu, coup d'envoi, horaire inhabituel aujourd'hui à 17h05 dans le froid de la capitale mais on va essayer de vous réchauffer un petit peu le cœur et pour ça on va commencer avec la voix qui embaume ce Parc des Princes, évidemment, Michel !
00:05:09 Bonsoir Ambre, bonsoir Alexis ! Bonjour même, il est un peu tôt encore ! Alors à chaque fois qu'une équipe bretonne vient, elle vient avec sa météo, ça c'est à chaque fois.
00:05:19 T'as ressorti la casquette des fonds tiroirs là ! Oui, oui, ou alors des rouges et bleus qui vont très bien, les résultats sont là, même si malheureusement on est un peu triste puisqu'on a perdu effectivement dans la grande famille rouges et bleus un membre éminent et je sais que vous en parlerez.
00:05:32 Évidemment, merci beaucoup Michel ! Bien couvert, Michel, Montana justement, un petit coup d'œil sur le programme de ce Kikow, vous en êtes habitués chers abonnés supporters du Paris Saint-Germain avec un retour sur la folle semaine du Paris Saint-Germain, les victoires en Ligue des Champions ici même et en Ligue 1 pour les rouges et bleus.
00:05:50 Comme d'habitude, on reçoit un ancien joueur qui va venir décrypter avec nous l'actualité du club de la capitale, Fabrice Poulain sera là tout à l'heure à nos côtés d'Ankikov et enfin on vous dira tout ce qu'il faut savoir sur Paris face à Rennes.
00:06:03 On se projettera doucement mais sûrement vers notre grosse rencontre du jour entre le Paris Saint-Germain et le stade Rennes. Avant d'accueillir, on a quand même un premier invité, avant de recevoir Fabrice Poulain, il y a Denis Troche, entraîneur adjoint, attitré d'Arthur Georges qui est là justement pour nous raconter son Arthur Georges.
00:06:22 Avant justement de l'accueillir et de lui poser tout plein de questions, honneurs, on lisait à un entraîneur emblématique des rouges et bleus. On se met une petite vidéo et on en repart juste après.
00:06:49 Le PSG joue dans ses couleurs traditionnelles alors que le Real Madrid ne joue pas dans ses couleurs blanches, il a été obligé de changer, il joue en bleu.
00:06:58 Et Arthur Georges qui serait le premier à ne pas recevoir l'invité du jour.
00:07:25 Difficile de trouver les mots quand on voit cette vidéo. En effet, hommage à Arthur Georges qui a été notre entraîneur emblématique du Paris Saint-Germain avec lequel nous avons soulevé des titres les plus beaux ici au Paris Saint-Germain.
00:07:38 Et pour en parler évidemment, son adjoint, son fidèle acolyte de l'homme à la moustache, il en avait une.
00:07:44 Et oui, qui pouvait son ami évidemment dans la vie. Bonsoir Denis, merci d'être là.
00:07:48 Bonsoir Ambre, bonsoir Alexis, bonsoir à tous.
00:07:51 Merci de nous faire l'honneur d'être là. Je vois que les yeux pétillent un petit peu après cette vidéo.
00:07:56 Oui, bien entendu, c'est une épopée extraordinaire qu'on a vécu. C'est aussi l'histoire, l'empreinte qui a été mise sur le Paris Saint-Germain et qui s'est concrétisée, bien entendu, par une rencontre hors norme.
00:08:08 Justement, tu en parles, difficile de dissocier Arthur Georges de l'épopée européenne des deux demi-finales en Coupe d'Europe du Paris Saint-Germain.
00:08:17 Et puis difficile de dissocier Arthur Georges de toi. Denis, on va parler de lui au présent. Qu'est ce qu'il représente pour toi, Arthur Georges, concrètement ?
00:08:24 Il représente une grande partie, une très grande partie de ma vie footballistique. Et il a marqué mon histoire personnelle, bien entendu, parce que je n'aurais jamais été l'homme que je suis aujourd'hui si je n'avais pas rencontré Arthur dans les années 80.
00:08:39 Et si tu devais garder une image, un souvenir d'Arthur, ce serait lequel ?
00:08:46 Son charisme. Tout à l'heure, en entrant au Parc des Princes, il y a un contrôleur qui m'a arrêté et qui m'a demandé d'ouvrir ma veste.
00:08:57 Il m'a dit "vous n'allez pas pouvoir rentrer". Et je dis "bon", il me dit "non, par excès de charisme". Et donc, si simplement je peux lui faire ce petit clin d'œil par rapport au charisme, je le fais parce qu'il avait énormément de charisme.
00:09:13 Le plus beau souvenir que vous avez vécu ensemble au moment où le club de la capitale, malheureusement, doit dire au revoir, c'est vrai, Arthur Georges, on rappelle, ce serait lequel ce souvenir de vous deux ?
00:09:26 Le fait d'avoir résisté à la tempête médiatique, mais pas seulement. Mais la finalité a été magnifiquement belle avec une rencontre hors normes qui encore trois décennies après marque l'histoire du Paris Saint-Germain, c'est ce fameux PSG-Real de Madrid.
00:09:44 Justement, j'allais te demander pour parler vraiment de foot, si tu devais, sur quel match, Arthur Georges, tu as le plus impressionné ?
00:09:53 Très bonne question. Le match le plus impressionnant où j'ai été impressionné par l'homme et par l'entraîneur, c'était lorsqu'on a gagné à Naples en Coupe d'Europe. On gagne 2-0 en Italie.
00:10:05 Ce qui était extraordinairement détonnant parce qu'on ne pouvait pas y penser. Et on a vu un match hors normes où il s'est passé quelque chose que je n'avais jamais vu dans un vestiaire.
00:10:16 Une ambiance qui était particulière. Mais aussi à la fin du match, les Napolitains nous ont applaudi. Ce qui est quand même très surprenant qu'une équipe parisienne-française soit applaudie par des Italiens. C'était particulier.
00:10:27 On dit souvent qu'un entraîneur n'est rien sans son adjoint. Un adjoint n'est rien sans son entraîneur. C'est un bidon qui va vraiment ensemble. Justement, toi, quelles relations d'hommes vous aviez ? J'imagine une confiance absolue.
00:10:39 Oui, c'est ça. On a commencé par une histoire humaine qui était assez difficile. Arthur avait perdu son épouse quand on était au Matra Racing. Il ne fallait pas que ça fuite.
00:10:50 Et ça n'a jamais fuité. La confiance, à partir de ce jour-là, était entre nous extraordinaire. Elle ne nous a plus jamais quitté. Hier, à l'enterrement, c'était un truc de fou.
00:11:01 D'un point de vue, on parle de binôme d'automatisme. Quand, à l'époque, Arthur Georges t'appelait, quand vous n'étiez pas ensemble, qu'est-ce que tu disais ? Est-ce que tu te disais "Vince, il va m'engueuler ou alors il va me demander conseil" ?
00:11:18 Non, pas engueuler, pas demander des conseils. Mais la finalité, notamment dans les réponses aux questions que l'on pouvait se poser sur le football, mais pas que sur le football, était prise de façon collégiale.
00:11:31 Il n'y avait pas d'ambiguïté entre son mode de penser et le mien. Ça ne voulait pas dire que j'étais un binôme qui était consanguin ou qui était conditionné par les propos du maître.
00:11:43 Non, pas du tout. Mais ce sont ces échanges, ces interactions positives qui faisaient qu'on a réussi à avoir des résultats qui étaient plutôt hors normes pour l'époque.
00:11:52 En tout cas, c'est vraiment chouette pour nous de t'avoir ici avec nous, Denis, pour rendre hommage à Arthur. Tu n'es pas le seul à avoir voulu lui laisser un petit mot.
00:11:59 Je te propose qu'on écoute ceux qui l'ont côtoyé, les joueurs, les anciens joueurs ici du Paris Saint-Germain, pour voir ce qu'ils ont à dire de lui.
00:12:10 Arthur Georges a été un entraîneur essentiel à la réputation du Paris Saint-Germain sur la scène européenne. Grâce à lui, on a été reconnus dans le monde entier.
00:12:20 Il nous a permis, grâce à son expérience, sa rigueur et son exigence, de devenir de meilleurs joueurs, d'atteindre le très haut niveau et surtout d'y rester.
00:12:28 Merci Arthur, merci pour tout ce que tu as fait pour nous. Je tiens à présenter toutes mes condoléances à sa famille.
00:12:37 Juste un petit message pour dire comment j'ai apprécié de travailler avec lui. C'était un grand professionnel. C'est quelqu'un qui nous a appris la rigueur et qui nous a mené vers cette victoire que nous avons eue par la suite en Coupe d'Europe.
00:12:51 C'était à sa manière un artiste. Et comment on dit ? Salut l'artiste !
00:12:56 Et un grand remerciement aussi et une grande pensée à sa famille qui est dans la douleur aujourd'hui. Sachez que nous partageons votre douleur et que c'est avec beaucoup d'affection que je vous laisse ce message.
00:13:08 Monsieur Arthur Georges, c'était un grand entraîneur comme tout le monde le sait. Mais surtout, il était un grand être humain, un grand ami. Gratitude coach pour servir pour toujours dans mon corps.
00:13:25 Coach, merci. C'était un plaisir de travailler. De la hauche, aujourd'hui, je pense que vous pouvez être fiers. Fiers de ce que vous avez fait du PSG. C'est un peu notre victoire. Reposez en paix coach.
00:13:35 Coach, merci du fond du cœur pour tout ce que vous avez apporté au Palais Saint-Germain. Merci pour tout. Reposez en paix.
00:13:48 Une grosse, immense pensée à Arthur Georges, mon ancien coach du Palais Saint-Germain. Et toutes mes condoléances à toute sa famille. Et reposez en paix coach.
00:13:56 Le discours hommage de la plupart des joueurs que toi et Arthur avaient connus de niais, du mimétisme dans la parole, dans le geste et ça va même jusqu'à la moustache. Sur certaines images, je n'en sais plus.
00:14:16 Tu as les yeux, je vois, remplis de larmes.
00:14:20 C'est émouvant d'entendre la reconnaissance, le travail qu'il a pu faire et qu'il a pu transmettre. On a vu un nombre incalculable d'entraîneurs de ses futurs, ses ex-joueurs devenus entraîneurs.
00:14:35 Ça veut dire qu'ils ont aussi appris l'entraînement sur cette période qui était une période fast.
00:14:41 Si toi tu devais dire un mot de la fin avant qu'on te laisse filer pour Arthur Georges, qu'est-ce que tu lui dirais ? Ici au Parc des Princes, un peu chez lui aussi.
00:14:50 On est là, si vous êtes là, si je suis ici présent ce soir, c'est en grande partie parce qu'il s'est passé dans les années 90 au Parc des Princes et notamment ce fameux match du Real de Madrid.
00:15:03 Le casque d'or.
00:15:05 Où il s'est passé des choses extraordinaires. Merci Antoine.
00:15:08 Merci beaucoup Denis Truch d'être venu ici nous parler d'Arthur Georges. Il n'y avait pas mieux que toi pour venir sur notre plateau son fidèle adjoint.
00:15:18 Tu vas retrouver notamment Michel Deniseau.
00:15:20 Oui et beaucoup d'autres.
00:15:22 Et beaucoup d'autres. On espère qu'il y aura un très bel hommage, je n'en doute pas, du Parc des Princes aujourd'hui.
00:15:27 Merci à vous, merci au Paris Saint-Germain, merci au président, merci à tout le monde.
00:15:31 Merci vraiment d'être venu nous avoir offert cette jolie page d'histoire.
00:15:34 Merci.
00:15:36 Ça va être dur mais il va falloir qu'on parle du match aussi et qu'on enchaîne.
00:15:40 On a envie de rester à parler d'Arthur mais l'occasion et l'histoire le fera à notre place et il y aura beaucoup d'hommages évidemment qui continueront.
00:15:48 Alexis, on va prendre notre souffle et on va se plonger dans la page Ligue des champions du Paris Saint-Germain.
00:16:00 Sans transition aucune, on enchaîne. Il y a dix jours, le Paris Saint-Germain de Louis-Henrique est recevé ici même sur la pelouse du Parc des Princes.
00:16:08 La Real Sociedad pour le huitième de finale allée de Ligue des champions.
00:16:13 Ça va nous mettre du baume au cœur.
00:16:15 Il y a une première mi-temps où il ne s'est pas passé grand chose.
00:16:19 Si, un pressing étouffant des Espagnols, on ne va pas se mentir Alexis. Ils nous ont fait mal.
00:16:24 Je parlais en termes d'occasion.
00:16:26 Cette occasion de Kylian Mbappé, il y a une barre transversale aussi pour la Real Sociedad mais comme souvent, la lumière est venue du pied droit de Kylian Mbappé sur cette déviation de Marquinhos.
00:16:36 Et encore Dembele impliqué sur un corner dévié par Marquinhos, c'est vrai.
00:16:39 Le but de Kylian Mbappé pour catapulter le cuir sous la barre, ça nous a fait du bien. Il a fallu attendre l'heure de jeu quand même.
00:16:46 Il y a eu aussi 44e but en Ligue des champions pour Kylian Mbappé qui n'a même pas encore 26 ans.
00:16:53 L'attaquant français et puis 44e pour l'un, le premier pour l'autre.
00:16:58 Et oui, 70e minute sur une sortie de Balduqui.
00:17:02 Encore Dembele, Barcola qui s'est lancé dans un rush sublime pour inscrire le but du break et son premier en Ligue des champions.
00:17:09 Ça nous faisait plaisir pour le petit chouchou du Parc des Princes numéro 29, Bradley Barcola.
00:17:14 Et qui dribble et qui prend de vitesse, Amari Traoré, un ancien du Stade Rennais.
00:17:19 On prend toutes les ondes positives pour cette rencontre qui va débuter dans un peu plus d'une heure.
00:17:26 Et oui, le 5 mars, la deuxième manche parce qu'on rappelle que le Paris Saint-Germain devra disputer son match retour.
00:17:32 On a vu un homme, j'en ai parlé sur le corner, encore une fois c'est lui qui est à l'origine de l'action du but de Barcola.
00:17:39 Alors il n'a pas été l'homme du match, c'est Kylian Mbappé, auteur d'un but qu'il a été et s'est mérité.
00:17:44 Mais on avait envie de focus sur Ousmane Dembele.
00:17:48 Il faut dire qu'il fait une saison et un début d'année 2024 remarquable.
00:17:52 Et quand on regarde son match, il y a des jolis stats.
00:17:55 Il a été partout défensivement et offensivement.
00:17:57 D'ailleurs, c'était certainement peut-être l'un des plus dangereux dans le camp parisien.
00:18:01 On voit 54 ballons touchés, 10 centes, 4 dribbles réussis, 5 fautes subies.
00:18:05 Ce sont les records du match.
00:18:07 Ce sont que les records.
00:18:09 C'est-à-dire que dans tous ces domaines-là, Ousmane Dembele est recordman du match.
00:18:13 Il a le plus de centres, de dribbles réussis, de duels gagnés et de fautes subies.
00:18:17 Ça dit beaucoup aussi du danger qu'il a fait planer sur les pensionnaires de Sainte-Sébastienne.
00:18:22 Tu ne l'as dit pas homme du match, mais j'ai l'impression que c'était l'homme de ton cœur.
00:18:25 Sur cette rencontre Ousmane Dembele, il aurait pu soulever le trophée d'homme du match.
00:18:29 Et pour une Saint-Valentin, il nous a fait plus que chavirer.
00:18:32 Je te confirme, il a fait battre un petit peu mon cœur.
00:18:34 Si ça pouvait se reproduire le 5 mars, ce serait pas mal.
00:18:37 C'est l'occasion pour moi de voir un petit peu les affiches retour.
00:18:40 A priori, tous les favoris des matchs ont plutôt fait leur match.
00:18:44 Sauf, c'est vrai, Bayern Munich qui ont été surpris au match aller.
00:18:48 Défaite 1-0 sur la pelouse de l'Aladzio de Rome.
00:18:52 Et puis vous voyez aussi le calendrier.
00:18:54 Le premier club à faire le huitième de finale retour.
00:19:00 Ce sera le Paris Saint-Germain et l'Aladzio,
00:19:02 respectivement contre la Real Sociedad,
00:19:04 la Real Arena de San Sebastian et donc le Bayern Munich
00:19:07 qui va recevoir l'Aladzio de Rome pour le match retour.
00:19:10 Et pour ça, il va falloir continuer sur notre belle dynamique.
00:19:13 Et ça tombe bien, on met les petits plats dans les grands Paris Saint-Germain.
00:19:16 On va se plonger doucement dans le match.
00:19:18 Alexis, rentrez dans notre après-midi, coup d'envoi dans 1h11.
00:19:21 Et vous voyez, le vestiaire est prêt.
00:19:23 Et regardez ce nom, Nuno Mendes, messieurs, dames,
00:19:26 est de retour dans le groupe du Paris Saint-Germain.
00:19:30 Près d'un an qu'on l'attendait, Nuno Mendes.
00:19:33 Et oui, il fait son retour dans le groupe des Rouges et Bleus.
00:19:36 Et ça, ça fait vraiment plaisir.
00:19:38 Sinon, c'est du classique.
00:19:40 Yujo, Lachraf Hakimi, Kylian Mbappé, Bradley, Barcola.
00:19:44 Là encore, une triplaine qui fonctionne souvent très bien sur les pelouses de l'IA.
00:19:49 Les joueurs sont arrivés, on vous laisse profiter.
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00:20:50 Nuno Mendes est bien là, Kylian Mbappé qui ferme la marche bien concentrée dans sa rencontre.
00:20:55 Vous voyez, 1h10 du coup d'envoi, petite page de pub.
00:20:58 Et juste après, on se retrouve avec notre invité, Fabrice Poulain, ancien joueur du Paris Saint-Germain.
00:21:03 A tout de suite.
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00:21:42 Avec iSense, la technologie emmène vos passions toujours plus loin.
00:21:46 Plus loin dans les saveurs.
00:21:49 Plus loin dans le bien-être.
00:21:53 Plus loin dans l'expérience.
00:21:56 Plus loin dans l'innovation.
00:22:03 Et vous, jusqu'où irez-vous avec iSense ?
00:22:06 iSense, vivons en mode passion.
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00:22:28 Bonjour, un Coca-Cola s'il vous plaît.
00:22:31 Avec ?
00:22:32 Ou sans sucre ?
00:22:33 Peu importe, j'adore son goût.
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00:23:56 C'est parti.
00:23:58 Avant le clap du grand final NBA.
00:24:01 Place au clap de lancement d'une grande saison 2023-2024.
00:24:06 Avec toujours deux matchs en direct tous les soirs.
00:24:10 C'était bon le clap ?
00:24:11 C'est bon ?
00:24:12 Et votre magazine référence quotidien.
00:24:15 On a regardé ce qu'il s'est passé évidemment sur les antennes de Beamsport.
00:24:18 Oh, quel shoot exceptionnel !
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00:24:25 Hello, hello, on est un petit peu plus d'une heure du coup d'envoi de cette rencontre entre le Paris Saint-Germain et le stade Rennais.
00:24:32 Coup d'envoi à 17h05, horaire inhabituel pour les supporters du Paris Saint-Germain.
00:24:38 Pour cette 23ème journée de Ligue 1, on est toujours en compagnie de l'inégalable.
00:24:42 Ambre Godillon, comment ça va ?
00:24:44 Eh bien ça va très bien, mais il n'y a pas que moi.
00:24:46 Il est désormais temps d'accueillir notre invité.
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00:24:54 Eh oui, nous sommes en compagnie de Fabrice Poulain.
00:24:58 Merci d'être là avec nous.
00:24:59 Du coup, première fois physiquement dans Kick-Off.
00:25:02 Donc c'est un bonheur pour nous de te recevoir.
00:25:04 Bonsoir Ambre, bonsoir Alexis, bonsoir à tous.
00:25:07 114 matchs, 4 buts.
00:25:09 Bon, 4 buts c'est normal.
00:25:11 Oui, de par ma position, c'était logique.
00:25:13 Tout le monde n'est pas marqué.
00:25:14 C'est déjà pas mal.
00:25:15 Eh oui, en effet, 3 saisons au club.
00:25:17 Alexis, il a marqué notre histoire.
00:25:20 Oui, c'est vrai.
00:25:21 Tu connais bien le Parc des Princes, tu connais bien le club.
00:25:23 On le disait, une centaine de matchs, Ambre l'a dit,
00:25:26 éparpillés entre l'AD1, la Coupe de France, le Trophée des champions.
00:25:30 Là, comme ça, si tu dis sélection aussi avec l'équipe de France,
00:25:33 toutes sous les couleurs du rouge et bleu,
00:25:36 tu as fait 3 saisons au club.
00:25:37 Là, est-ce que je te pose une question,
00:25:40 si tu avais un match à retenir ?
00:25:42 Ou alors non, on va tout de suite piocher dans les souvenirs ou pas ?
00:25:44 Oui.
00:25:45 On a sélectionné, objectivement…
00:25:48 Tu as mâché le travail, en fait.
00:25:49 3 souvenirs.
00:25:50 Alors, où est-ce que tu veux aller ?
00:25:51 Il y a un souvenir Paris-Nantes, un souvenir Paris-Bastia
00:25:54 et un souvenir au cerf Paris-Saint-Germain.
00:25:56 Tu veux aller où ? Sur quelle pelouse ?
00:25:58 C'est compliqué parce que les 3 sont très intéressants.
00:26:01 Pour aller sur les 3, si tu veux vraiment, il n'y a pas de problème.
00:26:03 Mais Paris-Saint-Germain-Bastia, parce que c'est le dernier match du titre,
00:26:06 85-86, c'était un moment inoubliable.
00:26:10 Le premier titre de l'histoire du Paris-Saint-Germain, tu y étais là.
00:26:13 Raconte-nous un peu, quand tu vois ces images, ce que tu ressentais à l'époque, comment c'était ?
00:26:18 On avait vécu une saison extraordinaire.
00:26:20 Moi, j'arrivais de Nantes et c'est vrai que personne ne me connaissait.
00:26:24 Donc, il a fallu beaucoup travailler pour être titulaire dans cette équipe-là.
00:26:29 Mais on a vécu vraiment une saison exceptionnelle avec un record d'invincibilité.
00:26:35 Et puis, on était à Paris, premier titre au Paris-Saint-Germain.
00:26:39 Je veux dire, on l'a fêté, mais plus que fêté.
00:26:43 C'est la meilleure des sensations, justement.
00:26:45 Premier titre de l'histoire du club, obtenu à la dernière journée, à domicile, dans ces conditions.
00:26:50 C'est la meilleure des sensations ?
00:26:51 Ah oui, franchement, oui.
00:26:52 C'était les frissons constants à chaque fois qu'on rentrait au Parc des Princes.
00:26:57 Parce que pour moi, c'est un stade mythique.
00:27:00 C'est vraiment quelque chose d'extraordinaire.
00:27:02 Mais à chaque fois qu'on rentrait, on avait les frissons, les supporters, le Cop Boulogne, le Cop Auteuil.
00:27:07 C'était exceptionnel.
00:27:09 Ce public, c'est marrant, c'est vraiment le dénominateur commun de tous les anciens joueurs qui passent sur notre plateau.
00:27:14 Ils nous disent "ce public est extraordinaire".
00:27:16 Le 12ème homme, ce n'est pas un fantasme ici.
00:27:18 Ah non, non, non.
00:27:19 Franchement, c'est quelque chose, il faut le vivre.
00:27:21 Nous, on a eu cette chance-là, de pouvoir vivre ces moments-là.
00:27:25 Alors, c'est difficile de les décrire.
00:27:28 On le ressent dans tes yeux, dans ton regard.
00:27:30 Oui, et puis moi, à chaque fois que je rentre sur cette pelouse-là,
00:27:34 pour moi, c'est des souvenirs tellement énormes.
00:27:37 Et puis, ce qui m'a permis aussi, cette première saison,
00:27:41 c'est d'accéder en Coupe de France, avec l'équipe de France.
00:27:45 Donc pour moi, c'était exceptionnel.
00:27:47 Il nous reste deux souvenirs, Fabrice.
00:27:49 Tu veux aller où ?
00:27:50 Donc, on était à Paris-Bastia, soit Paris-Nantes, soit Auxerre-Paris-Saint-Germain.
00:27:53 Tu choisis lequel ?
00:27:54 Je vais finir par PSG Nantes, mais on va aller à Auxerre-Paris-Saint-Germain, parce que c'est le but.
00:27:59 C'est ton premier but sous les couleurs du Paris-Saint-Germain.
00:28:02 On rappelle que tu étais un milieu défensif, vraiment défensif.
00:28:06 Donc, au vu de ton profil, c'était assez rare que tu mettes des buts.
00:28:09 Mais voilà, en 114 matchs, tu as quand même eu…
00:28:11 T'es pas de l'AHD à l'époque, hein ?
00:28:12 Oui, on rassure nous, tu es bien sur la pelouse.
00:28:15 Oui, c'est ça, voilà.
00:28:17 C'était une passe de Safet Suzyk, super joueur, extraordinaire numéro 10.
00:28:22 Il y avait une équipe quand même assez costaude, Joël Batts aussi, le joueur nord-est.
00:28:25 Oui, il y avait une équipe, vraiment, cette année-là, c'est vrai qu'elle était hyper complète.
00:28:29 C'était Gérard Houillet, l'entraîneur.
00:28:32 Et puis, un petit mot aussi pour Francis Borrelli, qui a été le président de l'époque.
00:28:35 Et du coup, il nous reste un dernier souvenir qu'on va aller piocher.
00:28:38 Donc, en effet, parmi les trois vignettes, c'était le Paris-Saint-Germain, en haut à gauche, face à Nantes.
00:28:43 Deux équipes de cœur pour toi.
00:28:45 J'imagine un match particulier d'affronter les Canaries.
00:28:49 Oui, toujours.
00:28:51 Quand je suis parti du FC Nantes pour signer au Paris-Saint-Germain,
00:28:54 c'est vrai que les confrontations, aussi bien allées que retours,
00:28:57 ce n'est pas facile quand on a passé toute sa formation dans un club.
00:29:02 Et puis, de retrouver ce club-là avec d'autres couleurs, ce n'est pas simple.
00:29:07 Mais bon, il fallait assumer.
00:29:09 Et puis, quand on est au Paris-Saint-Germain, il faut assumer.
00:29:11 Et puis, aussi, le titre se jouait entre vous et le FC Nantes.
00:29:14 Donc, c'est d'autant plus particulier.
00:29:16 C'est notre côté en kikineur.
00:29:17 On était obligé de te mettre ce match-là dans les dents.
00:29:19 Oui, bien sûr.
00:29:20 Non, mais je l'assume.
00:29:21 Il n'y a pas de souci.
00:29:22 Non, mais c'était des gros matchs.
00:29:24 C'était des gros matchs à l'époque.
00:29:25 Il y avait une vraie rivalité.
00:29:27 Et c'était super intéressant de les jouer.
00:29:30 Moi, j'ai progressé à travers tous ces matchs-là.
00:29:32 Ce qui m'a permis de pouvoir faire la carrière que j'ai pu faire derrière.
00:29:36 Ici, c'était victoire 2-0, si je ne dis pas de bêtises pour le Paris Saint-Germain.
00:29:39 Et vu qu'on parle de rivalité, on va rester tourné vers l'ouest.
00:29:42 Mais on va plutôt parler de notre adversaire d'histoire.
00:29:44 Si vous voulez bien, le Stade Rennais.
00:29:46 C'est parti, zoom sur l'adversaire.
00:29:54 Alors, tu ne nous en veux pas Fabrice, on va sortir un petit peu des souvenirs.
00:29:57 On va aller dans l'actu un peu plus récente.
00:29:59 C'est la tradition dans Kick-Off, on parle de tout.
00:30:01 L'ancien, le nouveau, on mélange tous les genres.
00:30:03 Mais on va te demander ton regard un petit peu sur cette adversité, qui est Rennes.
00:30:08 Quand on compare un petit peu les dynamiques.
00:30:10 Alors, Rennes, il reste sur 6 victoires consécutives en Ligue 1.
00:30:13 Le Paris Saint-Germain, toi, tu sais ce que c'est que les séries.
00:30:15 Tu disais, vous en avez vécu une extraordinaire.
00:30:17 Nous, en Ligue 1, c'est pareil.
00:30:19 On reste sur 17 matchs consécutifs sans défaite.
00:30:21 On regarde un petit peu.
00:30:23 Ce qu'on peut noter quand même.
00:30:25 L'attache favorable quand même pour le Paris Saint-Germain.
00:30:27 Au vu des victoires, du nombre de buts.
00:30:29 Mais j'allais dire, attention, on a deux des trois meilleures attaques du championnat.
00:30:34 Le Paris Saint-Germain et Rennes, troisième meilleure attaque.
00:30:36 Qu'est-ce que tu penses de l'adversité ?
00:30:38 C'est souvent une bête noire pour nous, Rennes.
00:30:40 Ah oui, ça l'a toujours été, même de mon temps aussi.
00:30:43 C'était toujours très compliqué de battre Rennes.
00:30:46 Après, l'avantage que peut avoir le Paris Saint-Germain aujourd'hui,
00:30:50 c'est le Parc des Princes.
00:30:51 Ils sont à domicile.
00:30:53 Ils sont sur une dynamique extraordinaire.
00:30:55 Ils veulent vraiment faire quelque chose d'énorme.
00:30:58 Et avec le soutien du public, avec un parc plein,
00:31:01 même si l'adversité sera difficile,
00:31:04 honnêtement, je pense que l'équipe du Paris Saint-Germain
00:31:08 a tout le potentiel pour pouvoir gagner ce match-là.
00:31:10 Vous l'avez entendu, il n'est pas encore plein,
00:31:12 mais il faudra donner de la voix, les gars, aujourd'hui.
00:31:14 Tu parlais de la dynamique, du coup, extraordinaire.
00:31:16 C'est vrai, 17 matchs sans défaite en Lyon pour le Paris Saint-Germain.
00:31:20 Toi qui as connu ça, une longévité incroyable sans défaite.
00:31:24 Ça marche à quoi ce contrôle continu ?
00:31:26 Et ce n'est pas facile, on a tendance à dire du championnat de France,
00:31:28 mais il faut aller les chercher, ces dynamiques.
00:31:30 Oui, c'est compliqué, mais c'est mental.
00:31:33 De toute façon, il faut...
00:31:35 Aujourd'hui, les joueurs professionnels le savent,
00:31:38 chaque match est différent.
00:31:40 Et puis, quand on est professionnel, on veut gagner le plus possible.
00:31:44 Donc, on veut battre des records, on veut aller toujours plus loin.
00:31:48 Et aujourd'hui, les joueurs du Paris Saint-Germain,
00:31:50 c'est ce qu'ils veulent faire en championnat de France,
00:31:52 en Coupe de France, en Coupe d'Europe.
00:31:54 Quand on est compétiteur, il faut gagner, tout simplement.
00:31:58 Tu l'as plus ou moins dit, dernière défaite en Ligue 1 pour le Paris Saint-Germain,
00:32:01 c'est au mois de septembre dernier, c'était contre l'OGC Nice.
00:32:05 Est-ce que tu trouves qu'on a un peu trop tendance à sous-estimer
00:32:08 la force des Rouges et Bleus ?
00:32:11 Je pense, parce que ce n'est pas facile de gagner les matchs.
00:32:15 Aujourd'hui, les clubs travaillent énormément.
00:32:17 Tous les clubs ont progressé, on le voit bien dans ce championnat de France.
00:32:20 Ce championnat de France est un championnat très compliqué.
00:32:23 Et c'est vrai qu'on minimise parfois les victoires.
00:32:25 On trouve ça normal. Il n'y a rien de normal.
00:32:27 Dans le sport de haut niveau, il faut toujours travailler.
00:32:31 On gagne un match, on retravaille des fois trois jours,
00:32:34 parce qu'il y a un match de Coupe d'Europe pour tendre les deux.
00:32:37 Donc, le mental est fait énormément.
00:32:39 Mais c'est un peu ça, le Paris Saint-Germain,
00:32:40 ils ont tendance à banaliser l'exceptionnel aussi.
00:32:43 Et quand on parle d'exceptionnel, on peut aller choper un peu dans notre jeunesse ?
00:32:46 On en a de l'exceptionnel. Un certain Warren Zahir-Emery.
00:32:49 Du hôte, ses 17 ans nous a impressionné.
00:32:51 Il met des buts, il empile les passes d'oeufs, il est décisif, il est souvent titulaire.
00:32:55 On aime bien faire les duels à distance dans les matchs.
00:32:57 Donc, on a été pioché un peu du côté du Stade Rennais,
00:33:00 voire un équivalent en tout cas.
00:33:02 Et on a été chercher donc, désiré doué,
00:33:04 donc, Warren Zahir-Emery.
00:33:06 Et oui, deux joueurs du cru, c'est vrai.
00:33:08 Warren Zahir-Emery, 14 interceptions, deux buts, deux passes d'oeufs.
00:33:11 On ne parle qu'en Ligue 1.
00:33:12 Sinon, Warren est à trois buts et six passes décisives.
00:33:15 Six passes d'oeufs quand même. Il est déjà impliqué dans neuf buts.
00:33:17 Est-ce que c'est quelque chose qui t'impressionne, la formation parisienne, l'ampleur qu'elle prend ?
00:33:22 Oui, et puis c'est vrai que des joueurs aussi jeunes,
00:33:25 de s'intégrer dans une équipe comme le Paris Saint-Germain
00:33:29 et d'être un titulaire indiscutable aujourd'hui.
00:33:32 Bon, après, il y a des joueurs d'exception.
00:33:35 Zahir-Emery sera un joueur d'exception dans les années à venir.
00:33:38 Il a déjà été en équipe de France à son âge.
00:33:41 Il y a une précocité qui est énorme.
00:33:44 Mais il y a beaucoup de jeunes joueurs au Paris Saint-Germain qui vont intégrer.
00:33:48 On va peut-être en parler, mais Barcola aussi, aujourd'hui, est un jeune joueur qui a un vrai potentiel.
00:33:56 Donc, c'est un amalgame entre jeunes un peu plus anciens, expérimentés.
00:34:02 Et aujourd'hui, c'est ce qui fait la valeur du Paris Saint-Germain.
00:34:04 Et bien, adepte de la passe décisive, Fabrice Poulain, justement, on a voulu un petit peu mettre en lumière.
00:34:08 Bradley Barcola, on se fait un petit kiff ou pas, Ambre ?
00:34:11 Allez, let's go, on se fait un petit melti pot.
00:34:14 Bradley Barcola dans le verbe et dans le geste depuis le début de la saison.
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00:35:15 Bradley Barcola, la pépite du Paris Saint-Germain, ce soir, on verra.
00:35:19 Est-ce que dans quelques instants, il sera dans la composition ou pas de Louis Sénriquet ?
00:35:23 La compose juste après cette toute petite page de pub.
00:35:27 On vous retrouve juste après pour vous dire nos 11 titulaires.
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00:38:58 On vous l'avait dit, nous sommes de retour à 51 minutes du coup d'envoi d'Ankikov,
00:39:05 l'avant-match de Paris-Rennes et cette 23ème journée de Ligue 1.
00:39:08 Alexis, on va se diriger vers le 11 de départ, mais avant ça, forcément on va voir les joueurs qui ne seront pas là aujourd'hui.
00:39:14 Ils sont 3, Milan, Skriniar, Presnel Kipembe et Marquinhos sont tous les 3 absents pour cause de blessure,
00:39:22 même si Milan, Skriniar est en phase de reprise, tout comme Marquinhos qui a été plus ou moins préservé.
00:39:27 Il devrait être là la semaine prochaine.
00:39:29 Et du coup, vous l'avez compris, Nuno Mendes n'est plus du côté de l'infirmerie, il est bien dans le groupe ce soir.
00:39:36 Allons découvrir ensemble le 11 de départ de Luis Enrique.
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00:39:47 C'est une habitude, on commence avec le poste de gardien de but. Il n'y a pas de surprise pour protéger les cages du Paris Saint-Germain.
00:39:55 Il fête ses 25 ans aujourd'hui, Gianluigi Donnarumma.
00:39:58 Au poste de latéral droit, l'international marocain Achraf Hakimi enchaîne les titularisations.
00:40:06 Le numéro 15 du Paris Saint-Germain sera positionné en défense centrale, Danilo Pereira.
00:40:14 A ses côtés, notre nouvel recrut, Beraldo, titulaire donc en défense centrale.
00:40:20 Qui dit Beraldo dans l'axe dit Lucas Hernandez au poste de latéral gauche.
00:40:26 On continue et on passe du côté du milieu de terrain, Vitinha est titulaire ce soir pour protéger la défense.
00:40:34 Ça devient une habitude, il s'impose au poste de titulaire Fabien Nruiz, qui est titulaire aujourd'hui.
00:40:43 Le retour du sud-coréen Kang In-li dans le 11 de départ de Luis Henrique.
00:40:48 Toujours des petites surprises, place désormais à l'attaque.
00:40:51 Le numéro 10, il effectue une deuxième partie de saison tout bonnement exceptionnelle, Ousmane Dembélé.
00:40:57 A ses côtés, le chouchou du parc des princes, le jeune Bradley Barcola.
00:41:05 Et Alexis, forcément, qui d'autre que lui ?
00:41:10 Le numéro 7, il porte le brassard de capitaine ce soir, Kilian Mbappé.
00:41:15 Avec le badge, évidemment, deux meilleurs buteurs du championnat que vous avez pu voir et qu'ils conservent depuis un bout de temps déjà.
00:41:23 La composition, on le voit de ce Paris Saint-Germain qu'on imagine en 4-3-3.
00:41:28 Même si Kang In-li a quand même des petites velléités offensives, il pourrait jouer en numéro 10.
00:41:34 Je me tourne vers toi du coup Fabrice, pas mal, séduisant quand même ce 11 de départ.
00:41:39 Ah oui, c'est séduisant et puis ce sont tous, ça paraît une équipe très offensive.
00:41:43 Avec un trio devant qui a de grandes qualités, qui va très vite, qui va prendre la profondeur.
00:41:51 Donc non, franchement, on devrait voir un très beau match.
00:41:54 Et puis en général, ils sont très souvent spectaculaires les Paris-Rennes,
00:41:58 puisque ça fait près de 30 matchs d'ailleurs qu'il n'y a pas eu un seul 0-0.
00:42:02 Plus de 10 ans.
00:42:03 Plus de 10 ans qu'il n'y a pas eu de 0-0 entre Paris et Rennes.
00:42:06 On va comparer un petit peu les deux attaques de ce soir.
00:42:09 Tu parlais du trio exceptionnel du Paris-Saint-Germain,
00:42:11 et Kuzman Dembele, Bradley Barcola et Kylian Mbappé regardent un petit peu.
00:42:16 On voit que forcément, l'otage favorable pour le Paris-Saint-Germain.
00:42:21 On sait qu'il y a eu beaucoup de nouvelles arrivées cet été,
00:42:24 surtout sur les postes offensifs avec Marco Asensio, Randall Kolomwani, Bradley Barcola, Gonzalo Ramos.
00:42:30 Mais force est de constater qu'avec Luis Henrique, c'est une force de frappe offensive le Paris-Saint-Germain cette année.
00:42:38 Oui, parce qu'à chaque fois qu'un autre joueur rentre, que ce soit Ramos, Kolomwani...
00:42:43 Ça a arrivé 13 fois cette saison, qu'une sortie de main soit décisive.
00:42:46 Oui, à chaque fois, parce qu'ils sont des compétiteurs et puis ils sont remplaçants.
00:42:50 Ils veulent prouver aussi à l'entraîneur qu'ils peuvent être des titulaires.
00:42:54 C'est ce qui fait la force du Paris-Saint-Germain aujourd'hui.
00:42:56 C'est qu'ils sont très complémentaires et qu'il y a un vrai potentiel.
00:43:00 Vu que tu parles du vent des remplaçants, je te propose qu'on aille voir qui sera sur le banc.
00:43:04 Il pourrait potentiellement être un bon joker de luxe pour Luis Henrique.
00:43:08 Et ce soir, Keller Navas, Nuno Mendes.
00:43:11 Et donc bien de retour, messieurs, dames, sur le banc du Paris-Saint-Germain.
00:43:14 Nardi Boukhele, Boukherte...
00:43:17 Je te coupe entre les gardiens du Paris-Saint-Germain.
00:43:21 Arnaud Tenasse.
00:43:25 Juste avant lui, celui qui fête son anniversaire ce soir.
00:43:29 Eh oui, eh oui !
00:43:31 Gidiot !
00:43:33 Joyeux anniversaire...
00:43:37 Et qui fait en la marche Keller Navas.
00:43:40 Joyeux anniversaire...
00:43:44 Joyeux anniversaire Gidiot...
00:43:50 Joyeux anniversaire...
00:43:56 Joyeux anniversaire Gidiot !
00:44:00 25 ans pour le gardien du temple.
00:44:04 Eh oui !
00:44:06 On va en parler, de Gidiot.
00:44:08 Ah, ben oui, il est rentré dans l'histoire du club quand même.
00:44:11 Gidiot donna Roma depuis le week-end dernier.
00:44:14 Et sa titularisation contre le FC Nantes au stade de la Beaujoire,
00:44:18 il a passé les 100 caps avec le Paris-Saint-Germain.
00:44:23 Il fait partie du Hall of Fame des gardiens de but.
00:44:26 Ils sont que neufs aujourd'hui.
00:44:28 Ils étaient que neufs, et donc il intègre le top 10 Gidiot donna Roma.
00:44:32 Et oui, toi tu sais ce que c'est Fabrice, parce que tu les avais décrochés les 100 matchs.
00:44:37 Mais ce n'est pas évident pour les gardiens, seulement 10 dans l'histoire, c'est dire l'exploit de Gidiot.
00:44:41 Et ses stats cette saison disent aussi pas mal de sa performance.
00:44:45 Meilleur pourcentage d'arrêt du championnat,
00:44:48 et surtout sa meilleure saison en championnat en carrière quand tu regardes ses stats.
00:44:52 Qu'est-ce que tu penses d'être Gidiot national ?
00:44:55 C'est un super gardien bien évidemment, mais c'est un poste tellement ingrat.
00:44:59 Ce n'est pas facile parce qu'il subit aussi un petit peu ce qui se passe sur le terrain.
00:45:05 Donc lui c'est le dernier rempart.
00:45:07 Mais à son âge, montrer ce qu'il montre, je crois qu'on ne peut que le féliciter.
00:45:12 Et puis je crois qu'il a une carrière énorme devant lui.
00:45:14 Oui, puisqu'il n'a que 25 ans. C'est quand même à 5 ans qu'on a tendance à l'oublier.
00:45:17 Il fait ses 25 ans aujourd'hui, lui qui a été élu meilleur gardien, meilleur joueur du dernier euro quand l'Italie a soulevé le trophée.
00:45:25 C'est vrai qu'on a tendance aussi, on disait le PSG banalise l'exploit, banalise l'exceptionnel.
00:45:31 C'est un petit peu la même chose pour Gianluigi Donnarumma.
00:45:34 On a tendance à oublier qu'il est extraordinaire sur sa ligne.
00:45:38 Et c'est certainement le meilleur gardien de Ligue 1 aujourd'hui.
00:45:40 Oui, et puis encore une fois, il est très très très jeune.
00:45:44 On a l'impression qu'il est maintenant là depuis longtemps.
00:45:48 Oui, c'est vrai.
00:45:49 Mais pas du tout. Je crois que lui aussi, à chaque match, il doit aussi se remettre en question.
00:45:54 Parce que derrière, il y a des très bons gardiens aussi. Il ne faut pas se leurrer.
00:45:57 Mais non, non, il a un avenir énorme et le PSG peut compter sur un vrai bon gardien.
00:46:04 Fabrice, tu connais mon côté anti-kick-inners.
00:46:06 Si tu devais choisir entre jouer le bat et Donnarumma, tu ferais avec qui ?
00:46:09 Non, je te taquine, je te taquine.
00:46:12 C'est compliqué, c'est compliqué.
00:46:14 Je vous propose qu'on regarde un petit peu le classement.
00:46:16 On n'en a pas parlé encore. Le classement de la Ligue 1 avant que cette émission se finisse.
00:46:21 Alors on vous rappelle que donc, ça, c'est vraiment le classement avant les matchs de 15 heures.
00:46:27 Donc on rappelle que Brest, eh bien, s'est imposé.
00:46:30 3-0 hier soir.
00:46:31 Lille est actuellement menée 2-1 et Nice est tenue en échec face à Clermont.
00:46:38 Donc voilà, le classement reste inchangé.
00:46:40 On rappelle à 13h, Monaco l'a emporté sur la pelouse du Racing Club de Lens, 3 buts à 2 à Bollard.
00:46:45 Et du coup, vu qu'on parle du classement, on peut parler des classements individuels.
00:46:48 Buteur, passeur, Fabrice, à ton avis, qui est-ce qui trust ?
00:46:52 Eh bien, ce sont les Parisiens. Kylian Mbappé, Ousmane Dembélé.
00:46:55 Quand on voit leur Kylian, 21 buts, on a l'habitude.
00:46:58 Les 7 passes d'Ed Ousmane.
00:47:00 Est-ce que tu t'attendais à un début de saison aussi fracassant dans les rangs des Rouges et Bleus ?
00:47:04 Franchement, oui.
00:47:05 Franchement, oui, parce que ce sont des joueurs exceptionnels.
00:47:09 Ousmane Dembélé, il avait besoin de retrouver beaucoup de confiance.
00:47:13 Mais je crois qu'à lui tout seul, il peut débloquer un match.
00:47:17 Et c'est surtout, c'est qu'aujourd'hui, c'est un vrai passeur.
00:47:20 Alors, il marque peut-être un peu moins.
00:47:23 Mais il met dans de telles conditions ses partenaires, qu'il permet à ses partenaires de pouvoir marquer.
00:47:29 Et si Kylian, aujourd'hui, est aussi à 21 buts, c'est parce qu'à côté de lui, il a des joueurs qui lui donnent des vrais ballons.
00:47:34 Et Ousmane Dembélé en fait partie.
00:47:36 Et pour moi, Ousmane, c'est vraiment un très, très bon joueur.
00:47:39 Un énorme potentiel.
00:47:41 Et à lui tout seul, il peut débloquer une situation.
00:47:43 Et surtout qu'on l'a vu sur les derniers matchs et surtout sur cette deuxième partie de saison,
00:47:47 là où il a énormément progressé, c'est sur les efforts défensifs.
00:47:50 On l'a vu en Coupe de France, on l'a vu en Ligue des Champions.
00:47:53 Vraiment, il est sur tous les fronts, aussi bien défensivement qu'offensivement.
00:47:56 Oui, parce que je pense qu'aujourd'hui, physiquement, il est bien. Dans sa tête, il est bien.
00:48:00 On va toucher Dubois, bien évidemment, mais il ne se blesse plus comme il se blessait avant.
00:48:05 Je crois qu'il est vraiment dans une confiance totale.
00:48:08 Et ça se voit d'ailleurs dans son jeu.
00:48:10 Quand il prend le ballon, il est percutant, il provoque, il fait quelque chose.
00:48:15 Donc pour les supporters, c'est exceptionnel parce qu'on s'attend toujours à quelque chose d'extraordinaire.
00:48:20 Tout à l'heure, on commentait ses stats face à l'arrière-sociétat.
00:48:23 Il avait tous les records du match, ce qui était exceptionnel.
00:48:26 On va devoir le montrer très vite aussi parce que le calendrier qui nous attend, il est aussi corsé.
00:48:30 Quand on regarde un petit peu les prochains matchs, le marathon commence un peu ce soir, on le voit face à Rennes.
00:48:35 Mais Monaco, pas facile. Real Sociedad, deuxième manche, G8 de finale de Ligue des Champions, pas facile.
00:48:40 Reims, on sait combien c'est dur, cette équipe.
00:48:43 Et puis Nice, en Coupe de France, c'est la même qu'ils nous ont éliminés ici, il y a deux ans.
00:48:48 Donc ce calendrier, il va être périlleux.
00:48:51 Oui, mais les grandes équipes ont toujours des calendriers comme ça.
00:48:54 Ils sont préparés pour.
00:48:56 Mais c'est vrai, quand on regarde le calendrier, ce match de ce soir peut permettre d'avoir 13 points d'avance à la fin de cette journée.
00:49:04 Donc il est essentiel.
00:49:06 Et c'est vrai que le match de Monaco va être compliqué, mais pour préparer la Real Sociedad, c'est bien d'aller à Monaco juste avant.
00:49:15 Mais ce match de ce soir, franchement...
00:49:17 C'est exactement ce qu'il a dit le coach, c'est vrai.
00:49:18 On fait beaucoup de matchs très difficiles, mais même les Lille, le Brest, etc.
00:49:21 Rennes, il a dit, c'est un adversaire parfait pour se préparer pour ces grands rendez-vous.
00:49:25 C'est le genre de match qu'on aime là, ce qu'on va voir ce soir.
00:49:27 Oui, et puis il a plu un petit peu, la pluie est magnifique.
00:49:30 Un temps breton.
00:49:31 C'est exceptionnel.
00:49:32 On va voir du spectacle.
00:49:34 Avec modération quand même.
00:49:35 Je parle toujours de bouffe, moi.
00:49:37 Tu fais souvent ce rapport là.
00:49:39 Et on parlait de la composition du Paris Saint-Germain.
00:49:41 Léger appel avant de vous laisser sur le 11 de départ du Paris Saint-Germain.
00:49:45 Et à noter, tandis qu'on le voit, qu'il y a des surprises côté Rennes également.
00:49:49 Donc là, vous voyez, Donnarumma, Hakimi Hernandez, Beraldo, Fabian Ruiz, Danilo, Vitinha, Kangiri.
00:49:55 Ce qui veut dire un gros banc aussi pour le Paris Saint-Germain.
00:49:57 Avec Marco Asensio, Colomwani, Gonzalo Ramos, Zahir Emry.
00:50:00 Mais la vraie surprise, elle est dans les rangs du stade Rennais.
00:50:04 Parce qu'après le match, d'ailleurs, leur victoire, mais finalement anecdotique face à Milan.
00:50:08 Sachez que Benjamin Bourigeau, Arthur Tête, Adrien Treffert, mais tous, Martin Therrier est sur le banc.
00:50:15 Ils sont tous sur le banc.
00:50:16 C'est vrai qu'elle t'étonne un petit peu cette... Bon, on dérive un petit peu du Paris Saint-Germain.
00:50:20 Elle t'étonne un petit peu cette gestion-là de Julien Stéphan ?
00:50:23 Non, parce que c'est l'accumulation des matchs. Je crois qu'il faut faire attention, il faut gérer.
00:50:28 Donc je pense que Julien Stéphan a préféré dans un premier temps.
00:50:32 Mais je pense que ces joueurs-là vont rentrer.
00:50:34 Alors après, il a dû mettre en place tactiquement quelque chose pour tenir le Paris Saint-Germain, le score.
00:50:38 Et puis peut-être dans un deuxième temps, injecter justement des joueurs qui ont beaucoup plus d'expérience.
00:50:44 Merci à toi beaucoup. On va finir sur ces mots-là.
00:50:47 On va te souhaiter une belle après-midi du coup, à 40 minutes du coup d'envoi.
00:50:50 Profite bien de ton match et de ton retour ici chez toi au Parc des Princes.
00:50:53 Merci au Paris Saint-Germain. Merci au président. Merci à vous d'avoir accueilli.
00:50:57 C'est toujours très intéressant.
00:50:58 Tu reviens quand tu veux.
00:50:59 Et franchement, pour nous les anciens, c'est un régal.
00:51:02 Tu es chez toi.
00:51:03 C'est un régal pour nous aussi.
00:51:04 Merci à toi Fabrice Poulain.
00:51:05 Merci Alexis Grasso de m'avoir accompagné également dans ce kick-off. C'était bien sympa.
00:51:09 Très cool.
00:51:10 On va vous laisser profiter maintenant, sous ce temps pluvieux, de ce Paris-Rennes 23e journée de Ligue 1.
00:51:16 Bon match à tous et allez Paris !
00:51:18 Ciao !
00:51:19 Ciao !
00:51:21 [Musique]
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00:58:01 Je suis un fan de Paris ! Merci d'être venu aujourd'hui !
00:58:05 Merci !
00:58:06 On est Paris !
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